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Mon père et mon Oncle Bernard

Depuis le départ de ma mère, mon père et son frère s’occupaient de l’exploitation agricole sans répit et s’abrutissaient dans le travail.

Ma mère avait fini par quitter mon père sans cris ni batailles : elle aimait sincèrement mon père, mais pas son mode de vie. Un jour lassé de cette vie dure et privée de tout confort elle est simplement partie.
Elle est partie en me laissant à sa charge sachant qu’approchant de ma majorité et partageant son amour de la terre, elle ne pouvait pas le priver d’une paire de bras trop précieux pour l’aider dans ses travaux.
Enfant unique et habitué à être seul je ne souffrais pas de l’absence de frère et sœur et l’éloignement de la ferme avait transformé mon père et mon oncle en mes camarades et amis. À 18 ans, Je préparais mon bac tout en aidant à la traite des chèvres et à la fabrication des Tomes que les deux frères allaient vendre sur les marchés deux fois par semaine les obligeant à se lever encore plus tôt ces deux jours-là.

Pendant que je révisais jusque tard dans la nuit, j’entendais les deux frères se chamailler gentiment le verbe s’égaillant à coup de verres d’eau-de-vie les fous rires fusaient et au moment d’aller se coucher mon père très affectueusement morigénait son frère en lui demandant de faire moins de bruit pour ne pas me déranger dans mes études.
Je l’entendais lui faire une accolade sur le palier de ma porte et pendant que mon oncle montait se coucher, mon père passait une tête dans l’encoignure de la porte pour me demander si tout allait bien. Je lui répondais par un doux sourire pour le rassurer. Il entrait alors très doucement, comme si le fait d’être sur la pointe des pieds aller moins me déranger. Il venait se mettre dernière ma chaise et posait ses mains immenses sur mes épaules. En me massant délicatement pour me détendre il me disait au combien il était fier de me voir si studieux et qu’il ne rêvait pour moi que de longues études pour ne pas être obligé de « trimer comme un bagnard ». Je sentais sa tristesse, mais aussi sa gentillesse et surtout son corps contre le mien comme on sent le coiffeur lorsqu’il se penche un peu top et que l’on n’ose plus bouger.
Cette pression délicate et ses mains sur mes épaules me déclenchaient à chaque fois une érection colossale. Soudain mon caleçon pourtant ample rétrécissait et j’avais beaucoup de mal à cacher cette réaction. Cela se terminait souvent par un livre qui descend sur mes cuisses et prenant une des mains de mon père je lui faisais une bise sur l’avant-bras en lui disant que je le remerciais de me faire confiance et que je l’aimais très fort.
Normalement il se penchait pour me donner un baiser dans le cou et pour rien au monde je n’aurais voulu ne pas vivre cet instant. Je sentais son odeur d’homme qui lorsqu’il se penchait vers moi surgissait par l’encolure de sa chemise et embaumait mon univers. Le temps s’arrêtait et a posteriori je crois que ces moments ont été mes premières expériences de vraies jouissances.

Ce soir nous nous sommes mis sur notre 31, et nous avons célébré ma réussite à mon baccalauréat avec mention bien et mes dix-huit ans. Après un très bon restau et quelques verres dans un piano-bar de ma ville, nous sommes rentrés avec la voiture de mon père ; je conduisais, car les deux frangins visiblement plus excités que moi par ma réussite ont amplement levé le coude. Arrivé à la maison mon père me prend à part sur le parking et me tend les clés de la voiture que ma mère a laissée en partant « elle est à toi maintenant. Avant de partir pour la faculté de ton choix, je souhaite que tu passes un fabuleux été et que tu penses enfin à t’amuser » et il appuie ses paroles par un clin d’œil bien appuyé. Il me glisse un deux billets de 50 euros et me conseille de vite me tirer avant qu’il change d’avis.

Je me retourne pour le remercier et je vois qu’il a les yeux très brillants. Je pense à l’alcool, mais un petit reniflement discret me confirme bien que mon père est entrain de pleurer. Je m’approche de lui et le serre très fort dans mes bras. Nous sommes tous les deux seuls dans la cour sombre. Mon oncle ronfle déjà dans sa chambre du deuxième étage – s’il a réussi à monter les escaliers… dans l’état d’où il est sorti de la voiture on va peut-être le retrouver vautré sur le canapé du salon…

Je m’approche de mon père que je sens très perturbé et à la fois très vulnérable. Cet homme fort comme un rock qui ne se plaint jamais et qui affronte tel un viking tous les obstacles qui se présentent sur sa route et dieu sait qu’ils sont nombreux, est là sur le point de s’effondrer devant moi.
Je prends sa grosse tête entre mes mains et je l’embrasse fortement sur le front en lui demandant doucement de quoi il a peur. Et là il me regarde avec ses magnifiques yeux délavés et me dit » j’ai tellement de mal à te laisser partir – je suis trop amoureux de toi » je le regarde droit dans les yeux et lui baisse les siens ne pouvant qu’attendre ma réplique a une telle déclaration. Je m’approche au plus près de lui et je récupère avec le bout de ma langue une des larmes qui tombait sur sa joue. Je les essuie toutes délicatement et je décide de lui restituer le sel de ses larmes sur la chair de ses lèvres.
La pointe de ma langue s’immisce un peu plus profondément et la chair de nos lèvres se retrouve l’une contre l’autre.

À cet instant tout est encore jouable ; l’émotion, l’alcool… mais je sens son haleine qui s’engouffre dans ma bouche et je sais à ce moment précis que c’est le début d’une nouvelle ère et que si lui consent cela va être un bouleversement dans nos vies respectives.
Et c’est alors que je sens sa main derrière ma tête qui nous rapproche encore plus et que sa langue humide rejoint la mienne dans l’accomplissement d’un baiser à la fois d’acquiescement et de passion amoureuse.
Après de longues secondes, nous nous séparons et lui attend le premier mot. « Je n’ai pas du tout envie de te quitter et t’abandonner. J’ai toujours eu tout ce dont j’avais besoin auprès de toi. Je ne te cache pas que tu as toujours été pour moi plus qu’un père et je suis prêt à partager encore plein de choses avec toi si tu es d’accord – il y a plein de choses que j’aimerai que tu me fasses découvrir.
À cet instant j’ai l’impression qu’il a recouvré tous ces esprits et il me regarde le front baissé et les yeux relevés. Il prend une grande respiration attrape une de mes mains et la pose sur le renflement de son pantalon. Sur une barre perpendiculaire à sa braguette et me dis.
– Tu pensais à cela toi aussi ?
– Évidemment
Et je lui prends son autre main pour lui faire constater ma raideur qui n’a rien à envier à la sienne.
Il me prend alors dans ses bras et m’embrasse tendrement en me serrant de plus en plus fort contre lui.
– Si tu savais combien de fois j’ai rêvé cet instant !

Et là tout s’est enchainé très vite. Après être rentré dans la maison il s’est arrêté dans le hall et s’est retourné brusquement et ma demandée si j’étais certain de vouloir cela. Je lui ai simplement pris la main et je l’ai emmené vers l’escalier. En montant, j’ai aperçu mon oncle qui dormait sur le canapé comme je m’en doutais. Arrivé devant la porte de ma chambre mon père m’a demandé d’une voix très douce de le suivre de préférence dans sa chambre. Je n’ai pas hésité une seconde et l’ai suivi. Une fois la porte refermée il s’est débarrassé de sa veste et a commencé à essayer de dénouer sa cravate. Je l’ai alors saisi en lui disant que cela faisait partie de ma charge désormais. J’ai déboutonné sa chemise avec une lenteur exaspérante à son gout. Il a fini par faire exploser les deux deniers boutons pour accélérer l’effeuillage. Je sentais son odeur brute qui exhalait de sa peau. Ces poils du torse noirs et brillant qui bouclaient entre ses seins. Deux boutons de sonnette de chair ferme pointaient n’attendant que des doigts zélés pour les pincer ou une bouche avide pour les téter. Mon tee-shirt lui a été plus promptement retiré et je ne résistais pas à l’envie de m’écraser sur son torse tout en l’embrassant à pleine bouche.
Sa langue était devenue beaucoup plus hardie et sa salive gouteuse était beaucoup plus abondante et je savourais un des premiers échanges de fluides intimes avec mon père.
Nos chaussures ont valsé et nos pantalons se sont retrouvés sur le même fauteuil imbriqué l’un dans l’autre de façon très suggestive. Nous étions en caleçon l’un devant l’autre. Je me suis mis à genoux devant lui sur la descente de lit et j’ai commencé à baisser ses sous-vêtements délicatement. L’apparition progressive de cette touffe de poils et l’attache de son sexe m’ont déclenché un frisson dans le dos. Mélange de chocs électriques et de bouffées de chaleur. Plus je tirais et plus la hampe m’apparaissait. Plus je tirais et plus j’avais de mal à respirer. Il faut dire qu’à part quelques touche-pipi avec des garçons de mon âge dans les box de mon internat je n’avais jamais vu en vrai le sexe d’un homme de 45 ans en érection. Comme tous les enfants de ma génération, j’avais exploré tout ce qu’internet nous livrait en pâture et j’avais musclé mon bras droit et empesé des tonnes de Kleenex devant des scènes qui si elles m’excitaient me faisaient surtout rire, car j’avais vraiment conscience que ce n’était que de la fiction.
J’avais quotidiennement vu mon père et mon oncle dénudés sortant de la douche ne se cachant plus depuis le départ de ma mère. Mais là ce n’était pas de la fiction et je sentais la chaleur qui rayonnait du corps de mon père si près de mon visage. J’ai levé les yeux vers lui et j’ai approche mes lèvres de son gland. J’ai laissé le poids de son sexe baisser ma mâchoire inférieure et je lui offrais l’accès à ma bouche et petit à petit à ma gorge.

Je revenais délicatement vers son gland gros comme un abricot et encore gainé par son prépuce qui luttait pour ne pas se retrousser. De mes lèvres resserrées je le décalottais libérant la saveur la plus incroyablement parfumée. Mélange de musc et d’épices, légèrement salé et je récupérais au passage à son méat urétral une première sécrétion lubrifiante au gout âpre, mais très addictif.
Je coulissais alors plus amplement ma main le long de son imposant chibre.
Il me releva et me souleva pour m’extirper de mon caleçon. J’étais pourtant passablement musclé et je pesais déjà 75 kilos, mais dans ses bras j’avais l’impression d’être privé de pesanteur.
Ses mains rugueuses ont commencé à me caresser de plus en plus fermement. Les caresses se sont transformées en massage, et de massage en conquête. Mon corps s’éveillait et validait toutes les sensations ressenties. Je dus m’assoir sur le bord du lit, car ma tête me tournait.
Je réalisais que je respirais tellement fort que je devais certainement être en hyperventilation. Il s’est rué sur la fenêtre pour laisser rentrer l’air et a grand ouvert le lit avant de m’y allonger. Il m’a rejoint après avoir éteint le plafonnier. C’est la fin du mois de juin. L’air de la nuit empeste le chèvrefeuille tellement la liane s’est imposée au lierre sur la façade de la maison et en plus c’est pleine lune. Il passe son bras sous ma tête et me rapproche de lui.

– Tu vas mieux ?
Je vais parfaitement bien je ne sais pas comment être plus heureux.
Je m’amuse avec les poils de son torse et ma main redescend vers son sexe pour vérifier son état.
Je n’ai pas à descendre bien bas. Je retrouve son énorme gland gonflé à bloc un peu au-dessus de son nombril.

Je redescends le long de son ventre et commence à le reprendre en bouche. Je le sens respirer plus fort et sa main descend dans mon dos et s’agrippe à une de mes fesses. Il la malaxe tendrement et essaye un doigt discret vers mon anus. Il attend patiemment pour voir quelle va être ma réaction. Je me contorsionne pour récupérer sa main et je place le doigt aventurier dans ma bouche pour le recouvrir de salive. Il me regarde un peu dubitatif, mais visiblement rassuré d’avoir mon feu vert.
Je réalise alors que je viens de lui donner mon go pour recevoir à moyen terme l’engin énorme qui peine à rentrer dans ma bouche, dans mon cul –Ce cul qui n’a connu à ce jour comme grand exploit que les trois doigts de mon binôme de chambrée à l’internat.
Je continue à engloutir de plus en plus de son imposant engin et en me rapprochant de ces poils pubiens je réalise au combien cela chatouille le nez. Je me lance un défi : une fois que j’aurais l’intégralité de son sabre en gorge, vais-je arriver à sortir ma langue pour essayer de lui lécher les couilles. J’avais lu cela dans un récit érotique et je me demandais si cela était vraiment réalisable.

Je vous confirme que cela doit être possible si la queue que vous sucez est de taille moyenne. Ce soir-là je peinais à respirer aux deux tiers de la superbe bite de mon père alors sortir la langue et lui lécher les couilles… Dans un élan de bravoure je m’asphyxiais pendant quelques secondes ayant réussi à tout engloutir et de sentir enfin le si doux gland au plus profond de ma trachée. En reprenant ma respiration je réalisais que mon ablation de la luette après de nombreux problèmes de sinusites chroniques me permettait de garder très profondément un sexe aussi gros fut-il sans avoir de haut-le-cœur. Cela devrait vite être ma marque de distinction auprès de mes futurs partenaires.
Dans un mouvement très habile, mon père se déplaça dans le lit et nous nous retrouvâmes en position pour notre premier soixante-neuf.
Sa bouche était chaude et accueillante. Sa langue experte jouait avec mes testicules et il me léchait avec une avidité déconcertante. Comment mon père notablement hétéro était manifestement si expert en caresse buccale. La solution était pourtant bien simple, mais celle-là je ne la connaissais pas à cet instant.

Évidement étant plus grand que moi il ne lui a pas était difficile de tendre le cou et d’atteindre mon anus. Je n’avais jamais été léché.
J’avais l’impression d’être un pot de miel découvert par un ours affamé au sortir d’une très longue hibernation.
Je me concentrais pour ne pas jouir et continuer à expérimenter la douceur de cette langue épaisse qui essayait de se frayer un chemin.
Je n’avais pas beaucoup d’expérience et à aucun moment je me suis rendu compte du comment la langue experte de mon père dilatait mon ouverture, mais aussi remplissait mon rectum de salive.
Se relevant brusquement il alluma la lampe de chevet et il positionna mes jambes sur ses épaules sans avoir au préalable saisi un flacon de gel dans le tiroir de sa table de nuit. Je le regardais un peu inquiet. Il a dû s’en apercevoir et m’a dit.
– Je vais aller très doucement ! tu as confiance en moi ?
J’avais beau avoir confiance en lui ce n’était pas lui qui était sur le point de recevoir une pièce de viande de la taille d’un filet mignon dans le cul !
Je lui ai fait un petit sourire en coin et pour mieux l’encourager j’ai saisi mes deux fesses et je lui ai ouvert le passage.

Cela commençait très bien, la salive avait bien lubrifié l’ouverture et je donnais un petit coup de rein pour inviter le gland à rentrer… j’ai cru que je venais de m’ouvrir en deux.
Je l’ai défié du regard en essayant de ne rien dire, ne rien montrer et d’être un bon soldat.
Il a évidemment ressenti la contraction reflex de mon sphincter. Il s’est immobilisé et même sa respiration s’est apaisée pour me rassurer.

J’avais devant moi l’homme le plus sexy qu’il m’avait été permis de rencontrer ses mains sur mes hanches son torse penché vers moi et son énorme membre en moi et nous étions paralysés.
Il s’est penché un peu plus vers moi et j’ai senti un souffle chaud qui sortait de sa bouche et que j’essayais d’aspirer.
Le souffle était apaisant, mais en se penchant le monstre s’était aventuré encore plus profondément.
Ne sachant plus quoi faire je décidais de bouger un peu pour voir si la douleur s’était dispersée.
Pas du tout elle était bien présente, mais je réalisais que chaque fois que je bougeais un antidouleur se diffusait en moi comme pour m’encourager à bouger encore plus.
Mes mouvements rassurèrent enfin mon père qui se remit à bouger en initiant des allers et venues de plus en plus amples et enfin je sentis l’incroyable sensation de ses lourdes couilles venant s’aplatir sur mon périnée.
Je ne contrôlais plus la chaleur de mon corps je suais et j’avais des frissons comme ceux que provoque le froid.

Le ventre velu et musclé de mon père frottait sur mon sexe à découvert et je voyais, lorsqu’il se relevait pour s’immiscer encore plus profondément, je voyais mes couilles rebondir contre son ventre.
La lueur de la lune dehors et le halo de la lampe de chevet conférait à la scène un mélange de douceur et de force virile.
La sueur commençait à perler sur son front je me suis redressé et j’ai essayé de l’embrasser. Les mouvements devenaient de plus en plus amples et je sentais son pouls accélérer. Je l’ai arrêté et je lui ai demandé de me prendre ventre contre le matelas.
Il en profita pour ajouter un peu de gel et je l’ai vu fouiller rapidement dans une petite boite en bois à coté de son bureau. Il ouvrit la main et me montra un anneau en silicone qu’il enfila sur sa verge.
– Cela gonfle le gland et sa donne encore plus de plaisir !
– Tu crois vraiment que c’est nécessaire ?
– Crois-moi une fois que tu y auras gouté on en reparlera.
Bien placé et bien lubrifié je ne m’attendais pas a ressentir une telle sensation. L’arrête du gland est devenue beaucoup plus ferme et autant à la pénétration je ressens une plus grande ouverture, mais rien de bien méchant par contre lorsqu’il se retire j’ai l’impression de me faire racler l’intérieur. C’est une sensation troublante, mais je me suis habitué immédiatement et depuis ce jour j’en redemande. Dans cette position j’ai l’impression d’être enculé plus profondément. Chaque passage sur ma prostate me déclenche des électrochocs et je m’entends dire d’une voix qui m’est étrange.
– Encore plus fort !
– Enfonce-moi ça plus profond
– je t’en supplie défonce moi…

Il m’obéit en me secouant tellement fort qu’a un moment je pense à ma colonne vertébrale qui doit certainement elle aussi en prendre un sacré coup !
Puis après un défonçage particulièrement musclé il me retourne comme pour vérifier que c’est bien ce que j’attendais de lui. Je l’embrasse avidement en le remerciant de m’aimer si fort. Il se repositionne entre mes cuisses et lève bien haut mes chevilles. Son gland m’ouvre d’une seule avancée et son énorme pieu s’engouffre jusqu’au fond sans escales. Alors c’est le début d’une série de vas et viens avec sortie complète du gland et prise complète jusqu’à la garde. Je suis dans un état quasi hypnotique – j’ai l’impression que son sexe a fusionné avec mon intérieur et que nous nous régalons de cet état de surexcitation. Son corps exhale désormais des senteurs captivantes et merveilleusement primaires. Je sens que mon père est entrain de perdre pied. Il accélère de plus en plus son pilonnage et soudain je ressens une ultime dilatation de sa bite et dans un mouvement plus lent il va pour s’arrêter.
Me regardant droit dans les yeux il me dit
– Je t’aime

Je me sens envahi par une coulée brulante au plus profond de moi et dans un dernier frottement de son ventre mon père me déclenche une éjaculation sans les mains : une belle inondation de cinq beaux jets d’une lourde semence bien blanche.
Mon père se penche pour lécher le tout et ne se relève que pour m’embrasser tendrement. Je goute mon sperme sur sa langue et je le remercie pour m’avoir permis de vivre le plus beau jour de ma vie.
Nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre et lorsqu’au petit matin j’ai vu la tête de mon oncle dans l’encoignure de la porte j’ai d’abord flippé en me demandant comment il allait réagir.
Il est entré avec un grand sourire et m’a embrassé très doucement sur la bouche en me disant
– Ce matin vous faites la grasse matinée. Je m’occupe des chèvres et toi je compte sur toi pour traire le bouc !
Se disant il souleva le drap pour me montrer la splendide érection de mon père encore endormi. Mon oncle avant de partir me glisse doucement à l’oreille.
– Pour le réveiller tête lui le gland il adore ça !
Je le regarde surpris de cette confidence et il me répond
– Tu vas bientôt savoir pourquoi ton grand-père a fait de ces deux fils et maintenant de son petit-fils des amants insatiables.

Bientôt la suite…

Honey bear

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💦 18 Avril | 155 pages

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Excitantes retrouvailles | 7 | +1 Max
1 | 2 | 3 | 4 5 | 6 | 7
Mon biscuit rose de Reims | 3 | +3 Coolsexe
1 | 2 | 3
Avec un homme bi | 2 | +1 Mattiheu
1 | 2
Ville Spatiale | 18 | +1 Fabiodimelano
1 | 2 | 3 | 4 | 5
6 | 7 | 8 | 9 | 10
11 | 12 | 13 | 14 | 15
16 | 17 | 18
Destins croisés | 16 | +1 Sylvainerotic
1 | 2 | 3 | 4 | 5
6 | 7 | 8 | 9 | 10
11 | 12 | 13 | 14 | 15
16 Fin
Le Monstre de Pondichery | 14 | +1 Fabrice
1 | 2 | 3 | 4 | 5
6 | 7 | 8 | 9 | 10
11 | 1213 | 14
Confinement en famille | 2 | +1 Meetmemz
1 | 2
Pacha rebeu | 2 | +1 Meetmemz
1 | 2
Entre potes | 15 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5
6 | 7 | 8 | 9 | 10
11 | 12 | 13 | 14 | 15
Mon beau-frère | 16 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5
6 | 7 | 8 | 9 | 10
11 | 12 | 13 | 14 | 15
16

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