Rendez-vous avec un plan cul trouvé sur une application
« Recherche ours complètement passif pour expérience chaleureuse »
Comme convenu je me suis rendu au rendez-vous à 13h30 et Bernard m’attendait sur le parking devant l’église. Il était plus petit que je l’imaginais mais par contre il avait un beau sourire il avait l’air très gentil.
Il m’emmène tout de suite à pied vers une maison et ouvre la porte d’un grand garage.
À l’intérieur du garage il y a un petit escalier qui mène à une garçonnière sous les toits et où il était venu déjà auparavant pour brancher la climatisation.
Le feeling est tout de suite très sympathique et en moins de deux on s’est retrouvé tous les deux à poil.
Après quelques petits préliminaires sympathiques il a défini les règles de la session qui allait venir : il n’allait pas être directif et me donner des ordres mais me diriger fermement.
Je l’ai sucé pendant un petit quart d’heure et là il m’a demandé de me mettre à quatre pattes sur le bord du lit et a commencé à me préparer le cul.
Tout d’abord avec la langue puis traditionnellement un doigt deux doigt trois doigts... Jusque-là rien d’extraordinaire sauf que visiblement j’étais en train de me rendre compte qu’il était particulièrement habile.
Il commence à me taper légèrement sur la rondelle et à me donner des petits coups de main sous les couilles.
Puis il a commencé à bouger deux doigts de plus en plus vite de haut en bas de gauche à droite et puis il a rajouté un troisième doigt.
Je sentais au fur et à mesure que mon cul s’ouvrait de plus en plus fort.
Une fois qu’il a senti que j’étais bien ouvert il a commencé à me faire un massage de la prostate.
J’étais sur le point de jouir quand d’un seul coup il a rentré sa bite tout au fond sans aucune escale.
Je pensais avoir été suffisamment ouvert pour pouvoir l’accepter sans broncher mais c’était sans savoir la grosseur du gland qu’il avait.
Une fois au fond il est resté sans bouger en me disant d’attendre quelques secondes que la douleur se dissipe et qu’il valait mieux qu’il ne bouge pas.
Et puis les mouvements ont commencé ; de plus en plus rapides, de plus en plus amples et visiblement la chose qu’il aimait le plus c’était de sortir complètement sa queue et de la rentrer en force.
Alors que j’étais à quatre pattes les jambes écartelées il est allé vers une petite table et d’un sac il a sorti une corde en me disant que je ne devais rien craindre que j’allais même adorer.
L’extrémité de la corde avait une boucle et dans cette boucle il a enfermé mes couilles et ma bite qui bandait comme jamais. J’ai su après, parce qu’il m’a expliqué la technique ; qu’il passait cette corde entre ses cuisses et la remontait sur son épaule entre ses fesses et il la maintenait dans sa bouche avec ses dents.
Cela lui permettait de garder les mains libres pour mieux attraper les hanches et accélérer et encore appuyer de plus en plus les pilonnages.
À chaque coup qu'il reculait et qu’il sortait de mon cul la corde se tendait et tirait sur mes couilles et sur ma bite.
Mon cul commençait véritablement à chauffer.
Pour m’épargner la douleur des hanches et des cuisses qu’il écartelait il m’a renversé et m’a mis sur le dos.
Évidemment et cette position j’ai pris au moins 1 cm de plus de sa queue dans mon cul. Et là pendant je ne sais pas combien de temps il a fait le marteau-piqueur en ne sortant sa queue que de quelques centimètres mais pour aller taper le plus profond possible.
J’ai cru qu’il allait éclater ma colonne vertébrale.
De temps en temps il déculait pour me rentrer 3 ou 4 doigts en tournant comme un fou. On aurait cru qu’il voulait battre la chair de mon cul avec sa main.
Je pense qu’il en aurait fallu de peu qu’il puisse rentrer sa main complètement.
Le cul complètement ouvert j’ai commencé avoir des spasmes à jouir véritablement du cul.
Ça le faisait beaucoup rire car il me disait que en jouissant je repoussais sa main et que ça voulait dire que j’étais véritablement en train de me rendre. Et il s’est remis à me pilonner avec sa grosse queue. J’avais l’impression que ses couilles allaient rentrer dans mon cul.
Pendant qu’il jouait avec sa main et me massait la prostate régulièrement - sans que je ressente le moindre orgasme j’ai vu plusieurs fois ma bite cracher.
Normalement lorsque j’éjacule ça fait de longues giclées mais pas là.
Là c’était une espèce de sorte de crème gélatineuse très épaisse qui sortait.Comme de la lave.
Je savais plus où J’étais.
Mon cul me faisait mal.
J’avais l’impression que c’était encore beaucoup moins douloureux lorsqu’il été à l’intérieur que lorsqu’il sortait.
Je n’étais jamais allé jusque-là et je manque un peu de repères.
Ce qui est le plus hallucinant c’est qu’à aucun moment je l’ai vu se fatiguer.
Il avait une endurance de légionnaire.
Et comme si de rien été un moment il a regardé sa montre et m’a dit qu’il était temps qu’on passe enfin aux choses sérieuses.
Évidemment j’ai rigolé en me disant ils exagèrent un peu quand même non.
Il a récupéré la corde qui avait servi au préalable pour m’attacher les couilles et la bite.
Il a attaché mes deux mains et a attaché la corde à l’avant du lit puis il a attaché mes deux jambes bien écartées, chacune au pilier du bas du lit.
La position n’était pas inconfortable et je m’attendais à ce qu’il vienne se positionner en tortue sur moi.
Pas du tout il s’est levé et est descendu par l’escalier jusqu’au garage.
Je l’ai entendu ouvrir la porte qui donnait sur la rue et la refermer.
Là où j’ai réalisé la situation dans laquelle j’étais c’est quand j’ai entendu dans l’escalier qu’il n’était pas tout seul à monter.
Positionné comme j’étais dans le lit j’avais du mal à regarder et voir qui venait de rentrer dans la pièce.
J’ai entendu une voix dire « waouh putain je sens qu’on va s’amuser ». Et une autre voix dire « en effet tu n’as pas menti ». Après un petit silence j’ai entendu les vêtements qui tombaient et les chaussures qui s’enlevaient rapidement.
Bernard est venu près de ma tête il m’a dit
« Je vais te présenter mes meilleurs amis.
On se connaît depuis qu’on est tout petit.
On a été à l’école ensemble et on a joué au rugby pendant de très nombreuses années ensemble.
Il y a une vraie amitié qui nous lie.
Cette amitié fait que nous partageons quasiment tout.
Évidemment je ne vois pas pourquoi j’allais faire une exception avec toi ».
Et là j’ai vu apparaître un à un ses copains. Ce que je voyais d’eux en premier c’est évidemment la bite et après ils me relevaient la tête pour que je puisse voir à qui elle appartenait.
Ils avaient tous entre 50 et 55 ans peut-être. Sauf un qui était visiblement plus âgé. C’est ainsi que je me suis retrouvée avec quatre personnes de plus.
Bernard annonça le menu en disant que j’étais fin prêt.
« Pipe en entrée avec léchage complet, couilles comprises et grosse enculade de fion à volonté comme plat de résistance – pour le dessert cela, sera uniquement pour moi : crème de male au jus de couille.
Je ne sais pas si c’est l’excitation ou le fait d’avoir des nouvelles queues qui arrivaient mais je me suis senti prêt à repartir pour une bonne séance.
Évidemment Bernard a fait le chef d’orchestre.
Il a exigé que je les suce un par un.
J’ai adoré le goût assez fort et épicé.
J’ai su par la suite qu’ils travaillaient tous ensemble sur une l’exploitation agricole et qu’ils revenaient de la vigne sans avoir eu le temps d’aller se doucher.
Les glands sentaient encore la transpiration et l’urine.
Je n’arrivais pas à comprendre comment Bernard si petit avait pu jouer au rugby avec eux.
Ils me racontaient que c’était lui qui courait le plus rapidement alors que trois des quatre avait été deuxième ligne.
Ils m’ont raconté aussi que celui qui était le plus âgé avait été leur entraîneur.
Les trois deuxièmes lignes mesuraient tous au moins 1 mètre 90.
Ils avaient tous les trois, chopé un peu de ventre mais la masse musculaire était encore bien présente.
Ma crainte s’est vite dissipée quand j’ai vu la douceur avec laquelle il se régalait de jouer avec mon cul.
Le plus compliqué était de gérer leur poids passablement lourd sur mes reins. Par contre je dois avouer que les coups de bite était particulièrement délicieux.
Deux sur les trois ont jouis assez rapidement.
Je sentais mon cul se remplir au fur et à mesure.
L’entraîneur qui avait une queue moins longue mais avec un énorme gland en forme de champignons a proposé au troisième d’essayer une double.
J’ai essayé de les dissuader en leur disant que je n’avais jamais essayé et que je commençais à fatiguer.
Bernard est retourné fouiller dans son sac magique et en a sorti un tube de crème. Il m’en a généreusement tartiné sur tout le cul. Il m’a annoncé que c’était une crème anesthésiante et que je n’allais sentir aucune douleur.
Ils m’ont libéré et sorti du lit. L’entraîneur et le troisième joueur se sont allongés sur le lit en croisant leurs jambes.
Bernard d’une main ferme à agrippé leurs deux queues.
Les deux autres m’ont aidé en me soutenant par les épaules et pour me laisser me glisser et m’empaler.
Je n’étais plus véritablement conscient de ce qu’il se passait.
Ils ont commencé à me lever et me descendre de plus en plus rapidement.
C’est inutile de vous dire qu’ils ont joui très rapidement.
C’est alors que j’étais assis sur leur deux queues que Bernard a dit d’une voix inquiète.
Il va falloir qu’on le sorte très doucement parce que je vois qu’il y a du sang sur les queues.
L’ambiance a été un peu cassé et les quatre copains se sont habillés est ont quitté la chambre.
Bernard avec de l’essuies tout et des serviettes a essayé d’endiguer la blessure qui saignait.
Au bout d’un moment ça s’est arrêté mais j’avais l’impression que sa main entière pouvait rentrait pour aller tamponner à l’intérieur de mon cul.
Je n’arrivais pas à rester assis et il a fallu que je me lève et m’habille.
Chaque mouvement me faisait tellement mal que j’avais envie de hurler. Bernard m’a raccompagnée à ma voiture et m’a laissé le tube de pommade anesthésiante en me disant de m’en mettre toute la nuit en attendant que la douleur se dissipe. J’ai alors lu sur le tableau de bord de ma voiture qu’il était 19.00 h .
Je commence seulement maintenant à pouvoir m’asseoir correctement mais la douleur reste quand même assez vive. Je crois que j’ai vécu cet après-midi-là l’expérience la plus intense et la plus folle de toute mon existence. Je crois que le vrai problème c’est que j’étais tellement bien, j’ai apprécié tellement tout ce qu’on faisait que je ne me suis pas rendu compte à quel point mes chairs avaient été forcées.
Je crois vraiment que je manque d’entraînement.
Le plus drôle dans cette histoire c’est que j’avais rencontré plusieurs jours auparavant un monsieur qui m’avait proposé le lendemain de mon aventure d’aller rencontrer un de ses copains policiers qui voulait m’initier au fist... je suis allé faire sa connaissance mais je lui ai raconté l’histoire de ce qui s’était passé la veille et il a très bien compris que j’étais complètement impraticables. Par contre il a une queue énorme et je n’ai pas pu me retenir et je l’ai pompé jusqu’à l’arrivée du tsunami de sperme. Quand il a éjaculé j’ai pensé très fort à l’Angleterre et j’ai tout avalé / vous auriez été fier de moi.
Je vais encore me mettre de la pommade ce soir.
Je vous souhaite une bonne nuit.
À très bientôt
Honey Bear
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