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Premier épisode | Épisode précédent

Weekend avec mon Boss | 4

[…] Mais à la place j’ai la queue compressée dans la cage de chasteté qui me fait grave mal… Et je suis à genoux au milieu de plein de mecs qui viennent de me voir me faire sauter comme une pute, et mon Boss me passe la main sur le visage devant tout le monde en étalant bien le foutre sur toute ma face et dans mes cheveux… « Voilà de quoi t’entretenir la peau mon bâtard ! Tu t’essuies pas, tu restes comme ça. Il a raison, t’es mieux plein de foutre !»

Je me relève, et j’en profite pour détailler le mec qui vient de me baiser… Il est rebeu, bien gaulé dans un bon look sport, et il a cet air dominant que seuls les rebeus peuvent avoir. Il discute avec mon Boss et je n’entends pas vraiment ce qu’ils disent… Je pense qu’ils parlent de moi vu qu’ils me regardent régulièrement. Surtout le rebeu, qui me détaille vraiment. Ils finissent par se taper dans la main, et mon Boss me fait signe de le suivre, un peu comme on sifflerait son cleps.

On continue à se balader dans cette immense backroom. C’est un labyrinthe fait d’échafaudages et de cloisons noires, avec des cabines, des couloirs, des étages, des zones plus ou moins dédiées à un style de trip ou à un autre. On passe devant le « dog playground » et j’hallucine vraiment de voir autant de mecs qui kiffent être en dog, et qui jouent entre eux dans une piscine à balles comme de bons toutous, en ayant vraiment une gestuelle canine, ou alors qui se font dresser par leurs Maîtres (à jouer à la ba-balle, ou à se prendre des coups de bites, au choix). On continue notre tour avec une bière à la main, et après être passé par un dancefloor de techno-trans qui ne pourrait pas convenir à quelqu’un qui n’a pris aucune drogue (lol) comme mon Boss et moi, on arrive dans une immense zone avec une quinzaine de slings mis en place en cercle, tous attachés à une grande structure métallique sur laquelle des lumières de discothèque éclairent l’espace en mode « lounge de cul », ce qui donne un peu l’impression que c’est un chapiteau entier de baise. Tous les slings sont occupés par des mecs qui se font niquer ou fister. Je vois que mon Boss les regarde avec attention, sans vraiment savoir s’il observe par curiosité où s’il cherche une place libre. De mon côté, j’espère secrètement qu’aucun sling n’est dispo, car je trouve que ce chapiteau fait vraiment « abattage de masse », et je préfère les coins plus feutrés. Mais bon, comme d’hab’ je vais fermer ma gueule et obéir à mon Boss de toutes façons… On sait tous les deux que je n’ai pas mon mot à dire.

Je continue à suivre mon Boss qui se ballade. Je pense qu’il apprécie autant la découverte de cette méga backroom que moi. Puis il fini par s’arrêter dans une zone un peu style prison, avec plein de cages, de barreaux, de slings dans des cages, avec même un pneu accroché en balançoire pouvant manifestement servir de sling… Il y a un monde fou, on il me plaque contre des barreaux, et chope dans son sac des bracelets d’attache pour poignets et cheville. C’est donc ça qu’il y a dans son sac qu’il refusait de laisser au vestiaire ! Putain, il est venu avec du matos ; mon Boss est trop un Dieu !

Il me passe les attaches et les sert bien, me tend deux boules Quies et m’ordonne de bien me les mettre, puis il enlève son t-shirt de sport et me le noue autour de la tête en bandeau. Enfin, il commence à m’attacher aux barreaux les bras et les chevilles bien écartés. Putain, je stresse pas mal d’être aveuglé, quasi sourd (j’entends à peine la techno que les enceintes crachent à fond), attaché comme ça à la vue d’autant de mecs, et d’être autant à leurs dispo. Je sais que mon Boss gère, mais il n’empêche, c’est bien flippant comme situation… Et c’est à la fois hyper excitant !

Mon Boss commence alors à me chauffer avec quelque chose comme un paddle, avec des coups sur le torse, sur les cuisses, sur ma queue encagée qui sort toujours de mon pantalon en latex… J’adore sentir les morsures de ses coups sur ma peau. Mon haut et le froc amortissent bien les chocs, mais il doit frapper quand même bien fort car je les sens et je sursaute à chacun en couinant. Je commence à avoir bien chaud, et à apprécier encore plus cette mise à dispo où je lui sers de défouloir.

Il entreprend ensuite de me travailler les tétons, que j’ai assez sensible, et même si le latex fait barrière, il les pince et les tord fort, assez pour me faire couiner et me tortiller dans tous les sens en tirant sur mes liens, dans un bruit métallique provoqué par les frottements des attaches sur les barreaux en fer. Le spectacle qu’on donne doit être vraiment étrange : mon Boss est en train de me mettre une belle raclée en public, alors même que je suis attaché et aveuglé, et que je râle de douleur et couine de plaisir à la fois… Pendant qu’il continue sur mes tétons, je sens une troisième main m’attraper les couilles et commencer à les malaxer brutalement… On m’étire à la fois les tétons et les couilles, et j’ai le corps entier qui se tend vers l’avant en m’arquant comme pas possible. Ça fait mal, et pourtant je suis excité comme jamais.

Mes tétons et mes couilles sont relâchées, mais c’est pour mieux re-attraper mes bourses, et les tourner sur elles-mêmes en une forte torsion… Je tousse de surprise, j’halète, et je galère à respirer, et ils commencent à les taper en plus… Des petits coups, qui augmentent en intensité et qui se transforment en bons coups dans les burnes. Je sursaute et je pousse des râles, et j’imagine comme mon Boss et son acolyte sadique doivent être contents de se défouler sur moi comme ça… L’air de rien, ce manège est intense et pas simple à encaisser, mais il me procure quand même un plaisir fou, et je suis méga content d’être dans mon rôle de bâtard et de subir comme ça. Et je sens que ma bite mouille un max dans sa cage…

Puis d’un coup, plus rien. Ils ont lâché mes couilles, et plus personne ne me touche. Je suis tendu à mort et je m’attends à recevoir un coup n’importe où à chaque instant, mais rien ne vient… Je suis un peu déboussolé, et je repense à où je suis : attaché sourd et aveugle à des barreaux, à un endroit hyper fréquenté de cette backroom, et je commence à flipper que mon Boss me laisse mariner là, offert au premier sadique qui passe.

En plus vu la population de cette soirée, il doit y avoir un nombre incroyable de sadiques au mètre carré… Mon stresse monte de plus en plus, et je gamberge sans savoir quoi faire. Je suis très bien attaché et il y a aucune chance que j’arrive à m’en défaire tout seul… J’ai chaud, je transpire dans mon latex, et je tente de respirer calmement pour ne pas céder à la boule d’angoisse que j’ai au ventre, et qui pourrait finir par me faire paniquer réellement.

Et bim ! Je prends un coup de poing dans les abdos qui me coupe la respiration, me fait tousser et me plier en deux autant que ce que mes attaches me le permettent… Une main me déplie le torse et me plaque l’épaule contre les barreaux, et j’ai à peine le temps de respirer que je prends à nouveau autre punch dans abdos… Aaarrff… Je tente de contracter mes abdos au max en prévision du coup prochain, que je prends dans la foulée. Puis encore un, et un autre, et un autre. Je perds le compte et ma respiration, et je galère vraiment à encaisser les coups nets et bien placés de ce boxeur…

Je ne sais pas quand ça va s’arrêter, mais je suis vraiment submergé par toutes mes émotions : douleur, panique, soumission, perte de contrôle, perte de respiration, plus de son ni d’image… Je suis vraiment dans mon "sub space", désorienté et je sens petit à petit mes forces s’amenuiser…

Mon bandeau est ôté en une demi seconde, et une petite claque me ramène direct à la réalité : en ouvrant les yeux, j’ai face à moi mon Boss tout sourire qui me regarde intensément et me dit combien il est fier de son bâtard. Je suis HS, dans les vapes, et j’entends que dalle, mais la simple vision de mon Boss me rassure tellement que je m’illumine de nouveau.

En deux-deux je suis détaché, je vire les boules Quies, et je réalise peu à peu que des mecs autour me regardent, excités et/ou admiratifs. Il y a même un colosse qui me tape sur l’épaule de sa grosse paluche en me disant : bien joué !

On s’assoit par terre contre les barreaux avec mon Boss, et je reprends mes esprits alors que lui me parle en me disant qu’il a vraiment kiffé comme j’ai encaissé. Et que manifestement mon get-puncher du soir aussi. Je le regarde avec un air interrogatif.

« Le gars qui t’a tapé sur l’épaule, c’est celui qui t’as boxé les abdos. Putain j’te regardais en me branlant, c’était trop bon ! ».

Je lui souris vaguement, et dit sans réfléchir :

« Je crois qu’il me faut une pause et une bière

- Eh ! Reste à ta place bâtard, mais ouai, je crois que t’as raison pour une fois

- pardon Boss »

Je me prends un verre au bar, et on va fumer une cigarette (enfin moi. Lui ne fume pas). Y’a rien à redire : la clope d’après baise, c’est la meilleure !

Je suis assis à côté d’un Master tout en cuir qui discute avec ses potes domi, et qui machinalement caresse le dessus de la tête de son sub, qui est agenouillé au sol juste à côté de lui et qui attend patiemment que son Maître décide qu’il en soit autrement pour lui. Surréaliste. Avec Jérémy, on détaille les autres mecs autour de nous au fumoir et on discute de leurs looks, de leur matos, des trips de chacun qu’on arrive à percevoir. Mon Boss a l’air bien plus renseigné que moi à propos de tous ces sujets, et on passe un bon moment ; contents tous les deux d’apprécier l’atmosphère particulière de ce monde parallèle.

Je ne sais pas combien de Despé’ j’ai bu depuis qu’on est arrivé, mais je commence à être bien (sans être vraiment bourré non plus). J’apprécie mieux la musique techno environnante, et on part danser un peu en se mêlant à la foule du dancefloor. Puis on continuer d’explorer le lieu, et au détour d’un couloir de backroom, je croise un mec qui manifestement vend du poppers. Je ne réfléchis pas une seconde, et je lui tends 10 balles. Entre l’alcool, la musique et le poppers, la fin de soirée s’annonce bien. Je me connais, je vais être encore plus déchaîné dans mon envie de soumission… On repasse par l’autre dancefloor dont la techno est plus bourrine, et on monte sur une mezzanine qui surplombe cette zone, nous offrant une belle vue sur les performers de la scène, à côté du DJ, qui font un show très érotique (voire tout à fait pornographique) … Ca fait toujours du bien aux yeux de voir des beaux mâles à poil ! Je sirote ma bière en profitant du spectacle accoudé à la rambarde… Derrière nous, trois slings sont installés, et des mecs sont en train de baiser à même pas deux mètres de nous. Mais je suis plus absorbé par la vue en contre bas.

D’un coup, Boss me tire vers lui en faisant deux pas en arrière. Pendant que matais les mecs sur scène, lui surveillait les slings derrière nous et l’un vient de se libérer. Il me pousse vers ce sling, et m’ordonne du regard de m’y installer. Je ne suis pas vraiment à l’aise avec l’idée d’être sur ce sling, à la vue de tous les mecs autour… Mais connaissant mon Boss, c’est justement ça qui doit lui plaire dans cette situation…

Il sort de son sac une bouteille de lub et 2 ou 3 autres trucs que je ne vois pas, et entreprend de me lubrifier la rondelle. Il me met quelques doigts, puis rentre sa queue capotée d’un coup. Huuuum, qu’est-ce que j’aime sentir qu’il me baise ! J’aime quand il prend d’assaut mes trous, bien égoïste en pensant avant tout à son plaisir et suivant ses propres envies. Il prend son temps, apprécie le moment, et me lime un bon moment en alternant les cadences, et en me faisant couiner de plaisir. Il a pile le bon axe, et sa queue frotte contre ma prostate en me donnant des décharges de bonheur.

Puis il sort deux pinces reliées entre elles par une chainette, et me les met sur les tétons. Il joue avec tout en me niquant, et prend son pied sadiquement en mélangeant mon plaisir venant du cul et ma douleur venant des tétons, qu’il maltraite assez agilement.

« T’es pas là pour prendre ton pied bâtard… T’es là pour le mien. Pour me filer tes trous comme une bonne pute et pour subir ! »

Et il tire la chaine jusqu’à ma bouche et me force à la maintenir avec les dents. Putain ça m’étire les tétons un max, et chaque mouvement du sling fait bouger ma tête, et me fait donc constamment tirer sur la chaîne. Et lui n’a rien d’autre à faire que de me baiser en profitant du spectacle. Et son sourire sadique me dit qu’il apprécie vraiment la situation. Bien que j’aie mal, le voir profiter de moi comme ça et voir son plaisir me rend dingue… J’aime vraiment quand il est vicieux, ça m’excite à fond !

Il sort de mon cul, et m’ordonne de bien me gazer. Je choppe le poppers et commence à respirer au-dessus quelques snifs. Pendant ce temps-là, il a enfilé des gants.

« Gaze toi mieux salope, j’t’ai pas dit de t’arrêter ! »

Et je recommence donc, mon nez au-dessus du poppers, en inspirant par le nez et expirant par la bouche… Je suis ultra excité, j’ai de grosses bouffées de chaleur, et je passe en mode total bâtard.

Il a bien relubrifié mon cul, et commence à me rentrer plusieurs doigts énergiquement.

« Aller ouai, gaze-toi bien, met toi bien HS pour ton Boss, j’vais t’éclater le trou comme les bons bâtards devraient toujours avoir

- Oui Boss… Tout ce que tu veux Boss ! »

Il force avec je ne sais pas combien de doigt. Il m’ouvre la chatte au max, et même bien gazé, je douille à fond, mais je suis méga excité et ma queue totalement compactée dans la cage mouille un max.

Ma tête est lourde et commence à vraiment tourner à force de respirer en continue au-dessus de cette bouteille de poppers toute neuve et bien forte, mais Boss ne m’a pas dit de m’arrêter alors je n’ose pas la lâcher de sous mon nez.

Il continue à forcer, doucement mais surement, et dans un dernier effort, il finit par caler sa main en entier dans mon cul. Il me prend le poppers des mains, en snif un coup lui aussi, et me la tend pour que je la referme.

Il bouge sans main lentement, il la fait tourner, et j’ai l’impression que mon esprit vrille en même temps que sa main tellement je suis stone, excité, à cours de souffle… Que c’est bon ! Je me sens totalement dans mon "sub space", un peu cotonneux, à devoir subir les assauts de mon Boss au plus profond de moi, sans pouvoir rien faire pour l’en empêcher. Il est de plus en plus énergique, sort quasiment en entier sa main puis la refonce brutalement, et fait une série de micro va-et-vient dans ma chatte sur le rythme de la techno… Je transpire, je ne sais plus si je couine ou si je râle, et si c’est de plaisir, d’angoisse, d’excitation… Tout se mélange vraiment, et je me sens totalement abandonné à mon Maître, qui contrôle tout mon corps de son poing.

De sa main libre, il se branle, ou insert ses doigts en plus de sa main pour travailler ma dilatation encore plus, provoquant un plaisir infini. Et ça dure, dure… Je ne sais même pas vraiment combien de temps.

Ma chatte est hyper dilatée, et il rentre et sort relativement facilement, en se branlant de l’autre main. Il devient de plus en plus dynamique, et me fait grimper au paradis, tout en me faisant râler de plaisir comme jamais. Il me défonce vraiment en me regardant droit dans les yeux alors que j’halète sans cesse des « Oh oui Boss », « Merci Boss », sans savoir si j’ai le droit de le regarder dans les yeux ou si je dois viser son torse pour ne pas l’affronter.

Je le vois accélérer sa branle, aussi bien pour sa main dans ma chatte que pour celle sur sa bite, et il se tend en grognant et en jouissant de beaux jets de foutre qui tombent au sol. Je suis en nage, encore sous le coup du plaisir que me donne son fist, et je suis vraiment ravi de voir mon Boss prendre son pied comme ça.

Il a lâché sa bite, et toujours avec le poing dans mon cul, tripote ma cage de chasteté et sourit de voir ma queue aussi contrainte alors qu’elle rêverait de bander librement et de jouir…

« N’espère même pas t’en servir de ta nouille de bâtard. T’es une sous-merde inférieure, tu m’appartiens, et jamais je ne t’y autoriserai. Avec le cul que je t’aurai fait à terme, ta seule fonction sera de servir les hommes avec tes trous, et de te concentrer exclusivement sur leur plaisir »

Et il me balance trois bons coups dans les burnes comme pour appuyer ses propos, tout en sortant son poing de mon cul.

Sub75

amadispo@hotmail.fr

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💦 18 Avril | 155 pages

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