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Premier épisode | Épisode précédent

Domination par Stéphane mon futur mari

68 - Mon accident, seconde partie.

Jeudi matin, je suis réveillé tôt par un infirmier qui me conduit pour le scanner. Une fois arrivé, on me retire la minerve et on me place sur la table du scanner. Je dois avouer qu'en sortant du lit, j'ai eu très mal aux côtes mais j'ai serré les dents. Une fois celui-ci passé, ils ne m'ont pas remis la minerve. Verdict : Mes cervicales n'ont rien au final donc avec mon bras cassé et mes côtes, je m'en sors très bien en fin de compte. Il remarque néanmoins que j'ai un gros hématome sur ma cuisse gauche et il m'envoie faire une nouvelle radio de celle-ci. Fémur fissuré en trois endroits, opération d'urgence prévue le jour même. On me ramène à ma chambre et pas de Felipe mais un mot.
" Je suis parti au bureau et ensuite je passe au garage. Sylvain prend tes rendez-vous. "
Je lui téléphone et lui dis que je dois passer en salle d'opération pour ma jambe gauche et donc qu'il ne me trouvera pas dans la chambre tout de suite. Une infirmière vient me préparer pour mon opération et on m'emmène. Dans la salle, le chirurgien vient m'expliquer qu'il va me poser trois broches pour deux mois et que je vais devoir marcher avec une canne pendant ce laps de temps. Il voit que je suis ravi à mon visage.
Moi : Ce sera retiré pour mon mariage fin juin ?
Le chirurgien : Oui mais vous devrez encore avoir une canne ensuite pendant au moins un bon mois. Je vais voir exactement quand j'aurais ouvert votre cuisse.
Moi : Il va y avoir une cicatrice ?
Le chirurgien : Trois petites mais je voudrais bien revoir les radios avant de vous opérer. Votre cuisse est gonflée à cause du coup. On vous a fait marcher depuis votre arrivée ?
Moi : Non, juste pour m'installer sur la table de scanner.
Le chirurgien : Descendez de la table et marchez un peu.
Je m'exécute. Je sais marcher mais il est vrai que j'ai mal à la cuisse en marchant. Il me fait remettre sur la table d'opération et l'anesthésiste arrive.
L'anesthésiste : Respirez et comptez jusqu'à 10.
Moi : 1, 2, 3, 4, 5 ,6...........
Je me suis réveillé trois heures plus tard dans la salle de réveil, la cuisse bandée jusqu'aux couilles et la jambe en l'air. Un infirmier est venu et m'a fait boire quelque chose avec une paille. Je me suis rendormi si sec. Je me suis à nouveau réveillé dans ma chambre, entouré de Jona et Dimitri. Le chirurgien est venu.
Le chirurgien : Bon je vous explique. Je vous ai mis une plaque plutôt que des broches. Vous pourrez marcher avec une canne dès demain. Dans un mois, je vous la retire. Vous pouvez avoir une activité physique normale mais vous ne devez pas forcer donc, pas de course à pied, du vélo oui, du pédalo oui, pas d'équitation. La piscine c'est parfait. A voir votre magnifique corps, je me doute que vous faites du sport régulièrement. J'ai donné une série d'exercices à votre kiné personnel avec qui je viens de parler.
Jona : Je m'occupe de lui dès lundi prochain.
Moi : Et au niveau cicatrice ?
Le chirurgien : Vous avez une cicatrice de 10 cm sur la cuisse mais vous pourrez la faire supprimer dans un an avec de la chirurgie plastique au laser.
Moi : Un an c'est long.
Le Chirurgien : Je ne vous garantis pas un succès total avant ce délai.
Moi : Je suis modèle pour ma société de publicité.
Le chirurgien : Avec un peu de maquillage, ça ne se verra pas et puis avec Photoshop. Bon je vous laisse en bonne compagnie. Je repasserais demain.
Le chirurgien parti.
Moi : Dimitri, j'ai envie de pisser, donnes-moi la panne.
Dimitri : Oui maître.
Il m'installe ce machin horrible et je fais pipi. Une fois terminé, il retire la panne et avec un mouchoir, essuie ma queue. Evidemment, sa main dessus, je bande. Dimitri passe alors sous le drap et me taille une pipe comme il sait les faire. Jona, lui, fait le guet pour éviter les problèmes. Felipe arrive sur ce temps.
Felipe : On ne s'ennuie pas ici, ta mère arrive elle est juste derrière moi.
Moi : Dimitri, retires-toi, vite !
Juste à temps, ma mère rentre. Dimitri a posé un coussin sur ma queue. J'ai vite débandé.
Ma mère : Comment te sens tu ?
Moi : Je fais aller, pas le choix mais il ne fallait pas revenir de ton île maman.
Ma mère : Merci pour l'accueil, mon fils à un grave accident de voiture et il me remballe.
Moi : Ce n'est pas ce que je voulais dire, je voulais dire que je n'étais pas à l'article de la mort non plus. Tu viens de te taper 4h50 d'avion et tu as du payer en plus. Ce n'était pas nécessaire.
Ma mère : Stéphane m'a envoyé le jet et je dois dire que c'est pas mal et très confortable. Il revient dans le premier avion qu'il trouvera.
Moi : Je lui ai dit de rester avec son patron.
Ma mère : C'est ce qu'il m'a dit hier matin au téléphone.
Moi : Je l'ai eu derrière alors à mon avis, il est resté avec son patron.
Entre moi-même je pense que sa présence me manque mais je suis bien entouré avec les deux petits et Felipe. Ma mère est restée une bonne heure et vers 18h30 elle a repris un taxi pour aller manger chez nous et ensuite rentrer chez elle. Felipe m'a brossé un résumé de la journée au garage et au bureau. Il m'a ramené ma tablette et un résumé de Sylvain sur les rendez-vous. Je commence à avoir très mal à ma cuisse mais une infirmière viens me mettre un baxter, et j'ai ensuite moins mal. Felipe a remballé Dimitri et Jona voulant passer la nuit avec moi mais Jona a refusé.
Jona : Non pas question. Il faut que tu dormes dans un lit et avec moi. Tu es crevé et ça se voit !
Felipe a alors attrapé Jona et lui a mis une gifle.
Felipe : Tu n'as pas d'ordre à me donner, reste à ta place de soumis.
Jona pleurait mais il l'a regardé droit dans les yeux. Felipe lui remis une autre gifle.
Felipe : Baisses les yeux ou tu auras droit à une punition devant tout le monde !
Jona : Oui maître.
Et il s'est jeté dans les bras de Felipe en pleurs. Felipe, bien évidemment, l'a consolé.
Moi : Il est vrai que tu es crevé, tu devrais rentrer manger à la maison avec le petit et dormir une bonne nuit. Je resterais seul.
Felipe : C'est que j'ai dit à Rose de ne rien préparer sauf pour ta mère avec qui elle va faire connaissance. J'ai recommandé à Rose de ne rien dire de ce qui se passe à la maison.
Moi : Tu as bien fait, allez manger au restaurant alors.
Felipe : Ok j'abdique, viens mon coeur, on s'en va.
Dimitri : Je peux rester pour la nuit si vous voulez maître.
Moi : Non, tu as tes études mais avant de partir, viens terminer ce que tu as commencé.
Il est venu me vider les couilles et ensuite, il est parti. J'ai pris ma tablette et j'ai regardé les différents rapports. Le traiteur est venu me livrer une entrée froide et un plat froid avec une bouteille de champagne et une de vins blanc. J'ai essayé de manger mais la position n'est pas des plus confortables. L'infirmière de hier m'a donné un coup de main pour manger et pour boire. La bouteille de champagne, naturellement, a fait en sorte qu'elle est restée longtemps avec moi. Elle avait pris l'initiative de me prendre une télécommande pour la TV. Il est vrai que n'étant pas malade mais blessé, on se fait chier à rester dans son lit. Chose rare chez moi, j'ai envie d'une cigarette mais étant immobilisé, pas moyen. A 22h00, l'infirmière est venue me dire que son service est terminé et elle m'a présenté l'infirmier de relais. Un beau mec, la trentaine, cheveux rasés et un sourire pepsodents. J'ai regardé la TV jusque minuit. Il est venu me dire qu'il fallait que je dorme. Il a relevé le drap du lit et en passant, a touché mon sexe de sa main.
L'infirmier : Bien équipé apparemment.
Moi : Oui dans la normale, comme beaucoup de monde.
L'infirmier : Dommage que je sois de service.
Moi : Ils dorment tous, je me ferais bien vider les couilles.
C'est à ce moment que la porte s'ouvre et que mon homme rentre. Il est crevé du voyage mais a réussi à entrer par les urgences. L'infirmier se retire et nous laisse.
Stéphane : Comment te sens-tu ?
Moi : Je fais avec. Tu aurais dû rester avec ton patron.
Stéphane : C'est lui qui m'a ordonné de rentrer. De plus je n'étais pas tranquille de te savoir ici.
Il est venu m'embrasser et il s'est mis à pleurer. De ma main libre, je lui ai caressé les cheveux.
Stéphane : Je t'aime tu sais.
Moi : Je sais.
Stéphane : Racontes-moi, comment se fait-il que Désiré n'était pas au volant ?
Moi : Eh bien il devait aller au bar et comme j'avais du retard dans mon travail, il a pris un taxi. Damien, avec qui j'ai eu une conversation franche sur Sylvain, enfin je vais faire bref. Damien m'a assister pour fermer et il m'a suivi en voiture jusqu'à la maison. Un chauffard ivre m'a pris sur le flanc gauche et me voilà ici. J'ai trois côtes fêlées, un bras cassé et une hanche fissurée donc, plus de course à pied ni de cheval ainsi que moto pendant un bon mois. Pour le reste je peux travailler normalement et faire du sport.
Stéphane : La voiture ?
Moi : Déclassée.
Stéphane : Je vais dormir ici cette nuit près de toi, j'ai faim.
Moi : Il y a des restes dans le frigo ainsi que du vin et du champagne.
Stéphane : Mais dis-donc, tu ne t'ennuies pas.
Moi : La bouffe des hôpitaux est mauvaise donc j'ai fait venir le traiteur. Logique.
Stéphane : Une logique qui me dépasse ! Il va falloir que je te reprenne en main !
Moi : Pourquoi ?
Stéphane : Tu as été imprudent en laissant Désiré partir...
Moi : Je te coupe mais si Désiré avait été avec moi, nous aurions été deux à être ici.
Stéphane : Juste mais tu seras puni tout de même ! Le traiteur est très bon.
Moi : Tu es injuste mon homme.
Stéphane : Peut-être mais dès que j'ai le dos tourné tu n'en fait qu'a ta tête !
Moi : Viens m'embrasser, tu m'as manqué.
Il m'a embrassé et j'ai mis ma main à son paquet. Il bandait. J'ai ouvert sa braguette et j'ai sorti sa queue. Je me suis penché pour le sucer. Il s'est mis plus confortablement pour que je suce mieux, je n'ai pas eu longtemps à attendre sa semence.
Stéphane : Tu es en manque toi ! Déjà ?
Moi : En manque de toi mais j'ai été sage. Je me suis contenté de Dimitri et Jona pour me vider les couilles. Mon cul est resté vierge si ce n'est que j'ai perdu mon plug en or dans l'accident. J'ai dû me le faire voler par quelqu'un.
Stéphane : Ce n'est que de l'or. Maintenant Dors !
Vendredi, 6h30, l'infirmier vient pour faire ma toilette, c'est humiliant au possible même si l'infirmier n'est pas mal. Mon homme ronfle toujours. 7h00 Le petit déjeuner enfin si on peut le dire ainsi. Mon homme se réveille et vient m'embrasser.
Stéphane : Je vais rentrer, prendre une douche et me changer ensuite je passe au garage.
Moi : Alors tiens, voici les documents que j'ai dû signer en ton absence et les bons de commandes. Je les ai vérifiés, tout est correct. Il y a un camion de livraison de véhicule ce matin, Felipe s'en occupe.
Stéphane : Tu as travaillé depuis l'hôpital ?
Moi : Eh bien oui, je n'allais pas laisser tomber le garage et ma société. Je suis blessé pas malade.
Stéphane : Oui, bon, maintenant je suis là et tu vas me laisser gérer les deux, le temps de ta convalescence.
Moi : Je serais à mon bureau dès mardi, pas le choix.
Stéphane : Tu feras ce que je te dirais. Compris ? Et il n'y a pas à discuter ! Tu n'es pas indispensable ! S'il le faut je t'attache à la maison.
Moi : Mais... Bon d'accord, je veux bien lever le pied mais les campagnes de publicité vont commencer à sortir la semaine prochaine et je veux que tout soit parfait.
Stéphane : Bon d'accord mais j'exige que si ta présence n'est pas indispensable, tu restes à la maison.
Moi : Oui mon homme. Files et laisse-moi, le kiné va arriver et je vais enfin pouvoir marcher.
Il s'en va et une demi- heure plus tard le kiné arrive. Il me fait mettre en premier lieu dans une chaise roulante. Ensuite il me conduit à sa salle de kiné. Là il me fait mettre debout et marcher entre deux barres de soutient et je dois dire qu'elles m'ont servi. J'ai eu mal à la jambe pendant tous les exercices et il m'a épuisé, soit en marchant, soit en pliant ma jambe. Pour un lendemain d'opération, il n'y va pas de main morte. Enfin il me libère mais me donne une béquille et vient avec moi pour me ramener à la chambre. Ça tombe bien j'ai envie d'aller au petit coin pour faire ma grande commission. Ça fait deux jours que je me retiens pour éviter une autre humiliation. Quel soulagement, mais le problème, c'est après pour me relever du WC. Je suis obligé d'appuyer sur le bouton et c'est un infirmier qui vient me relever et me torcher le cul.
Moi : Merci.
L'infirmier : Vous savez c'est notre travail et c'est avec joie que je torche un aussi beau petit cul.
Moi : Encore merci.
Je suis retourné au lit et je me suis rendormi. C'est l'infirmier qui est venu me chercher pour une radio de mon bras et changement de plâtre. Effectivement on me retire mon plâtre, radio et attente du chirurgien.
Le Chirurgien : Bon et bien c'est beaucoup moins grave qu'il n'y paraît. On va vous mettre un plâtre en résine et vous aurez la mobilité de votre avant-bras. Il n'y a pas besoin de plâtrer plus haut.
Moi : Enfin une bonne nouvelle.
Le Chirurgien : Je vous revoie dans 15 jours.
Moi : Ok.
On me remet un plâtre et on me ramène à ma chambre en chaise roulante. Ma cuisse et mes côtes me font mal et je demande un anti douleur. Je me recouche et envoie un SMS à mon homme.
" Peux-tu me ramener un paquet de cigarettes ? "
Réponse
" Ok mais que ça ne devienne pas une habitude. J'ai horreur des fumeurs "
Moi.
" Merci mais rassure toi, c'est uniquement parce que je suis nerveux et que je ne supporte pas l'hôpital "
Réponse
" Et c'est pour ça que je t'y autorise ! " " Je vais arriver avec Dimitri "
Ça tombe bien je commence à me faire chier. Il est 17h30 et Claudia arrive avec son mari et me fait un résumé de la journée. Je lui précise que je recommence à travailler à partir de mardi mais en service très allégé donc, mollo avec les rendez-vous. Elle me donne le courrier et une nouvelle tablette qu'elle synchronise avec la première.
Claudia : Vous êtes invités vendredi à l'inauguration du magasin de sous-vêtements de madame............ Vendredi à 14h00. Les affiches publicitaires sur les arrêts de bus sont placées cette nuit. Je les ai vues, elles sont magnifiques.
Moi : Ok. J'aurais bien voulu les voir mais je suppose que Sylvain a fait du bon boulot.
Claudia : Madame ..... demande s'il est possible que tous les modèles soient en maillot le jour de l'inauguration. J'ai pris contact avec Jona et Dimitri et c'est ok pour eux, Désiré aussi. Il reste Stéphane et vous.
Moi : Ca va être dur pour moi avec mon bras dans le plâtre et ma cuisse mais je vais voir à trouver une solution avec elle. Je vais lui téléphoner. C'est tout ?
Claudia : Il me semble. Sylvain a pris sa matinée de lundi. Il va chez le médecin avec Damien.
Moi : Ok.
Claudia : Nous allons vous laisser, j'ai mon souper à préparer.
Moi : Ok, merci d'être venue et je serais là mardi.
Ils s'en vont et c'est mon courtier en assurances qui vient me faire signer les papiers du constat et je suis en droit. Je peux commander un nouveau véhicule. C'est à ce moment-là que Stéphane arrive avec Dimitri. Mon homme m'embrasse et Dimitri aussi. Mon assureur serre la main de Stéphane et lui donne les papiers pour le nouveau véhicule. L'assurance prend tout en charge.
Stéphane : Elle est déjà commandée, j'ai fait le bon de commande moi-même, elle est de stock et arrivera mercredi.
Moi : Tu n'as pas perdu de temps, il y avait le cabriolet en attendant.
Stéphane : De toute façon tu feras ce que je te dis et tu ne travailleras que s'il le faut vraiment !
Moi : J'ai déjà prévenu Claudia, elle vient de partir.
Stéphane : Oui je l'ai vu dans l'ascenseur. Tu veux déjà recommencer mardi ?
Moi : Oui, les campagnes de pubs, la première sort cette nuit et je n'ai rien pu contrôler.
Dimitri me sort alors un tube que je n'avais pas vu et me le donne.
Stéphane : Voici ta première affiche et elle est magnifique. Ton travail est superbe et Sylvain est un très bon photographe.
Moi : Dimitri, ouvres-la pour moi, j'ai un peu mal partout et le kiné ne m'a pas loupé ce matin.
Il ouvre et déplie l'affiche, effectivement elle est magnifique et super bandante. Il sort aussi les affiches pour le magasin avec lui et Jona, ils sont superbes aussi. Ensuite il me tend le catalogue que je feuillette.
Moi : C'est du très bon travail. Chou, nous sommes invités à l'inauguration mais la cliente voudrait avoir tous les modèles en tenue. Tu pourras le faire ?
Stéphane : C'est prévu dans le contrat ?
Moi : Non mais c'est un plaisir que je voudrais rendre à la cliente, elle m'a fait confiance.
Stéphane : Ok mais toi ?
Moi : Comment veux-tu ? Moi, ce n'est pas possible. Je vais m'arranger avec elle. Je serais présent, c'est déjà ça.
Stéphane : Et si tu mettais un ensemble sexy, ça camouflerait ta cuisse.
Moi : Il reste mon plâtre.
Stéphane : Demande à ES de te faire une brassière à la dimension du plâtre et il sera camouflé. De plus, ça leur fera un nouveau produit.
Je prends mon portable et parle avec le délégué. Je lui explique la situation.
Le délégué : Ecoutes, je vais demander au bureau d'étude de bricoler quelque chose lundi, envoie moi une photo du plâtre et je t'envoie par DHL une tenue sexy qui n'est pas encore au catalogue. Je te l'offre, je te dois bien ça. Je vais faire en sorte que tu aies tout pour jeudi et, ah oui, les affiches sont magnifiques. La direction va te confier un contrat sur cinq ans pour toutes nos collections européennes. Je serais présent avec le directeur délégué pour le Benelux.
Moi : Ok, merci a plus.
Je téléphone ensuite à la cliente et lui confirme la présence des modèles mais lui explique pour mon accident et la solution trouvée. Elle est contente et est d'accord. Voilà un problème réglé. Sur le temps que je suis au téléphone, Dimitri a trouvé du papier collant et a collé les affiches au mur.
Dimitri : Ça donne bien maître.
Moi : Viens ici !
Je me penche et, malgré mon mal aux côtes, je lui roule un patin. C'est à ce moment que ma mère arrive.
Ma mère : Et bien en voilà une chambre d'hôpital !
Moi : Bonsoir maman. Comment trouves-tu les affiches ?
Ma mère : Très belles, ça fait gay mais pourquoi pas. Stéphane, on voit qu'il y en a en dessous du maillot.
Stéphane : Euh merci.
Ma mère : Je suis passé voir comment tu allais et voir pour la suite.
Elle m'a apporté des fleurs, je lui brosse le tableau vite fait.
Ma mère : Ok, je repasserais dimanche avant de reprendre le jet. Stéphane, encore merci de me l'avoir mis à disposition. Bon je m'en vais, je vais manger avec une amie. La société d'alarme passera à la semaine à la maison et renforcera celle-ci. Stéphane m'a dit qu'il s'en occuperait, histoire que tu puisses te reposer.
Moi : Ok man, à dimanche.
Elle m'embrasse et s'en va. L'infirmière qui aime le champagne vient pour me donner des médicaments pour la nuit. Essentiellement des antis douleurs.
L'infirmière : Jolie les affiches, vous êtes tous les trois magnifiques.
Nous trois : Merci.
L'infirmière : Je vais aller à ce magasin avec mon mec, ses caleçons sont à chier. Quand je pense que moi j'ai des petites tenues sexy.... Enfin excusez-moi, je m'épanche sur ma vie. Votre traiteur n'est pas encore arrivé ?
Moi : Non mais comme j'ai du monde ce soir, il y aura plus de champagne.
Effectivement le traiteur arrive avec un petit buffet froid pour deux mais il y en a pour quatre. Deux bouteilles de champagne et deux bouteilles de vin blanc. Il amènera la même chose demain. A peine parti, mon homme ouvre le champagne mais j'ai besoin de faire pipi et, avec l'aide de Dimitri, je vais à la toilette. Mes côtes me font hyper mal mais ma cuisse ça a l'air d'aller. Le petit me tient la queue pour que je pisse debout en m'appuyant sur un des murs. Après, il me masturbe un peu et évidemment je bande. Je le prends et retourne dans la chambre.
Moi : Plies-toi en deux sur le lit et baisse ton pantalon, je vais me faire ton cul.
Il s'exécute. Je retire son petit plug et vois qu'il y a du sperme dessus. Je regarde mon homme.
Stéphane : Tu peux y aller, je l'ai ouvert avant de venir. Je n'ai pas su me retenir.
Moi : Je vois ça.
J'ai limé le petit qui a commencé à couiner et gémir assez fort.
Moi : Tais-toi, tu vas rameuter tout le service !
Dimitri : C'est trop bon maître.
J'ai augmenté le rythme et j'ai lâché la purée. Il était temps car ma hanche me faisait mal, je n'aurais pas dû. Je me suis retiré et le petit m'a nettoyé la queue et je me suis remis au lit. Apéritif et nous avons mangé. Vers 22h00, l'infirmière est venue dans ma chambre voir si tout allait bien et alors qu'on discutait Stéphane et moi, Dimitri révisant ses cours sur le lit d'à côté, elle nous a fait savoir que les visites étaient terminées et qu'une seule personne était autorisée à rester.
Stéphane : Je vais partir, c'est Felipe et moi qui tenons le garage demain. Je te laisse Dimitri.
Stéphane : Dimitri, tu restes sage et tu dors !
Dimitri : Oui maître.
L'infirmière : Pardon ?
Moi : Ne cherchez pas à comprendre, ce serait trop long à vous expliquer. Dites vous juste que c'est un peu comme notre fiston. Il est sous notre protection en plus du reste.
L'infirmière : Mon fils a son âge et est gay comme vous, j'espère bien qu'il n'est pas obligé avec son mec à ce genre de pratique.
Stéphane : Dans un couple, il y a toujours un dominateur et un soumis, que ce soit hétéro ou gay. Chez vous avec monsieur qui est-ce qui porte la culotte ?
L'infirmière : Eh bien c'est moi.
Stéphane : Donc mentalement, vous dominez votre mari, le maître est plus pour le petit, le fait qu'il est en appartenance avec nous.
L'infirmière : Je ne comprends pas tout mais je vais avoir une conversation avec mon fils.
Stéphane : Bon je m'en vais, je sors par les urgences je suppose ?
L'infirmière : Non je vais vous faire raccompagner par un vigile à la porte principale, il vous ouvrira.
Stéphane : Bonne nuit mon coeur.
Moi : Bonne nuit mon amour.
Il embrasse Dimitri et s'en va avec l'infirmière. J'éteins la lumière et je dors.

Pattlg

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