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Weekend en montagne

L'été dernier, nous étions en montagne avec un groupe de potes et c'est la première fois que j'ai couché avec un homme mariée et père. Mieux : avec deux hommes mariés et pères. L'écrire rend encore plus incroyable ce qui s'est passé lors de ces fameuses nuits, dans un refuge de montagne. S'il n'y avait pas eu les autres fois depuis, je pourrais presque croire que j'ai rêvé. Pourtant, elles se sont bien déroulées et voici comme je m'en souviens.

Nous étions donc une petite équipe à partir marcher 3 jours dans les Alpes suisses, avec deux nuits dans des refuges et une dernière nuit dans un village. J'étais un peu la quatrième roue du carrosse : les quatre autres marcheurs étaient en fait deux couples. Deux potes à moi, avec leurs femmes. Heureusement, ils avaient laissé les gosses à la maison. Dans l'absolu, ça ne me dérangeait pas plus que ça d'être le seul célibataire de l'équipe, car on se connaissait tous bien.

Départ fixé le vendredi en fin de journée, après le boulot. La première étape de marche était donc plutôt courte, et n'est pas très intéressante à raconter. Des paysages magnifiques et des discussions agréables avec les uns et les autres en montant. Nous étions fin septembre, il faisait déjà plus froid qu'en plein été, nous étions donc bien contents d'arriver à notre destination et de nous réchauffer dans la grande salle commune du refuge. Certes, nous étions là pour le sport, mais cela ne nous a pas empêché de profiter aussi de l'ambiance conviviale de la cabane, et de fêter notre premier jour d'effort avec un chouette apéro et quelques parties de cartes. Pour le souper, menu du refuge et quelques bons verres de vin rouge suisse. Les filles sont allées se coucher les premières, nous sommes restés attablés encore un moment avec mes deux amis, François et David.

Comme souvent avec eux, après quelques verres, nos discussions sont vite très politiques, entre avenir de la planète et changement climatique. Avec François, il n'était pas rare que l'on parle de sujets un peu plus osés, et qu'il m'explique les différentes choses qu'il a testé avec sa femme. Je le savais très ouvert d'esprit et pas du genre à refuser des nouvelles expériences. Mais quand David est là, François est nettement plus réservé.

Comme une longue journée de marche nous attendais le lendemain, David a été le plus raisonnable de l'équipe et est donc allé se mettre au lit le premier. Nous l'avons suivi de peu avec François. En y repensant après coup, c'est clairement là, dans la salle de bain du refuge, que tout à commencé. François et moi étions en train de nous brosser les dents et ayant terminé en premier, je me suis penché sur un lavabo pour me rincer la bouche – rien de bien fou jusque là. Mais alors que j'étais baissé, j'ai soudain senti François contre moi. Il était en train de frotter son entrejambe contre mes fesses, une main sur ma hanche droite. Je me suis relevé brusquement et ai croisé son regard dans le miroir devant nous. Il avait le sourire d'un enfant qui se fait prendre en train de faire une bêtise.

- François... c'était quoi ça ?

- Ahaha désolé. Je n'ai pas pu me retenir. Tu vois, ça fait un moment qu'on ne fait plus rien avec Pauline. Et ton cul ressemble un peu au sien. Regarde, tu me fait même de l'effet.

Nous étions en jogging et je pouvais effectivement deviner une bosse assez conséquente dans le sien. Le spectacle n'était pas désagréable, mais il était marié, avait des enfants, et je ne voyais pas vraiment ce qu'il espérait...

- ouais ben garde ta bite où elle est, mec. Je suis pas Pauline – branle-toi, si tu es à ce point en manque. Bonne nuit !

Je suis sorti de la salle de bain, sans vraiment comprendre ce qui venait de se passer. En tâtonnant pour me retrouver ma place dans le dortoir, je me rendis compte que j'étais un peu excité. Qu'est-ce qui venait de se passer ? François venait-il réellement de se frotter à moi ? Mon cul l'excitait ? C'était quoi cette histoire ?? Il me fallu un bon moment pour m'endormir – tant à cause de cet étrange épisode qu'à cause des nombreux ronflements du dortoir.

*****

Second jour de marche, réveil aux aurores et déjeuner de chalet. Encore un peu embrumé, il me fallu quelques minutes pour me rappeler de l'épisode de la salle de bain, hier soir. François n'avait pas l'air plus perturbé que ça. La journée allait être belle, le soleil pointait déjà sur les crêtes autours du chalet. Nous n'avons donc pas tardé à manger, préparer nos affaires et nous mettre en route. Cette fois, les choses devenaient sérieuses, c'était 5 à 6 heures de marche qui nous attendaient.

Je ne crois pas qu'il vaille la peine que je décrive notre itinéraire de ce jour, ce n'est pas vraiment le plus intéressant de l'histoire. Ce qui l'est par contre, c'est qu'il m'avait très nettement semblé voir François et David plusieurs fois en grande discussion devant nous – je ne sais pas si je devenais parano, mais j'étais presque sûr que l'un comme l'autre s'était retourné plusieurs fois pour me regarder. De leur côté, leurs épouses semblaient apprécier l'effort et les paysages.

Le refuge de ce soir là était un peu moins grand que le précédent. En y arrivant, le gardien nous expliqua qu'un grand groupe d'alpiniste était déjà installé dans le grand dortoir : « Normalement, il est pour les gens qui se lèvent plus tard, mais nous avons dû nous réorganiser pour ce groupe. Si ça vous va, il reste deux plus petites chambres. On met les messieurs dans une, et les dames dans l'autre ». Franchement, en y repensant maintenant, j'ai presque tendance à croire que c'était un coup du destin. N'ayant pas vraiment d'autres choix, nous avons accepté cette solution et, comme la veille, nous sommes mis à table pour l'apéro, les jeux de cartes et le souper. Étant tous assez fatigués, nous n'avons pas veillé tard. Avant 22h, les filles étaient dans leur chambre et nous finissions de nous préparer pour rejoindre la notre.

C'était une petite chambre sous le toit. Contre un des murs, une sorte de banquette sur laquelle reposaient 4 matelas les uns à côtés des autres. Plus qu'une chambre, c'était en fait un mini dortoir. Ça ne me dérangeait pas, au moins nous étions sûr d'être au calme. Par contre, après l'épisode de la veille et les évidentes discussions de François et David durant la marche, je commençais à sentir une petite appréhension mêlée d'excitation. Il y avait clairement une petite boule qui se formait dans mon ventre, ne sachant pas ce que la nuit me réserverait. En plus, sans trop y réfléchir, en arrivant dans le dortoir plus tôt dans la journée, nous avions jeté nos affaires sur les lits, et comme par hasard, je me retrouvais couché entre mes deux potes...

Installés dans nos sacs de couchage, nous avons encore discuté un moment. Peu à peu, la discussion s'est orientée sur leurs histoires de couples, de célibats, etc. François, David, Eva et Pauline avaient l'air plutôt heureux en couple. Il semblerait toutefois que dans l'intimité, tout n'était pas aussi idéal. François recommençait son refrain entamé la veille, nous expliquant que depuis la naissance de leur second enfant, il n'avait plus l'autorisation de toucher son épouse, qui préférait faire chambre à part « à cause de la fatigue accumulée », disait-elle. David semblait dans la même situation, bien qu'il couche encore parfois avec Eva. Ils se plaignaient du manque d'activité sexuelle et de mon côté j'écoutais sagement, ayant parfois envie de leur rappeler, pour les embêter un peu, que quant à moi, étant célibataire... je pouvais faire ce que je voulais ! Je laissais mon esprit vagabonder en les écoutant d'une oreille. Je repensais à hier soir et sentait l'excitation monter un peu quand j'entendis François dire :

- franchement, vous n'allez pas me croire, mais la semaine passée, je me suis réveillé pendant la nuit et j'avais joui. Comme un ado, du sperme plein le caleçon. Ça ne m'était plus arrivé depuis... 20 ans. Et je bandais encore super fort. Je me suis branlé et j'ai joui une deuxième fois. C'est dire si j'ai les couilles pleines.

- Ouais, bah pareil, ajouta David. Au point où j'en suis, je me branle presque tous les jours, y compris au job...

J'étais franchement surpris d'entendre David parler de sa vie sexuelle, ce n'était pas vraiment son genre. L'imaginer en train de se branler dans les chiottes de son travail était plutôt agréable. En visualisant la scène, je sentis ma bite se réveiller un peu.

- ... d'ailleurs, rien que d'en parler maintenant, je commence à sentir ma queue qui durci. Il me faudrait une bonne pipe, avant de dormir.

- Clairement, moi aussi ! renchérit François. Charles... ? Charles ?

Perdu dans mes pensées et mes fantasmes, je ne m'étais pas tout de suite rendu compte que François m'appelait doucement.

- hé Charles ? Tu veux pas nous sucer ? Me proposait François.

- Ahaha François, t'es con ! Riait David de son côté.

- Putain les gars, vous êtes sérieux ou quoi ? Vous me prenez pour quoi ?

J'étais franchement choqué de la demande de François. Okey, on se connaissait depuis longtemps, on parlait plutôt librement les trois. Mais de là à me demander de les sucer. J'étais pas leur pute non plus... quoiqu'en y réfléchissant bien : une partie de moi, une petite partie de moi, n'aurait pas dit non.

- ouais okey, c'est bon, je rigole, s'excusa François. Mais bon, tu dois quand même reconnaître que c'est pas facile pour nous. Rien que d'en parler maintenant, je bande. Et bon, je t'ai déjà dit que ton pti cul me plaisait bien !

- Quoi ???

A l'évidence, François n'avait pas parlé à David de notre petit épisode de la veille. Celui-ci s'était redressé dans son sac de couchage. Appuyé sur un bras, il regardait François. La petite fenêtre de notre dortoir n'ayant pas de rideau, je pouvais deviner l'expression de son visage, éclairé par la lune à l'extérieur.

- ahahah ouais, j'ai dit à Charles hier que son cul me faisait pensé à celui de Pauline. Il était penché en avant, après s'être brossé les dents, et en le voyant comme ça, j'ai eu un flash. Ma bite s'est dressée direct.

Je ne savais plus quoi dire. J'avais l'impression que là, c'était entre eux que ça se jouait. Je me faisait tout petit dans mon sac de couchage. David se recoucha sur le dos, en murmurant :

- C'est vrai qu'il est pas mal, ton cul, Charles.

Je ne savais vraiment plus où me mettre. J'ai préféré ne pas répondre et ai fermé les yeux. Il était clair que nous n'allions pas dormir tout de suite, mais je pensais qu'en faisant semblant, j'arriverais à calmer un peu l'excitation qui bouillait en moi. Après quelques minutes, j'ai commençai à entendre des frottements et à deviner des soupirs. Avec la promiscuité et la matière de sacs de couchages, impossible d'être discrets. Impossibles non plus de se tromper sur ce qui était en train de se passer, mes potes se branlaient... c'était à croire qu'ils s'étaient mis d'accord sur le scénario de la soirée. Ils avaient l'air tellement synchronisés.

J'entendis soudain le bruit d'une fermeture éclaire que l'on descendait. J'ouvris les yeux, bien décidé à faire une remarque à François. Pourtant, en regardant de son côté : rien. Incroyable ! C'était David qui avait sorti sa bite et qui se branlait doucement.

- mais putain, David... fut la seule chose que je trouvai alors à dire.

Celui-ci me regarda et me fit un clin d’œil. A ce moment là, je sentis François qui se débattait avec son sac de couchage et qui finis par descendre également la fermeture éclaire.

J'étais dans un dortoir, dans un refuge de montagne en Suisse, et deux de mes meilleurs potes étaient de part et d'autre de moi, en train de se branler. Sérieusement ? Impossible de fermer l’œil avec ce spectacle sous les yeux. Intérieurement, je bénissais la clarté de la nuit qui me permettait de ne pas en perdre une miette. J'avais déjà clairement passé de nombreuses nuits à les imaginer l'un et l'autre nus, et là... j'avais le jackpot sous les yeux.

François avait l'air de faire plus de sport, il était plus épais et avais le torse plus musclé, avec la peau clair et des poils très sombre. C’était totalement mon genre, et je m’étais souvent imaginé en train de jouer avec ses poils. Sa bite était de bonne taille, courbée contre son ventre, avec un gland plutôt gros. David était plus maigre et avait la peau plus claire. Sa bite était également plus courte, mais sacrement épaisses. L’un et l’autre se branlait doucement, en me regardant.

- Allé Charles, gêne toi pas ! Je suis sûr que tu bandes aussi. Je le vois dans la manière que tu as de nous regarder.

C'était David qui m'encourageait ainsi – vraiment, je m'étais trompé sur son compte. Il avait passé un bras derrière mes épaules, une sorte d’accolade de pote. Ce qu'il n'avait par contre pas calculé, c'est qu'en m'empoignant comme ça, en m'approchant de lui, je me retrouvais avec la main gauche dangereusement proche de son bassin. Là, je n'ai tout simplement pas pu m'empêcher. Sentir la chaleur de sa peau contre mes doigts m'a faire perdre les pédales. Il avait sa bite à moins de 10 cm de ma main, les deux se branlaient, François avait demandé que je les suces. C'était tout simplement trop pour ma volonté.

J'ai pris la bite de David a pleine main, et ai commencé de le branler. Il avait l'air de n'avoir attendu que ça, il s'est relaxé et à passé ses mains derrière sa tête. Installé comme un prince, il se laissait faire.

Il ne fallu pas longtemps pour que François remarque ce qui était en train de se passer. Sans rien dire, il pris mon autre main et la posa sur sa bite, en s'installant dans la même position que David. On y était. J'étais en train de branler mes deux potes. Une bite dans chaque main, c'était désormais moi qui maîtrisait leur plaisir. C'était incroyable de comparer leurs deux engins. L'un long et recourbé, l'autre trapu. Les deux super excitants.

Mes deux princes avaient les yeux fermés et se laissaient faire, abandonnés à leur plaisir. Ils soupiraient doucement, m'encourageait par simples petits mots « vas-y » « c'est bon » « continue ». De mon côté, ma bite était pas loin de l'explosion, et comme d'habitude, je pouvais sentir le flot de mouille tapisser mon caleçon. J'avais envie d'aller plus loin et je sentais qu'ils ne seraient sûrement pas contre. J'avais surtout l'impression que ce n'était pas eux qui allaient prendre d'autres initiatives. Sans mauvais jeu de mots, j'ai donc décidé de prendre les choses en main. Couchés les trois l'un à côté de l'autre n'était pas franchement la meilleure position. Je me suis donc relevé. François a ouvert les yeux, m'a interrogé de regard – je lui ai juste fait un clin d’œil et me suis mis à genoux entre eux en leur demandant de se rapprocher l'un de l'autre. Ils n'ont pas hésité une seconde. La scène était superbe. Leurs deux corps à moitié nus serrés ensemble. Leurs jambes qui se touchaient et leurs deux bites, tendues et attendant que l'on s'occupe d'elles. J'ai fait de mon mieux pour imprimer les détails de ce que j'avais sous les yeux, pour bien m'en souvenir.

J'ai repris leurs queues là où je les avais laissées. Une dans chaque main en les branlant doucement. Je lâchais parfois l'une pour avoir les deux mains à disposition. Caresser les couilles des François qui pendaient loin sous sa bite. Masser celles de David, rondes, dures et assurément très pleines. David mouillait aussi pas mal, j'en profitait pour lui caresser doucement le gland avec tout son precum. Ne voulant pas rendre François jaloux, j'en utilisais aussi pour lui faire du bien. Je trouvais l'idée d'utiliser les fluides de l'un pour faire du bien à l'autre super excitante. Je me rendais bien compte que la suite de notre petite aventure était assez inéluctable, mais je ne savais pas par lequel commencer. Je crois que comme c'est François qui avait insisté pour que je leur serve de déversoirs, j'allais commencer par David, pour l’embêter un peu !

J'ai donc lâché François. D'une main, je malaxais les couilles des David, de l'autre, je le branlais toujours à un rythme soutenu. François a ouvert les yeux et a alors eu tout loisir de me voir me pencher sur David, en entrouvrant la bouche. J'ai arrêté mes mouvements de va et vient, ai sorti la langue et ai entrepris de lui rappeler ce qu'était une pipe – puisqu'à l'évidence, il n'y avait plus droit avec sa femme.

De la pointe de ma langue, j'ai joué avec son gland, jouant avec son petit trou. Il était vraiment super mouillé, j'adorais le goût. J'ai léché chaque millimètre carré de son gland, en n'oubliant pas de satisfaire aussi ses belles couilles. Lui avait toujours les yeux fermés. Il avait clairement compris ce qui se passait, mais se laissait complètement faire. C'est dommage, j'aime bien regarder le mec que je suce dans les yeux, pendant que je bosse. Mais ce soir là, j'ai découvert quelque chose d'encore plus excitant. Sucer David en regardant François. Je crois que celui-ci avait arrêté de respirer. Il me fixait et j'ai bien cru que ses yeux allaient sortir de sa tête. Il avait la bouche légèrement entrouverte et était super chou comme ça. Je lui ai fait un clin d’œil alors que la bite de David m'écartait la mâchoire et que je la sentais jusqu'au fond de ma gorge. Il avait qu'à assumer, François. C'était lui qui avait commencé avec ses allusions et ses demandes salaces. Ce n'était pas de ma faute s'il avait réveillé l'animal en moi.

Je branlais David plus rapidement, en stimulant son gland avec ma langue – tout ça en fixant François. Absorbé par l'instant, je n'avais pas tout de suite remarqué que d'une main, il se branlait toujours rapidement.

J'ai soudain entendu David soupirer plus fort. Je me suis alors reconcentré sur son plaisir. J'ai repris sa bite en bouche, en coordonnant mes mouvements avec ceux de la main que j'avais sur sa bite mais un peu moins vite, pour faire durer le plaisir. L'autre était toujours sur ses couilles. Mon majeur se frayait parfois un chemin entre ses fesses, sans qu'il semble s'y opposer. Je l'ai vu froncer, l'ai entendu respirer plus vite et la fréquence de ses gémissements s'est faite toujours plus rapide. Ses couilles sont devenus encore plus dures. J'ai laissé sa bite à l'air libre et l'ai branlé plus rapidement qu'avant. Après seulement quelques mouvements, il a joui. Plusieurs superbes jets de spermes se sont écrases sur son torse alors qu'il poussait un long feulement de plaisir.

Malgré ce que j'étais occupé à faire, il m'avait semblé entendre de l'activité du côté de François. En lui jetant un coup d’œil, j'ai pu constaté que la scène avait l’air de lui plaire. Sa bite était encore prise de spasmes, et son sac de couchage était décoré de plusieurs flaques de sperme.

Il était exclu que je dorme sans avoir déchargé à mon tour. Je me suis donc recouché sur le dos, entre les deux. François a passé un bras derrière mon épaule et d'une main, David me caressait la cuisse. Dans ses conditions, j'ai joui en trois secondes.

Pendant presque 10 minutes, nous sommes restés dans cette position. La seule chose qu'on entendait étaient nos respirations qui revenaient lentement à un rythme plus régulier et les gouttes de foutre qui coulaient de nos torses. Lentement, David s'est dégagé, a fouillé dans ses affaires pour en sortir un paquet de mouchoir. Nous nous sommes nettoyés et sommes restés encore un moment nus, les uns contre les autres. Personne n'osait rien dire – j'espérais qu'ils ne regrettaient pas ce qui venait de se passer. J'ai finalement eu la confirmation du contraire quand David a fini par murmurer :

- putain Charles. C'était incroyable. Merci ! On refait ça quand tu veux !

- Hé ho... moi aussi je veux tester hein ! S'est empressé de réagir François. Ça avait l'air fou – je veux savoir comment ça fait.

- ... il ne reste plus qu'à espérer que nous aurons une chambre à trois dans le prochain refuge, ai-je ajouté, alors que le sommeil commençait à me gagner.

*****

Comme vous vous en doutez, la nuit suivante a été aussi assez incroyable - il y avait un sauna, en plus dans le chalet ! Je me réjouis de vous raconter ça bientôt. D’ici là, n’hésitez pas à me faire vos commentaires - positifs au négatifs ! :)

Chayziles

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