On est en avril, et j'ai enfin décidé de suivre des cours particuliers. J'ai fait deux années de première, donc je n'ai vraiment pas envie de redoubler ma terminale, mais il y a des trucs que je ne comprends vraiment pas. Ma prof de maths m'a donné le numéro d'un de ses anciens élèves, et il a accepté de m'aider 3 h chaque mercredi jusqu'au bac. Je vais donc chez lui pour 13 h juste après manger. J'entre et découvre Thibault : Franco-Asiatique, 1m70, mais une carrure qui lui donne un air musclé. Il porte des lunettes qui lui donnent un air intello avec sa chemise, et je sais qu'il a 23 ans.
- Salut Nathan, viens installe-toi !
- Salut !
Moi, j'ai 19 ans. Je mesure 1m80, je suis un peu musclé, juste ce qu'il faut pour avoir un joli corps, mais fin. J'ai une boucle d'oreille du côté gauche, et mes cheveux bruns légèrement bouclés en bordel retombent un peu sur les côtés rasés. Je suis imberbe, comme Thibault, mais je laisse de plus en plus mes poils grandir au niveau de la moustache, car c'est de plus en plus chiant de tout raser tout le temps, car je suis plutôt poilu.
Il m'invite à m'assoir à la table du salon et à lui expliquer tout ce que je ne comprends pas. Je sors mes cours de sciences et de maths pour trier les chapitres. Il me demande si je bois de la bière, je lui réponds que oui et il en amène deux sur la table. Je lui donne les chapitres de physique qui me paraissent incompréhensibles, et il les lit en diagonale. Il commence à m'expliquer, à me donner des petits exercices pour que je comprenne. Il s'y prend plutôt bien, car je me surprends à réussir une ou deux questions.
Au bout d'un moment, j'entends du bruit venant de la chambre dont la porte s'ouvre pour laisser passer un homme. Il ne porte qu'un caleçon, laissant apparaitre son corps noir. Il mesure bien 10 centimètres de plus que moi, avec une musculature très développée, mais pas dans l'excès. Pas très poilu, le tout s'accompagne d'une barbe qui traverse son visage, reliant ses deux oreilles par le menton et la moustache et se fondant dans ses cheveux rasés comme moi sur le côté, mais délimités parfaitement avec les mèches crépues sur le dessus de sa tête. Je me sens immédiatement bizarre, ce mec est un Dieu. Il s'approche de Thibault et vient l'embrasser.
- Tu m'avais pas dit qu'il y avait quelqu'un aujourd'hui !
À tout cela s'ajoute une voix grave et rassurante.
- Si, avant-hier...
- Ah bah je m'en souvenais plus, désolé. Salut, moi c'est Solal.
- Bonjour !
Le colosse me sert la main et je sens sa poigne me la comprimer. Je suis jaloux de Thibault sur le moment, ça doit être quelque chose au lit, et je sens que mon cul est d'accord...
- Et toi ?
- Euh, Nathan.
- Tu vas voir, il est gentil Thibault. De toute façon s'il t'emmerde tu m'appelles !
Il me fait un clin d'oeil et Thibault se met à rire.
- T'es con, allez laisse-nous travailler il faut qu'il ait son bac.
- Ok ok !
Thibault me dit que c'est bon pour ce chapitre, il faudra que je m'entraîne la prochaine fois. Il prend un autre chapitre et me demande ce que je n'ai pas compris. J'avoue que sur celui-là, il faudrait plus faire la liste de ce que j'ai compris, ça serait moins long...
Il faut dire que jusqu'aux vacances d'hiver, je n'étais pas très sérieux. J'ai passé plus de temps à sortir et à m'amuser qu'à travailler. J'ai enchainé les soirées, les coups d'un soir... en même temps, c'est sur que c'est plus attirant de baiser que de chercher la primitive d'une fonction. J'ai plutôt confiance en moi, et mon année d'avance me donne l'avantage de l'âge, donc j'ai pas mal de succès auprès de tout le monde, et j'en profite. Mes potes sont plutôt comme moi, donc ça ne m'a pas aidé non plus. Bref, après 6 mois à penser qu'aux seins, aux bites, aux chattes et aux culs, je me suis rendu compte que je n'aurais pas mon bac en suçant le correcteur.
Pendant que Thibault se démène à m'expliquer les fiches de cours, Solal s'est assis devant le canapé. Il est devant son ordi, toujours en caleçon, un bras derrière la tête, l'autre en train de taper quelque chose sur son ordi. Je n'arrive pas à me concentrer sur autre chose, même si je fais semblant pour ne pas éveiller l'attention de Thibault. Je rate plusieurs exercices avant que Thibault ne reçoive un message.
- Merde, j'ai zappé, je dois aller chercher le colis !
Solal se redresse.
- Tu veux que j'y aille ?
- Nan c'est bon, Nathan tu essayes de finir l'exercice, je reviens !
En moins de deux minutes, je me retrouve seul avec Solal. J'essaye de continuer l'exercice, mais je me résigne à me concentrer sur Solal. Plus vite ça sera sorti de ma tête, plus vite je pourrai passer à autre chose.
- Tu veux un truc à manger ?
- Ouais je veux bien !
- Sers-toi dans le placard au-dessus de l'évier.
Je reviens avec un kinder bueno et je m'assois à côté de lui sur le canapé.
- Terminale, c'est ça ?
- Ouais.
- Donc ça te fait quoi, 18 ans ?
-19, j'ai redoublé la première...
- Ah un peu rebelle alors ?
- On peut dire ça.
Mon regard baisse sur son paquet, mais je le redirige vite vers son visage.
- Vous êtes ensemble depuis combien de temps ?
-3 ans. J'étais son coach sportif.
- Cool ! J'aimerais bien vous avoir comme coach sportif aussi.
Ça le fait rire un peu.
- Eh ben, t'as juste à demander !
- Vous avez quel âge ?
-27, et si tu me redis " vous " encore une fois je vais dire à Thibault que t'as préféré me draguer que de finir ton exercice.
Je joue un peu involontairement avec le kinder bueno avant de le croquer.
- Bon, t'as l'air d'être un joueur, alors sors-moi les violons, essaye de me faire tomber sous le charme.
- Je ne voudrais pas causer de problèmes avec Thibault.
- Il est là ?
- Non.
- Alors, arrête de faire comme s'il l'était.
- En général je ne parle pas trop, je danse un peu et je finis par les emmener dans le lit. Ou dans la réserve.
- Eh ben vas-y montre-moi.
Je ne sais pas exactement ce qu'il veut, on n'est pas en boîte, ni à une soirée, il n'y a pas de musique... puis je remarque qu'il a mis son deuxième bras derrière sa tête, laissant apparaitre ses aisselles peu poilues. Je n'hésite pas, je me m'assois sur ses cuisses, et appuies mon dos contre son torse musclé. Je remue mon bassin contre le sien, et je ne tarde pas à sentir un effet. Je continue ma lap dance, en sentant son érection monter. J'ai l'impression d'être son escort boy, et je prends du plaisir à être à son service. Je me retourne pour me retrouver face à lui. Je l'embrasse dans le cou tout en continuant mes mouvements de bassin, puis sur les tétons, puis sur ses bras musclés, puis je lèche ses aisselles qui sentent bon l'homme viril, mais propre.
Je vais ensuite pour l'embrasser et il répond au baiser alors que son entrejambe grandit encore. Je redescends le long de ses pectoraux musclés, en passant par ses abdos durs comme de la pierre. Je lui enlève progressivement son sous-vêtement en embrassant sa fine toison de poils noirs, puis découvre son engin alors que je le déshabille complètement.
Je reste bouche bée devant la taille de la chose, elle doit faire plus de 25 cm. Déjà qu'au-dessus de 20 ça devient rare, celle-là est exceptionnelle, je n'en reverrai pas une pareille. Je m'empresse d'en lécher le gland. Je l'entoure avec mes lèvres, puis le suce doucement. À ma grande surprise, il ne met pas sa main sur ma tête, il me laisse totalement faire. Je pousse un peu plus loin, sentant déjà que je ne pourrai probablement pas tout mettre dans ma bouche. J'essaye quand même d'en prendre un maximum. Je rassemble tout mon talent dans le domaine pour l'enfoncer le plus possible dans ma gorge. Il pousse un grognement alors que j'atteins presque le bout, avant de libérer son pénis entier.
- Putain mec on m'avait jamais aussi bien sucé.
- Même Thibault ?
- Pas aussi bien que toi, tu m'as trop excité là tu ne peux pas t'arrêter comme ça !
- Je sais pas si je pourrais la prendre par contre, elle est immense ta bite !
- Je t'ai pas dit que je voulais t'enculer.
Je marque une pause, surpris. Il le remarque d'ailleurs avant de sourire.
- Me dis pas qu'un petit bogosse comme toi est juste passif ?!
Tout en me disant cette phrase, il bande tous les muscles de son corps pour s'allonger un peu et lever ses cuisses. Je ne peux pas détourner le regard de ce corps magnifique. Je réalise ce que sa phrase signifie : je me retrouve à quatre pattes devant lui alors qu'il me présente ses deux fesses bien fermes, rondes et musclées. Je n'ai jamais vu un boule pareil.
- Bon t'attends quoi, j'suis en manque moi à cause de toi !
Il tend sa main pour m'attraper les cheveux et me tire vers lui. Je comprends pourquoi il n'était pas très directif pendant ma pipe ! Je suis un peu frustré de ne pas pouvoir tester cette queue gigantesque, mais en même temps intrigué par ce trou rasé et très accueillant. Il me lâche les cheveux et reprend sa cuisse en main. J'aventure ma langue sur l'orifice, un peu hésitant, car je fais rarement ce genre de choses. À peine effleuré, je sens tout ce corps frémir.
- Tu préfères ça ?
- Oui, continue petit.
Je repose ma langue au même endroit quelques secondes avant de l'enlever.
- Qu'est-ce que tu fais ?
- Je continue si t'arrêtes de m'appeler petit.
- Ok bogosse !
Je plonge ma langue complètement sur cette rondelle, ce qui lui provoque un long soupir, qui se transforme ensuite en " Ahhhhh ". Je redonne encore plusieurs coups de langue qui le font réagir autant, voire plus. Je relève la tête et remarque que ses bras ont repris leur position derrière sa tête, il me laisse le contrôle.
- Allez montre-moi un peu ce corps, bogosse.
Je n'avais encore jamais croisé de passif autoritaire, mais je trouve ça hyper excitant. Je m'exécute, me retrouvant rapidement nu devant Solal.
- Eh ben, t'iras loin mec, t'es déjà mignon habillé, mais avec ton corps, c'est encore mieux. Tu te rases le torse ?
- Ouais, vu le reste, ça ne serait pas beau sinon.
- C'est vrai que t'es pas mal poilu ! Ça te donne un côté viril, j'aime bien.
- Merci.
- Bande un peu tes muscles pour voir ?
J'obéis alors qu'il se caresse le corps, des pecs en descendant vers son pubis, puis vers son cul...
- Lèche tes biceps.
Il commence à se doigter doucement, les yeux fixés sur moi.
- Bon, bogosse, on passe aux choses sérieuses ?
Je baisse le regard vers mon bassin. Je crois que mon érection de 17 centimètres est une réponse suffisante. Il rit un peu, avant de s'allonger sur toute la longueur du canapé.
- Je veux y goûter.
Je m'approche de lui et m'attends à ce qu'il la prenne dans ses mains pour la mettre dans sa bouche ensuite, mais il ne bouge pas.
- T'as pas compris, je ne vais pas te sucer. Baise-moi la bouche, fais-toi plaisir, elle est à toi !
Je commence à vraiment aimer ce qu'il se passe. J'approche mon pénis de son visage et la colle à ses lèvres. Ses yeux brûlants me fixent, comme pour m'implorer de ne plus attendre. Ses lèvres bougent légèrement, pour sentir la texture. Je décide alors de m'enfoncer doucement. Ses yeux sont toujours dirigés vers moi alors que sa bouche accueille ma bite sans broncher. Je me retire et m'assois à califourchon sur son torse pour être plus stable. Je recommence la même action, mais plus rapidement. J'ai l'impression qu'il peut encaisser plus profond alors j'y vais plus fort. Effectivement, je crois qu'il est meilleur que moi à ce niveau, et je rentre une grande partie sans problèmes. Mes couilles coulissent contre sa barbe, ce qui me provoque quelques frissons très agréables. Il ferme les yeux et j'accélère encore le rythme jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus. Il rouvre les yeux, surpris.
- Pourquoi tu t'arrêtes ?
- Ben, t'avais l'air...
- Non, t'arrêtes pas, je peux...
Je lui coupe la parole en me reposant sur ses lèvres. Je reste immobile dans sa bouche plusieurs secondes. Impatient, il commence à tourner sa langue.
- C'est mieux comme ça ?
Il fait un petit mouvement de tête pour me dire " Oui ".
- T'as un autre exercice pour moi ?
Il refait un autre mouvement de tête. Je me relève et il redresse ses cuisses dans la même position que plus tôt, sans un mot. Je me place derrière lui et il me tens une capote que j'enfile. Je décide de ne pas le faire attendre, je lui dois bien ça. Je débute la pénétration doucement, mais sans pause et je remarque tout de suite que la capacité de réception de son anus est aussi impresisonnante que celle de sa bouche. Je glisse naturellement en lui, et il me laisse encore une fois avoir le contrôle total sur lui. Je mets ses jambes sur mes épaules pour sentir ses quadriceps se tendre à chaque poussée et je prends sa bite dans mes mains, pour en profiter quand même. Il prend bien son pied, de petits gémissements sourds sortent de sa gorge en rythme. Je lui caresse le ventre les abdos, avant de saisir ses tétons, mais à ce moment-là, j'entends la porte d'entrée s'ouvrir.
J'ai un mouvement de recul, mais en deux secondes, ses bras puissants m'entourent le dos et me forcent à rester contre lui. Je regarde, apeuré, Thibault rentrer dans le salon, poser le colis machinalement avant de se retourner vers nous. D'abord surpris, son visage devient plus sérieux.
- Sol, sérieux, pas les élèves putain, t'abuses !
Je suis toujours bloqué, un peu honteux.
- Je t'avais dit que je ne pourrais pas hier et aujourd'hui en plus, je suis trop occupé, tu ne peux pas attendre un peu ?!
Il pose ses affaires sur la table et regarde ma feuille.
- Bon, t'as rien fait quoi... Maintenant qu'on en est là...
Il se tourne vers son mec.
- Allez, viens. Et toi Nathan, assis-toi et regarde.
Solal me relâche d'un coup et se jette sur Thibault qui déboutonne son pantalon. À peine le caleçon retiré, Solal le suce déjà. En le regardant s'occuper de mon prof particulier avec tant d'envie, je me demande comment j'ai pu penser à un moment que ce mec allait me baiser. Il est à genoux, le cul à l'air, une bite sans la bouche, et on dirait qu'il ne s'est jamais senti aussi bien. Il se donne un peu en spectacle, pour me montrer à quel point il est soumis. Puis, il se décale sur le côté pour changer d'angle et je découvre le pénis de Thibault. J'écarquille les yeux.
- Eh non, y a pas que les noirs qui en ont des grosses petit.
Il fait la même taille que celui de Solal. Je comprends d'un coup pourquoi il n'avait aucun mal à recevoir le mien ! Il regarde Thibault, qui lui caresse les cheveux, pour savoir s'il le fait bien, mais je n'ai aucun doute là-dessus. Thibault se penche au-dessus de lui, et lui claque les fesses. Solal s'arrête alors net, et se met à quatre pattes, la tête sur le canapé à côté de moi. Thibault enlève sa chemise et je découvre un grand tatouage coloré sur son épaule qui va jusqu'à son pec et se prolonge aussi dans le dos. Je comprends tout de suite que malgré ses 20 centimètres en moins et son air sage, c'est un mâle dominant.
Un claquement me sort de mes pensées. Il vient de donner une fessée à Solal. Il a maintenant un air très sérieux, et claque une deuxième fois les fesses du colosse. Je comprends que c'est une sorte de punition, mais bizarrement, mon érection repart de plus belle en voyant ce boule rebondir sous les assauts de la main assurée de Thibault. Je caresse les cheveux crépus de Solal qui en redemande et en reçoit. Je regarde son pieu, balloté en avant et en arrière.
Thibault se déplace maintenant vers moi et je me demande ce qui va m'arriver.
- Tu voulais sa bite c'est ça ?
- Euh, ouais.
Thibault prend mes mains pour les mettre derrière ma tête. Il se penche ensuite pour écarter mes cuisses. Mon cul, qui s'était endormi après que Solal m'ait annoncé qu'il est passif, se réveille d'un coup.
- Mmm, un petit joueur comme toi, poilu, oreille percée... pas une si mauvaise idée chérie.
Solal se redresse et commence à jouer avec mes tétons. Je sens le doigt expert de Thibault se frotter à l'entrée de mon cul pendant que Solal m'embrasse le torse. Je m'ouvre sur ce doigt et écarte mes lèvres pour me contenir. Thibault me doigte pendant que Solal me branle et m'embrasse. Je suis en extase, ils stimulent toutes mes zones érogènes. Je commence à pousser de petits cris.
- C'est ça, lâche tout ce que t'as. On n'est pas des lycéens nous, on va pas te laisser tranquille tant que tu ne seras pas à bout de force.
Étant complètement versatile, je suis autant sensible au ton autoritaire de Thibault qu'à la dévotion de Solal à s'occuper du reste de mon corps. Tout à coup, ils arrêtent tout en même temps. Je vois Solal s'accroupir au-dessus de moi et s'empaler sur ma bite face à moi alors que celle de Thibault se fraye un passage dans ma raie.
- Putain, mais t'as de belles petites fesses toi aussi, bien jeunes. Je ne peux plus répondre, entre la sensation du cul le plus magnifique que j'ai jamais vu englobant mon entrejambe et l'engin géant de mon prof particulier s'enfonçant en moi. La douleur est surmontée par le plaisir, alors que Thibault prend son mec dans ses bras.
- Alors tu la kiffes sa bite ?
- Ouais putain bogosse t'es un bon toi.
Je suis leur sextoy personnel. Je ne montre aucun résistance, emporté par les sensations, ils pourraient faire ce qu'ils veulent de moi et je ne serais pas contre. J'ai beau avoir un palmarès assez nombreux, je me sens ridicule face à ces deux bêtes qui me vident de toute énergie.
- Penche-toi sur lui.
Solal se penche vers mon oreille gauche et joue avec ma boucle d'oreille, pendant que Thibault vient m'embrasser. Je donne le meilleur de moi-même en répondant au baiser alors qu'il m'attrape une main. Il l'amène contre ma bite en se redressant et je comprends ce que j'ai à faire. J'insère doucement un doigt dans le trou de Solal, qui s'attaque maintenant à mes aisselles.
- Je savais que t'en avais envie Sol, allez occupe-toi bien de lui, tu vois même les siennes sont plus viriles que les tiennes.
Il passe sa langue sur mes poils avant de remonter vers mon bras. J'appuie sa tête pour qu'il y aille plus fort. Il a l'air d'apprécier, me bouffant l'aisselle comme si sa vie en dépendait. Alors que je m'habitue à la sensation, je ressens quelque chose au niveau de mon propre cul et je m'aperçois que Thibault m'a aussi mis un doigt. Je laisse échapper un cri.
- J'étais sûr que tu pouvais en prendre plus. T'es bien tombé avec nous. J'vais même te dire un truc, si t'arrives à faire jouir mon gars avant toi, je t'offre la séance d'aujourd'hui.
La perspective de garder mon argent me redonne un peu de forces, que j'utilise pour aller chercher plus loin dans l'intimité de Solal. Malheureusement, ce changement de position implique aussi un mouvement plus intense de Thibault qui en profite pour rajouter un doigt. À bout, je perds le contrôle de la situation. Je m'agrippe au corps de Solal, haletant, pendant que mon bassin m'impose un puissant orgasme. J'ai le souffle coupé alors que mon pénis laisse échapper mon sperme. Solal choisit ce moment pour s'appuyer encore plus sur moi. Je l'entends gémir alors que je suis toujours agrippé à lui, il me suce le cou. C'est aussi le moment que choisit Thibault pour me pilonner à fond et jouir tout en se penchant sur Solal. Nous sommes tous les trois tremblants, éjectant notre semence. Quelques longues secondes passent avant que Thibault se retire de moi pour s'assoir à côté. Solal s'assoit de l'autre côté alors que les deux hommes me caressent et m'embrassent. Puis, ils s'arrêtent et me montrent où est la salle de bain.
- Prends une douche, tu vas pas ressortir comme ça.
En sortant de la douche, je les retrouve enlacés. Je me dirige vers mon sac pour le ranger, mais Thibault se lève pour me retenir.
- Attends, t'as cru que c'était tout ? C'est gratuit pour aujourd'hui, mais maintenant que t'as baisé, tu bosses !
J'ai eu mon bac.
Julian Lerkin
julianlerkin@gmail.com
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