Bonjour cher, pour ceux qui ne me connaissent je m’appelle Donny Fried, j’ai 23 ans j’habite à Douala, étudiant en licence 2 en faculté de science juridique et politique campus 3 au niveau de Point kilométrique 17. Je suis une personne très coquine, Très Très Bien Montée et travailleuse. Je mesure 1 m 78 pour 68 kg de pur muscle. Il n’y’a pas longtemps j’ai fait le tour de mon pays, c’était une belle expérience. Comme l’aurait dit Henry Miller : « Le sexe est une des neuf raisons qui plaident en faveur de la réincarnation. Les huit autres sont sans importance ». Pour les hommes j’en ai baisé ; et discrètement dans un bus presque vide ou dans des lieux publics. Mais il y’a ce joli garçon qui ne se cachait pour tenter de devenir ma femelle personnelle, il me tendait son petit cul. J’avoue qu’il avait un cul à rendre tout le monde jaloux. Au début on causait de manière innocente.
Moi : Salut moi c’est Abdon et je suis de passage dans la ville.
Abdel : Moi c’est Abdel, je suis un autochtone et j’assiste le chauffeur. Comme nous sommes en arrêt, je vais en profiter pour te faire le tour du propriétaire.
(Car j’ai oublié de préciser que tout le parcours se faisait en bus. Rassurez-vous, on ne parlait pas de Corona virus en 2015)
Moi : Tu sais quoi ?
Abdel : Quoi donc ? Me répondit-il avec son accent.
Moi : Que nos se ressemblaient.
Abdel : Maintenant que tu y fais allusion, je constate la similitude. On était fait pour se rencontrer. Et là il commence à me caresser l’entrejambe et je laisse faire.
On décide donc d’aller faire le tour du quartier avant que le bus n’annonce son départ et la fin de la pause. On avait seulement quinze minutes et en quinze minutes, on pouvait faire quelque de jouissif. Il connaissait un endroit isolé où l’on ne serait vu de personnes. Je le suivais sans dire un mot. Il devait être dans les alentours de 17 heures trente minutes ou 18 heures. Arrivés au lieu dit, on se roulait des pelles magistrales.
Moi : Tu aimes ça, les pelles hein !?
Lui : Oui j’adore et maintenant tais-toi et nique-moi comme une grosse pute que je suis espèce de gros vicieux.
Je ne me suis pas fait prier et je l’ai retourné d’un coup sec et lui ai bouffé la chatte, une chatte délicieuse et lui gémissait comme une grosse chienne bien chaude. Je le suce en avoir mal à la mâchoire. Puis je le retourne, le baisse et lui ordonne de me faire la pipe. Il faut l’avouer c’est un bon suceur, il suce divinement bien et je lui enfonce mes 20 centimètres de pur braquemart dans la gorge. Je lui fais une gorge profonde, il manque de s’étouffer, mais je m’en fiche, car je prends mon pied. Je le gifle pour qu’il se calme. Je lui baise sa bouche encore et encore sans jamais m’arrêter. Puis je sors de sa bouche pour ne pas jouir maintenant, je lui reprends sa belle chatte en bouche. Il aimait ça la petite salope. Je lui lubrifie le minou et mets une capote que je gardais dans la poche revolver de mon pantalon. Je lubrifie bien ma bite (Mbangala comme on le dit ici) et je m’enfonce avec brutalité en lui. Il se met à crier comme une pute qui prenait la plus grosse baise (nyas comme on dit chez nous) de sa vie. Je le baise encore et encore. Je le mets à cheval et commence la baise brutale. Je le baise que j’en oublie tous mes soucis. Puis je le porte et je le baise bien fort comme une chienne. C’est au moment qu’on jouit, moi en lui et sans se toucher qu’on entend les klaxons du bus. On s’habille vite et on retourne au bus qui repartit quand nous entrâmes enfin. Plus tard, je me suis qu’on allait le faire dans le bus, je lui en ai parlé, il était d’accord. Il devait être 23 heures quand j’ai senti quelqu’un me faire une fellation de feu. C’était lui qui était revenu avec son petit frère pour que je le dépucèle. Mais il ne savait que j’avais déjà mis mon Mbangala par là. Ils me suçaient tous les deux.
(Au fait le petit frère se nomme Ali et c’est une grosse pute)
Abdel : Il ne faut pas faire de bruit, c’est compris ?
Ali : C’est compris
Moi : Venez me sucer au lieu de bavarder les salopes.
Elles se mettent au travail juste pour me satisfaire. Elles aiment leur papa. Comme le dirait Woody Allen « Le sexe entre deux personnes, c’est beau. Entre cinq personnes, c’est fantastique… ». Sans chichi je le prends direct sans capote. Il est assis sur moi face à son frère et je suis en lui, mon Dieu que c’est bon, encore plus bon que la première fois. Il aime mon Mbangala. Son frère est surpris, mais je lui ordonne de mettre son Mbangala dans la chatte de sa pute de petit frère, ce qu’il fait sans discuter. Il aime le cul d’Ali et on le baise en duo comme des bourrins. Tout le monde se retient de crier pour ne pas attirer l’attention sur nous. C’est le pied, on le baise comme jamais cette pute. Je demande à son frère de sortir, Ali se lève, puis Abdel prend sa place et Ali se met dans le cul de son frère. On a baisé comme ça toute la nuit en toute discrétion. On s’est endormi. Vers six heures du matin, notre bus est reparti. La route était ou allait être longue. On a roulé presque toute la journée, j’avais déjà envie de nyas comme un fou, ma soif de cul est insatiable. Comme le disait Charles Perrault : « La beauté, pour le sexe, est un rare trésor. De l’admirer jamais on ne se lasse ; Mais ce qu’on nomme bonne grâce Est sans prix, et vaut mieux encore. ». Quand tu sais que tu dois baiser, fais-le et fort heureusement, la pause de quinze heures arrivait.
Ali : Tu veux baiser, j’ai encore envie de baiser.
Abdel : Tu es sûr que lui le peut encore ?
Ali : Oui regarde son Mbangala est déjà debout.
Moi : Oh, les gars, calmez-vous. Venez me sucer c’est un ordre et c’est ce qu’ils firent.
Le sexe a toujours été pour moi, une sorte de compensation, une facilité à passer un moment agréable ; et je n’ai jamais eu aucun tabou, avec aucun des hommes que j’ai baisés. L’ambiance est sympa : lumière tamisée, bonnes odeurs ; il me semble même qu’il y a un fond de musique. C’est peut-être un bus, mais nous ne sommes pas des animaux. On se met tous les trois en calbute, et je m’allonge sur le dos ; là, les choses s’enchaînent. Ali me pompe goulûment la queue Abdel lui bouffe la chatte et moi je suis au septième ciel. Je regarde Ali s’appliquer le plus possible sur ce morceau entre mes jambes : il l’aspire, joue avec sa langue, j’adore sa bouche et sa langue, essaie de le prendre le plus profondément possible lui dit je. Ali la prend en main, l’enlève de sa bouche, puis la suce comme un bonbon, il manque de me faire jouir, mais je résiste comme pas possible.
Moi : Sors ta langue. Lui dit je. Je tapote ma queue dessus. J’adore. Puis je la refourre au chaud.
Ali : Ta queue est bonne.
Moi : Merci.
À courir après les positions extravagantes, on en oublierait presque le plaisir. Et le plaisir, cela passe d’abord par du confort. Le missionnaire, ce grand classique, offre une amplitude de pénétration très appréciable pour vous. De temps en temps, un peu de simplicité, ça ne fait pas de mal. Cela fait même du bien. Je les ai pris à tour de rôle dans cette position et heureusement qu’il était vide. On a baisé tellement que j’ai joui deux fois dans la bouche et le cul d’Ali et pareil pour Abdel. Je ne m’en suis pas rendu compte, mais la nuit est vite tombée, peut-être parce que je dormais profondément. Ali était descendu retrouver son mari bien que cette union soit illégale au Cameroun. Il avait que cela ne s’arrête trop, mais je réussis à le rassurer.
Moi : Tu désires mettre un petit peu plus de piment dans ta vie intime avec votre partenaire, mais tu ne sais pas vers quoi te tourner. Plusieurs solutions s’offrent à toi.
Lui : Parmi lesquelles ?
Moi : Des aphrodisiaques, on peut se déguiser, faire l’amour dans des lieux insolites, nous initier au bdsm… Cette dernière option te fait envie ? Allez-y petit à petit, afin d’identifier à deux ce que nous aimons et n’aimons pas. Pour ce faire, nous pouvons commencer par nous bander les yeux.
Lui : C’est cher ?
Moi : Ce petit jeu ne coûte pas cher. Il suffit de piocher dans ta valise une cravate, ou bien un foulard ou une écharpe, et de nouer l’accessoire autour de la tête de ton partenaire, sans trop serrer. Lui, qui ne voit plus rien, va devoir se laisser faire, laissant place à une relation dominant-dominé. Le fait d’avoir les yeux bandés décuple le plaisir : vous ne vous concentrez plus que sur vos sensations, et les caresses sont d’autant plus agréables.
Lui : Frissons garantis !? Quelle position adopter lorsque l’on a les yeux bandés ?
Moi : Le cheval à bascule. Je le sens perplexe. Je le rassure, lui dis de me faire confiance. Chance le bus est presque vide et le chabas est inoccupé et peu éclairé.
Je le mets sur le dos, lui baisse pantalon, calbute, lui soulève une jambe et le baise là sans aucune forme de procès. Je le baise encore et encore, je jouis en lui et lui sur nos ventres et cela sans se toucher. Si vous avez aimé écrivez-moi.
Abdon14
abdonmakota14@gmail.com
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