Premier épisode
Tout d'abord un grand merci aux lecteurs pour leur soutien et leur envie de connaitre la suite.
Mon jeune rebeu me recontacte donc sur le tchat : il avait reconnu mon pseudo.
Impossible de se voir dans la petite cour, lieu de nos précédentes rencontres : elle est en travaux.
Il me plait beaucoup ce jeune et j'ai envie de le revoir. Mais son trip, c'est une totale confidentialité, il veut toujours faire ça dans le noir.
Pour une fois, je vais faillir à mes règles de prudence et je l'invite dans ma chambre d'hôtel.
J'ai toutefois une exigence qu'il accepte. Je veux qu'à peine rentré, il se mette nu et me rejoigne. Je rêve de caresser son corps, de le découvrir au toucher à défaut de le voir.
Je lui indique mon hôtel en lui donnant rendez-vous dans la rue, de nuit.
Il devra me suivre discrètement en évitant le veilleur de l'accueil.
J'ai mis ma chambre dans l'obscurité, préparé une chaise pour qu'il dépose ses affaires.
Je fais les cent pas en l'attendant. Je suis nerveux. Je n'aime pas recevoir à mon hôtel. J'essaie de me rassurer en me disant qu'au pire je changerais d'établissement la prochaine fois.
Mais je reste nerveux, j'ai des frémissements comme si c'était ma première fois.
Perdu dans mes pensées, je n'avais pas remarqué son arrivée de l'autre côté de la rue, toujours avec sa capuche sur la tête.
Un réverbère me permet d'apercevoir rapidement une partie de son visage.
Mon coeur s'accélère : il me parait beau comme je l'imaginais.
Alors que nous ne sommes que tous les deux dans la rue, je lui fais un signe, totalement inutile, pour me signaler.
Par chance, le veilleur de nuit n'est pas à son poste.
Je passe par l'escalier de service au lieu de l'ascenseur pour éviter les lumières.
Je monte à la lumière de mon téléphone portable.
Pendant mon ascension, j'entends qu'il est dans la cage d'escalier.
Je file à ma chambre. J'ai laissé juste un rai de lumière de la salle de bain pour éviter de me cogner.
Je jette rapidement mes vêtements et j'attends assis sur le lit
La porte de ma chambre s'ouvre. La lumière du couloir me permet de l'apercevoir à nouveau furtivement.
Il se déshabille et me rejoint.
Son sexe est déjà tendu, ma respiration est rapide : l'émotion, la peur
Il s'éloigne brusquement pour fermer complètement la porte de la salle de bain : nous sommes dans le noir total. Il se heurte au bureau en me rejoignant.
Je l'attends debout pour l'embrasser pour la première fois.
Je craignais sa réaction, mais il répond à mon baiser.
Mes mains courent sur son corps, je veux le découvrir entièrement.
Je m'agenouille pour prendre son sexe en bouche. Il pivote pour s'assoir sur le lit.
J'en profite pour lécher les parties de corps à portée de langue.
Il glisse sur le lit. Ses pieds sont à ma hauteur. Je les caresse, les masses et j'ose suçoter ses orteils.
Un feulement me montre qu'il apprécie.
Je caresse et lèche son corps tout en remontant vers lui.
Je retrouve ses lèvres. Il tourne le visage, alors je m'applique à titiller ses oreilles.
Il gémit. Cela m'encourage. J'ai l'impression que tout cela est une découverte pour lui.
Alors, je me donne à fond, je veux le faire jouir.
Tout son corps y passe, toutes les zones sensibles.
Son sexe est bandé à mort. Je le dévore en faisant des pauses pour éviter qu'il ne jouisse trop tôt.
Je prends ses couilles en bouche.
Toutes mes actions s'accompagnent de feulements, de soubresauts de son corps.
Alors je m'aventure sous ses testicules : il se tord en gémissant.
J'ose aller vers son oeillet : la fois précédente il avait aimé.
Il replie les jambes vers lui. Je prends cela comme une invitation à aller plus loin.
Ma langue darde son anus, j'y mets un doigt. Il réagit très bien.
Je remonte brusquement vers lui et mon sexe se colle à son petit trou. Il est toujours allongé sur le dos.
Je lui murmure " tu as envie ? " - sa réponse : " tu as une capote ? " et il rajoute " je n'ai jamais fait "
Mon beau et jeune rebeu est vierge !
Je m'équipe, le lèche à nouveau, rajoute du gel, le prépare avec deux doigts.
J'ai trop envie de le prendre alors je me positionne et fais passer mon gland.
Un peu trop rapidement, car il se raidit, souffle un bon coup.
Je l'embrasse et je continue ma progression. Il fait de petits bruits dus à la douleur.
Je recule un peu, rajoute du gel et m'introduis lentement en lui.
Une fois à fond, je guette son souffle, l'embrasse tendrement.
Il me serre dans ses bras. Je commence alors mon va et viens et lui demande si tout va bien.
Il réprime ses cris de jouissance et me demande d'y aller de plus en plus fort.
Je jouis dans la capote. Je me retire et j'engouffre son sexe tendu comme jamais.
Il se déverse immédiatement dans ma bouche en continuant avec ses cris étouffés.
Je remonte vers lui. Je n'ai le droit que d'embrasser ses joues ; le sperme doit être encore tabou pour lui.
Je le caresse tendrement en l'embrassant encore.
Je lui demande si c'était vraiment sa première fois : il me le confirme et il a aimé.
Rapidement il se lève et part à tâtons vers ses habits qu'il remet difficilement à cause de l'obscurité.
Je reste près de lui à apprécier ses gestes, je lui embrasse le dos qui est encore nu.
Une fois rhabillé, il me dit " on se reverra " et ouvre la porte de la chambre. La lumière du couloir m'aveugle, mais je peux encore distinguer sa silhouette qui m'enchante tant.
Depuis fin aout, des déplacements professionnels m'ont à nouveau conduit dans cette ville.
J'avoue avoir multiplié mes séjours en espérant le retrouver sur ce tchat.
Toujours rien à ce jour, mais j'espère encore.
Eric84
dale84000@gmail.com
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