Premier épisode
Plusieurs jours avaient passé, et malgré ce qui s'était passé entre Jim et moi, nous n'en avions pas reparlé. Nous avions eu une discussion la veille de mon entrainement de volley sur les règles d'hygiène et de savoir-vivre. Effectivement, je ne me changeais jamais à la salle et je prenais encore moins de douches. J'étais persuadé qu'il avait raison, cela allait rompre ma timidité. Arrivant plus tôt, je vis arriver un pote dont j'étais persuadé qu'il état gay (l'avenir me donnera raison), Jorge, entrer dans les vestiaires. Jorge était colombien, très mat de peau, fin, mais le corps dessiné, très peu poilu et toujours le sourire sur ses dents très blanche.
Assis sur le banc, je fais mine de regarder sur mon téléphone pour profiter du spectacle qui s'offrait à moi. Jorge vêtu d'une chemise bordeaux, d'un jean slim (qui moulait agréablement ses deux petites fesses rebondies) et de complices blanches se déshabillait lentement et me permit de le détailler avec plaisir. Il s'était un peu musclé, laissant apparaitre un début de pectoraux sur son torse imberbe. Je retirais mes chaussures et mon t-shirt gris et fut scotché par la vision que j'avais de mon pote en shorty. Ultra-moulant, il lui dessinait un paquet que je devinais imposant au vu du mêtre 70 que faisait Jorge. Tout en me mettant moi aussi en boxer, je me retournais pour cacher le début d'érection que j'avais en le matant. Je le sentis arriver derrière moi et poser une main sur l'épaule qui m'électrisa :
J " Dis donc Ju' ta encore poussé de la fonte, t'es de plus en plus barac' ! Tu va pouvoir ramasser toutes les meufs
Ouais peut-être, mais toi aussi, tu décolles de plus en plus. Impressionnant mec continue comme ça.
Tu trouves ? dit il en bombant le torse (ce qui lui remontait le paquet par la même occase) au pire, on pourrait aller à la salle ensemble
Ouais pourquoi pas dis-je en mettant mon traditionnel short rouge et mon tshirt gris moulant. Jorge avait adopté une tenue tennistique, les chaussettes blanches bien remontées sur ses jambes musclées et j'en profitais pour bien le détailler quand il sortit dans la salle pour s'échauffer.
Au bout du 3e tour de terrain alors qu'il s'entrainait à réceptionner le ballon et après avoir dit bonjour au reste de l'équipe, je décidais d'aller pisser avant le début de l'entrainement. Les chiottes de la salle étaient munies d'une cabine très souvent fermée et d'une barre d'urinoir, sans cloisons, et sans réelle intimité. Je me mis le plus à gauche possible pour pisser tranquille. Je ne faisais pas comme tous ses mecs qui se mettent en diagonale pour se cacher au maximum, vu le peu d'intimité que l'on avait, autant y aller franco. Quelques minutes après, je vis Jorge s'installer quelques centimètres à côté de moi et me dévoila un truc que j'avais bien deviné tout à l'heure dans les vestiaires. Tout en voyant le jet de pisse s'écraser sur le mur face à lui, je me permis de détailler le spectacle qui s'offrit à moi. La première chose était son épaisseur et le côté ultra veiné de l'engin. Circoncis, je pense qu'en érection, il devait dépasser les 20 cm, le tout d'une couche ras de poil. Tout en me souriant et en plongeant son regard dans le mien, je faisais mine de regarder ma queue qui restait mollement entre mes doigts, complexé que j'étais face à lui. Je le voyais du coin de l'oeil se la secouer nonchalamment ce qui eut pour effet de la faire gonfler et de confirmer ce que je disais. Tout en terminant de pisser, j'entendis la vois familière de mon pote Benoît, qui s'intercala entre Jorge et moi malgré la place qui restait aux urinoirs.
Benoît était un grand polonais, châtain clair, pas à leur gout, mais avec beaucoup de charme. Fêtard invétéré, il cumulait les conquêtes féminines. Nous nous connaissons depuis plus de 10 ans et nous faisons souvent, l'été, du beach-volley ensemble. De la même taille que Jorge, aux pectoraux très dessinés, les bras et les jambes musclés, tout son corps était clairsemé d'une légère pilosité très claire même si ses jambes étaient très poilues. Avant de partir, je remarquais, après les vannes que nous lançait Benoît, un clin d'oeil entre lui et Jorge suivi d'un large sourire. Avant de partir, tout en écoutant Benoît parler de sa nouvelle conquête, je m'attardais, discrètement, sur la queue de mon pote. D'une taille que je devinais être l'intermédiaire entre la mienne et celle de Jorge, je remarquais qu'il avait une toison fournie sur la queue. Non circoncis, il décalottait de telle sorte qu'il fit apparaitre un gland violacé plus imposant que sa tige elle-même. Je sortis des toilettes plein d'images en tête pour mes futures branlettes, et je me concentrai pour l'entrainement.
Après un échauffement intense qui nous a tous bien crevés et fait beaucoup transpirer. J'étais content de pouvoir prendre ma douche à la salle et de pouvoir changer d'affaires après. Sur la 20aine de mecs qui s'entraînaient, seul 4 d'entre nous prenaient une douche (pour l'instant) : Emmanuel, Antoine, Jorge et moi-même.
Emmanuel était un malgache similaire à Jorge, en plus massif, barbu et poilu. Ses muscles et ses pectoraux étaient munis d'une toison brune importante, de même que ses membres supérieurs et inférieurs. Antoine, le plus petit d'entre nous (autour d'1m65) avait la même morphologie que moi, la même répartition de poil, mais les cheveux châtain très clair ras. Ils comprirent, avec une agréable surprise qui se lisait surtout chez Emmanuel et Jorge, que j'allais les suivre sous la douche. Je les voyais se déshabiller plus ou moins rapidement pour se diriger vers les douches. J'étais bloqué, je n'arrivais pas à me désaper même si je les entendais rire. Je regardais vite fait mon téléphone et je vis un message de Jim, qu'il m'attendait à l'arrêt de tram. Souriant et réconforté, je me devais de sentir bon pour lui. Je me déshabillais et fonçais sous la douche.
Là, mon esprit s'arrêta un temps. Voir mes 3 potes nus fut un agréable plaisir. Emmanuel tout d'abord qui se savonnait le torse, laissait apparaitre un sexe circoncis imposant peu velu posé sur des boules assez petites. Jorge lui, après m'avoir souri en me voyant rentrer dans la douche, me confirmait ce que je savais depuis le début de la séance : un sexe massif, peu poilu, mais avec des boules aux dimensions tout aussi impressionnantes. Tous deux étaient en train de se moquer d'Antoine qui ,après avoir parlé de ce que sa copine lui faisait chaque soir, ne pouvait cacher une érection qui faisait marrer les copains. Pendant qu'il riaient comme des phoques, je détaillais la vision qui s'offrait à moi. Sa queue me semblait disproportionnée comparée à la taille d'Antoine. Peu de poil présent, une paire de couilles massives et une queue qui devait bien dépasser en épaisseur comme en longueur celle de Jorge et atteindre un 23-24cm. Son gland imposant recouvrait lui une bonne partie de sa queue. Tout excitée et pour éviter d'avoir autant la gaule que mon pote, je sortis rapidement pour retrouver Jim.
En sortant des vestiaires, mon visage s'illumina quand je le vis assis devant l'arrêt de tram, son sac de sport posé à sa gauche. Je le serrais fort dans mes bras, je voulais l'embrasser même si pour ne pas éveiller les soupçons, nous faisons croire que nous étions potes. Il me parlait de sa séance, de la mienne. Je vis Jorge saluer Jim (je ne savais pas qu'il se connaissait) et Jorge nous proposa une soirée entre potes. J'acceptai avec grand plaisir et nous montions dans sa voiture.
Au détour d'un virage un peu serré, Jorge posa une main sur mon entre cuisse avant de la retirer en s'excuser. Je lui souriais et il me fit un clin d'oeil qui me troubla. Quand nous arrivions chez lui et qu'il se dirigea vers la cuisine, j'étais loin de me douter de la soirée que j'allais passer.
Dolto
Autres histoires de l'auteur : Le volleyeur et le rugbyman