Arrestation d'un petit dealer

Moi c'est Bilal, 20 ans, 1m82, plutôt bg, petite barbe, pas très épais mais fit. Je crèche toujours chez mes parents dans une banlieue assez proche de Paris. J'ai commencé à dealer un peu au lycée, entraîné par un pote du collège. Y a un immeuble pas très loin de chez moi où je fais pas mal de thunes à chaque fois, les caves sont accessibles discrètement. Sexuellement je suis bi, j'ai plus niqué de meufs dans ma vie mais je suis à fond sur les mecs ces derniers temps et 100% versa.

Ce soir-là y avait pas autant de monde que d'habitude dans les caves alors je faisais mon business. J'étais en survêt, t-shirt casquette, j'aurais du me douter que c'était louche mais on m'avait prévenu de rien donc j'ai pas fait gaffe. Une troupe de condés a débarqué d'un coup, chopant tous les mecs qu'ils trouvaient. J'ai juste eu le temps de planquer la cons dans mon fut, deux flics ont déboulé et m'ont plaqué face contre le mur. Celui qui me maintenait devait avoir le début de la trentaine, musclé, brun, avec une belle barbe et un regard noir, le deuxième était plus âgé, il m'a regardé et et m'a sorti "Toi tu vas prendre cher". C'était la première fois que je me faisais choper, je faisais un peu le malin mais j'en menais pas large.

-Écarte tes jambes.
-J'ai rien...
-Écarte je t'ai dit !

Le supérieur les a écarté de force. Il s'est baissé, il m'a palpé le survêt en partant des mollets et remontant jusqu'à mes hanches. Il a passé sa main entre mes cuisses, j'ai senti ses doigts me toucher les couilles à travers le tissu. Il a bien senti qu'il y avait quelque chose.

-Tu te fous de ma gueule ? Baisse ton froc.
-Nan, attends...
-Tu la fermes et tu te laisses faire si tu veux pas t'en prendre une !

Il a un peu reculé mes hanches, j'ai senti ses doigts attraper les élastiques de mon survêt et de mon boxer et il les a descendu d'un coup jusqu'à mes genoux. L'autre a tiré sur mon t-shirt pour l'enlever. J'avais honte d'être presque à poil dans cette position, dos à eux. Un de leurs collègues les a contacté à la radio "C'est clean de notre côté". Et puis une voix a résonné depuis le couloir d'à côté.

-Philippe, viens voir.
-J'arrive ! Nico, tu t'en occupes et on se retrouve en haut.
-Ok.

Philippe s'est éloigné et Nico, le trentenaire, m'a passé les bras dans le dos pour me menotter.

-T'as cru que tu pouvais nous entuber petit con ?

Il a récupéré le sachet dans mon boxer.

-Attendez, s'il vous plaît...
-Ta gueule on t'a dit.

Il m'a retourné vers lui et m'a montré le sachet.

-T'as pas l'air d'être un ancien toi. T'as deux solutions, soit tu me donnes le nom de ton fournisseur et je peux être clément, soit je t'embarque, tu passes la nuit au trou et tu prends pour tout ce que t'as.

Règle numéro 1 du deal, un peu évidente, on donne pas de noms, en partie parce qu'on craint plus les répercussions que les flics.

-Non, mais je...
-T'es sûr ?
-Bah euh...

Je regardais un peu vers le sol, c'est là que j'ai vu qu'il avait oublié de remonter la braguette de son uniforme. Je m'y attendais pas, du coup j'ai bugué un peu dessus, mon cerveau s'est sûrement dit que ça pouvait m'éviter de penser à la situation. Sauf que le flic lui il a bien remarqué que j'avais les yeux sur son entrejambe. Il s'est mis à rire un peu.

-Ah mais t'es une de ces salopes qui jouent aux racailles mais qui bavent devant les queues en uniforme ?

Sur le moment j'ai pas trop su quoi répondre. Alors il a pris mon menton et l'a redressé vers lui.

-Nouveau deal. Tu me pompes la queue, je garde ta cons et je te laisse filer, ça te va ?

J'étais un peu glacé, j'avoue qu'on a un peu tous le fantasme des flics mais je m'étais jamais imaginé le faire dans ces conditions. Je dois dire que le mec était beau, bien viril, un peu plus grand que moi, les muscles moulés par son uniforme et un air sombre pas commode. Il a posé sa main sur son paquet et s'est mis à se caresser en me regardant d'un air pervers.

-Alors, t'es prêt à traire ? Tu me files ta bouche de suceuse ou je te coffre pour...

Là il a commencé à me citer les charges qu'il poursuivrait contre moi. J'ai fini par hocher la tête, me disant que c'était sûrement mieux.

-C'est bien, les timpes dans ton genre c'est bon qu'à s'occuper de teubs.

Il m'a attrappé les épaules et m'a fait tomber à genoux. J'avais toujours les mains menottées dans le dos, j'avais un peu peur mais je me sentais aussi curieusement excité, c'était vraiment un bel homme dominant.

Il a sorti sa queue par sa braguette et me l'a foutue dans la bouche.

-Ah ouais putain, ouvre bien...

J'ai commencé à le sucer comme je pouvais, en passant ma langue sur son manche. Il avait une bite longiligne, fine et assez longue, ce qui rendait la tâche difficile sans les mains.

-Putain tu suces bien salope...

Il a appuyé sur ma casquette en commençant à bouger ses hanches pour aider le mouvement.

-Rah ouais, ah... Les salopes de quartiers vous êtes vraiment les meilleures pompeuses...

J'étais un peu mal à l'aise mais j'avais pas le temps de me poser de question, il appuyait sur ma tête et me baisait la bouche, sa queue avait le goût de mâle, ça commençait à me chauffer et je me donnais plus à fond, me retenant de régurgiter.

-Oh, oh, oh, oh...

Il s'est retiré, laissant un petit filet de bave s'étendre entre son gland et mes lèvres. Il m'a tapoté la joue en souriant.

-Eh ben, y en a plusieurs qui sont passés avant moi dans ta gueule de rebelle ! Toi ça m'étonnerait pas que tu sois déjà le vide-couilles de quelqu'un d'autre. Lève-toi et retourne-toi.
-Quoi ?

Je me suis pris une baffe magistrale.

-Fais pas ta sainte, tu m'as trop chauffé avec ton petit cul bombé là. Fais-moi voir ton trou, sinon y a plus de deal.

Je l'ai regardé, il avait les yeux brûlants, j'avais réveillé quelque chose de bestial et charnel en lui. Il se mordait la lèvre inférieure, sa longue tige remuant devant mon visage au gré des pulsions dans ses veines. Je me suis levé, difficilement, j'ai bien vu qu'il profitait de me voir dans l'épreuve. J'ai finalement réussi et il m'a retourné directement, frottant son paquet à mes fesses.

-Putain ce cul...

Il m'a poussé pour me pencher en avant, la tête contre le mur, je bandais à fond mais je pouvais rien faire avec les mains dans le dos. J'ai senti qu'il glissait son membre dans ma raie en expirant, puis il a écarté mes fesses pour cracher sur mon trou.

-Putain, la chatte de malade que t'as... Dis-moi que tu me veux !
-Je te veux.

Je me suis pris une fessée pendant que ses doigts travaillaient mon trou. J'ai laissé échappé un petit gémissement.

-Fais mieux que ça !
-Je veux votre matraque dans ma chatte de racaille...
-Oh ouais, salope, c'est bon ça...

Je comprenais pas comment ça pouvais m'exciter mais j'étais en feu. Je l'ai entendu baisser son pantalon, cracher sur sa queue et il a glissé son gland en moi.

-Putainnn ça rentre comme dans du beurre c'est trop bon...

Il s'est enfoncé plus profondément, j'ai commencé à haleter.

-Ça c'est un bon cul de femelle...

Il a commencé à me pénétrer à fond, allant et venant dans mon cul, moi aussi je prenais mon pied. Il a direct accéléré les mouvements de va-et-vient. J'ai commencé à gémir sous ses coups de butoir.

-Ta gueule. Tu kiffes te prendre une bite de flic hein ? Tu fais le mec de cité avec ta casquette à l'envers et ton survêt mais tu mouilles quand tu vois une bite ?
-Ouais...

Il a commencé à pousser des grognements essoufflés lui aussi, puis il s'est penché vers moi pour m'enlacer le corps et me mordiller l'oreille. Il m'a caressé le torse, l'abdomen et sa main s'est posée sur ma queue bien tendue.

-Putain mais t'as l'air bien monté toi aussi !

Moi je ne répondais plus, surpassé par la sensation de son membre contre ma prostate. Il a pris ma queue et s'est mis à la branler, je sentais que j'allais bientôt venir.

-C'est un beau morceau ça...

Il a du le sentir aussi parce qu'il s'est calmé des deux côtés avant de se retirer doucement.

-Retourne-toi.

Je me suis retourné face à lui, nos deux glands se frôlant, son pantalon baissé juste sous les hanches. Il a repris ma bite dans sa main, son regard alternant entre mon visage et mon entre-jambe. La mienne était un peu plus petite que lui mais bien plus épaisse. Il a hésité quelques secondes avant de me regarder droit dans les yeux.

-T'as pas intérêt à bouger, sinon ça sera pire pour toi.

J'ai hoché la tête à nouveau, un peu perdu. Alors il s'est penché et il a posé ses lèvres sur mon gland. Ça faisait du bien d'enfin avoir un peu de contact de ce côté-là. Il a commencé à le frotter contre sa barbe avant de la reprendre en bouche. Il a commencé à la prendre un peu plus profondément, je crevais d'envie de m'enfoncer plus loin mais j'osais pas bouger. Il avait les yeux rivés sur mon pubis poilu et la base épaisse du manche. Alors il s'est lentement mis à genoux sans lâcher ma queue et a commencé à y aller plus franco en fermant les yeux. J'ai recommencé à pousser des petits gémissements.

-Oh, ouais...

Il s'est arrêté pour prendre sa respiration en me regardant.

-Putain elle est grosse ta queue...

Il a pris les clés dans son pantalon baissé et il m'a fait signe de lui montrer mes mains. Il a passé les clés dans les menottes qui se sont ouvertes, puis il les a lancées par terre.

Je me suis à peine remis face à lui que j'ai vu sa mâchoire barbue se refermer sur ma bite. Je comprenais plus bien ce qu'il se passait, je gardais les mains le long du corps mais il a entouré la base d'une main pour y aller plus vite, alors j'ai mis ma main dans ses cheveux par réflexe.

-Ahhh...

Il a levé les yeux vers moi et je me suis stoppé un instant avant de me rendre compte qu'il avait toujours son regard de braise, le côté autoritaire en moins. Alors j'ai passé ma main dans ses cheveux et il a maintenu le regard en continuant de me sucer. Je sais pas ce qu'il cherchait ma ça commençait à vraiment me chauffer moi aussi, j'ai un peu tiré sur ses cheveux pour lui donner un rythme qu'il a suivi. J'ai commencé à bouger mes hanches en avant et en arrière, pris par l'excitation, lui ne bronchait pas, mon gland butant dans sa gorge, les yeux fixés sur moi.

-Oh putain... Tu la kiffes aussi ma queue ?

Il s'est retiré un instant.

-Ouais, elle est trop bonne...

Alors mon côté domi a débarqué, j'en pouvais plus de son regard brûlant, je lui ai refoutu mon gland dans la bouche en disant "Alors suce-la bien". J'aggripais maintenant bien ses cheveux, lui intimant le mouvement des deux côtés. Lui avait posé une main sur ma cuisse pour se tenir et de l'autre il se paluchait la bite frénétiquement. Plus ça allait moins j'arrivais à me contenir.

-T'aimes ça la bite le keuf ?

Il a hoché la tête en sortant un "Mm-mh" étouffé. C'était un sacré spécimen celui-là, le pantalon et la ceinture sur les cuisses, sa veste bleue tombant sur son pubis, son menton gobant ma queue... Je me suis retiré et il a tiré la langue, je lui ai biflé plusieurs fois, lui soutirant des "Han".

-Mmmm tu suces trop bien...

Je l'ai regardé, à genoux devant moi, loin de l'officier dominateur d'il y a quelques minutes.

-Tu veux me bouffer le cul ?
-Ah tu demandes maintenant ?

J'ai un peu rigolé, ça l'a mis mal à l'aise.

-À quatre pattes.

Ni une ni deux il était retourné. Je lui ai donné une petite claque sur son beau cul musclé et un peu poilu.

-C'est bien.

Avant qu'il ait le temps de répondre, j'ai passé ma langue sur son trou, ce qui l'a fait soupirer. Ce mec me faisait vraiment bander au plus haut point. J'ai commencé à tournoyer de la langue sur sa rondelle, m'arrêtant par moments pour y remettre de la salive. Lui s'astiquait le manche en grognant tout bas.

-Ah putain ouais comme ça... C'est trop bon...

Je le caressais de temps à autre avec mon doigt pour reprendre mon souffle, il a commencé à remuer légèrement la taille sous la sensation.

-Mais t'as le cul en feu toi !

Il a répondu par un grognement et s'est immobilisé, mon doigt se glissant à l'intérieur.

-Haaa, hahhhh...

À force de l'avoir offert à moi le cul en l'air, je commençais à plus tenir.

-Bon arrête de pleurer et dis-moi ce que tu veux.
-Baise-moi...
-J'ai pas entendu, c'est quoi que tu veux le keuf ?
-Ta grosse bite de rebeu...
-Et tu veux que je te la mettes où ?
-Dans mon cul, s'il te plaît...
-Ben tu vois tu peux être aimable quand tu veux.

Alors, impatient, je l'ai pénétré sa petite fleur d'un coup. Il s'est mis a grogner de sa voix grave.

-Je vais t'apprendre à respecter les racailles de cité moi.
-Ouais, montre-moi comment vous traitez les flics...

J'ai commencé à lui donner des coups de reins, le tenant par la taille.

-Tu fais le condé dur à cuire mais t'attends que ça qu'on te pète le cul, hein ?
-Ouais...
-J'suis sûr que tu te fais niquer par tous les rebeux que t'arrêtes...
-Ouais putain, j'aime trop ça...

J'allais de plus en plus vite dans son cul, je me sentais trop bien dedans, lui grognait de plus en plus vite.

-Tu crois que t'es un mâle dominant ?
-Nan...
-T'es quoi alors ?
-Une pute, une salope à queues de rebeux...

Ça y est, j'avais pris confiance en moi, j'étais le maître de la situation. Son corps se balançait à chacun de mes coups de reins. Dans son dos, juste au-dessus de son cul qui encaissait ma bite, je pouvais lire "POLICE" écrit en majuscule sur sa veste. Ça m'excitait de ouf, je le niquais avait encore tout son uniforme des forces de "l'ordre" sur lui. J'ai alors voulu lui faire goûter son propre jeu, et j'ai attrapé un de ses bras que j'ai plié dans son dos.

-Non, attends...
-Ta gueule !

J'ai attrapé son deuxième bras et il a posé sa joue contre le sol, ne pouvant plus se tenir. Je l'ai plié dans son dos contre l'autre et je les ai maintenus ensemble.

-Maintenant c'est moi qui décide, toi t'encaisses et tu la ferme si tu veux ma queue !

Il marmonnait, la tête contre le sol froid.

-Oui.
-Oui qui ?
-Oui monsieur.

J'ai appuyé sur sa tête.

-Oui qui ?
-Oui chef...
-Ça c'est un bon flic ça...

J'allais de plus en plus vite dans son cul et je sentais qu'il commençait à trembler un peu, j'étais moi même proche de l'orgasme. Je l'ai poussé à rouler sur le côté, j'ai baissé son pantalon aux chevilles et j'ai soulevé une jambe pour le pénétrer à nouveau. Il était en partie appuyé sur ses bras qu'il avait gardé dans le dos et on était pour la première fois face à face.

-Tu veux jouir la flicaille ?
-Oui...

Il était tout rouge, essoufflé, il avait perdu toute sa prestance. Sa veste était un peu repliée, je pouvais voir ses abdos se contracter en rythme.

-Bah demande !
-S'il te plaît, fais-moi jouir...

J'ai attrapé sa bite bien dure et j'ai commencé à la branler rapidement en me défoulant dans son trou.

-Mmmm ouii baise-moi bien c'est trop bon...
-Oh putain, ouais, t'as un bon cul le flic...

J'ai senti sa queue convulser et des jets de sperme ont atteri sur mon torse, les derniers recouvrant ma main sous son puissant grognement.

J'avais continué de le pénétrer pendant ce temps, et j'ai senti ma sauce monter à son tour. Je me suis retiré et j'ai sauté pour lui enfoncer mon gourdin dans la bouche, où j'ai giclé plusieurs jets qu'il a avalé en me fixant de ses yeux exorbités, le regard plus du tout autoritaire.

L'orgasme passé, je me suis laissé tomber assis contre le mur, fatigué. On a repris un peu nos respirations, et il a fini par se lever en se rhabillant. Il a récupéré ses affaires, se remettant les cheveux et l'uniforme en place. Puis il s'est penché et a ramassé le sachet.

-Je te prends quand même ça, sinon ça passera pas...

Il avait l'air mal à l'aise, honteux d'avoir pris son pied. J'ai acquiescé, au final je m'en sortais bien. Il a vérifié que tout était bien en place sur lui et il est reparti, un peu gêné dans sa tenue des forces de l'ordre avec laquelle il venait de jouir sur ma bite.