Histoire : Cette histoire s'est passée il y a environ un an.
Il faut que je commence par le commencement : Tiago, c'est mon collègue. A l'époque (et toujours aujourd'hui du reste), il travaillait dans le même bureau que moi depuis plusieurs mois déjà et on s'entendait vraiment bien. C'est le genre de collègue toujours motivé pour l'apéro, et ça dégénère souvent en fiesta jusqu'à l'aube. Le type de mec qui emballe plein de filles car il a un charme fou, il a confiance en lui et il a "le truc".
Je ne vais pas vous cacher qu'il m'a toujours secrètement fait craquer ce gars, mais je n'y avais jamais vraiment cru et, surtout, jamais tenté quoi que ce soit, vu le défilé de nanas qui passaient dans son pieu.
C'est vrai qu'il est charmant ce beau mec. D'origine portugaise, ses yeux sont presque noirs, tout comme ses cheveux qu'il porte rasés sur le côté et longs et tirés en arrière sur le dessus. De bonne taille (je dirais 1m80), il s'habille toujours de manière à se mettre en valeur et ses jeans moulent souvent son paquet. Parfois, on dirait que sa queue aimerait s'exhiber toute seule tant elle semble étriquée dans ses pantalons moulants. Mais enfin voilà, j'en rêvais sans y croire dans la mesure où Tiago aimait vraiment trop la chatte.
Ce soir-là, nous sommes sortis après le boulot pour boire quelques verres avec Tiago et quelques collègues, comme d'habitude. Un verre en entraînant un autre, nous avons fini en boîte à danser et picoler jusqu'à 4h du matin, bien après les derniers collègues.
Il s'avérait que Tiago avait déjà commis plusieures légères infractions routières, lesquelles risquaient de mettre en péril son permis. Ne pouvant se permettre d'utiliser sa voiture pour rentrer chez lui au risque de se voir retirer le droit de conduire en cas de contrôle, c'est lui-même qui me demanda s'il pouvait dormir chez moi. En effet, j'habite au centre ville et nous pouvions rentrer à pied sans soucis.
Il va de soi que j'ai accepté, mais en précisant bien que nous devrions partager mon lit, n'ayant aucun autre couchage.
- Aucun problème, me répondit-il, à la fois pressé d'aller se pieuter et ignorant tout de mon orientation sexuelle. En effet, personne au boulot ne sait que je suis gay.
C'est donc sur cet accord que nous rentrons chez moi, passablement ivres, surtout Tiago. A peine arrivés dans ma chambre, Tiago ôte rapidement ses vêtements et se jette en boxer sur mon lit. Cette vision inattendue - en effet, peut-être m'attendais-je plus de pudeur de sa part - raidit instantanément ma queue. De mon côté, je prends le temps de me déshabiller tranquillement afin d'éviter que Tiago remarque que je bande. Je traîne donc à gauche et à droite et fais semblant de m'occuper pendant que mon collègue prend pleinement possession de mon lit.
Après une dizaine de minutes, je me décide enfin à aller me coucher, en boxer également. Lorsque je rejoins Tiago, celui-ci ronfle déjà joyeusement, Morphée l'ayant pleinement enlacé dans ses bras.
Je me retrouve donc dans le même lit que mon collègue, bourré accessoirement, et en slibard! Vous comprendrez que rapidement des idées coquines me passent par la tête...
Et si je branlais Tiago, profitant de son sommeil profond? Cette pensée me fait à nouveau bander, mais j'hésite...C'est mon collègue après tout, que se passera-t-il s'il se réveille et me découvre en train de lui caresser la teub?! Je tourne et retourne l'histoire dans ma tête, mais finalement je me lance: je brûle trop d'envie de sentir la verge et les couillles de Tiago entre mes mains!
Doucement, je tends mon bras et l'approche du boxer de mon collègue.... Ça y est! Je touche enfin le "fruit défendu" à travers le coton de son caleçon. Je peux déjà sentir une douce chaleur émaner du tissu... la chaleur de la bite de Tiago. Je bande.
Je commence à malaxer doucement sa queue, toujours recouverte par son boxer. Je masse en douceur afin d'éviter qu'il se réveille, mais déjà je sens sa bite qui commence à durcir. Elle me paraît épaisse et charnue, mais c'est difficile à dire car elle ne bande pas complètement et je la touche toujours à travers le polyester de son sous-vêtement. ..
Je continue à masser tranquillement sa verge pendant un moment, mais l'envie de la saisir à pleine main est de plus en plus forte. Tranquillement, je m'aventure à soulever l'élastique du boxer de Tiago, lequel semble toujours dormir profondément. Puis, je plonge ma main dans son sous-vêtement - frôle au passage son pubis, rasé de près - et m'empare enfin du membre tant désiré! Je le sens entre mes doigts et, par étape, la confiance me gagnant, le branle de plus en plus vigoureusement. Je le sens durcir peu à peu dans ma main jusqu'à ce qu'il devienne bien raide, à l'apogée de sa virilité. Putain! Je suis en train de branler Tiago! Sa queue est lourde, grosse et l'insistance de mes massages l'a rendue délicieusement moite. Il faut que je la suce !
Avec précaution, je tire le boxer de mon collègue afin de la libérer de sa prison de tissu. J'y arrive sans problème et Tiago dort toujours! Incroyable! Voilà enfin sa bite se dressant face à moi; elle est grandiose!
Sans hésiter, je l'empoigne et la fourre dans ma bouche et commence à la pomper avec délice. J'ai de la peine à l'avaler complètement à cause de son épaisseur, mais je donne tout; je suce comme jamais je n'ai sucé auparavant.
Au fur et à mesure que je gobe ce superbe dard, je salive de plus en plus abondamment... Rapidement, la queue de Tiago est complètement humectée et glisse jusqu'au fond de ma gorge. S'écoulent ainsi plusieurs minutes de pur régal, lorsque soudain je sens les mains de Tiago sur ma tête. Il s'est réveillé! Pendant un instant, mon coeur semble vaciller.
- Continue, c'est trop bon, me lance-t-il finalement en appuyant sur mon crâne pour m'empêcher de me retirer.
Alors, j'ai sucé mon collègue comme la plus grosse chienne de la planète, métouffant avec plaisir sur sa grosse bite. Plus j'avalais et plus il m'enfonçait son membre au fond de la gorge. Il m'a littéralement détruit la trachée avec sa queue!
Au bout d'un moment, en me tirant les cheveux afin de ramener mon visage face à lui, il me dit:
- J'ai envie de te baiser, sale pédé!
Je lui explique que je n'ai ai pas de capote, mais que ce n'est pas l'envie qui me manque. Ma rondelle frétille à l'idée de prendre cette grosse matraque.
Après quelques instant de réflexion, il me rétorque :
- Rien à foutre, je vais te casser le cul!
Il me retourne et commence à me mettre brutalement deux doigts dans le trou. Surpris et surtout envahi par la douleur, je ne peux m'empêcher de lâcher un cri.
- Ta gueule pédé! C'est ce que tu aimes, non ? Alors ferme ta gueule !
Il a continué à me doigter comme une brute pendant un moment et j'avoue que j'ai adoré la rudesse avec laquelle il me traitait.
- Putain, c'est une bonne chatte ça? Tu la veux ma queue?
Partagé entre le désir, le plaisir et la douleur, je n'ai pu que lui répondre un oui accompagné de gémissements de salope.
- Mets-toi à quatre pattes, le cul bien en l'air. Tu vas voir.
Rapidement, je m'exécute et sens la grosse queue charnue de Tiago écarter encore plus ma rondelle et pénétrer dans mes entrailles.
- Oh putain t'es serré sale chienne, me fit-il en initiant un mouvement de va-et-vient à la fois maléfique et divin. A chaque coups de reins, j'entendais ses couilles claquer contre mes fesses. Puis, il retirait presque entièrement sa teub et s'enfonçait à nouveau brutalement dans un claquement de burnes. Parfois, il lui prenait l'envie de me fesser fermement et de me traiter de sale pédé ou de petite chienne.
Je dois avouer qu'en comparaison avec d'autres mecs, il a joui assez rapidement. Mais je pense que c'est parce qu'il était pas habitué à l'étroitesse d'un petit cul de "sale pédé". Il a littéralement rempli mon cul de semence et, en se retirant, a à nouveau tiré mes cheveux en direction de son visage et en me regardant avec un petit sourire m'a lancé :
- C'était vraiment bon ta petite chatte, mais pas un mot sur tout ça. Tu fermes ta gueule ou?
Lui répondant d'un hochement de tête, il me gratifie d'un :
- C'est bien!
Et accompagne ses paroles d'une énorme gifle.
Était-ce un avertissement ? Je n'en sais rien, dans tous les cas nous avons dormi serrés l'un contre l'autre tout le restant de la nuit.
C'était il y a environ un an, et nous n'avons plus jamais évoqué le sujet. Notre relation de collègues a repris son cours comme si de rien n'était et Tiago baise toujours autant de meufs.
Parfois, je me dis que je prendrai bien une bonne dose de Tiago, mais je n'ose jamais aborder le sujet.
Dimosqwertz
dimosqwertz@hotmail.com
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