Cette histoire se déroule il y a environ cinq ans, lorsque que j'avais 23 ans.
Cette nuit-là, titillé par l'envie - ou besoin - de prendre une grosse queue virile dans tous les orifices de mon corps en manque, je pars en chasse sur Grindr. Or, même si de nombreuses conversations semblaient prometteuses, je me retrouve toujours bredouille alors que l'horloge affiche déjà plus de 1h du matin. En effet, entre les mythos, les indécis, et les mecs indisponibles, cela fait deux bonnes heures que je perds mon temps sur mon portable, le trou toujours aussi en manque d'une bonne série. Alors que je suis sur le point de me résoudre à apaiser mon envie charnelle par une frustrante branlette de substitution, je reçois le message d'un mec sur Grindr, me demandant si je suis chaud tout de suite pour un plan.
Un rapide coup d'oeil sur son profil, me permet de découvrir que le gars a 25 ans et est actif. Sa photo montre un visage dissimulé par une casquette. Intéressant.
Je lui réponds donc que j'ai effectivement le feu au cul mais que je m'apprête à me coucher du fait de ma soirée infructueuse. Le mec me répond instantanément qu'il est réellement en recherche d'une petite pute à jus soumise et m'envoie plusieurs photos de lui. Celles-ci m'apprennent que c'est un petit lascar blanc sapé en survêt, skets et casquettes à la mine sévère, genre bad boy. Sa queue à l'air vraiment grosse et je dois dire que je me ferais bien tringler à cru par ce morceau de premier choix. Le trou de balle frétillant, je lui transmets également mes photos et lui demande sa localisation. Le mec est assez éloigné mais insiste sur le fait qu'il veut vraiment se décharger en moi et me dit que si je prends un taxi, il est prêt à cotiser.
Ma décision est prise : je veux que ce blédard me remplisse de foutre et je commande le taxi. Cinq minutes plus tard, mon petit fion en chaleur est posé à l'arrière du véhicule, en direction du lieu de rendez-vous. Sur le trajet, je continue de discuter avec le lascar qui m'informe qu'il kiffe grave les petites lopes soumises qui prennent des grosses gifles et des poings avant de se faire baiser brutalement. Même si le délire fait dresser instantanément ma bite, je n'ai jamais sérieusement expérimenté ce genre de pratiques, hormis quelques claques convenues et gentillettes. Je suis donc partagé entre l'excitation de me faire dérouiller par une racaille agressive et la peur de me faire tabasser par un psychopathe. Toutefois, l'envie d'un gros chibre étant trop forte, je continue mon chemin et arrive à destination, une zone de petits immeubles résidentiels situés à proximité d'un quartier de tours HLM à la réputation sulfureuse.
Il est déjà 2h du mat' et les lieux sont déserts et silencieux. L'esprit pas tranquille, je me demande si je ne suis pas tombé dans un traquenard. J'avance quelques mètres et annonce au lascar que je suis arrivé. Pas de réponse. Je stresse.
Au bout de quelques minutes d'interminable attente, je vois surgir d'une allée un homme à une cinquantaine de mètres. C'est un lascar à la démarche de bonhomme qui avance dans ma direction. Angoissé et ne sachant pas s'il s'agit de mon rendez-vous, je décide de marcher dans sa direction. Lorsque, nous sommes plus proches, je peux voir que le mec me sourit et tâte son paquet au travers de son training de racaille. Ouf, c'est lui ! Arrivés à la même hauteur, il tend sa main dans ma direction et j'amorce le même mouvement afin de la lui serrer. Je suis surpris de recevoir une énorme gifle en pleine gueule et d'entendre :
- C'est bien d'être venu sale chienne. Je vais te violer ! Tu vas prendre cher bâtard !
Sous le choc, mais excité par cette brutalité de cité si virile, je peine à trouver mes mots :
- Euh, on va chez toi ?
- Pas chez moi. Tu vois le parc là-bas ? Marche devant, moi je vais te suivre de loin et tu vas voir sale pédé !
Interloqué, mais complètement chaud du cul, je m'exécute sans tergiverser et prends le chemin du parc indiqué. Le mec me suit à une vingtaine de mètres et je décide d'accélérer le pas afin de jouer mon rôle de victime traquée.
Je pénètre dans le parc, densément bordé d'arbres. Le lieu, qui est plutôt délabré et mal éclairé fait carrément bader. Je décide de me diriger vers un banc discret et isolé et regarde derrière moi afin de vérifier si le lascar me suit. Personne. Putain, je flippe à fond !
Je rejoins le banc et reste immobile là à scruter l'obscurité. Toujours personne putain ! Après quelques longues secondes, je décide de m'asseoir et allume une clope dans un silence angoissant. Je sursaute en entendant des bruissements de feuilles dans les arbres à l'arrière, mais ne vois personne lorsque je me retourne. Je me dis d'arrêter de flipper et continue à fumer ma clope, pas rassuré.
Soudain, on m'attrape violemment par derrière. Un bras me bloque fermement la poitrine, tandis qu'une seconde main se plaque brutalement sur ma bouche, ce qui étouffe mes cris. Mon assaillant est vraiment fort car il me soulève par-dessus le banc avec une impressionnante facilité. Je manque de chuter au sol, mais l'homme me maintient fermement et me rabat contre lui. À présent, j'ai le dos collé contre le torse de mon agresseur qui m'entrave toujours avec son bras, entourant fermement ma poitrine et m'empêchant de crier. Il marque un temps d'arrêt et me souffle à l'oreille :
- Ferme ta gueule sale pute ! Je vais m'occuper de toi !
Je le sens frotter son gros braquemard contre mes fesses. La chose est tellement dure et les frottements si brutaux que j'ai l'impression qu'il s'agit d'une matraque. Partagé entre le désir et la panique, je suis dans un état second et laisse la brute m'entraîner avec force dans la sombre zone boisée bordant le parc. Une fois dans la pénombre, je suis violemment projeté au sol et je vois le mec se poster en face de moi. C'est bien le lascar de Grindr ! Ouf, j'ai presque réussi à douter ! Avec son accent de banlieusard, il me lance :
- Relève-toi p'tite fiotte ! Et avale ma teub !
Je me redresse et me retrouve nez à nez avec une superbe queue, qui me met instantanément en appétit. Un beau manche d'environ 18 cm, bien plus large que la moyenne, surmonté d'un gros gland à demi décallotté. Ses couilles poilues sont bien rondes, comme gorgées de lait. Ce sale bâtard violent veut de la baise hard ? Je vais tout donner et être la pire de salope !
J'ouvre grand ma bouche à pipe et avale directement sa bite en fond de gorge du premier coup. Je l'entends soupirer et me dire :
- Oh putain, t'as vraiment faim toi ! Tu vas bouffer t'inquiètes !
Je continue de le pomper à fond tout en émettant des petits sons de délectation, comme une bonne petite lope affamée. Je prends soin de sucer son manche de tout son long, remontant jusqu'au bout du gland puis redescendant en toute vitesse pour le gober entièrement, ce qui me fait saliver abondamment. En quelques aller-retour, cette grosse bite de racaille est déjà lubrifiée par ma bave visqueuse et chaude, qui coule en filets le long de mon menton, puis de mon torse. Je l'entend marmonner des insultes et soupirer de plaisir. Moi aussi, cette bite me rend fou, je la pompe comme un toxicomane en manque de came.
Puis, il m'empoigne fermement par les cheveux et tire violemment ma tête en arrière afin que je le regarde et me dit de sa voix grave et son accent de banlieue :
- T'es vraiment une chienne toi ! Je vais te défoncer pédé !
Il se racle bruyamment la gorge et crache un énorme molard chaud et visqueux sur ma gueule. Me maintenant toujours par les cheveux d'une main, il me gifle sauvagement de l'autre, à plusieurs reprises. Ce salaud ne fait pas semblant ! J'ai vraiment mal, mais putain je kiffe me faire corriger par ce macho de cité !
Puis, il saisit ma tête fermement de part et d'autre afin de pouvoir littéralement baiser ma bouche comme une chatte. Il y va fort et puissamment, sans égard pour la petite pute sensible que je suis. Mes signes d'étouffement et nombreux reflux ne le font nullement ralentir. Au contraire, il me viole sadiquement la gorge de plus en plus brutalement. Je suis au bord du malaise et ai énormément de peine à encaisser autant de violence. Lorsque, par épuisement, je n'arrive plus à ouvrir correctement ma bouche, sa grosse queue vient frotter malencontreusement contre mes dents, il me tire par les cheveux et me lance :
- Pas les dents, fils de pute ! Ouvre grand !
La réprimande est accompagné d'un violent coup de poing, suivi d'une volée de gifles rendues encore plus douloureuses par sa grosse chevalière en or. Et il recommence à abuser hystériquement de ma pauvre gorge. Le délicieux supplice se prolonge encore quelques minutes, puis il se retire et m'impose une nouvelle série de coups au visage, aborant un regard sévère.
La brute esquisse un sourire sadique et vicieux et me traite de tous les noms, puis me pousse au sol. Je suis étendu, déjà complètement épuisé par la violente correction infligée et il ne m'a pas encore baisé ! J'essaie de reprendre mes esprits, allongé dans les feuilles morte et les brindilles, haletant et les yeux larmoyants, lorsque je l'entends me lancer :
- Je vais casser ton p'tit cul maintenant. OK ?
Hésitant, je marmonne; effrayé par la baise brutale que je vais probablement subir. Il enchaîne :
- Non ? Alors, je vais te violer sale pute !
Il me saisit fermement par les hanches afin de remonter mes fesses vers le haut, tandis que ma face traîne au sol, dans la terre.
D'un geste sec, il retire violemment mon training et mon boxer, livrant mon frêle anus à sa seule volonté diabolique. Déjà, je sens son gland chaud et puissant à la porte de mes entrailles et redoute l'inévitable. Ça n'a pas loupé... Ce taré me pénètre violemment et à sec, provoquant une insoutenable douleur. Mon hurlement résonne dans la nuit, ce qui me vaut une volée d'insultes et un douloureux coup de poing dans le dos.
En pleurs, je l'implore de me laisser souffler quelques minutes et d'y aller doucement pour me dilater suffisamment. A ma grande surprise, mon bourreau accepte et s'allume une cigarette le temps que ma douleur s'estompe. Je gis toujours lamentablement au sol, trop faible pour me relever, pleurant silencieusement et tentant de réguler ma respiration.
Fumant toujours sa clope, il se déplace au niveau de mon visage et je me retrouve nez à nez avec ses vieilles AirMax élimées. Je constate que le mec a des pieds gigantesques lorsqu'il pose une de ses shoes crasseuse sur mon visage, ce qui le recouvre entièrement.
- Tu kiffes mes skets ? dit-il en écrasant ma face.
- Lèche pédé !
Je m'exécute docilement pendant qu'il me regarde satisfait, branlant son énorme bite d'une main et fumant de l'autre. J'ai de la terre et des petits cailloux plein la bouche; rabaissé comme une pauvre merde.
Puis, il ôte une basket et frotte son pied vêtu d'une chaussette chaude et légèrement humide contre mon visage. Je m'applique docilement à sniffer ce gros panard puant. L'odeur est forte et prenante. Ce lascar sent des pieds, mais putain c'est viril !
Après quelques instants, mon bourreau retire sa chaussette odorante et me la fourre brusquement dans la gueule. Il me lance sa sket qu'il me demande de sniffer pendant qu'il me travaille fermement le trou avec ses doigts épais. Son inspection anale, brutale et douloureuse, est rapidement effectuée à l'aide de trois doigts, mais en comparaison de l'intrusion de sa queue, c'est clairement supportable. Il continue de me dilater en m'insultant copieusement pendant que je me shoote avec le puissant fumet de sa basket encore tiède. L'odeur est entêtante et excitante et je commence à bander à nouveau comme un porc. Rapidement, ma chatte s'ouvre et le lascar approche son gland palpitant à la porte de mes entrailles. Cette fois-ci, il prend le temps de me pénétrer plus délicatement, même si je peux sentir son empressement à m'exploser la rondelle.
Lorsqu'il a fait deux ou trois passages et que mon colon est habitué à la présence de sa grosse bite de macho violent, il m'annonce sèchement :
- Maintenant je vais te violer. Tu vas prendre cher mec !
Ses paroles sont immédiatement suivies des actes. Ses coups de reins sont ravageurs. Il commence à me baiser avec hystérie et j'entends ses boules pleines claquer contre mon pauvre petit cul sur un rythme effréné. Il accompagne ses rapides et viriles pénétrations d'un florilège d'insultes à mon attention, qui finissent de dilater agréablement mon trou. Par moment, j'ai droit à de puissantes fessées qui brûlent ma fragile peau blanche.
Puis, ce bâtard ralentit le rythme et sort entièrement sa queue de mes entrailles avant de l'enfoncer violemment le plus profondément possible, la maintenant ainsi plusieurs secondes. C'est douloureux et à la fois tellement bon de se faire tringler sans pitié comme une pute. Il réitère cette technique à de nombreuses reprises, prenant systématiquement soin de me pénétrer intensément, sans prévenir.
Il s'allonge ensuite au sol et me demande de chevaucher son manche viril. Cette nouvelle position me permet de diriger un peu la cadence et m'offre une nouvelle opportunité de ressentir à quel point ce gourdin est volumineux. Puis, il me saisit par la nuque et rabat mon visage pour me rouler une pelle baveuse et énergique. Supris et enthousiasmé par cet élan de "tendresse", je mets tout mon âme à échanger goulûment nos salives pendant que mon cul glisse avec envie le long de son énorme chibre. Nous nous embrassons toujours lorsqu'il reprend les choses en main et commence à me casser littéralement le fondement. Ses coups de bite sont très rapides et brutaux et ses grosses brunes rebondissent bruyamment contre mon cul. Avec son accent de cité, il me demande alors :
- Tu veux mon jus hein ? Tu veux que je te remplisse sale chienne ?
Je gémis d'envie en le regardant intensément dans les yeux et me mordant les lèvres de désir, impatient de sentir sa chaude semence tapisser mes entrailles.
C'est dans un long "Putain" libérateur que cette sale racaille se décharge en moi. Il continue ensuite d'étaler son épais foutre le long de mes muqueuses pendant nous échangeons un long et sensuel baiser baveux. Lorsqu'il se retire, je sens ce délicieux nectar couler agréablement par mon orifice éclaté et endolori. Il récupère alors sa précieuse semence avec ses doigts virils afin que je les lèche avec gourmandise.
Après cela, nous nous sommes posés sur le banc où tout avait commencé pour fumer un joint et discuter. J'ai découvert un garçon sympathique, charmant et cultivé, à mille lieux du violeur sans pitié qui venait de me tringler sans pitié.
Il me remplit régulièrement la chatte depuis, toujours avec la même brutalité, pour notre plaisir mutuel.
Dimosqwertz
dimosqwertz@hotmail.com
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