Chapitre -01
Je me rends ce midi chez Marc, mon ex. Nous nous sommes séparés il y a quelques mois après une relation tumultueuse, mais bonne, comme peuvent souvent l'être les relations passionnées. Je suis content, car nous sommes restés proches, et en bons termes. Nous nous voyons de temps en temps pour un verre ou autre, et c'est bien, c'est bon de rester en relation l'un avec l'autre, c'est une personne que j'apprécie, et même si notre relation a brûlé vite, elle a brûlé intensément.
Je lui avais d'ailleurs confié un jeu des clés de chez moi, et c'est précisément la raison de ma visite du jour. Je vais bientôt changer de logement, et je dois rendre les clés à ma propriétaire. Marc avait fini le boulot un peu plus tôt dans l'après-midi, et je lui avais donc proposé de venir chez lui pour prendre un verre et récupérer mes clés par la même occasion, sans que cela ne le dérange trop et ne l'oblige à se déplacer après sa journée de travail.
J'arrive devant la porte de son appartement et sonne. La porte s'ouvre sur un Marc souriant, portant encore les vêtements qu'il avait mis pour le travail, une chemise claire dont le col est déboutonné et un pantalon en toile, qui lui moule légèrement l'entrejambe, que je sais bien " garni " comme l'avait fait une fois remarquée une serveuse qui le draguait dans un bar. Je souris aussi, cela nous fait toujours plaisir de se revoir et Marc est un homme plaisant. Il m'accueille chaleureusement et nous nous installons dans son salon où il avait déjà sorti une bouteille de vin et deux verres, " pour fêter la fin de mon bail ". J'avais moi aussi ramené une bouteille pour lui faire plaisir, alors on s'installe, on rit, on trinque et on se raconte nos vies.
Nous avons entamé la 2nde bouteille, je me sens un peu éméché, mais bien. J'ai chaud, et je ne saurais pas dire si cette chaleur vient de l'alcool, du printemps qui est maintenant bien installé, ou des effleurements occasionnels entre Marc et moi. Je ne sais pas s'ils sont intentionnels, sa main sur mon genou quand il se penche pour saisir la bouteille, nos mains qui se frôlent quand on trinque. Je ne cherche pas à répondre à la question, car j'ai un nouveau copain depuis quelque temps, qui ne sait pas que je suis passé chez mon ex, mais en même temps je suis bien avec Marc et je n'ai pas envie d'écourter la visite, qui m'est agréable.
Nous avons presque fini la 2nde bouteille lorsque Marc me dit avoir en réserve un rhum délicieux, mon péché mignon. Il me dit qu'il faut absolument qu'il me le fasse gouter, j'accepte bien volontiers. En se levant pour aller à la cuisine, sa main s'appuie clairement sur ma cuisse cette fois, il la laisse poser et me caresse en se déplaçant. L'effet est immédiat, je sens mon sexe se durcir dans mon pantalon, et la chaleur m'envahir plus intensément. Marc lui se dirige vers la cuisine, je suis un peu perturbé, me lève et le suit jusqu'à l'encadrement de la porte de la cuisine. Je le regarde préparer deux petits verres de rhum, puis s'avancer vers moi. Il vient se placer à quelques centimètres de moi, j'ai le dos collé au chambranle de la porte, son visage tout près du mien, je ne peux reculer davantage. Nous nous fixons, puis il me tend un des deux verres.
Tiens, tu vas apprécier, tu as toujours aimé ça.
Oui..., merci...
Je suis un peu confus par son attitude qui a changé, et par mes sensations. Nous buvons tous les deux une gorgée, le rhum est bon et me fait vriller les papilles. À peine le verre a-t-il quitté mes lèvres que le visage de Marc parcourt les quelques centimètres qui nous séparaient et m'embrasse langoureusement. Je ne peux retenir un léger soupir de surprise et de plaisir, nos langues s'entremêlent, Marc me roule une grosse pelle, et c'est bon.
Tu vois, tu as toujours aimé ça, dit-il calmement.
Je ne sais pas quoi répondre, je reste planté là à le regarder droit dans les yeux. J'ai chaud, et mon coeur bat tellement vite et fort dans ma poitrine que j'ai l'impression qu'elle va exploser. Je devrais réagir, me dérober, j'ai un copain après tout. Mais je ne bouge pas. Marc saisit mon verre et le dépose, ainsi que le sien, sur l'étagère à côté, puis revient à quelques centimètres de mon visage. Cette fois ces mains se posent sur moi, l'une sur mon bassin, l'autre sur mon visage. Il a un drôle d'air sur le visage.
Je me disais que je suis bien gentil quand même, de rester aussi conciliant avec toi, et gentils, après que tu m'aies plaqué. Je suis même prêt à te redonner ton trousseau sans faire d'histoires... Je pense que ça mérite bien une petite compensation hein ?
Je n'ose pas répondre, je suis à la fois subjugué, et pétrifié. Je ressens la douceur de sa main sur mon visage, et mon coeur qui bat toujours à tout rompre.
Et puis en plus, on aurait pu se voir en ville comme d'habitude pour le trousseau de clés, hum ? On sait bien tous les deux pourquoi tu es là, hum ? Au fond, c'est pour ça que tu es venu, c'est ce que tu voulais, ça te manque que je m'occupe de toi hein ?
Il avait raison sur le fait qu'on aurait pu se voir en ville. C'est moi qui avais proposé de venir, j'en avais envie. Mais pourquoi ? Je reste là à le regarder, sous son emprise, je sais qu'au fond j'ai déjà cédé, je me sens trop excité par la situation, et cet interdit, pour raisonner. La main qui était sur mes hanches vient saisir ma queue raide, et tout en me caressant la nuque de son autre main, il continue d'une voix calme, douce, et ferme, qui ne laisse pas de place au refus.
Regarde-toi, tu bandes déjà comme un âne. Je vais te donner ce pourquoi tu es venu Julien, ce pourquoi tu es vraiment venu. Je vais te baiser. Mais pas doucement et tendrement comme le baiser qu'on vient d'échanger. Non, je vais te violer, te baiser comme tu le mérites, comme une salope. Parce que c'est ce que tu es, hein ? Une salope qui est venue dans le dos de son mec, pour se donner à moi, et se faire défoncer comme je le faisais avant. Je te l'ai dit, tu as toujours aimé ça, et ça te manque. Alors j'accepte de te rendre ce service, mais crois-moi tu vas prendre cher.
Sur ces paroles, il m'embrasse de nouveau, plus farouchement. Sa langue force le passage de mes lèvres, caresse la mienne, c'est délicieux. Je ferme les yeux et profite pleinement de ce baiser qui vient sceller notre " accord ". Je sens que je m'abandonne, enivrée par l'alcool et le désir qu'il allume en moi. Je me sens un peu honteux, mais je suis incapable de résister, et l'écho de ses paroles résonne en moi.
Sans un mot, Marc m'emmène dans la pièce d'à côté, sa chambre. À peine suis-je entré qu'il me met debout, dos tourné au lit, et m'ordonne de me foutre à poil. Je m'exécute, toujours déstabilisé par ce qu'il se passe, les sensations contradictoires en moi, et comme subjugué par son autorité inflexible. Une fois nu, Marc m'observe de haut en bas, avec un petit sourire, et passe ses mains un peu partout sur mon corps. Je ferme les yeux sous ce contact.
C'est bien, tu es toujours aussi bien foutu. Tu t'entretiens. Je vais me faire plaisir. Allez assieds-toi et mets tes mains dans le dos.
Il joint le geste à la parole en appuyant sur mon épaule. Je me retrouve assis nu, dos à son lit, mes mains jointes derrière moi. Je lève les yeux vers lui, ma tête à hauteur de son entrejambe. Il me sourit férocement, se moquant surement un peu de moi, c'est vrai qu'il y a de quoi, et place un pied de chaque côté de mes jambes. Il descend lentement sa braguette en me fixant, et descend également son boxer pour faire sortir sa queue. Elle est juste sous mes yeux, à moitié bandée et gonflée, le gland luisant de precum, je sens son odeur qui envahit mes sens et fait encore monter d'un cran mon excitation. Marc le voit et s'en amuse. Il mouille beaucoup et sait que j'adore ça.
C'est ça que tu voulais, hum ? Ça te fait envie ? Allez ouvre la bouche que je la mette au chaud.
J'obéis, et il glisse immédiatement sa bite entre mes lèvres. Mmmmmm ce que c'est bon ! Je ferme les yeux et savoure ce goût salé, je lèche son gland et me régale. J'entends Marc qui soupire de plaisir au-dessus de moi, il me laisse le pomper ainsi un petit moment et je sens sa verge qui commence à être bien raide, j'ai plus de mal à la sucer, mais continue à la savourer, en gémissant doucement, un peu honteux d'y prendre tant de plaisir.
C'est bon hein petite salope ? Tu l'aimes mon chibre ?
O.. Oui...
Tu as toujours été une bonne pompeuse. Allez maintenant tu m'as bien chauffé on va passer aux choses sérieuses. Je t'avais prévenu.
Il me saisit le haut du crâne et s'approcha davantage. Mon dos plaqué contre le lit, ma tête se retrouve coincée entre le matelas et son corps, il pousse et enfonce sa queue profondément dans ma bouche. J'ai un haut-le-coeur instantanément quand son gland vient taper ma luette et le fond de ma gorge, il recule un peu puis se renfonce à fond. J'ai un nouveau haut-le-coeur et mal à la gorge, je passe mes mains devant et le repousse jusqu'à ce que sa bite ressorte entièrement de ma bouche, un filet de bave part de ma bouche et rejoint son gland humide. Je reçois une gifle modérément appuyée, je suis surpris et lève les yeux vers un Marc au regard dur et sévère. Et ce qui m'étonne encore plus, c'est que dans sa main libre je vois son téléphone braqué sur moi.
Je t'ai dit d'obéir, et que tu allais prendre cher. Ne fais pas ta mijaurée tu sais bien que c'est comme ça que tu mérites d'être traité, et que tu aimes ça.
Tu me prends en photo ?!
Oui, et je te filme aussi ! Histoire d'avoir de bons souvenirs à partager entre nous ! Mais ne t'inquiète pas, sois bien obéissant ma p'tite pute, et ça ne restera qu'entre nous je te l'assure, ton mec ne verra jamais ça.
Je ne sais pas quoi faire ni répondre. Je suis toujours terriblement excitée, ma bite mouille d'ailleurs depuis qu'a commencé la fellation, mais je suis gêné à l'idée des photos et vidéos. Je sais que je peux faire confiance à Marc, mais quand même... en même temps maintenant il doit déjà avoir des images compromettantes... Je me demande comment réagir quand Marc reprend les choses en main. Il me regarde goguenard, me saisit de nouveau les cheveux et approche sa queue. Je décide de m'abandonner.
Allez obéis, mains dans le dos et ouvre ta bouche de pute ! Tu sais où est ta place.
J'obéis, me soumets, passe mes mains dans le dos et lui offre ma bouche qu'il prend sans ménagement. Sa queue gonflée de plaisir s'enfonce de nouveau dans ma gorge, j'ai le visage dans ses poils pubiens à chaque mouvement de reins. Je sens des larmes monter à force d'avoir ainsi la gorge malmenée, j'ai des hauts le coeur régulier, bave énormément sur sa queue qui coulisse d'autant mieux entre mes lèvres et sur ma langue, bien lubrifiée. La chambre résonne des bruits de succion que provoque cette fellation brutale et des paroles de Marc.
Humpf ! Humpf ! Oui voilà c'est bien, avale la bien, t'es une bonne chienne, une bonne pompeuse ! C'est bon hein la bite ?
Je ne peux pas répondre, je lève les yeux vers Marc qui semble prendre un plaisir intense à me baiser ainsi la bouche, je vois le téléphone tourné vers moi et j'imagine, le spectacle de sa queue allant et venant entre mes lèvres et mon visage larmoyant. Il pose le téléphone sur le matelas, m'attrape la tête de ses deux mains et me défonce la bouche de plus belle. Il alterne des mouvements lents et rapides, sort parfois entièrement sa queue, me regarde, crache dans ma bouche et me renfourne sa queue. Je perds le fil du temps, je bouffe sa queue encore et encore, j'ai le visage plein de larmes et de salive... mais j'adore ça. Je me rends compte honteux que je prenne beaucoup de plaisir à être traité ainsi, comme en atteste ma queue raide !
Au bout d'un moment, Marc se recule et regarde le spectacle qui semble lui plaire, il sourit.
Allez passe sur le lit maintenant. Installe-toi à 4 pattes comme une chienne.
J'hésite, ça va loin... mais pour maintenant... J'obéis donc et monte sur le lit. Je découvre alors avec stupeur, au bout du lit, un grand miroir.
Oui tu as remarqué ma nouvelle déco ! Tu vas pouvoir admirer le spectacle. Installe-toi visage tourné vers le miroir.
Mon excitation monte encore d'un cran, même si vu ce que ma bouche a pris, j'ai un eu peur de ce que Marc va réserver comme traitement à mon cul. D'autant plus que je connais sa queue. De longueur respectable, elle a surtout la particularité d'avoir une bonne épaisseur, et de s'élargir de plus en plus depuis le gland jusqu'à la base de la hampe, si bien que quand il la met au fond, elle dilate de plus en plus sur toute la longueur, et donne la sensation d'avoir le cul ouvert en deux en permanence, sans que mon anneau culière puisse se refermer un peu.
Je me regarde, à 4 pattes devant le miroir, et j'entends Marc qui finit de se déshabiller, et vient se placer derrière moi. Il me regarde dans le miroir, une de ses mains parcourt mon dos et mes fesses, et je vois alors de nouveau son portable dans sa main !
Non... pas ça...
Chuuut. Laisse-moi faire tu es ma pute pour la journée. Tu n'as pas à t'en faire je t'ai dit, c'est juste pour la postérité. Ça ne sert à rien de faire ta mijaurée, de toute façon tu vas y passer.
Il m'assène une fessée retentissante et je laisse échapper un petit cri.
T'as toujours une bonne croupe, et tu as tellement bien bavé sur ma queue que je vais t'enfiler sans gel, une bonne saillie pour une bonne salope, hein ?
Tout en filmant d'une main, il me saisit une hanche de l'autre et vient coller sa queue lubrifiée sur ma raie. Le contact de cette colonne de chaire raide, chaude et humide, m'électrise instantanément. Il frotte sa queue, titille mon trou avec son gland sans rentrer, crache sur mon trou avant de revenir le titiller avec le bout. Il s'amuse ainsi un moment, cela fait monter mon excitation et je ne peux m'empêcher de gémir. Mon cul ainsi titillé devient une vraie chatte, je suis excité à blanc !
C'est bon ça hein ma salope ?
Je n'ose pas répondre, je sais qu'il filme et je suis gêné d'éprouver tant de plaisir et désir.
Dis-le, tu la veux ma queue hein ?
...
Allez dis-le, qu'est ce que tu veux ?
Oui je la veux...
Demande-moi mieux que ça aller
Je... je veux ta queue
Oui ? La queue de qui ?
Je veux ta queue Marc... Je veux que tu me prennes !
Oui c'est ça que tu veux ? Tu veux mon gros chibre dans ta petite chatte ?
Oui, oui stp !
Tu veux que je te mette une cartouche hein ? Te faire bien démonter ?
Oui, oui je t'en supplie !
Allez tiens prends ça ! Han !
Aiiiiiie !!!
Marc enfonça d'un coup sa queue lourde en moi jusqu'à la garde. J'avais hurlé de douleur et plaisir mélangés, sentant son chibre épais me dilater l'anus. J'ai le souffle coupé en raison de la douleur cuisante, mais lui semble vouloir me baiser sans ménagement. Il commence déjà de lents va-et-vient, profonds et violents dans mon petit fion, se retirant à chaque fois totalement pour ensuite se ré-enfoncer d'un coup sec.
Han ! Han ! Je vais bien te bourrer ma salope !
Aiiie ! Ouh !
Oui, vas-y tu peux couiner ! Je vais pas te faire de cadeaux salope. Regarde-moi.
Il me saisit les cheveux et tira sur dessus, m'obligeant à relever le visage vers le miroir. Je regardais le spectacle de mon visage marqué par la douleur et le plaisir, la bouche ouverte comme pour trouver de l'air, et Marc nu derrière moi, me prenant comme une pute, chaque coup de bite faisant claquer son corps contre mon petit cul, et filmant le tout. Je ne pouvais me retenir de gémir et couiner sous ses coups de bite. Je ressentais cette sensation si particulière et spécifique à sa grosse verge, lourde et épaisse, qui m'ouvrait la chatte.
Elle est bonne hein ma grosse queue ?
... aïe !
Allez dis-le que tu l'aimes ma queue dans ta chatte ! Tu sais que c'est ce qu'il te faut, pour une pute comme toi qui vient me voir pour se faire défoncer dans le dos de son mec, hein ?
O... oui ! humpf ! C'est bon !
Oui je vais bien te ramoner tu vas voir. Tiens régale-toi salope ! Han ! Putain de cul !! Putain de cul !!
Il posa le téléphone, me saisit les fesses des deux mains et commença à me prendre violemment. Je couinais et gémissais de plus belle sous ses coups de buttoir, j'avais la chatte en feu et commençais à ressentir un plaisir intense à me faire labourer ainsi. Je regardais souvent dans le miroir pour voir cet homme qui me prenait virilement, son regard de mâle dur et ferme. Il y allait comme un bourrin, j'étais sa femelle et il me démontait comme il se doit. J'entendais ses râles de plaisir par-dessus mes couinements plaintifs, il ne se retenait pas et me défonçait sans ménagement. Son chibre épais allait et venait, il alternait les coups secs et rapides avec des mouvements plus amples, plus lents et profonds. Il crachait de temps à autre sur mon trou pour ensuite enfourner sa queue à fond. Son piston avait foré son propre espace dans mon fondement, et durant tout ce temps, il continuait à m'insulter et me fesser de temps à autre. Je dois avouer que je me sens en effet bien salope de me faire ainsi baiser comme une pute par Marc, et surtout d'y prendre tant de plaisir...
Au bout d'un moment, il m'appuya sur la tête jusqu'à ce que je morde le matelas, tout en relevant mon bassin. Il se mit debout sur ses pieds et vint placer sa queue raide au-dessus de mon trou, tendu vers le haut dans cette position. Il descendit sur ses genoux et s'enfonça d'un coup encore plus profondément, m'arrachant un nouveau cri. Ainsi offert, l'angle de pénétration était plus grand et son chibre s'enfonçait totalement. Je hurlais à chaque nouveau de coup de reins, mais lui continuait à m'imposer son désir, plus lentement, mais tellement fort à chaque coup que sa grosse paire de couilles venait s'aplatir dans un son retentissant sur mes petites fesses tendues. Il continuait à m'appuyer sur le visage tout en me pilonnant la chatte, je ne pouvais qu'encaisser tant bien que mal, en admirant la scène dans le miroir. J'avais l'air pitoyable, mais Marc me défonçait sans pitié.
J'avais de nouveau perdu toute notion du temps, je n'étais plus que ce trou offert et ramoné rudement. La queue de Marc allait et venait, je couinais comme une chienne.
Au bout d'un moment, je le sens me démonter de plus en plus fortement, il m'écrase sur le matelas et dans un râle profond déverse une grosse quantité de sperme chaud en moi. Je criais avec lui de me sentir ainsi rempli. Il continue ensuite quelque va-et-vient, ce qui fit déborder son jus de ma chatte. Il s'amuse alors à aller et venir, sortir et me remettre sa queue dans mon trou qui dégouline. Je ne bouge plus, totalement foudroyé par cette baise intense et virile. Je le vois prendre de nouveau des photos ou une vidéo, fier du résultat de sa saillie. Puis il me met une fessée et déclare :
Allez suis-moi, il faut nettoyer tout ça.
Je le suis jusqu'à la salle de bain, et entre dans la douche. J'allais mettre en route le jet d'eau, quand il me saisit la main et me tourne vers lui.
J'ai dit qu'il fallait nettoyer, pas qu'on allait prendre une douche. Allez au boulot, à genoux, et sois une bonne chienne.
Je compris ce qu'il voulait, et m'exécuta. Je m'agenouille devant lui, dans l'espace réduit de la cabine de douche.
Allez nettoie moi bien.
J'ouvre la bouche sur son ordre et Marc m'enfonce de nouveau son chibre épais et recouvert de semence. Je le sens glisser sur ma langue, le goût de son sperme remplit mes sens. C'est bon, je prends plaisir à pomper goulument sa queue et avaler son jus de mâle. Je m'applique à téter sa queue un peu ramollie, mais toujours de belle taille jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de trace de sperme. Je le sens qui prend son pied.
C'est bien, c'est du bon travail, tu es une bonne chienne. Mais tu ne vas pas laisser le travail inachevé hein ? Tu vas finir de me vider. Allez ouvre.
Je comprends pétrifié ce qu'il entend par là. Mais je n'ai plus la volonté de résister après tout ça. J'ouvre de nouveau timidement la bouche devant son sexe, et reçois un jet chaud et odorant d'urine droit dans la gorge. Je manque de m'étouffer, Marc arrête le jet et rigole en me voyant.
Allez on continue salope. Ouvre bien grand.
À peine ai-je ouvert la bouche qu'il y enfourne sa queue mi-molle, et commence à se déverser en moi. Je sens son jet chaud qui remplit ma bouche, il va et vient doucement dans ma bouche remplie de son fluide, s'arrête de temps pour que je déglutisse, puis se lâche de nouveau. Parfois directement dans ma bouche, parfois sur mon visage et mon corps. Je reste à genoux à lui servir, il se vide pleinement et y prend beaucoup de plaisir. Une fois qu'il a fini, je pompe docilement son gland afin de bien le nettoyer, puis il quitte enfin la salle de bain.
Allez, bon travail. Tu as le droit à une douche, puis rejoins-moi je te filerai tes clés et tu pourras partir. Merci d'être passé, c'était très agréable de te rendre service !
Enfin seul, je prends une longue douche. L'eau coule sur mon corps, et je me dis que décidément, Marc fait ça divinement bien.
P4trocleBoy
sexe.a@live.fr
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