Premier épisode | Épisode précédent
Me voilà donc dans ce lit à moitié endormi dans les bras musclés de Tony ce bel étalon noir qui m’a pris toute la nuit avec une puissance et une endurance que je n’ai jamais connues avant lui, une sensation incroyable d’avoir été la femelle d’un tel mâle dominant. J’en suis encore tout retourné et encore dans mes rêves érotiques, seule une femme ou un vrai passif peuvent comprendre ce que je ressens à ce moment-là.
M — Oooohhh oui chéri j’ai dormi comme un bébé. Trop bien, surtout après ce que tu m’as fait.
T — Moi aussi ma puce j’ai grav kiffé cette nuit, t’es vraiment super bonne. J’avoue que j’ai été surpris, je pensais pas qu’une petite tapette blonde bourge pouvait être aussi salope et chienne au lit. Tu m’as bluffé bébé, t’encaisse grav bien et je peux te dire que même certaines meufs n’ont pas été aussi endurantes et bonnes comme toi.
Tout en me parlant il me fait des bisous tendres sur mon cou, mes cheveux, mes épaules, ses mains me caressent les hanches, les fesses, le visage, avec une tendresse qui change de la façon super hard et virile dont il a usé pour me prendre cette nuit.
Malgré ses paroles crues, vulgaires et qui peuvent paraître humiliantes j’avoue que je me sentais fier d’avoir été une bonne femelle soumise et d’avoir été à la hauteur d’un mâle comme Tony qui a dû connaître tellement de filles et même de garçons.
T — Par contre j’ai une question qui m’intrigue ma belle, j’ai bien remarqué pendant que je te baisais qu’il te manquait une chose importante. Pourquoi t’as pas de testicules, tu t’es fait opérer ou quoi ?
(Je fais une pause dans mon récit, je vais lui dire pourquoi j’ai cette anomalie et après je ne le mentionnerai plus dans mon histoire parce que bien sûr tous ceux qui m’ont pris me l’ont demandé…)
M — Et bien en fait quand j’ai eu 7 ans je me suis fait attaquer par un chien qui m’a mordu au niveau de mon sexe et on a été obligé de me faire une ablation des testicules parce que ça s’infectait et que je pouvais en mourir. Voilà pourquoi depuis je n’ai plus de testicules.
T — Ah OK désolé chéri, mais je sais maintenant pourquoi t’es aussi belle t’es pas vraiment un mec vu que t’as pas de couilles et donc tu t’es développé comme une fille.
Il se mit à rire fortement content de sa réflexion. Il faut dire qu’il n’a pas tout à fait tort car depuis ce moment ma vie a changé, je n’avais plus de testostérone et je grandissais de façon de plus en plus féminine. Ma voix, mon allure, mon visage, tout en moi était une fille et même mon attirance envers les garçons, une vraie fille.
Je me suis retourné, lui faisant face et approchant mes lèvres réclamant un baiser que j’ai eu. Il m’a alors roulé une pelle dont il a le secret enfonçant sa langue, prenant possession de ma bouche comme un sexe de mon cul, wahooo quel mec !!! Je fonds encore en regardant ces grands yeux noirs dominant mes yeux bleus.
Ce baiser a duré longtemps me laissant essoufflé et pantelant dans ses bras. Je mis alors ma tête contre son torse puissant entouré par ces bras protecteurs, comme une petite fille cherchant des câlins.
À un moment mon téléphone sonne m’indiquant un message qui me ramène à la réalité.
M — Désolé chéri je dois aller voir qui me laisse un message, c’est peut être ma mère.
T — Vas y ma puce, je comprends que maman s’inquiète pour sa petite fifille chérie ahahah.
Je sors du lit, Tony ne pouvant s’empêcher de me mettre une petite claque aux fesses me faisant pousser un petit cri aigu qui m’a échappé, ce qui a encore fait rire Tony.
T — Ahahahah t’es vraiment une vraie meuf bébé.
Je prends mon téléphone et lis le message :
« Salut Princesse, ta grand-mère t’attend à 10 h au château, elle compte sur toi »
C’est un message codé qui vient du service, princesse c’est mon nom de code, grand-mère c’est la chef du service, le château c’est le bureau et quand le message dit on compte sur toi c’est que c’est super urgent. Quand grand-mère veut me voir c’est pas pour rien loops qu’est ce que j’ai fait encore ? Bon, je n’ai pas intérêt à rater le rendez-vous.
Je regarde l’heure, houla déjà 9 h je dois pas trainer.
T — Alors, c’est belle maman qui s’inquiète ?
M — Non, c’est ma grand-mère qui veut me voir, c’est urgent. J’espère que ce n’est pas trop grave je dois y aller mon chéri.
T – Ooohh dommage j’aurais bien profité encore de ton petit cul ou même de ta petite bouche ahahahah.
M — T’en as déjà bien profité cette nuit et si je me fie à ma démarche je sens encore ta présence dans mon petit trou lol. Je peux utiliser ta salle de bain ?
T – Bien sûr ma puce, vas y fais comme chez toi bébé.
Après une bonne douche qui m’a permis de nettoyer les traces de nos ébats de la nuit et de me rafraichir en me donnant une allure plus acceptable,
je reviens vers la chambre pour m’habiller. Je retrouve Tony debout nu sa grosse queue pendante j’en ai encore le souffle coupé, mon dieu comme ce mec est beau !!! Il me prend dans ces bras et m’embrasse.
T — Hum tu sens si bon et tu es si canon je craque totalement pour toi ma puce.
M — Merci Tony toi aussi t’es trop beau, mais, je t’en prie, je dois y aller, je ne veux pas être en retard.
T – Tu as raison princesse tu dois y aller avant que je perde mes moyens et que je te défonce là maintenant ahahahah.
C’est sûr que le risque existait, vu l’état de son sexe qui à force de me coller, grossissait à vue d’œil.
Je me rhabillais rapidement pendant que Tony mettait, lui, son boxer,
T — Tu veux que je t’accompagne chez ta grand-mère ?
Houlà, la question qui tue.
M — Non merci mon chou je vais prendre le métro ça va être plus rapide, mais c’est gentil t’es un vrai gentleman.
En lui faisant mon plus beau sourire.
T – Normal quand on est avec une princesse comme toi on se doit d’être à la hauteur ma puce. Au fait on se revoit quand ? j’ai grave envie de remettre ça avec toi bébé.
M — Moi aussi chéri j’ai envie qu’on se refasse une soirée ensemble, mais là, laisse-moi me remettre de celle-là mdr Tu m’as tué… tu as mon num appelles moi.
On se quitte, non sans qu’il m’ait pris dans ses bras pour me rouler une pelle d’enfer, me coupant le souffle et me laissant le visage tout rouge.
J’arrive peu avant 10 h au bureau où je sens une certaine effervescence. La secrétaire me claque la bise et me dit d’un ton sérieux « on t’attend dans le bureau de grand-mère, va vite ma belle “.
J’entre dans le bureau où je vois grand-mère, Alex mon responsable d’opérations et 2 autres personnes que je connais pas : un homme d’âge mûr qui fait genre cowboy, blouson en cuir et visage pas très cool et l’autre plus jeune bg avec un physique sportif.
GM — Ah te voilà enfin, on attendait plus que toi. Messieurs je vous présente Gwenael notre agent. Gwen je te présente Henry T. Chef de la brigade anti gang de Paris et l’inspecteur Jules P.
M — Enchanté.
J’ai l’air d’une petite fille au lycée devant un conseil de classe, j’en mène pas large.
GM — Bon allons directement dans le vif du sujet, tu te demandes pourquoi je t’ai fait venir avec ces messieurs de la police, je crois savoir que tu connais… et de très près apparemment… un certain Tony L.
M — Euh oui c’est vrai j’ai passé la soirée avec lui, mais pourquoi ? C’est ma vie privée.
H.T — Oui petit, mais quand un agent des services spéciaux se fait sauter par un des caïds parisiens du trafic d’armes alors qu’on le piste depuis un moment, c’est plus ta vie privée et nous on se pose des questions.
Alors là je suis sonné. Quoi, Tony est un trafiquant d’armes ? Je n’en reviens pas.
À — Je te comprends Gwen, c’est difficile à encaisser, mais c’est la vérité, l’inspecteur Jules a été infiltré il t’a vu hier soir et après t’avoir identifié, il nous a prévenus.
M — bon bah c’est pas de chance pour moi, mais en quoi ça nous intéresse, c’était juste un coup d’un soir je vais pas le revoir donc c’est juste du hasard.
GM — C’est pas si simple que ça Gwen. Jules pouvez vous redire à Gwen ce que vous avez appris hier soir au pub quand vous étiez infiltré comme barman ?
J – Eh bien, dans un premier temps, ça va pas te plaire Gwen, j’ai entendu une conversation entre Tony et un de ses amis à propos de toi. Il lui disait que tu n’étais pas une meuf, mais une petite pédale qu’il avait envie de se faire. Son pote lui a demandé s’il pouvait te sauter aussi et il lui a répondu que dès qu’il t’aura ‘explosé la rondelle’ texto je suis désolé, il te prêtera à son pote. C’est la règle dans le milieu, ils s’échangent leur meuf, alors oui c’est pas fini pour toi. Son pote va sûrement t’appeler pour te proposer de te voir en soirée.
Je suis tout rouge de honte et fou de colère envers Tony, quel salaud ;
M — Bah j’ai qu’à refuser de le voir c’est très simple.
H.T — Sûrement pas petit. C’est une opportunité qu’on peut pas louper : le pote en question c’est Luis D. Le big boss de la bande, tu comprends ?
GM — Pour être clair Gwen, c’est ta nouvelle mission, on va collaborer avec l’anti gang, tu vas attendre l’appel de ce Luis et dès que tu auras l’invitation on va ensemble mettre en place l’opération et on te dira ce qu’on attend de toi.
A — Voilà, fin de la réunion, merci messieurs. Merci Gwen, on se reverra comme l’a dit GM dès que le contact sera pris.
Les chefs commencent à parler ensemble quand le jeune inspecteur s’approche de moi avant qu’on sorte du bureau.
J – Je suis encore désolé Gwen que ça tombe sur toi, parce que il faut que tu saches que c’est pas des enfants de cœur ces mecs, ils sont même super dangereux.
M — c’est sûr que ça me rassure pas, mais bon c’est aussi mon job ce genre de mission, j’ai l’habitude.
J – Au fait, je voulais te dire que si Tony n’avait pas dit que tu es un garçon jamais je l’aurais deviné, on a dû te le dire des centaines de fois, mais t’es vraiment canon, ce soir-là au pub tous les mecs bavaient sur toi et les filles étaient toutes jalouses. J’ai entendu toutes les conversations sur toi, tu étais la princesse de la soirée.
M — Merci c’est gentil.
Je sens que je rougis face à ce BG qui me drague un peu.
M — Mais je suis vraiment un garçon et gay, j’assume ce que je suis.
J — Et c’est très bien d’assumer ce qu’on est et son physique… surtout quand on ressemble à un top-modèle blonde super canon.
Là c’est sûr, le mec me drague à fond et je ne sais quoi dire.
J — Je suis pas gay, mais j’avoue que j’aurais bien aimé être à la place de Tony hier soir.
Voilà c’est confirmé, le bel inspecteur de l’anti gang veut me pécho et me le fait savoir le plus directement possible.
M — J’imagine bien et je suis flatté… Je dois y aller là, je suis fatigué, ma nuit a été très mouvementée avec Tony.
Je n’en reviens pas d’avoir dit ça à ce mec, ça fait vraiment allumeuse surtout que je l’ai dit en le regardant droit dans les yeux tout en jouant avec ma longue chevelure blonde comme une petite ado face au BG du lycée Mdrrr.
J – Je vais être direct Gwen, tu me plais beaucoup, est ce que je peux te demander ton num, j’aimerais qu’on se revoie… en dehors du boulot bien sûr.
M — Pourquoi pas, c’est le 06.. .. .. .., ça me fera plaisir de te revoir Jules… en dehors du boulot.
Je lui fais mon plus beau sourire d’allumeuse et sors du bureau en saluant tout le monde, encore un qui succombe à mes charmes et qui va me planter son dard au fond de moi… hum j’ai hâte.
Après une nuit de repos où mon corps s’est remis des assauts que lui a infligés Tony, je me retrouve à la fac pour mes cours.
S — Eh coucou Gwen, comment tu vas ?
Stéphanie me capte directement à mon arrivée et se jette sur moi pour une accolade et des bises, genre ça fait des mois qu’on s’est pas vu mdrrrr.
M — Salut Steph, alors raconte ta soirée avec le beau Pascal, je veux tout savoir hihihi
S — Eh bien, à ton avis ? Je me retrouve seule avec un beau black… il est trop wahoooo… un vrai étalon j’ai kiffé comme une folle… et un engin… la réputation des blacks est tout à fait vraie… ils ont la taille et ils savent s’en servir, en tout cas Pascal a été merveilleux, mais question black je vais rien t’apprendre n’est-ce pas hihihi, il parait que Tony est le meilleur mâle de la famille, tu as dû grave déguster ma belle.
Je la regarde avec un petit sourire qui voulait tout dire et on s’est mises à éclater de rire, juste à ce moment Paul nous retrouve.
P — Alors les filles, je vois que vous êtes de très bonne humeur, votre soirée a dû être intéressante j’imagine.
On sent une pointe de jalousie dans sa voix, il a pas digéré notre escapade avec Tony.
S — T’imagines très bien, on s’est super bien amusées, surtout notre petite princesse blonde, elle a fait fureur chez les blacks hihihi n’est-ce pas Gwen ?
M — N’importe quoi, ne fais pas attention à elle, Paul, elle le fait exprès pour t’énerver. Allez, on va en cours.
La semaine se passe normalement avec les cours, les amis, enfin la routine de la vie étudiante et bien sûr je n’ai fait aucune allusion à Steph sur les activités de Tony et sûrement de Pascal, son cousin.
Vendredi soir, je suis avec Steph, Paul et des potes au paradou un club où on va souvent en fin de semaine pour s’amuser, boire, danser et parfois ça arrive qu’on se fasse plaisir coté sexe, les toilettes ont été le lieu où j’ai sucé plusieurs mecs et où quelques fois certains m’ont fait crier et couiner sous leurs coups de bites… Vous le savez déjà j’aime le sexe et j’assume totalement !!!
Mon téléphone sonne.
M — Allo
J – Bonjour Gwen, c’est Jules tu te souviens de moi ?
M — Bien sûr comment oublier monsieur le plus beau inspecteur de l’anti gang. Tu en as mis le temps avant de m’appeler je suis extrêmement déçu…
J – Désolé ma belle, mais beaucoup trop de travail cette semaine, tu fais quoi là, on peut se voir ?
M — Bah là bg je suis avec des potes à notre club préféré, si tu veux me voir viens nous rejoindre.
J — Ok je viens, vous êtes où ?
M — Au paradou… je t’attends, mais fais vite je suis déjà bien entouré hihihi
J — Ton chevalier arrive princesse…
Vers 22 h la boite était assez remplie, avec une humeur festive, propre aux soirées étudiantes. On était tous installés sur un canapé circulaire assez confortable autour d’une table basse remplie de bouteilles et de verres. Les garçons nous firent boire Steph et moi et commencèrent leur show oral, les blagues, anecdotes, les petites histoires fusaient dans tous les sens, comme les shots de vodka, et j’appréciais tout. L’alcool aidant, je commençais à être moi-même très éméché et certains garçons en profitaient avec leurs mains baladeuses, quand Jules nous repéra immédiatement et vint vers nous..
M — Ah enfin Jules, tu es là.
Je me levai, il me claqua la bise, salua Steph, mais regarda à peine les garçons. La bataille de coqs vient de commencer et Jules avait bien l’intention de jouer le rôle du mâle dominant.
M — Jules, je te présente mes potes de fac, les amis, je vous présente Jules… un ami.
Il s’assit à côté de moi, commence à discuter de tout et de rien tout en buvant.
Au bout d’un moment, il se lève et me dit en me tendant sa main.
J — Bon, on va danser Princesse.
Je saisis sa main qu’il avait tendue vers moi et le suivis sur la piste de danse. Steph et quelques garçons sont venus danser avec nous.
On commençait à danser au milieu de la foule. Il réussit à se glisser derrière moi et profitant de la foule pressante, se colla à mes petites fesses. Je me laissais faire. Jules plaça alors sa main sur mon ventre et me plaqua encore plus contre lui, nous dansions maintenant fesses contre pénis. Je ne sais pas si c’est l’alcool ou l’excitation, mais j’étais endiablée et je tortillais du cul comme jamais, en passant ma main dans mes longs cheveux blonds. Jules semblait apprécier le traitement.
Soudain, je fus tout étonné et retournai ma tête vers Jules pour le regarder dans les yeux. Je venais de sentir l’énorme bite qui était collée contre mes fesses et qui ne cessait de grandir sous l’effet de l’excitation. Elle était bien longue et épaisse. Jules me lançait un sourire qui montrait sa fierté d’être aussi bien équipé. Je souris franchement aussi, mais me décollais de lui pour maintenant danser face à lui, collé-serré.
Jules avait maintenant posé sans aucune gêne une de ses mains sur mon petit derrière, que mon jean slim mettait parfaitement en valeur. Il pelotait largement mes fesses, l’une après l’autre, avec sa main en mode propriétaire.
Jules regarda droit dans les yeux mes potes qui dansaient avec nous, j’étais dans ses bras, dos à eux, il plaça ses deux mains sur mes fesses et les pelota sans aucune pudeur. Je continuais de danser comme si de rien n’était, je les avais totalement oubliés… Jules les fixait et leur fit comprendre que maintenant mes fesses lui appartenaient, il les avait prises et c’était maintenant son territoire.
Notre danse dura une dizaine de minutes avant que Jules ne décide d’aller nous rasseoir pour boire un autre verre. Il m’emmenait par la main jusqu’à notre table, il n’y avait presque plus de places assises. Jules s’assit et m’invita à m’asseoir sur ses genoux, vu que les chaises étaient rares à ce stade de la soirée. Sans trop hésiter je m’exécutais en me jetant à moitié sur lui. Mes fesses allèrent se poser sur l’entrejambe de Jules qui ne devait pas rester insensible.
Vers une heure du mat’ toujours assis sur les genoux de Jules dont les mains se faisaient de plus en plus entreprenantes, caressant mes cuisses, jouant avec mes mèches de cheveux, la soirée devenait très chaude et c’est à ce moment que Jules me dit à l’oreille.
J – Faut qu’on y aille bébé, t’es trop bandante je vais pas pouvoir tenir longtemps avec tes petites fesses qui se frottent contre ma queue, j’ai grave envie de te défoncer et si on part pas maintenant je crois que je vais te sauter sur cette table devant tes potes.
Je me mis à rire et lui répondis en le regardant droit dans les yeux.
M — Huuummm. ça pourrait être excitant, mais tu as raison enlèves moi mon beau chevalier.
Je me lève péniblement aidé par Jules qui me soutenait en tenant mes fesses. On dit bonsoir à tout le monde. J’ai droit à un clin d’œil complice de Steph, on sort de la boite Jules me tenant par la taille et on rejoint sa voiture sur le parking.
Une fois installé dans sa voiture Jules se rapproche de moi, me regarde dans les yeux et m’embrasse à pleine bouche enfonçant sa langue pour une pelle à me couper le souffle, un vrai baiser de mâle dominant.
20 minutes plus tard je me retrouvais dans le lit de mon amant en levrette en train de couiner et hurler sous les coups de boutoir de ce beau mâle viril.
J – Tiens prends ça petite salope, t’aimes ça ma grosse bite dans ton petit cul ? Vas-y dis moi que tu kiffes de te faire défoncer ?
M — Oooooohhh ouiiiiii j’aime ça vas-y baises moi à fond, ta bite est si grosse, plus fort ouiiiiiiiiiii, c’est troooop bon aaaaaahhhhhh encooooore…
Je ne sais pas si c’est parce que j’avais trop bu ou l’excitation de ce que me faisait ce mâle dominant et puissant, mais je me lâchais comme une folle nympho qui aime se faire sauter comme une chienne à 4 pattes.
Jules m’a pris dans différentes positions plusieurs fois pendant la nuit remplissant ma petite chatte de mec et ma bouche de son jus d’homme en m’insultant, me fessant, me tirant les cheveux pour bien me cambrer et me montrer sa domination et ma soumission.
Les garçons ont toujours été très virils et machos avec moi, je sais que ça peut paraitre humiliant, mais j’assume mon rôle de femelle et j’aime ça en plus.
La dernière saillie m’a fait pousser un cri strident pendant qu’il se déversait dans mon cul, me fécondant de sa semence de mâle.
Il s’écroulait sur mon dos épuisé par cette nuit de baise torride, m’imposant son poids et sa queue encore en moi. Au bout de 5 minutes il se détachait de mon cul et s’allongeait à côté de moi. Son jus commençait à s’écouler de mon petit trou meurtri.
Sa main s’est posée sur mes fesses d’un geste de propriétaire.
J – huuummm j’ai trop aimé ce petit cul chaud ma belle, tu m’as épuisé. T’es vraiment un super coup, tu vaux la meilleure des femmes que j’ai baisées, trop canon princesse.
J’étais trop crevé pour pouvoir dire quoi que ce soit, l’air me manquait. J’essayais de récupérer de ce que je venais de subir, c’était tellement fort, j’avoue que Jules est un super flic qui sait se servir de son arme.
Il se collait à mon dos me caressant les cheveux, me faisant des bisous dans mon cou.
J – Alors ma puce tu dis rien t’as pas aimé ?
M — Tu plaisantes, j’ai kiffé comme une folle et je crois que ça s’est entendu, tu m’as fait crier si fort que tout l’immeuble a dû m’entendre.
J – Ahahahah ça pour crier et couiner c’est sûr qu’on a dû t’entendre poupée. Allez c’est le moment de dormir princesse, bisous mon espionne préférée.
Il m’embrassa tendrement comme un amoureux et nous nous endormîmes enlacés, moi dans ses bras musclés et puissants, lui contre mon dos, son sexe contre mes fesses.
À suivre…
Avec l'aimable correction de Mascareignes
GwenBlondinet
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