Cette histoire se passe il y a une dizaine année. Je devais avoir 23 ans environ. J'étais un peu enrobé à l'époque. 94 kg pour une taille de 1,80 et pas que du muscle.
J'avais un jeune voisin Charles (18 ans 1.75 pour 59 kg) qui était toujours fourré chez moi. Il passait plus de temps chez moi que chez lui et parfois restait dormir. C'était le petit frère que je n'ai jamais eu et j'étais un peu le grand frère qu'il n'avait pas. Depuis sa toute petite enfance, je l'ai vu grandir, conseillé et protégé même si en grandissant il était devenu à même de le faire. Et nos jeux et nos rapports depuis la fin de son adolescence ont souvent tourné au rapport de force. Très vite il a toujours voulu me prouver qu'il pouvait faire mieux que moi : sur le plan scolaire, sciences, scrabble, jeu de dames, cartes... Peut-être en avait-il marre que ses parents me citent en exemple chaque fois.
Mais très vite s'il y a un plan où il a réussi à me dépasser c'est le plan sportif. Je n'étais pas du tout sportif, lui si : foot et karaté. Donc très rapidement la lutte (immobiliser l'autre sur le lit) est devenue un de nos jeux favoris. Et chacun cherchait à avoir le dessus. Il était fort et résistant, mais j'avais l'atout masse. Je pense que c'est pendant ces parties que j'ai commencé par éprouver du désir pour lui. Je me suis toujours considéré comme un bisexuel : chez moi l'homosexualité est très mal vue donc il fallait afficher une hétérosexualité et la vivre en cachette. Sinon j'ai toujours été attiré par les hommes et personne dans mon entourage ne le savait. Juste quelques rencontres occasionnelles à la fac.
Donc je disais que petit à petit j'avais commencé par éprouver du désir pour Charles et je sortais de nos combats tout bandant. Je ne sais pas s'il l'a remarqué (je le pense), mais on n'en avait jamais parlé. Et de toute façon il revenait toujours à la charge pour de nouvelles parties donc je supposais que ça ne le gênait pas.
Donc un après-midi après plusieurs parties, plus d'une heure que nous luttions, j'avais réussi à l'immobiliser et il avait renoncé à continuer sans doute fatigué. Nous étions tout transpirants, haletants et le lit vraiment mouillé. Est-ce l'odeur de nos sueurs mélangées, est-ce son corps tout chaud et moite contre moi ? Toujours est-il que j'ai perdu la tête et je l'ai embrassé. Il m'a repoussé violemment, ramassé ses affaires et est parti.
Pendant deux jours on ne s'est pas vu. Il ne répondait pas à mes appels et à mes messages. Et je n'osais pas aller chez lui. Ma crainte était qu'il en parle à ses parents où qu'il en parle à d'autres personnes dans le quartier. J'imaginais déjà l'enfer qu'allait être ma vie. Mais le troisième jour il est revenu comme si de rien n'était. J'étais dans ma chambre quand il a tapé, j'ai ouvert il est rentré. Habituellement j'aurais refermé à clé, mais là j'ai pas fermé, je ne voulais pas l'effrayer ou qu'il s'inquiète. Mais lui-même est allé fermer la porte à clé et a dit : " ça te dit un combat ? "
Moi : " écoute pour la dernière fois... "
Charles : "n'en parlons plus. Alors t'es prêt ou tu as peur que je te mette une raclée" a-t-il déclaré en m'interrompant.
Il s'est mis torse nu et on a commencé le combat. Mais je n'y étais pas. J'étais toujours inquiet de ce qui s'était passé et je devais réfréner mes ardeurs pour ne pas bander, pour ne pas perdre encore la tête.
Après une troisième victoire facile, sans trop d'opposition de ma part, il a dû s'en rendre compte et arrêté le combat. Nous sommes restés quelques minutes allongés l'un à côté de l'autre : "si c'est pour ce qui s'est passé entre nous la dernière fois que tu es préoccupé, n'en parlons plus. Ça reste entre nous. Tu as toujours été comme mon grand frère et je ne vais pas ruiner ta vie en parlant à quelqu'un de ça. Ça fait un moment que j'ai remarqué que je te plaisais. Normal qui peut résister à une beauté comme moi. Et je sais depuis près de deux ans que tu es gay. Je suis tombé en fouillant ton téléphone à l'époque sur certains messages avec un certain Jérémie. J'ai gardé ton secret depuis ce moment. Donc tu n'as rien à craindre de moi. Je ne suis pas gay moi. Et j'ai mal réagi au baiser. Mais je n'embrasse pas les garçons. Je ne suis pas un pédé. "
Moi : "OK désolé je ne sais pas ce qui m'a pris'
Charles : "t'inquiète. Maintenant si tu veux faire plaisir à ton triple champion, tu peux me faire une pipe. Ma copine refuse. Et toi comme tu es gay tu dois aimer ça.'
J'ai réfléchi deux ou trois minutes, pesé le pour ou le contre. J'avais déjà vu sa queue, mais pas en érection et ça laissait présager un beau morceau. Je le désirais depuis un moment. Mais franchir cette étape allait changer notre relation. "OK' ai-je dit.
J'ai voulu éteindre la lumière. Il m'en a empêché et a dit : "je veux te regarder me sucer ''.
Je me suis redressé et, j'ai retiré son short et son slip. J'avais devant moi, un beau et gros morceau circoncis de 12 cm sentant le mâle et la sueur. Il n'était pas encore en érection et ça annonçait une bonne grosse promesse. J'ai branlé un moment sa bite, puis j'ai commencé par lécher ses boules, puis je suis remonté progressivement sur la bite, ne laissant aucune partie et finissant par le gland. J'ai fini par prendre le gland dans ma bouche un bon moment, je l'ai suçoté, mordillé doucement, caressé de la langue le méat et la couronne. Puis j'ai commencé par sucer la tige. Elle a continué par grossir dans ma bouche pour atteindre sa taille finale. Un bon gros 21 cm sur 6 (comme j'aurai l'occasion de le mesurer à une autre occasion). J'avais du mal à la prendre entièrement en bouche. J'arrivais à grande peine à prendre les deux tiers.
Il m'a laissé le sucer à mon rythme pendant un bon moment avant de commencer par prendre le contrôle. Les deux mains posées sur ma tête, il imposait le rythme, cherchant à m'enfoncer sa bite toute en entière dans la gorge. Quand il me relâchait, j'avais à peine le temps de le respirer un coup qu'il recommençait. J'étouffais, je salivais abondamment, je râlais, mes larmes coulaient, mais il s'en foutait. Puis il a commencé par me traiter de tous les noms : salope, pédé, petite bite. "Suce bien ton champion', "alors tu aimes la bite de ton maître', "c'est qui le plus fort maintenant', "c'est qui l'homme ? "... Et beaucoup d'autres phrases du genre. Heureusement j'habitais seul de ce côté du bâtiment et que la musique couvrait un peu les bruits.
Puis il s'est arrêté, m'a ordonné et de descendre du lit et de me mettre à genou sur le sol. Il s'est levé aussi et à commencer par me baiser la bouche à un rythme effréné, m'obligeant de temps en temps à l'avaler entièrement. Il se préoccupait à peine de ce que je ressentais. Je n'étais qu'un jouet entre ses mains. Et quand il sentait mes dents, il n'hésitait pas à me mettre des baffes. Je ne l'avais jamais connu ainsi. Malgré le rapport de force entre nous, il avait toujours été respectueux et correct envers moi.
Au bout d'un certain temps, j'avais perdu la notion du temps, il a fini par m'immobiliser la tête contre son pubis, sa bite toute entière dans ma bouche et dans ma gorge. Je l'ai senti tressauter et j'ai senti son sperme couler dans ma gorge. Je n'ai pas eu d'autre choix que d'avaler. Il a fini par se retirer et nettoyer sa bite sur mon visage. Puis il m'a repoussé violemment à terre et s'est rhabillé. Puis il est parti en me lancer : "pas mal. Peut mieux faire. À bientôt ma petite salope à moi.'
Je me suis levé, j'ai refermé la porte à clé, je me suis déshabillé, je me suis allongé sur le lit et je me suis masturbé furieusement. Je n'avais pas cessé de débander depuis le début. En moins de deux minutes, j'avais éjaculé tellement j'étais excité. Je m'en étais mis partout. Puis je suis allé prendre un bain. C'est sous la douche que j'ai vraiment réalisé que le rapport de force s'était inversé et que j'avais totalement perdu le contrôle.
Lucif
Autres histoires de l'auteur : Une sacrée initiation | Rapport de force