J’ai 18 ans. Je ne suis ni beau ni moche.
La vérité est que je suis plutôt séduisant. Avec mes 1,80 m 65 kg, yeux bleus. Beaucoup de filles me tournent autour. Mais porté par une timidité excessive, je ne les remarque même pas.
Après, c’est le bordel dans ma tête. Depuis que je suis rentré dans ce sex-shop, pour assouvir mes fantasmes par le plaisir solitaire. Je suis tombé sur un film gay. Au lieu de me dégouter, j’ai aimé cela.
Sucer une bite, se faire dominer, j’en ai tellement envie maintenant.
Septembre 1992
C’est le rentrée. Mon père a décidé de me louer un appartement. Je suis en école de paysagiste, loin de chez moi. 500 km pour être exact. Donc pas évident de rentrer chez moi tout les week-ends. Un pied à terre s’imposait. Le deal c’était de partager le logement avec un autre mec, que je ne connaissais pas.
Vivre en co-location pour partager les frais. C’est comme çà que je fis la connaissance de Vincent. Il avait l’air d’un rugbyman avec sa carrure impressionnante. 21 ans 1.90m 85 kg, déjà un beau bébé
Nous sympathisâmes rapidement. Lui parlait beaucoup moi non. Nous avions les mêmes gouts pour le hard rock, pour la passion des plantes. Nous ne parlions jamais de notre sexualité. Moi, j’étais encore puceau, lui ne devait plus l’être depuis longtemps. Souvent, quand il sortait de la salle de bain, après la douche. Je me surprenais à le mater. Il était en boxer qui laissait deviner un engin très prometteur et une grosse paire de testicules. Et le soir dans mon lit, je me masturbais en pensant à lui. J’étais loin de m’imaginer bientôt que mes désirs deviendraient réalité.
Un soir que je lavais la salle de bain (nous avions un tour de ménage une semaine sur 2) ; il arriva pour prendre sa douche., ne fit même pas attention à moi. Il se mit nu et alla direct se laver. Nous vivions en commun, mais c’est la première fois que je le voyais entièrement déshabillé. Sa bite était déjà énorme au repos au moins 17 cm. Je ne pus m’empêcher de détourner mon regard de lui. Son corps est tellement magnifique. Plus je le matais plus je sentais son sexe grossir. Il se mit à la tripoter comme s’il se masturbait. J’ai du en rêver, car aussitôt il prit sa serviette et se sécha. J’étais déjà tout penaud, gêné de m’être rincé l’œil aussi longuement. Mais il ne dit rien, ça ne l’avait pas choqué. Je continuais mes taches ménagères tranquillement, à nettoyer le lavabo, penché avec une éponge. Je le sentis à peine quand il s’approcha de moi. Il avait retiré sa serviette autour de sa taille, approcha sa bite de mon cul. Je la sentis très dure à travers mon short.
– Tu crois que je n’ai pas remarqué ton petit manège me dit il
– Quoi ? dis-je en bafouillant
– Tu n’arrêtes pas de me reluquer quand je sors de la douche. T’ as plein de revues de pd en dessous de ton lit. Tu dois te branler tous les soirs en pensant à ma queue.
– heu, je ne savais plus quoi dire
– Retourne toi, espèce de pute ? mets-toi à genou
Je m’exécutais sans rechigner. Je me retrouve en face à face avec sa verge.
– Pompe salope
Je me mis à le sucer avec ardeur. C’était ma première fois, je ne regrettais rien. Il me viola la bouche. Me donnait de violents coup de queue pour que je la sente bien au fond de ma gorge. Cela dura bien 5 minutes, un plaisir total. Ce qui suivit allait être l’apothéose. Il m’ordonna de me retourner. Il arracha mon short et ni une ni deux me bouffa le cul avec sa langue. J’étais aux anges.
– Je vais te dépuceler petite pute
Je compris tout de suite. Il me pénétra avec son énorme chibre. Je poussai un cri. Il me faisait mal, à rentrer comme ça dans mon cul serré. Le bien succéda au mal. J’étais en extase au fur et à mesure de ses coups de boutoir. Il sortit de mon cul au bout de quelques minutes, et voulut tout déverser dans ma bouche. Il me fit tout avaler. J’eus l’impression que son sperme avait un gout sucré. J’adorais ça.
Suite à ça, nous ne baisions pas tous les soirs. C’était suivant son humeur. En tous cas, il fallait que je me tienne prêt. Il pouvait débarquer à toute heure dans mon lit pendant que je dormais. Je devais être bien penché et avoir le cul bien ouvert. Alors tous les soirs je me préparais. Quand çà avait le bonheur d’arriver, je me réveillais le matin avec l’odeur de son foutre dans me draps. Quel bonheur !!
Après cette année 92-93, je ne revis plus jamais Vincent. Il quitta le lycée et trouva un travail. Il souhaita qu’on en finisse. Mais jamais je n’oubliai cette période de ma vie.
J’ai maintenant près de 50 ans. Je suis marié à une femme. De temps en temps, mon envie de sexe d’homme prend le dessus. Je me branche alors sur une célèbre application de rencontre, ou je n’ai pas de mal à trouver un dominateur. En pensant à Vincent.
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Fab95
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