Cette histoire remonte à quelques années déjà. À l'époque j'étais venu à la capitale pour le boulot. Et je logeais chez mon oncle en attendant que les conditions (financières) soient meilleures et que je prenne un appartement et que ma famille me rejoigne. Moi c'est Luc, 32 ans à l'époque, en couple, deux enfants. Je mesurais 1,80 pour 99 kg, un gros nounours poilu diront certains avec une queue de 15 cm. Au début je partageais la chambre de Franck l'ainé de mon oncle : 19 ans à l'époque, peu poilu, 1,75 pour 68 kg assez musclés, des abdos visibles et de belles petites fesses rondes, fermes. Il n'y avait qu'un seul lit de trois places dans la chambre. Et c'était une torture que de dormir à ses côtés. Peu de personnes connaissaient ma bisexualité donc mon attirance pour les garçons. J'ai toujours été discret sur ce plan. En Afrique noire on ne crie pas ces choses sur les toits. Juste quelques plans cul pendant mes études. Mais Franck me plaisait énormément : sa candeur, son sourire et surtout ses petites fesses rebondies. La nuit je pouvais me réveiller, allumer la veilleuse, retirer doucement sa couverture, le dévorer des yeux tout en me masturbant. Parfois je farfouillais dans son linge pour humer son linge intime, l'odeur de ses t-shirts. Dans la journée je gardais mes distances, je ne voulais pas me faire griller et je ne voulais pas des histoires avec mon oncle. D'autant plus que, parfois en suivant la télé ou des films, Franck avait eu des commentaires homophobes lors de certaines scènes homos ou quand passaient des acteurs gays connus. Donc je ne pouvais pas imaginer ou rêver quoi que ce soit avec lui.
Quelque temps après un cousin maternel à lui : Boris est venu s'ajouter à nous. On a rajouté un matelas deux places dans la chambre au sol. À mon grand regret, il a préféré aller dormir aller dormir avec son autre cousin sur le matelas. Boris c'était 1,72 pour 60 kg, fin musclé, beau visage, une barbe entretenue. Il avait 22 ans. Franck et Boris étaient assez proches, assez intimes et j'en étais jaloux. Depuis l'arrivée de Boris, Franck était moins disponible, toujours à trainer avec Boris. J'étais très jaloux de leur relation, de leur complicité, des chuchotements, des fous rires dont j'ignorais la cause. Il m'était même arrivé de penser qu'il pouvait y avoir quelque chose entre eux. Mais c'était plus une intuition que rien de concret ne venait étayer. De plus avec les remarques homophobes qu'il leur arrivait de proférer.... Ils passaient une bonne partie de la nuit sur la dalle ou dans les escaliers (c'était une maison de deux étages avec une dalle au-dessus, et nous étions les seuls au deuxième étage).
C'est au petit matin quand moi, je devais me lever pour aller au boulot qu'ils venaient se coucher. Ce qui était assez frustrant pour ma libido et mes fantasmes. Et dans la journée à cause de Boris qui était toujours là, je ne pouvais plus librement fouiller les affaires de Franck quand il était au cours et que je rentrais tôt ou que je n'étais pas allé au boulot.
Ma frustration allait encore s'agrandir quand mon oncle leur proposa d'aller tous les deux s'installer dans la chambre d'amis et de me laisser celle-là pour que j'ai une certaine intimité. Certes j'étais plus vieux, mais je ne me plaignais pas de cette situation. J'avais l'occasion de côtoyer mon fantasme de très près, de guetter ses sorties de douche nu ou en boxer... Et honnêtement Boris aussi n'était pas mal à regarder même si toutes mes pensées allaient vers Franck. Et voilà que tout m'était enlevé. J'aurais préféré que Boris fût envoyé seul dans la chambre d'amis et que Franck et moi repartagions ensemble la chambre. Mais je ne pouvais pas réagir, ni faire cette proposition sans attirer l'attention, d'autant plus que vu leurs âges voisins c'était logique que Franck et Boris partagent la même chambre. Et qu'avec cette configuration ma compagne pouvait selon sa disponibilité venir passer certains weekends avec moi à la capitale. Désormais seul j'ai repris mes anciennes habitudes, les histoires du site cyrillo et ma masturbation, amer de frustration. Mais le personnage principal de chaque histoire avait le visage et le corps de Franck tellement j'étais accroc.
Quelques jours après qu'ils aient emménagé ensemble dans l'autre chambre, dans la nuit, j'ai senti quelqu'un s'allonger et se blottir contre moi, presque sur moi, la tête posée sur ma poitrine. Je dors habituellement sur le dos. Sans même ouvrir les yeux je pouvais savoir qui c'était, j'aurais reconnu ce doux parfum musquée mélange de son déodorant, de sa sueur et de sa peau. Ce doux et suave parfum que je traquais dans son linge sale et qui me filait tant la trique. Et oui c'était Franck. Un instant, j'ai pensé qu'il était ivre et qu'il s'était trompé de chambre. (Ivre car par moment je ramenais de l'alcool et on buvait tous les deux. Le but au départ c'était de l'enivrer et peut être d'en profiter. Mais j'ai jamais osé en profiter. J'avais trop peur. Ensuite on a pris goût à nos soirées alcools. Mais avec l'arrivée de Boris, les soirées alcools c'était sans moi et quand bien même je ramenais à boire, ils se servaient et allaient boire dans leur chambre.)
Mais je pouvais sentir son érection contre ma cuisse. Avant de perdre le contrôle, j'ai allumé la veilleuse et je l'ai secoué doucement en disant doucement : " Franck tu as choisi le mauvais soir pour te tromper de chambre "
F : " je ne me suis pas trompé "
Moi : " il vaut mieux que tu ne restes pas ce soir "
F : " pourquoi ? " en frottant son érection contre ma cuisse.
Moi : " Disons que je ne réponds pas de ce qui pourrait se passer "
F : " et c'est peut-être ce que je veux "
Et devant mon silence, en se redressant et en me fixant dans les yeux, il a poursuivi : " je sais que je te plais, que je t'ai toujours plu même avant que tu ne viennes t'installer ici. J'avais remarqué ton regard sur moi, tes attentions. C'était plus que fraternel. Et quand tu t'es installé ici, je t'ai surpris quelques fois entrain de me regarder dans mon sommeil et de te masturber. Là je viens t'offrir ce que tu as toujours voulu cousin. Et je sais que tu as envie de moi, je peux sentir ton érection contre moi. "
C'est vrai je bandais grave. C'en était presque douloureux. On s'est regardé quelques secondes et j'ai pu lire le désir dans ses yeux. Alors qu'il approchait son visage de moi, j'ai détourné la tête et son baiser est allé sur ma joue. " Et Boris ? " ai-je murmuré.
" On en parlera après si tu veux bien. Maintenant j'ai envie que tu t'occupes de moi. Et sois indulgent si je suis maladroit, c'est ma première fois avec un homme ". Malgré ma puissante érection à ces mots j'ai senti ma queue se gonfler encore si c'était possible. Avec sa main droite, il a tourné ma tête vers lui et tout en me maintenant la tête, il m'a à nouveau embrassé. J'ai ouvert la bouche et j'ai accepté sa langue. Vive, souple, impétueuse, j'ai laissé un moment sa langue explorer ma bouche avant de partir moi aussi à l'assaut de la sienne. Pendant ce temps nos mains ne restaient pas inactives. J'ai caressé sa nuque, son dos et je me suis attardé sur ces fesses qui m'ont tant fait saliver.
Je les ai caressés, malaxé à travers le boxer. Pendant ce temps, lui avait glissé une de ses mains sous ma couverture et me caressait d'une main la verge et de l'autre les poils de mon torse. Je ne saurai dire combien de temps nous nous sommes embrassés et caressés. Je n'avais jamais rien ressenti de pareil, ce plaisir intense. Je l'ai repoussé doucement de peur d'éjaculer trop vite. Je l'ai poussé à se mettre sur le dos, et à mon tour je me suis installé sur lui. On s'est un moment regardé les yeux dans les yeux. Je pouvais sentir son érection contre la mienne à travers son boxer, son torse nu contre le mien. J'aurais voulu que ce moment soit éternel. Puis je me suis remis à l'embrasser, plus virilement. Je voulais le dévorer. J'avais trop rêvé ce moment. Quand j'ai lâché ses lèvres, nous étions tous deux essoufflés. Doucement je suis descendu à son torse. Je me suis occupé de ses tétons : caressés, sucés mordillés. Il était sensible des tétons et n'a fait que gigoter et gémir. J'ai continué mon chemin vers le bas et après une escale au nombril, je suis arrivé à son sexe que j'ai mordillé et branlé à travers le tissu. Puis j'ai retiré le boxer, il m'a aidé en soulevant son bassin. J'ai contemplé ce qui s'y cachait : un beau morceau circoncis de 19*6 cm. J'y ai promené ma langue un bon moment, taquiné le gland avec mes dents, savouré sa mouille, avant de l'avaler. Le recrachant pour aller jouer avec ses testicules et revenant au délicieux bâton. Et tout au long de mon exploration, l'entendre râler et gémir de plaisir était presque aussi orgasmique pour moi.
À un moment il m'a repoussé brusquement. " C'était trop bon, j'ai faillir jouir ". Puis à son tour il s'est attaqué à ma virilité essayant de reproduire tout ce que je lui avait fait. Il était volontaire ça c'est certain, mais en même temps 15*5 cm ce n'est pas compliqué à avaler. Et malgré quelques maladresses, quelques coups de dent, c'est resté la meilleure pipe que j'ai reçue à ce jour tellement j'étais excité. Ce fut à mon tour, trop rapidement de le repousser : " arrête sinon je vais venir dans ta bouche ".
F : " je n'ai rien contre ".
Moi : "non pas maintenant. On a tout le temps et tu as encore beaucoup à découvrir. Déjà que je n'ai pas grand-chose à t'offrir ce serait le comble que je vienne rapidement. "
F : "si tu es aussi excité que moi, ce serait normal. Et j'aime bien ce que tu as à m'offrir. Tu n'as plus à être complexé ni à cacher ta nudité devant moi comme tu le faisais.' Tout en me fixant dans les yeux.
On s'est regardé ainsi quelques minutes, je caressais ce visage, gravais chaque trait dans ma mémoire. Nous n'avions même pas débandé un peu. Puis nous nous sommes remis à nous embrasser et à nous caresser à nouveau. Puis doucement je me suis écarté de lui et me suis placé en 69. Sans lui expliquer, il a repris mon sexe en bouche pendant que je m'appliquais à lui prodiguer la meilleure pipe possible. Rapidement j'ai senti son excitation monter et j'ai arrêté et nous avons changé de position, Franck au-dessus toujours en 69. Je me suis intéressé à ces sublimes fesses pour lesquelles j'ai déjà eu à verser des litres de sperme lors de mes masturbations. Je les ai malaxés, pétri, j'ai mordu dans les lobes charnus, puis je les ai écarté et je me suis intéressé à son petit trou vierge. Pendant ce temps il continuait à me sucer avec vigueur. J'ai dû lui demander d'aller doucement. J'ai mouillé abondamment sa rondelle de ma langue, j'y ai enfoncé le bout de ma langue, titillant cette délicieuse fleur qui s'ouvrait petit à petit. Pris dans mon plaisir, je n'avais même pas remarqué qu'à l'écoute de ces nouvelles sensations, il avait arrêté sa pipe. Je ne peux pas décrire mon excitation quand j'ai fini par violer sa rondelle d'un doigt. Depuis le temps que je voulais m'enfoncer entre ces deux globes, dans ce joli trou que j'imaginais dans ma tête. Rapidement j'ai ajouté un second doigt, plus de salive et un troisième. Il s'ouvrait facilement et ne cessait de gémir. Il n'avait pas débandé et un long filet de mouille coulait de son méat.
J'ai arrêté et je me suis extrait de sous lui. Pendant que je fouillais dans l'armoire pour sortir mon flacon de gel et un paquet de préservatifs. Il s'est mis de lui-même en levrette, la tête dans le matelas, le cul surélevé. J'ai jeté mon butin sur le lit et pris une à deux mn pour contempler cette chute de rein, ces deux globes d'amour. Mais j'ai préféré le retourner et l'installer sur le dos, jambes relevées. J'ai repris mon travail manuel sur sa rondelle avec du gel. Il avait les yeux fermés, mais je pouvais lire sur son visage et entendre le plaisir qu'il ressentait. Quand je l'ai senti suffisamment dilaté et prêt, j'ai arrêté le temps de mettre un préservatif. Mais il m'a arrêté : "je sais que tu es clean, moi aussi. Avec toi je veux que ce soit nature, sans préservatif ".
J'ai exaucé son voeu, et tout au long de l'intromission, j'avais les yeux rivés dans les siens, étudiant la moindre de ses réactions. À la fin de la pénétration, il a soufflé, sourit et dit : "quel bonheur'. J'ai à peine fait quelques allers retours qu'il a poussé un sourd cri de jouissance et à maculé son torse et son ventre de sperme. Gros juteur le petit. Quand j'ai voulu me retirer, il s'y est opposé en croisant ses jambes derrière mon dos.
Je suis resté en place et quand enfin il a semblé émerger, il m'a fait un sourire charmeur, et en me fixant dans les yeux a dit : "trop bon ! Tu peux continuer.'
Ce que j'ai fait, doucement au début, puis avec fougue et excitation. Dès que je sentais la jouissance venir, je ralentissais ou je m'immobilisais quelques instants pour l'embrasser et je reprenais. Nous avons changé de position, en levrette pour mon plaisir : regarder cette chute de rein et ces fesses bombées offertes. Puis je me suis allongé et il s'est mis au-dessus dos à moi. Je pouvais là aussi contempler ses fesses monter et descendre sur ma queue. Mais la position ne fut pas des plus plaisante, la taille de ma queue faisant qu'elle s'échappait régulièrement de son fourreau de chair et il fallait la remettre. Ce qui limitait un peu l'amplitude des mouvements. Très vite nous sommes revenus à la position de départ et c'est couché sur lui les yeux dans les yeux que je me suis vidé en lui.
Quand j'ai repris conscience de la réalité, j'ai eu le plaisir de remarquer qu'il avait encore joui entre nos deux corps. Je me suis retiré et je suis allé nettoyer son ventre des traces de ses deux éjaculations. Nous avons partagé la récolte dans un baiser. Nous n'avons pas échangé une seule phrase. Et allongés l'un contre l'autre, sa tête sur ma poitrine nous nous sommes finalement endormis.
C'est l'envie d'uriner qui m'a réveillé, et malgré ma tentative de m'extirper doucement de sa carcasse, il s'est réveillé. Il m'a souri, m'a attiré vers lui et embrassé à nouveau. Je me suis laissé faire un moment puis je l'ai dit, que je devais aller aux toilettes. Il m'a laissé partir puis finalement m'a rejoint. Nous avons fini par nous laver mutuellement. Ce qui nous a laissés bandant tous les deux. Je me suis alors agenouillé pour lui faire une pipe tout en me doigtant. Et quand je me suis estimé prêt, je me suis tourné et offert les mains contre le mur, penché en avant, les fesses offertes, l'eau ruisselant sur moi. Je n'ai pas eu besoin de lui faire un dessin, il s'est enfoncé d'un trait en moi. Heureusement que je m'étais préparé. Il m'a vigoureusement "défoncé' pendant environ 5 mn avant de se retirer et de jouir sur mes fesses. L'eau a vite emporté les traces. Comme pour s'excuser il m'a retourné et embrassé avec passion et s'est écarté : "désolé c'était trop bon, je n'ai pas fait attention à toi' avant de descendre me sucer.
En moins de trois minutes, j'ai éjaculé dans sa bouche tellement j'étais excité. Il a avalé une partie et nous avons partagé le reste.
Nous nous sommes séché et avons regagné la chambre. Allongé dans mes bras alors que je savourais cette douce nuit, ce tourbillon de plaisirs inattendu, il a dit : "sacrée initiation ! sacrée première fois ! J'ai adoré. Mais maintenant il faut qu'on parle. Et il y a Boris!.'
Mais ça, c'est une autre histoire.
(À suivre)
Lucif
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