Un jour, j'ai vraiment eu le sentiment d'avoir été comblé et pourtant je n'ai pas eu d'enculades à la chaîne, ni de douche de sperme. Je m'étais rendu dans mon sauna habituel où j'ai eu de belles expériences sexuelles. Ce jour-là, j'étais en train de me faire suer dans le sauna lorsqu'un jeune bien membré est entré, échange de regard et main tendue vers l'objet de mon désir. L'érection a vite répondu à ma sollicitation tandis que je m'affairais sur ce sucre d'orge qu'un deuxième individu est entré, créant de la gêne pour le pompé. Celui-ci me propose d'aller dans une cabine, j'avais déjà la main sur l'outil du deuxième qui semblait naturellement tendu. Je l'entraine avec moi, le premier me dit " on fait ça à trois ? " Je réponds par l'affirmative et nous nous retrouvons dans l'intimité. L'intrus m'avoue qu'il est au bord de l'explosion, avant même d'avoir pratiqué un massage de sa tige tendue à l'extrême. Sentant le Vésuve prêt à exploser, je délaisse mon premier partenaire pour englober la queue de l'autre qui ne tarde pas à me combler d'une très généreuse crème suave que j'ai dégustée avec délectation. J'imagine qu'il avait dû mener une longue période d'abstinence pour être aussi sensible et tendu, son don généreux venant confirmer cette supposition. Je laisse mon fournisseur de dessert pour me consacrer à celui qui, le premier, m'avait offert sa poutre à cajoler. Je m'allonge sur le dos et je relève mes jambes bien écartées, je veux qu'il me prenne de face, je veux le voir prendre du plaisir dans mon cul. Sans attendre, sa queue prend place et c'est un pilonnage sans pause, je suis confortablement installé pour apprécier au maximum ces assauts sauvages dans mon intérieur et voir la jouissance de mon baiseur. Le second partenaire se remet lentement de sa jouissance généreuse et contemple les deux lutteurs dans un combat sexuel au résultat connu d'avance. L'actif besogne le passif qui l'accueille à jambes ouvertes. Malheureusement, tout à une fin même si j'étais prêt à finir mes jours dans cette position et ce sentiment d'être comblé, j'atteignais le septième ciel lorsque mon enculeur m'annonce que cela vient et il explose en moi et s'écroule sur moi. Nous restons là le temps qu'il reprenne ses esprits et m'avoue être complètement vidé, moi c'est le contraire. Mon rêve, recevoir la semence par-devant et par-derrière pour qu'elle me féconde et que j'accueille en moi toute cette substance riche en nutriments. Plus que satisfait, je quitte précipitamment ce sauna, je n'y suis jamais resté aussi peu longtemps et je m'en vais par les rues un sourire béat sur les lèvres. Je ne sais pas pourquoi, mais je me suis rendu au sexshop qui se trouvait sur mon chemin. Dans la salle de cinéma, je vais me positionner debout, dans un recoin de la salle au bord des sièges, lieu privilégié de ceux qui veulent se faire sucer. Je dévoile mes outils de plasir, cul et queue à l'air. C'est alors que je sens deux mains caresser mes rondeurs, je me cabre pour donner un peu plus de volume à mon arrière-train et susciter l'envie de l'explorer. Une queue téméraire s'insinue entre mes deux vallons et trouve l'entrée de la grotte du plaisir. Je ne me retourne pas, mais je m'offre totalement à ce visiteur. L'entrée dans mon for intérieur a été facilitée par une lubrification importante de mon dernier rapport. Cela procure du plaisir à mon partenaire inconnu qui me souffle à l'oreille qu'il aime bien mon cul et me propose de poursuivre cet échange dans un lieu plus intime. J'acquiesce et je le suis dans une cabine. Cela me permet de me mettre complètement nu face à mon futur donateur, un Arabe comme je les aime. Je m'agenouille devant ce pénis ramolli pour lui donner de la vigueur et puisse à nouveau me besogner jusqu'au don crémeux. Après un bon astiquage, je me relève et me penche en avant pour offrir ma croupe généreuse et avide en même temps. Et me voilà en train de me faire couvrir à nouveau dans une danse à deux qui nous colle l'un à l'autre. Je suis aux anges, car c'est une baise tout en plaisir, il a une queue comme je les aime, longue et affinée qui donne du mouvement quand le piston se met à fonctionner. Vraiment, je suis bien, très bien même, c'est une journée sans aucun nuage, tout s'est enchainé (enculé) à merveille. Je rentre heureux m'allonger sur mon lit et me masturber pour terminer ce marathon sexuel par une explosion de mon sperme que je déguste avec délice. Merci à vous, mes enculeurs du dimanche pour tout ce que vous m'avez donné.
Dans ce sexshop, les visiteurs se font plus rares, surtout les actifs, un dimanche matin, dès l'ouverture, je m'installe dans la pièce vide. Arrive un ou deux spectateurs, puis un Arabe, je le regarde avec avidité, fixant mon regard vers son bas ventre en montrant mon désir, de la sucer et pourquoi pas plus si affinité. Il semble ne pas vouloir que je prenne place à côté de lui. Je me déplace tout de même à sa hauteur, mais dans la rangée opposée. Je dévoile mes fesses et les relève en plongeant ma tête, recouverte, dans le siège voisin. Je ne vois plus rien, mon cul exposé à tous. J'imagine que l'on ne voit que mes fesses, espérant provoquer les pulsions de l'arabe même s'il m'avait manifesté le désir de ne pas se faire sucer. Je n'ai pas eu à attendre longtemps dans cette position. J'ai senti une tige effilée s'enfoncer dans mon canal du plaisir et c'est parti pour un pistonnage plein de douceur, celui-ci s'est achevé quand mon arabe, j'ai supposé que c'était lui, s'est plaqué contre mes fesses et est resté le temps qu'il vide sa seringue. Quand il s'est détaché de moi, je me suis relevé et l'est suivi pour honorer son bâton royal. Il est allé aux toilettes pour lui donner le bain, il était toujours raide, je le soupçonne d'utiliser des pilules bleues pour maintenir cette érection permanente. Je lui dis toute ma reconnaissance pour le plaisir qu'il m'a procuré et je lui ai demandé de prendre en photo son engin, afin de garder en image le souvenir de cette baise. Il a souri s'est laissé faire et puis est parti. Quand j'ai voulu quitter les lieux, il était toujours là, assis dans le couloir dans l'attente d'une prochaine proie. J'aperçois sa queue toujours aussi raide qui pointe de sa braguette. Je m'incline et l'honore d'un chaste baisé en reconnaissance de sa visite si agréable et de son cadeau crémeux. Il a souri de mon enfantillage.
Jolasuce
jo.lasuce@netcourrier.com
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