Chapitre 1
Salut, moi c’est Sébastien, 171 cm, 68 kg. Physiquement j’ai un peu de ventre, j’ai pris un peu de poids dernièrement, j’ai un peu de seins. Je suis plutôt poilu… enfin rien que ne fasse vraiment rêver, mais j’arrive à plaire…
Un soir je m’ennuyais chez moi je trainais donc sur une appli de rencontre sur mon téléphone. Je ne trouvais pas grand-chose, j’avais envie d’un bon plan fun, d’une bonne défonce, d’une bonne queue.
Cela faisait trente minutes que je trainais sur l’application, le désir montait ainsi que ma gaule, je regardais les photos des membres. Voir ces corps musclés, poilus ou non et ces queues… J’avais de plus en plus envie, je me demandais même si je n’allais pas me rabattre sur un mec qui me plaisait pas trop, mais avec une bonne queue histoire de baiser. Cela fait plusieurs moi, suite à une rupture que je n’ai pas rencontré un mec et là j’en avais grave envie.
Je reçois un message d’un mec « Grave envie maintenant ». Je regarde son profil, sa tête n’apparait pas, juste son corps, musclé, poilu sur le torse dessinant encore plus son torse. Évidement il me plait beaucoup. Je lis un peu plus, il est seulement actif, super je suis seulement passif. Je me dis qu’il joue dans une autre catégorie et que je ne vais pas lui plaire. Je reviens sur la conversation et il m’a envoyé des photos. Il y a deux mecs, il me dit que c’est lui et son pote et qu’ils cherchent un passif prêt à encaisser. Son pote est plus sec, plus fin et sans poil, mais ils ont tous les deux une très jolie queue. Son pote un 19 cm, fine, et lui un 18 cm et plutôt très épaisse. Je suis aux anges devant ces photos, j’ai une bonne gaule et en même temps un peu d’appréhension, ça fait plusieurs mois que rien n’est passé, je me suis jamais fait prendre par deux mecs dans la même soirée… j’ai un peu peur. J’essaye de me défiler en leur disant « Wahou super sexy, mais on joue pas dans la même catégorie, je suis pas top physiquement ». Là je me dis ça va les décourager ça aura été un bon fantasme le temps que ça a duré.
Je reçois alors un « tkt on s’en fout, on a juste grave envie de se vider, par contre si tu viens il y a qu’une seule règle ». Mon cœur s’emballe et m queue aussi, je peux avoir la chance de me faire sauter par deux beaux gosses. J’aime beaucoup sa façon de s’exprimer « juste envie de se vider », cela fait très mâle, le mec sait ce qu’il veut et il va se faire plaisir. J’ai déjà fait des plans dominants et j’ai beaucoup aimé même si j’ai honte de l’avouer, mais sentir un mec prendre complètement le dessus, être à sa merci, être là pour son plaisir c’est réconfortant.
Ces mots maintenant me font me questionner, qu’une seule règle ? Qu’est-ce que ça veut dire ? Je leur réponds « je vous écoute ». La réponse ne se fait pas attendre « pour avoir la chance d’être baisé par nous il faut que quand tu viennes et que tu fasses ce qu’on te dit. Si à un moment tu le fais pas, tout s’arrête, et on te fou dehors à poil. » L’excitation est à son comble, j’ai envie d’y aller, de foncer, de vivre mon plan à fond, d’être utilisé, baisé… et puis je me dis merde jusqu’où ils veulent aller. Car j’aime quand c’est sauvage, mais je n’ai pas envie de me faire péter la gueule, chier dessus… Je décide de poser une question « Mmmmmh excitant. Vous avez quoi comme délire pour savoir si ça match. » Une fois de plus la réponse est direct « qu’une façon de le découvrir vient ». Je n’aurais pas plus d’information. Quelques secondes après « bon tu te décides où on passe au suivant ». Cette phrase fait un électrochoc en moi, merde je vais passer à côté d’un bon plan. Tu en rêves Seb c’est le moment de te lancer, au pire ça ne te plait pas tu dégages, t’arrêtes tout. « Ok je prends une douche et j’arrive ». « Grouille !!!! ».
Je me douche rapidement, j’enfile un joke, ces boxers avec le cul ouvert, et je me lance. Je fume une clope sur la route. J’ai le cœur qui bat la chamade, je repense à leurs photos, ils sont vraiment sexe et ces queues je vais prendre cher. J’en meurs d’envie et en même temps assez terrorisé. J’arrive devant l’adresse, je fume une autre cigarette pour me donner le courage. Je monte et je frappe à la porte. Celui qui m’a écrit ouvre. Il est en jogging, torse nu. Rien que de le voir là je ne regrette pas d’être venu.
Lui : rentre.
Je tremble presque, d’excitation et de peur.
Lui : Bon je répète à partir de maintenant ce que je dis tu le fais, si tu ne le fais pas tout s’arrête.
J’hoche la tête, je suis incapable de parler, j’ai le ventre serré. Il me fait rentrer dans le salon, son pote est avachi sur le canapé, en jogging aussi, une cigarette au bec, buvant une bière et matant un porno gay sur le grand écran. Un mec est attaché sur un sling, plusieurs mecs sont autour et il se fait démonter par tous les trous. Cela donne l’ambiance de la soirée à venir.
Lui : C’est vrai qu’habillé t’as pas l’air super top. Tu nous trouves comment nous ?
Moi, timidement : super sexy.
Son pote : c’est tout ce que tu trouves à dire ? Va falloir y mettre du tien.
Moi : j’adore vos corps, je rêverais d’en avoir un comme le vôtre. Vous ressemblez à mes fantasmes.
Lui : ah ben voilà ! Ce soir on veut voir de l’admiration dans ton regard, à partir de maintenant tu nous vénères. Ce que lui te dit c’est comme si c’est moi qui te le dis donc tu fais.
Je hoche une nouvelle fois la tête. Ils sont tous les deux installés sur le canapé, une bière à la main, leur regard allant de la télé à moi. Moi je suis débout ne pas savoir quoi faire. J’admire leur corps, leur sourire, leurs yeux et j’essaye de voir une bosse apparaitre sous leur jogging.
Lui : bon fou toi entièrement à poil.
Ok c’est le moment, un petit coup de panique et si mon corps était vraiment trop laid pour eux ? Et s’ils me renvoyaient chez moi sans avoir vu leur bite…
Son pote : aller dépêche.
Je m’active, j’enlève mes baskets et chaussettes puis mon pantalon.
Moi : j’ai mis un joke je dois l’enlever aussi ?
Son pote se lève, s’approche de moi, attrape ma tête et me crache à la gueule.
Son pote : tu parles que si on te pose une question.
Je baisse la tête. Que j’ai aimé recevoir ce crachat, je le sens couler sur ma joue, je tends alors la langue aussi discrètement que possible pour gouter à sa salive ! Il se met à rire.
Son pote : ah comme ça t’aime les crachats ?
Moi : tout ce qui vient de vous est une vraie chance.
Son pote : ah ouais t’es une vraie chienne on va bien s’amuser. Ouvre la bouche.
Je m’exécute immédiatement et il me recrache dessus, mais cette fois directement dans la bouche. J’étais en train de refermer ma bouche quand je reçus une baffe.
Son pote : je t’ai pas dit d’avaler.
Je rouvrir la bouche et il en crachat deux de plus. Puis il rentra un doigt dans ma bouche il m’ordonna de le sucer. Après une ou deux minutes, il me dit de finir de me déshabiller, mais de garder mon joke. Une fois nu ils me firent monter sur la table basse, debout, les mains derrière le dos pour pouvoir voir mon corps.
Lui : c’est vrai que t’es pas terrible, ces poils, ce petit ventre et surtout ces seins.
Il se lève et vient mettre une main sur mon sein.
Lui : remarque ça fait penser à une meuf.
Ils se marrent. Ils viennent se mettre de chaque côté de moi, face au miroir au-dessus du canapé. On voit nos torses. Chacun une main sur un de mes seins.
Lui : tu vois ça c’est ce qui fait qu’on est des vrais mecs et toi juste une salope à baiser.
Son pote : ouais t’es rien toi, tu comprends la chance que t’as qu’on te laisse nous voir, de recevoir notre salive et tout ce qu’on voudra bien te donner ?
Moi : je me rends compte de cette chance.
Lui à genoux. Je m’exécute tout de suite. Son pote sort son téléphone. J’allais protester :
Son pote : rappelles toi, tu fais ce qu’on veut où tu dégages.
Je ne sais pas quoi faire, se faire dominer et traité comme une chienne c’est une chose qu’ils en gardent la preuve s’en est une autre. Mais en même temps ils sont là au-dessus de moi, sexy, torrides. Ils se mettent à me cracher dessus après m’avoir demandé d’ouvrir ma bouche. Je me suis exécuté, l’autorité dans leurs voix me faisait me soumettre. Ils m’insultaient et me crachaient dessus. Ils ne m’avaient toujours pas dit d’avaler, mais j’en mourrais d’envie. Son pote m’attacha les mains derrière le dos. Ils étaient toujours debout sur la table basse. Ils sortirent leur bite en même temps, assez molle. Tout à coup je sentis un liquide chaud couler sur ma tête je me retournais vers le poilu, il était en train de me pisser dessus. L’odeur était assez forte, mais j’aimais cette vision de lui en train de me pisser dessus, sur la tête, le visage, le corps, la bouche. Son pote sortit son jet à son tour. Je recevais de la pisse de toute part, je n’arrivais pas à y croire que je me laissais faire comme ça, que j’adorais cette sensation chaude sur mon corps. Je me délectais de ce doux nectar, je ne pouvais m’empêcher d’avaler.
Lui : regarde comment il bande, il aime qu’on lui pisse dessus.
Son pote : une vraie fiotte, une chienne, une garce, une merde, un urinoir, un vide couilles.
Ils s’amusaient comme des fous. Moi j’avais qu’une envie c’était de gober ces queues, de les sentir au fond de ma gorge et de mon cul, j’étais en transe, prêt à faire n’importe quoi pour avoir ces queues. Ils me firent me doucher après qu’ils m’aient pissé dessus. Je reviens dans le salon, je les trouve à poil, la bite à la main devant le porno.
Lui : t’aimes les pieds ?
Moi : pas trop.
Lui : dommage pour toi, lèche nos pieds.
Je me mis donc entre eux, à quatre pattes comme ils me l’ordonnèrent et j’entrepris de leur lécher les pieds. Je n’étais pas fan des pieds ni de l’odeur, mais j’aimais me retrouver là à leur pied. Ils me faisaient sucer leurs orteils, lécher la plante ou le dessus. Ils essayèrent même de rentrer leur pied dans ma bouche. J’avais le cul tourné vers eux et recevais de temps en temps des claques ou des crachats.
Son pote : on pourrait passer aux choses sérieuses non ?
Lui : grave !!!!
Chuuuut17
Autres histoires de l'auteur : Plan d'un soir | Du fantasme au vide couille | Comment je me suis fait violer le cul