Premier épisode | Épisode précédent
[…] Je n’ai aucune idée de l’heure qu’il est, je nage dans la pisse, et je continue régulièrement de me soulager dans le sleep sack, et je finis tant bien que mal par m’endormir, bien à ma place d’inférieur, à mariner dans ma pisse, elle-même faite de pisse recyclée de mon Boss et ses potes…
Je me réveille sursaut et en panique totale avec un bruit d’enfer dans les oreilles. Je suis où ? Je ne vois rien, je ne peux pas bouger, j’ai un vacarme atroce de guitare électrique dans les oreilles… Et j’ai un truc qui tape contre ma bouche.
En deux secondes l’odeur environnante et mes contraintes me rappellent où et comment je suis, et je raccroche les wagons dans ma tête… Et ouvre la bouche. Je commence à sucer cette belle bite molle qui se présente à moi, tout en étant assourdi par le hard rock que j’ai à fond dans le casque sur mes oreilles, que mon Boss a dû me placer sur la tête dans mon sommeil. Je ne sais pas trop dans quelle position est, mais ses mouvements de bite dans ma bouche ne sont pas hyper rapides. Et finalement il s’immobilise dans ma bouche comme pour kiffer l’instant avec sa queue au chaud… Et je sens un fort jet de pisse m’envahir la bouche.
Wow, je commençais à être excité de le pomper, et là ça casse tous mes rêves direct. C’est fort, je n’aime pas trop ça.
Lui est accroupi au-dessus de son bâtard, la queue dans sa bouche, et il prend son pied à se vider dans la gueule de son bâtard de bon matin, afin de parfaire un peu plus son formatage à l’uro commencé la veille. Rien à foutre que son bâtard boive ou pas, le principal c’est de l’arroser, de l’habituer, et le marquer avec sa pisse en guise d’appartenance. Il a mis du hard rock dans le casque parce qu’une fois son bâtard lui avait dit qu’il déteste ce style de musique, et avec la pisse, ça lui plait grave de lui imposer un réveil paniquant et hard comme ça. Cette journée commence super bien !
Une fois bien vidé et que la gueule de Julien sous la cagoule nage dans sa pisse, Jérémy aurait grave envie de bourrer la gueule de Julien à coups de bites, mais il est en retard et doit se résoudre à oublier cette idée. Il enlève le casque audio, et dit à son bâtard avec un grand sourire :
« Salut sous-merde : bonne nouvelle, ton formatage continue ! On est vendredi matin, et j’ai encore 3 jours pour faire de toi une parfaite lope obéissante ! »
Je dis, mal à l’aise, un « Bonjour Boss » par hyper convainquant…
« Bonne nouvelle pour toi mon bâtard, tu vas avoir quelques heures pour te refaire une santé. Je dois sortir j’ai des trucs à faire ce matin, donc toi tu restes là à m’attendre sagement. Ecoute bien ce qui suit, je n’vais pas répéter :
- Tu restes à poil. Interdiction absolue de porter la moindre fringue. Mais évidemment tu gardes ta cage de chasteté.
- Tu te nettoies, parce que t’es une vraie pourriture là. Et tu nettoies tout le bordel qu’on a mis hier soir.
- Aère l’appart aussi parce que ça pue la sous-merde là. On ne risque pas de louper que t’es dans les parages !
- Interdiction absolue de tenter de t’exciter de la moindre manière que ce soit. Le week-end va être encore long, alors ne te détruit pas le cul avec tous les godes que tu trouves : ça te rendrait moins endurant pour plus tard.
- Tu refais ta valise pour Darkland, quand je rentre, je te veux prêt à partir pour la gare.
- Tu gardes en permanence ce collier à cadenas, relié à cette chaine attachée au mur. Elle te permettra d’aller quasi partout dans l’appart, mais au moins ça te rappellera que t’es inférieur et que tu m’appartiens
- Je mets aussi l’alarme donc ne sort pas sinon ça sonnera. Je peux aussi te voir depuis mon téléphone avec la caméra main libre du système d’alarme. Elle est sur le comptoir, je veux que tu fasses en sorte que je puisse te voir à tout moment donc tu le trimballes de pièces et pièces.
- Si je t’appelle au téléphone, tu réponds comme un bon bâtard qu’on sifflerait.
Il me met le gros collier attaché à la chaine, ferme le cadenas, et d’un coup il me retourne sur le ventre, ce qui a pour effet de me retremper dans les flaques de pisse sur la bâche, le visage dans la cagoule incluse… Et il ouvre la grande fermeture éclair au dos du sleep sack.
« Aller hop, exécution bâtard ! Si quand t’as tout fait il te reste du temps, fait une sieste sur ton tapis de sol comme un bon toutou qui attend son Maître ; je te veux en forme pour le reste du week-end. Moi j’me casse, j’suis à la bourre déjà. Je reviens tout à l’heure »
Mon Boss s’est barré en claquant la porte de l’appart, en prenant avec lui les clefs du collier et de la cage de chasteté.
Je galère un bon moment pour me défaire du sleep sack, puis m’enlève la cagoule. Sans ma seconde peau, tout trempé depuis des heures, j’ai froid et je dégoute vraiment… Je reste assis deux minutes et fait le point dans ma tête. Je suis vraiment partagé entre deux idées :
- D’un côté je me dis : Qu’est-ce que je fous là ?! Pourquoi je m’impose ça, je dois vraiment avoir un grain. Faut que j’arrête mes conneries…
- D’un autre côté je repense au plan d’hier, aux paroles de Jérémy ce matin, et je ressens une pointe d’excitation…
Arf, en fait je rêve d’un plan hard qui dure plus d’une soirée depuis des mois… Et Jérémy est le Boss parfait. Il est ultra hard, sadique et pervers ; mais c’est mec bien, digne de confiance et sain dans la vie. On se connait bien et c’est le seul Master à qui je fais vraiment confiance… Donc le seul avec qui je pourrais vivre ce trip d’être soumis sur une plus longue période…
Tout en réfléchissant à ça, j’attrape mon portable par automatisme, et je check mes notif rapidement. Ah merde je viens de recevoir un msg de Jérémy :
« Re. Je te connais, tu vas surement gamberger pour rien ce matin sur le fait d’être autant ma sous-merde. Ne te pose pas trop de questions, prend les choses cool, et profite. Ça fait des plombes que t’as envie d’être mon bâtard, et tu sais que je n’dépasserai jamais "vraiment" les bornes. Alors vis tes fantasmes de bonne lope et sert moi tout ce week-end sans réfléchir. Tu t’en es super bien sorti hier soir, et j’suis sûr que tu vas continuer. Alors respire, et pense à mon plaisir ! Bonne matinée mon p’tit bâtard. »
Putain, je ne sais pas comment il fait pour lire dans mes pensées comme ça, mais dans tous les cas, il a raison. Fuck, je kiff être son bâtard, alors j’y réfléchirai plus tard, une fois que le week-end sera passé et qu’on aura pris notre pied.
Reboosté, je file à la douche, en trainant ma chaîne et en prenant la caméra au passage… Puis j’entreprends de nettoyer le bordel qu’on a mis au salon… Y’a du lub et de la pisse partout… Heureusement qu’il a ses bâches de protection. Tout à la machine, un peu de rangement, et hop c’est bouclé ! En fait, il a eu une bonne idée avec son collier et la chaîne. Avec la cage de chasteté et la caméra, ça me maintient bien excité et sous pression. Parfois un voyant de la caméra s’allume : je crois que c’est quand il me surveille à distance… Je ne sais même pas ce qu’il est parti faire, mais j’aime me sentir dans la peau du soumis qu’il possède, contraint de rester à sa dispo, et qui l’attend sagement encagé, en tenu de bâtard.
Il rentre bien plus tard, alors que je viens de finir une sieste sur le tapis. Il est sympa, presque en mode pote, donc on discute tranquille. Outre le fait que je me déplace à 4 pattes, que je suis à poil, avec une cage de chasteté, et assis au sol alors qu’il est habillé et assis sur une chaise. On part à la gare vers 16h, à 17h on est dans le train pour Anvers, et 2h15plus tard on arrive à destination.
Dès l’arrivée à l’hôtel, je comprends que cet événement va être une grande découverte pour moi. Les deux personnes devant nous au check-in sont habillés totalement en cuir, un peu comme des personnages de Tom of Finland, ce qu’on ne croise pas fréquemment au quotidien. Jérémy me sourit, et me glisse à l’oreille « Tu vas en voir bien d’autres ce week-end, et des bien plus osés ! ».
Au-delà du fait qu’il jubile d’avoir son bâtard à dispo quelques jours, je crois qu’il est très content de me faire découvrir cet événement du monde fetish & bdsm ; et moi de mon côté je suis ravi d’y aller pour la première fois avec lui. Je n’ai jamais été très « milieu », et encore moins dans sa déclinaison fetish et/ou hard… Alors je suis bien plus à l’aise de l’avoir comme guide de confiance.
Une fois dans la chambre, il me regarde puis regarde ses pieds. Je comprends le message et repasse en mode inférieur, à tes pieds. Contre toutes attentes, il ne me donne aucun ordre à part « file faire un check propreté à la salle de bain. J’en déduis qu’on ne va pas s’éterniser à l’hôtel. Quand je ressors, il m’a préparé quelques fringues pour me looker pour ce soir : pantalon (équipé d’une fermeture éclair qui part du haut des fesses jusqu’au pubis) et débardeur, tous deux en latex. J’aime décidément de plus en plus cette matière : j’apprécie son côté moulant qui compresse… Je me sens contraint, et après un check dans la glace, je dois avouer que je me trouve pas mal comme ça. Et vu son sourire carnassier, je crois que mon Boss pense pareil.
On s’arrête prendre une bière au bar de l’hôtel, puis direction la navette pour aller au port, dans les grands entrepôts où a lieu l’événement. Darkland, c’est un événement fetish sur 3 ou 4 jours, avec plusieurs parties :
- Une zone vestiaire avec des casiers
- Une zone d’exposition où les stands des marques de matériel/toys et de fringues fetish exposent et vendent leurs collections
- 3 dancefloors dont une immense scène principale, chacun avec son style musical
- Des stands de nourriture et de boisson
- Des master classes sur plein de différentes techniques bdsm en journée
- Un grand bar mezzanine VIP, réservé aux Alpha (!)
- Le tout entouré d’une iiiiimmense backroom, découpée en plusieurs zones selon les trips.
En arrivant, je suis excité comme pas possible de voir tous ces mecs lookés. Il y en a pour tous les goûts, de tous les âges, et pour tous les fétiches : les bikers, les mecs en cuir, en latex ou en néoprène, ceux en sportwears ou juste en jockstrap, les mecs avec des accessoires de bondage plus ou moins hard, les babys, les domis qui tiennent leurs soumis en laisse, les dogs, etc… Je n’ai jamais vu ça, j’ai le catalogue de tous les fétichismes gay possibles qui défilent devant mes yeux ! J’ai l’impression d’entrer dans un monde de total liberté, qui correspond à cette partie de moi que je ne montre jamais, à part dans des plans hard chez un domi ou un autre, mais que je n’ai jamais expérimenté dans un quelconque lieu public… Et là, tous ces mecs ont des trips similaires aux miens, kiffent les fétichismes et/ou le bdsm, et s’exhibent tous comme si c’était simple et normal de passer une soirée comme ça. Je me sens instantanément très bien, une grande part de l’appréhension que j’avais en venant (être soumis, en public, et habillé en latex) disparait… J’ai un peu l’impression de rêver…
Mon Boss m’emmène découvrir les lieux après avoir posé nos affaires dans un casier… On se ballade une bière à la main, et il est cool de me laisser le temps d’appréhender l’environnement, les yeux écarquillés de curiosité et d’envie comme un gamin devant un stand de glace. Si j’étais seul, j’aurais envie d’explorer tout de suite chaque recoin de cet entrepôt et de tous les décors événementiels qui en font un labyrinthe sans fin.
La musique est pas mal, bien que trop techno à mon goût, mais ça va bien avec la clientèle. Au détour d’une zone, mon Boss me fait tourner dans un couloir plus sombre, s’assoit sur un banc, et sans que j’aie le temps de dire quoi que ce soit, me choppe la tête et viens la coller sur son entrejambe en me faisant tomber à genoux. Il y a beaucoup de monde, et ça se bouscule un peu partout. Boss me dit à l’oreille :
« Ne pense à rien d’autre bâtard, occupe-toi de ma queue et obéis à ton Boss ! » Alors je me focalise sur la bosse qui grossit dans son jog, et me frotte tout le visage contre sa queue. Je sens parfois derrière moi des mains qui trainent en me caressant le cul, mais dans ma position actuelle, je ne peux m’occuper de rien d’autre que de mon Boss, qui me maintient bien la tête plaquée contre sa teub. Il sort sa queue de son jog en un mouvement rapide, et je la prends direct en bouche, bien profond car poussé de force par sa main sur ma tête. Putain j’adore sa bite, je pourrais me faire démonter la bouche pendant des heures pour le satisfaire tellement elle me fait kiffer… Et il ne s’en prive pas. Il imprime un va-et-vient de bourrin sur ma tête et me bloque parfois sa queue bien au fond de la gorge… Je peux plus respirer… Et il relâche avant de recommencer dans la foulée. Je commence à bien baver et à m’essouffler, et il finit par lâcher mon crâne en me disant de continuer à le pomper. Wow, pour commencer la soirée on y va fort direct. J’aime le sentir hyper excité comme ça ! Moi j’ai la queue qui est contrainte à mort dans ma cage, et je suis aussi méga excité.
Je regrette un peu qu’on ait oublié le poppers à l’hôtel, ça m’aurait rendu encore plus lope s’il m’en avait fait prendre maintenant. Mais bon, le poppers, ça reste accessoire. Je suis tout à fait capable d’encaisser les vices de mon Boss sans.
Concentré à bien pomper mon Boss et lécher ses couilles de mâle supérieur, je n’ai même pas capté qu’un mec s’est assis à côté de lui. D’un coup mon Boss me pousse la tête vers la queue de ce mec dont je n’ai même pas vu le visage, et m’ordonne de le pomper. Il a une queue de longueur moyenne, bien droite, et surtout très épaisse. Je le suce en m’appliquant, et j’hallucine intérieurement d’être en train de pomper un mec dont je n’ai jamais vu le visage…
Boss en profite pour se lever, mettre une capote, ouvrir la fermeture éclair de mon cul, et envoyer un mini crachat avant de m’empaler direct de tout son long, sans préparation. Je ramasse grave, et j’aurais gueulé à fond si je n’avais pas eu cette bite bien marge au fond de la bouche ! Le mec que je suce donne des coups de bassin pour aller et venir dans ma bouche plus rapidement, et mon Boss me démonte le cul toujours en mode bourrin. Je sais qu’il doit être en train de kiffer m’avoir planté direct et me faire bien galérer à encaisser… Mais la douleur commence quand même à se transformer en plaisir, et de toutes façons, mes trous lui appartiennent et j’aime qu’il me soumette comme il veut sans se poser la question de si j’ai envie ou de mon confort. Ça m’excite encore plus, et ma queue me fait bien mal dans la cage… Mon Boss me claque le cul en me disant que ça doit servir à ça un bon bâtard : se faire niquer par tous les trous et satisfaire des mâles Alpha. Il a raison, et en plus je prends un pied d’enfer… Autant parce qu’il me nique bien, que parce que la situation m’excite grave !
Le mec que je pompe s’est levé, et ma tête à suivi sa bite comme un bon toutou. Il est maintenant à côté d’un autre mec qui lui aussi sort sa bite, et je navigue entre les deux en suçant l’un pendant que l’autre me biffle la joue… La nouvelle bite d’un bon calibre aussi, plus longue que la première, et bien que je n’aie pas eu la possibilité de voir ce nouveau mec, il me semble plus jeune et plus en forme que le premier.
Mon Boss décule, et le premier mec que je suçais, celui avec la queue bien large, tente de m’enculer à son tour. Jérémy le chope au passage et lui dit de mettre une capote ou de dégager. Il l’a fait discrètement, mais j’ai quand même grillé l’action, et je me dis que j’ai vraiment un Boss qui assure !
Cinq secondes plus tard, muni d’une capote, le mec rentre en moi tranquillement, et je sens vraiment bien la largeur de sa queue. Heureusement que mon Boss a commencé à bien me travailler le trou parce que sinon j’aurais galéré. Boss est debout à côté de moi, et il me couvre d’insulte en me regardant me faire fourrer par tous les trous. Il se branle en même temps, et me traite de bonne pute.
Je dois être un peu con, mais entendre mon Boss me dire que je suis une bonne pute, ça me fait me dire qu’il est content, et donc je suis encore plus excité. Je me donne à fond dans ma pipe, et laisse le mec me détruire le cul a coup de bite autant qu’il veut en étant une lope qui encaisse bien en y mettant du sien. Le mec que je suce me claque régulièrement sur les conseils de mon Boss, et il n’y va pas de main morte… Cette situation est un peu surréaliste pour moi, et honnêtement je suis excité comme jamais.
Je sens le mec qui me saute accélérer la cadence, et finir par m’enfoncer son pieu au plus profond possible, en larguant tout son foutre… Pendant que le mec que je suce me tient la tête et s’enfonce dedans à une vitesse effrénée. Quel pied !
Mon Boss propose au mec que je suce de me niquer alors que le précédent se retire tranquille, mais ça ne lui dit rien. Je suis un peu déçu parce que je suis ultra excité, mais dans tous les cas ce n’est pas moi qui décide…
Le mec que je suçais s’accroupi alors devant moi et me prend la tête fermement entre ses deux mains pour le regarder dans les yeux. Putain il est grave canon ! Il me dit :
« Merci pour la pipe. T’es une bonne grosse pute toi, ça se sent ! » et il me crache à la gueule avant de se barrer.
Je suis à quatre pattes au milieu d’une backroom bondée, la gueule pleine de crachat après m’être fait niquer en 15 minutes par mon Boss et deux inconnus, dont un putain de bogosse. Mon Boss est debout à côté de moi, et me colle le dessus de sa sket sur la bouche pour que je lèche… Ce que je m’empresse de faire… Je ne sais pas s’il essaye de trouver quelqu’un d’autre à qui filer mes trous ou s’il prend juste le temps d’apprécier la situation…
Deux minutes plus tard, il me relève en me tirant par les cheveux, et on se barre de ce coin sombre.
Il commande une vodka pour lui et une Despé’ pour moi, et je lui retrouve ce sourire vicieux qu’il a quand il est en mode domi, fier de ce qu’il vient de faire… Il me dit calmement :
« T’es une bonne pute Julien, j’suis content d’être là avec un bâtard comme toi. Tu aurais vu tronche du premier mec que t’as sucé et qui t’as sauté ! C’était franchement un gros dégueulasse, et toi tu t’es laissé loper comme la dernière des sous-merdes… T’as vraiment pas de race. Je me demande si un jour j’arriverai à trouver des limites à ta déchéance… Tu me dégouterais presque tant tu es inférieur. Tu vois tous les mecs autour de nous, et même tous les soumis, dit-toi bien qu’ils sont probablement tous bien plus respectables que toi tellement t’es une sous-race ! En tous cas maintenant je vais continuer à me servir de toi comme d’un putain d’objet, et t’auras pas intérêt à broncher. C’est la seule chose pour laquelle tu peux potentiellement être utile : être bien obéissant et servir me servir de défouloir. »
Je crois que je me sens tellement honteux et humilié que je me cacherais volontiers si je pouvais… Je baisse les yeux, et je m’en veux de m’infliger ça… Je m’en veux aussi d’être aussi excité par ce genre de choses, et d’être autant une sous-merde comme il le dit. Bien que l’ambiance soit assez sombre, je baisse vraiment la face parce que je sens bien que mon visage a dû virer au rouge écarlate de honte…
Il me choppe le menton, me force à le regarder, et alors qu’on est au bar devant tout le monde, me crache à la gueule, en me regardant avec dédain. S’il voulait m’achever, c’est réussi.
Il tourne les talons et se barre. Il ne se retourne même pas pour vérifier que je le suis tant il est sûr que je vais trottiner derrière lui comme un toutou suit son maître servilement… Puis arrivé aux WC, en attendant dans la file, il me dit d’aller pisser puis fumer, qu’il me rejoint.
Ouf ! Je m’enferme dans une cabine des chiottes et essaye de reprendre mes esprits… Puis je vais fumer une clope tout seul. Ça fait du bien, je respire mieux et je décompresse de ne plus avoir le regard dur de mon Boss sur moi pendant 5 minutes. J’observe tous les mecs lookés autour de moi, et je trouve à nouveau cet endroit incroyable… Un mec fume un gros cigare en tenant son bâtard à quatre pattes en laisse, un groupe de quatre jeunes mecs en babygrow et couches rigolent ensemble, deux autres à côté s’échangent leurs masques de chien en discutant du look que ça leur donne, un autre fume peinard pendant que son pote lui mordille les tétons en espérant désespérément l’exciter… Cet endroit est surréaliste, j’adore… Un mec à la prestance très dominante entre en tenant son bâtard en laisse qui le suit debout derrière lui. Le soumis se met alors à quatre pattes, et son Maître s’assoit directement sur lui pour s’installer confortablement en fumer sa clope. Le soumis doit galérer, en plus il est directement sur le béton et n’a pas de genouillères… Pire, son Maître se sert du creux entre ses omoplates comme d’un cendrier… Et le soumis ne bronche pas.
C’est ce moment là que choisi mon Boss pour me rejoindre. J’étais tellement captivé par la scène de ce duo domi-soumis que je ne l’ai même pas vu arriver. Dans la seconde, j’espère secrètement que ça ne va pas lui donner l’envie de faire pareil qu’eux en les voyant… Il a dû capter l’instant d’angoisse dans mes yeux car il me sourit simplement et trinque son verre contre ma bière en me disant :
« Fait pas la vierge effarouchée, tu adores être ma pute, et tu n’as pas à avoir honte de quoi que ce soit ici. Bien sûr que tu pourrais être à la place de ce bâtard à quatre pattes, et tu y serais d’ailleurs très bien, mais quand t’es à quatre pattes, je préfère que t’aies un truc dans le cul… » Et il me fait un gros clin d’œil.
Sa blague est bonne et j’en souris, et on papote tranquillement le temps d’une seconde clope.
J’apprécie mieux cette musique techno un peu bourrine après avoir bu quelques verres, qu’on enchaîne depuis un petit moment. On danse en matant les mecs et leurs looks, on déconne ensemble (enfin, je n’abuse pas et je reste à ma place quand même), et on passe un bon moment. Les décors et les effets scéniques de la salle principale sont hyper bien fait, et je me dis intérieurement que même si l’entrée n’est pas donnée, ce n’est vraiment pas du foutage de gueule cet événement… Au fur et à mesure qu’on danse, mon Boss se rapproche et me pelote le cul de plus en plus. Il est derrière moi et je sens bien sa demi-molle frotter contre mon cul… Une de ses mains vient sur mon pubis choper la fermeture éclair, et il l’ouvre petit à petit, puis attrape ma cage de chasteté et la fait pendre bien en évidence en me disant :
« J’veux que tout le monde voit que t’es un p’tit bâtard et que t’as même plus le pouvoir de jouir comme un mec » …
Ce petit rappel de mon statut de soumis aux ordres me chauffe bien, et finalement je crois que j’ai vu tellement de looks osés ce soir que je ne me formalise même pas trop que tout le monde puisse voir ma queue encagée. Juste ça me chauffe bien, et on continue à se chauffer en dansant. Au bout d’un moment, il me tire en dehors du dancefloor et se dirige vers une autre zone de backroom qu’on n’a pas encore exploré. On passe un ou deux couloirs sous des échafaudages avec des recoins plein de slings, banquettes et autres mobiliers utiles, avec plein de mecs en train de niquer, et on monte sur l’étage de la backroom. D’ici on a une vue canon sur le dancefloor, mais je crois qu’autant mon Boss que moi avons désormais autre chose en tête. Je lui suis jusqu’à une zone « sport » de la backroom, aménagée un peu comme un vestiaire de stade, avec une bonne majorité de mecs lookés sportwear. Encore une fois, j’hallucine de voir d’un coup autant de mecs branchés sports & odeurs, et mon Boss, tout à fait dans son élément vu son look du soir, m’ordonne de le pomper direct. Tant mieux, j’attendais que ça ! Je tombe à genoux et je me frotte la gueule à son jog, en attendant sa permission pour sortir sa queue sinon je sais que je vais manger une grosse mandale, et il sort sa bite rapidement en me l’enfournant dans la bouche direct bien profond. Il me lime bien la gueule, et me bloque la tête régulièrement en gorge ultra profonde… Je suffoque, j’ai des larmes qui coulent sur les joues et je bave comme pas possible, mais il n’en a rien à foutre et il continue de me baiser la gueule… Il recule pour que je sois bloqué contre un mur dans mon dos, et en profite pour bien me niquer la bouche à grands coups de reins. De chaque côté de lui, des mecs se sont rapprochés et ont sorti leurs queues. Il les branle, ils se tâtent, mon Boss se fait mordiller un téton par l’un et roule des grosses pelles à l’autre… Je kiff grave être à ma place d’inférieur et prendre sa queue un max en bouche pendant ce temps-là. Puis mon Boss me fait tourner la tête pour aller gober la belle queue de celui de gauche : encore un bon calibre, bien raid, que je m’empresse de pomper comme si ma vie en dépendait, je joue avec ma langue, je l’englouti en gorge profonde, je lui astique vigoureusement le bout avec la bouche… Le mec joue avec sa queue, me frappe la gueule avec et me la refout en bouche, m’ordonne de lui bouffer les couilles, le tout sous les encouragements de mon Boss qui lui dit de se servir comme il veut de sa pute… C’est méga chaud, et le mec demande à mon Boss :
« Il est juste bon pompeur ou…
- Non non, c’est une putain de creuvure bien soumis qui fait tout ce que je veux. Te gêne pas, utilise-le autant que tu veux sans te restreindre mec !
- Ah cool ça ! … Lèche mes skets pédale ! »
Et il m’appuie la tête contre sa sket appuyée sur un banc de vestiaire. Moi a genoux je commence à bien lui décrasser… Il a une belle paire, et je kiff être aux pieds de mecs supérieurs comme ça. Je lape bien comme il faut, pendant que les deux me regardent de haut en se branlant l’un l’autre, alors que le troisième semble avoir disparu. Puis d’un coup il retire son pied de sa sket, et m’écrase la gueule à l’intérieur de la pompe… Woooow l’odeur ! C’est chaud, c’est fort, c’est piquant… J’ai l’impression de prendre un puissant coup de poppers dans le nez… Le mec m’appuie bien la tronche dedans en me disant de bien lécher, ce que j’essaye de faire alors que je m’étouffe avec son odeur de mâle en rut. Ma queue tente de bander à fond et la cage la contraint au max, ce qui rajoute encore plus à mon excitation et à mon inconfort. En même temps, mon Boss commence à me doigter, puis m’enfonce sa queue capotée dans le cul et me nique tranquillement.
J’adore le moment où mon Boss me pénètre. Sa queue est meilleure que tous les godes du monde… Juste parce que c’est lui, et que je me sens à la fois soumis, et totalement à lui quand il me tringle.
Le mec me recolle sa queue en bouche, et je suis pour la seconde fois de la soirée à quatre pattes, en train de me faire bourrer par les deux trous, par mon Boss et un autre mec bien domi (et bien foutu), les deux armés de bons gros calibres comme je les aime. Quel pied ! Mon Boss ressort et l’autre mec prend sa place. J’envoie la main en arrière pour vérifier qu’il y a bien une capote, mais mon Boss me dit : « t’inquiète y’en a bien une, je gère ! ». Il reprend la sket du gars, et me l’écrase à nouveau dans la gueule. « Vas-y gaze toi aux odeurs de mâle mon bâtard, vient chercher les odeurs, fait kiffer ton Boss, donne ta chatte, voiiiiilà, tu te fais bien bourrer comme une bonne pute là, c’est à ça que tu sers ! », et moi j’enchaine les « oui Boss, Merci Boss » depuis le fond de ma sket, sans même savoir s’il m’entend. Le mec a une super queue et il sait s’en servir, il me nique à fond avec de grands mouvements amples, en s’accrochant à mes hanches et en me tirant vers lui à chaque fois pour aller encore plus fort et plus profond… Je sens ses couilles qui tapent dans les miennes, et je vois plein de pieds autour de nous d’autres mecs qui se sont rapprochés et qui profitent du spectacle… Mon cul est méga bien ouvert, et sa queue me ramone à fond sans s’arrêter. J’ai des frissons et des spasmes de jouissance, et je couine bien comme une pute avec la gueule écrasée sur la sket de mon niqueur.
Il finit par ressortir, et vient se mettre direct devant moi, dégage la capote et après deux aller-retours de branle me gicle de bonnes rasades de foutre sur la gueule en me traitant de sac à jus… Putain, je prends un méga pied, et je crois que sans la cage je giclerai là maintenant tout de suite sans me toucher…
Mais à la place j’ai la queue compressée qui me fait grave mal… Et je suis à genoux au milieu de plein de mecs qui viennent de me voir me faire sauter comme une pute, et mon Boss me passe la main sur le visage devant tout le monde en étalant bien le foutre sur toute ma face et dans mes cheveux… « Voilà de quoi t’entretenir la peau mon bâtard ! Tu t’essuies pas, tu restes comme ça. Il a raison, t’es mieux plein de foutre !»
Sub75
amadispo@hotmail.fr
Autres histoires de l'auteur : Actif soumis | Weekend avec mon Boss