Véridique !
Lundi 20 janvier 2020, je poste une annonce sur un site gay que je fréquente :
« Envie d’un nouveau trip hot !
Qui veut me servir de chauffeur de taxi ou bien Ubber ? Je payerai en nature… Ma destination ? Peu importe. Le principal, c’est la destination chaude ! »
Et pour accompagner le texte, une photo de mes fesses en mode cambré à fond.
A vrai dire, je ne m’attendais pas à des réponses. C’était une soudaine envie, un scénario qui me plaisait et m’excitait. Bref, j’ai donc posté mon annonce et je suis passé à autre chose.
Mais deux jours plus tard, en me connectant à ma boite mail, je découvre une dizaine de messages en réponse à ma demande ! Je les lis, je commence à faire le tri.
Les mecs louches, les gars qui me proposent carrément autre chose : je zappe.
Finalement, il me reste plus qu’un seul contact. Un homme de 45 ans (j’en ai 21) qui semble me convenir. Il écrit bien, apprécie mon scénario et surtout, il m’a envoyé deux photos. Sur l’une, son visage. Plutôt commun, mais pas mal. Et sur l’autre, son corps nu dont sa queue en érection. Corps sportif, entretenu comme je les aime. Et un sexe assez volumineux à en croire la photo ! Me voilà excité ! Je zoom sur son membre et m’imagine le branler. Grrr… je réponds immédiatement.
Après avoir dialogué plusieurs jours, nous décidons de nous rencontrer afin de réaliser notre trip.
Samedi 25 janvier 2020
Il est 21 h 45. Je me trouve dans une zone commerciale vide. Le froid me fait trembler, et le stress de cette rencontre aussi. Je regarde mon téléphone, Elton (c’est son prénom) vient de m’écrire :
« Je suis là dans deux minutes. »
Le stress monte encore et encore. Mon cœur bat de plus en plus vite, et je le vois arriver. BMW noire. Il me fait des appels de phares et se s’arrête à côté de moi. Je monte à côté de lui. Spacieux ici. Je vais avoir assez de la place, me dis-je tout en refermant la porte.
– Salut, alors je t’emmène où ? me demande-t-il.
Nous nous étions mis d’accord. On avait fait connaissance, mais on ne s’était pas trop imaginé le trip histoire de laisser le scénario se dérouler de façon la moins programmée possible.
– A la gare, dis-je.
– Très bien.
Et nous voilà partis en direction de la gare. D’ici, il faut environ 25 minutes pour la rejoindre. Ça me laisse le temps de préparer le terrain.
– Alors Kim, tu prends souvent des « taxis » seul le soir ?
– Ça arrive. Je n’ai pas encore de véhicule, donc c’est pratique.
– Tu n’as pas peur ?
– Peur ? Peur de quoi ?
Le coquin, je le vois venir rapidement.
– Je ne sais pas. Y des fous partout, faut être prudent.
– Je touche du bois pour ne jamais en rencontrer alors.
Elton tourne son visage vers moi et me sourit. Je stresse comme jamais. Je ne sais pas quoi dire pour débuter un dialogue plus chaud.
– En tout cas, merci d’être venu me chercher, lui dis-je d’une voix non rassurée.
– De rien, c’est plaisant de rencontrer des gens et ça me permet d’arrondir mes fins de mois.
Bingo ! L’opportunité se présente !
– Ah ? Combien ça me coutera cette course ?
Elton sourit de plus belle. Il met un certain temps à répondre.
– Environ 50 euros.
– Oh ! Ce n’est pas donné…
– Tarif de nuit.
– D’accord…
Elton prend un air sérieux.
– Ça pose un problème ?
– C’est que je n’ai pas trop de sous. Je suis étudiant, et je ne m’attendais pas à devoir payer autant…
– Ah ? Désolé, mais si tu as l’habitude de prendre des taxis, alors tu aurais dû t’y attendre.
– C’est que… Parfois, je ne paye pas…
Mon cœur accélère. Je sens ma queue se dresser lentement sous mon pantalon.
– Tu ne payes pas ? Comment ça ?
– Je leur rends un petit service…
Elton me regarde. Je plonge mes yeux dans les siens et me mords légèrement la lèvre inférieure.
– Un service ? Quel genre de service ?
Alors, je tends mon bras dans sa direction et pose ma main sur sa cuisse. Tout en remontant lentement vers son entre-jambe, je lui réponds :
– Des services plus ou moins chauds…
Il regarde mes doigts se balader sur lui, et me dit :
– Et pour ce trajet, tu es prêt à faire quoi ?
Je me penche vers lui, glisse ma main sur ses couilles et appuie légèrement de sorte à sentir sa queue sous son jean. Alors, je lui chuchote :
– Tout ce que tu veux.
– Hum… commence par me branler, me lance-t-il d’une voix autoritaire.
Je saisis donc sa braguette, défais son jean et plonge une main à l’intérieur pour saisir son sexe. Et là, le choc ! Il est bien plus large que ce que je m’étais imaginé !
– Waou ! C’est… gros !
– Et encore, je ne bande pas tout à fait…
Je sors sa queue rasée et la branle lentement. De mon autre main, je libère ses couilles et les fais glisser dans mes doigts. En 30 secondes, le voilà qui bande comme un cheval. Une des plus grosses bites que j’ai pu voir !
Je laisse tomber un filet de salive dans ma main et viens le branler d’un geste continu. Je m’assois dans mon siège et le masturbe comme ça tandis qu’il reste concentré sur la route.
– Hum… Trop bon de se faire branler comme ça ! Garde ce rythme, tu n’arrêtes pas !
Je continue ainsi. Parfois, je me penche pour venir humidifier sa queue d’un peu de salive. Le bruit de friction de ma main humide contre sa grosse bite m’excite au plus haut point.
– Je peux me branler ? dis-je.
– Bien sûr ! Tu sais quoi, fous-toi entièrement à poil !
– Très bien…
Je m’exécute sans rien dire. J’aime ce côté dominé. Accepté sans rien dire. Mais j’avoue avoir un peu peur d’être nu près de lui pour une raison que j’ignore. Il y a 10 minutes, j’étais encore en train de me les geler devant un Carrefour vide de monde.
Elton pivote la tête pour me regarder. Il me dévisage, me scrute dans les moindres détails. Une fois nu, je m’enfonce de nouveau dans mon siège.
– Sacré corps et très beau cul, me dit-il. Tu es très bandant !
– Merci…
Il tend une main vers moi et la glisse entre mes jambes pour venir saisir ma queue.
– Mignonne ta bite.
Et il se met à rire.
Avant notre rencontre, je lui avais précisé que j’aimais les insultes et être humilié… Je pense qu’il s’en souvient et ne tarde pas à rajouter :
– Branle-moi encore petite pute.
– Hum… D’accord…
J’adore ça. Être insulté procure en moi une sacrée dose d’excitation. Je ne peux pas m’empêcher de venir me caresser en même temps. La différence de taille est flagrante. Dans ma main droite, je tiens ma queue de 13 cm, et dans ma main gauche…
– Combien mesure ta queue ?
– 21 centimètres.
– Hum… Elle est si grosse comparée à la mienne…
– Elle te va bien la tienne, une belle queue de soumis.
Grrr… le voilà qui continue à m’humilier. Mais il a raison sur le fond. Je ne peux pas rivaliser avec un tel engin. Je continue de le branler tout en me masturbant et c’est alors que je me rends compte qu’il vient de changer d’itinéraire. On arrive en pleine ville.
Un peu en panique, je lui demande :
– On va où ?
– Toujours à la gare, me répond-il.
– Mais tu passes par la ville ?
– Tu m’as dit que tu étais exhibé sur les bords, non ?
– Heu… oui…
– Alors c’est le moment idéal de vivre ça.
Nous nous arrêtons à un feu rouge. Devant et derrière nous se trouvent deux voitures. Même s’il fait nuit, j’ai l’impression que tout le monde peut me voir nu comme un ver à l’intérieur du véhicule. Sans le vouloir, j’ai ramené mes mains vers mes cuisses et tente de me cacher un peu.
Elton vient saisir ma main gauche et la pose sur sa queue.
– Branle-moi ! Et écarte tes cuisses !
J’ouvre alors un peu mes jambes, mais pas assez à son gout. Il se penche vers moi et plaque ses mains sur mes genoux pour venir m’écarter les cuisses. Ma queue se dresse devant moi, épilée ainsi que mes couilles, mon cul et le reste de mon corps. Près de lui, je ne fais pas homme.
– Hum ! Voilà qui est mieux ! Reste comme ça et branle-toi un peu pendant que je roule.
Je saisis ma queue, me caresse et peu de temps s’écoule avant que je n’oublie totalement ce malaise d’être nu. Au contraire, c’est très excitant comme situation. La tête d’Elton fait des vas et viens entre la route et moi. Il se branle lui-même (vive les boites automatiques) et parfois, ils viennent glisser une main contre mes couilles. Je pense qu’il apprécie la douceur due à l’épilation. Son index descend entre mes fesses et vient se poser contre mon anus.
– Parfaitement, lisse, me dit-il, l’air enjoué.
Il retire son bras et vient placer une main sur mon visage. Ses doigts caressent ma bouche.
– Humidifie mes doigts, je vais un peu jouer avec ton cul.
J’écarte mes lèvres, saisis sa main et suce lentement ses doigts. Je les caresse du bout de la langue, puis les enfonce plus profondément dans ma bouche. Je laisse couler ma salive dessus, puis j’emmène sa main sous mes fesses et m’assois dessus.
– Et bien, tu sais prendre les devants !
Je le regarde sans répondre. Je souris. De mes deux mains, j’écarte mes fesses et je sens l’un de ses doigts glisser en moi. Je me laisse alors tomber entièrement dessus pour l’enfoncer à son maximum.
– Hummm… Quel cul serré !
Elton s’amuse ainsi à bouger son doigt en moi. Je me laisse faire et savoure ce plaisir. Après une minute, il me pénètre avec un deuxième doigt. Ses mouvements à l’intérieur de moi sont brefs et intenses. J’adore.
– Mets en moi un troisième s’il te plait.
A en voir sa réaction, ma demande semble lui plaire. Je me soulève alors pour lui laisser le temps de dresser son majeur, index et l’annulaire. Je crache discrètement dans ma paume de main, humidifie mon cul et ses doigts puis je viens m’asseoir dessus. Ils rentrent sans problème, mais les derniers centimètres sont plus difficiles à prendre. Je relève alors mes jambes et pose mes pieds sur le tableau de bord. D’une main, je saisis la sienne et pousse pour qu’il me pénètre entièrement avec ses doigts.
– Waou… Reste comme ça ma petite pute ! C’est trop sexy cette position !
Les voitures passent à côté de nous. Je suis là, nu, les jambes écartées et les pieds posés sur le tableau de bord avec plusieurs doigts enfoncés dans mon cul. Une vraie chienne.
Elton sort ses doigts, les rentre, les sort. Et moi, je me branle comme un fou. Je dois me calmer sinon je vais gicler.
– Allez, viens me sucer maintenant.
Je me penche vers lui et gobe sa queue. Son gland glisse sur ma langue et je dois ouvrir ma bouche comme jamais tellement elle est large. Je la saisis en pleine main, la branle entre mes lèvres, crache dessus, lui malaxe les couilles, essaye de l’enfoncer le plus profond possible.
– Je… je suis désolé, dis-je en reprenant mon souffle. Mais je laisse tomber la gorge profonde avec la tienne ! Je n’y arriverai pas !
Elton me regarde et se met à rire.
– Pas de soucis, tu fais ça très bien.
Et comme pour ponctuer sa phrase, il plaque une main sur ma tête et l’enfonce sur sa queue qui vient me pénétrer la bouche. Elle rentre profondément (mais pas en entière), et je ne peux pas m’empêcher de pleurer tout en lâchant le long de son sexe un flot de salive. Lorsqu’il relâche ma tête, je la relève et m’empresse de branler sa queue qui glisse parfaitement bien dans mes doigts trempés de bave. Le temps de reprendre mon souffle, je replonge vers sa bite pour la lécher comme une glace. Tout en le suçant, je me place à 4 pattes sur le siège passager et relève mon cul. Sans perdre une seconde, Elton pose sa main sur mes fesses et vient glisser des doigts dans mon cul. Je n’imagine pas ce que l’on peut voir depuis l’extérieur, mais cette idée m’excite terriblement.
J’entends des voitures klaxonner, j’imagine des regards posés sur moi, les insultes qui fusent. Je bande comme un dingue et dans cet état je serais capable de me faire baiser sur le capot de la voiture devant une foule en chaleur.
Cinq minutes plus tard, nous nous arrêtons. Je relève la tête. Nous sommes devant le Carrefour, là où je l’attendais. Tellement occupé à combler sa queue, je ne m’étais pas rendu compte qu’on était de retour au point de départ.
– Continue de me sucer, je sens que ça vient ! m’ordonne Elton.
Alors, je resserre mes lèvres contre son gland et le branle d’une main, et de l’autre caresse ses couilles. Je sens ses doigts qui me baisent le cul de plus en plus fort. Sa respiration s’accélère, sa queue se dresse et un flot de sperme chaud inonde ma bouche. Je continue de le sucer, de le branler, ses doigts ne bougent plus. Ils sont figés dans mon cul.
– Hum....
Elton lâche un long râle de plaisir tandis que je reçois tout en bouche. Je reste ainsi le temps qu’il se vide complètement, puis je relève la tête et laisse couler tout son jus sur sa queue que je prends en main pour masturber lentement. De mon autre main, je me branle à fond.
– Vas-y salope, gicle pour moi !
Ça vient… Je jouis sur mon bas ventre, mon sperme chaud se déverse sur moi. Je tremble comme une feuille. Je regarde ma bite, étale mon sperme sur mes doigts et l’emmène dans ma bouche tout en regardant Elton dans les yeux. Il va dire quelque chose, mais je me penche sur sa queue, la saisis entre mes lèvres et la suce une dernière fois. Le goût salé du sperme me donne envie de continuer. Alors, je viens donner un coup de langue contre ses couilles et son bas-ventre pour récupérer un peu de jus, et j’avale.
– Miam, lui dis-je. La meilleure queue que j’ai sucée !
– Tu es une sacrée salope toi, tu le sais ?
– Voui, mais je peux encore faire plus que ça.
– Quand tu veux pour nouveau voyage en voiture.
On papote encore cinq minutes, puis une fois habillé, je m’en vais.
Arrivé chez moi, je me branle une nouvelle fois. Ce plan était l’un des plus excitants que j’ai eu l’occasion de faire.
Petitcul57
moa.mi.moa@hotmail.fr
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