Je vais vous narrer une histoire de 1976 qui a 43 ans (pire que le vintage)
A l’époque pas de tél portable, ni d’internet.
J’avais 19 ans et j’étais à l’armée
Je mesurais 1m85 pour 87 kgs pas poilu, évidement la boule à Z Plutôt mignon, monté moyen dans les 17 / 4.5.
Je n’avais jamais couché avec un mec, et j’avais juste une fois dans les chiottes, avoir branlé et m’être fait branler par un pote de chambrée.
J’avais trouvé la chose sympa
Fauché comme une grande partie des bidasses, je faisais comme les potes pour partir et rentrer en et de permission je tapais le STOP.
J’étais à l’école de sous-officier de Saintes et rentrais à Bayonne 2 fois par semaine.
Un vendredi fin d’après-midi en tenue, alors que j’étais le pouce en en l’air une voiture de marque allemande s’arrête.
Un homme d’environ la 50taine me demande ou vas-tu ?
Moi : Bayonne
Lui : ok moi aussi, allez grimpe, moi c’est Luc
Moi : Gil enchanté
Lui : tu es en permission je suppose, tu ne prends pas le train pour renter ?
Moi : de temps en temps seulement, pas les moyens à chaque fois, la solde est maigre.
Et nous voilà parti, on papote me concernant pas d’ambiguïté sur mes activités actuelles, lui il me dit être directeur d’une société de vente de voitures.
Il est sympa, je le détail, la 50taine cheveux très courts un peu grisonnants les yeux clairs, apparemment de bonnes épaules et un torse puissant vu comment est remplie la chemise, de beaux avants bras et des mains, enfin plutôt des paluches également de bonnes tailles, pour sa taille c’est plus compliqué à caler vu qu’il est assis mais semble être grand.
Au cours de notre discussion on parle tout, de rien, du fait que je vais avoir la quille (être libéré) dans 2 mois.
Lui est père de 2 gamins, dont un de mon âge, divorcé depuis près d’un an.
On est entre mecs, inévitablement la discussion dérape sur les plans cul, il me dit avec ta gueule comme tu es foutu tu dois bien avoir des minettes dans tes bagages.
Moi : non rien de ça n’y pense pas trop encore
Lui : les mecs peut-être ?
Moi : non plus
Lui : tu es puceau
Moi : OUI
Lui : rassure moi tu te branle au moins.
Moi : oui de temps en temps
Lui : comme ça tout seul comme un grand ?
Moi : oui à part une fois voilà peu ou, avec un pote de la base ou on s’est branlés ensemble et mutuellement.
Lui : tu as aimé
Moi : oui assez c’était existant faut dire.
Lui : tu aimerais recommencer
Moi : pourquoi pas c’était assez sympa je trouve.
Puis on roule une bonne heure en silence, arrivé dans les Landes, il me dit on va s’arrêter un peu plus loin il y a un routier, j’ai envie de pisser, et va boire un coup.
Moi : OK k ça tombe bien moi j’ai aussi l’envie de pisser, et c’était vrai.
Il s’arrête apparemment il connait les lieux on va direct aux pissotières chacun la sienne cote à cote et on sort ,nos bites pour nous soulager.
Je ne peux pas m’empêcher de mater la sienne, ma foi, un bien ben outil bien épais pour une queue qui n’est pas en bandaison.
Lui : elle te plait ?
Moi : heu oui, elle est pas mal, et grosse enfin plus que la mienne.
Lui : ravi qu’elle te plaise, et il remballe moi aussi et on va boire une bière.
Il m’explique tu vois les camions au fond là-bas, hé bien c’est des chauffeurs routiers, qui s’arrêtent pour la nuit et les voitures qui tournent c’est des putes qui viennent pour les satisfaire, et là-bas plus loin vers le fond, c’est dans le même genre mais gratuit et c’est des mecs qui viennent pour sucer ou se faire sauter dans les cabines par les routiers.
J’en reste sans voix.
Nous voilà reparti, à l’approche de Bayonne il me dit si on s’arrête dans un coin ça te dirais de jouer un peu avec ma queue ?
Moi : tu aimes les mecs ou quoi ?
Lui : moi j’aime les deux mecs ou les nanas
Moi : tu as déjà fait quoi avec des mecs.
Lui : tout j’aime me faire branler, sucer, et j’ai cassé quelques culs aussi.
Moi : avec ton engin là ? çà doit pas être simple, ben moi suis loin de tout ça.
Lui : Faut un début à tout, alors ça te dit, et de sortir sa queue qui ma foi commence à prendre une belle ampleur.
Pour toute réponse j’attrape son membre et commence à faire des aller et retour sur son manche.
Lui : bon je vais me garer là dans un sous-bois du bord de la nationale c’est plus sûr.
Aussitôt dit aussitôt fait, il se soulève et descend son pantalon sur ses cuisses.
Et moi je m’applique à le caresser, sa queue est devenue énorme, son gland est proéminant, il trimballe au moins 20 cms en érection elle est brulante et douce.
Il me dit : j’ai envie que tu me suces
Moi : je n’ai jamais fait je ne sais pas,
Lui : je vais te guider, et de m’attraper derrière la tète et de me faire pencher sur sa queue
Lui : vas-y lèche le gland puis met le, entre tes lèvres et laisse-toi venir,
Je fais comme il dit, je suis à la fois curieux, anxieux, et excité, il pousse un peu sur ma tête, j’ai compris le message alors j’ouvre ma bouche et avale son gland, puis il pousse encore sur ma tête, alors je fais de mon mieux pour descendre sur ce bout de viande dur comme un os, je trouve la chose agréable, puis il m’aide a faire les va et viens sur sa colonne, en me faisant descendre dessus et aller de plus en plus loin j’arrive même à mettre mon nez dans les poils de son pubis.
Je suis surpris de me retrouver à l’étroit dans mon pantalon je bande comme un âne, je défais ma ceinture et braguette pour être plus à l’aise.
Il m’a vu faire et attrape mon sexe et le branle ,aussi pendant que je le suce , j’ai trouvé le truc et la cadence.
Il s’exprime, ho la vache pour une 1ère fois tu te débrouille plutôt bien, tu aimes ça moi de sortir sa queue de ma bouche et lui dire : ho oui avant de réenfourner son manche.
Je l’entends souffler de plus en plus fort et vite, à un moment il se tend me prend par surprise, en me maintenant la tête d’une main et m’envoie une saccade de jets brulant dans la bouche, et il y en a !
ça je n’avais pas prévu, je suffoque, j’en avale, il me relâche la tête sort sa queue et moi je lui restitue le trop plein sur le pubis et les couilles.
Il se penche à son tour sur moi engouffre ma queue et me pompe comme un malade, il pas a fallu longtemps pour que j’explose moi aussi et lui balance tout dans la bouche , pas moyen de faire autrement il a tout fait pour prendre mon jus volontairement, contrairement à moi.
Nettoyage au mouchoir en papier dans le silence.
Remise d’ordre dans nos tenues respectives, puis reprise de la route on est plus qu’à 20 minutes de l’arrivée.
Il prend la parole, alors ta 1ère Pipe, t’en penses quoi ?
Moi : j’ai bien aimé mais la fin j’ai été surpris quand même.
Lui : ouai j’y suis peut-être allé un peu fort pour une 1ère , mais ça faisait au moins 3 mois que je ne mettais pas fait sucer, en tout cas tu as assuré grave, jusqu’au bout et avaler, déjà c’est rare, chez les femmes encore plus pour la 1ère fois, en plus t’es le 1er mec qui avale quand même désolé de t’y avoir forcé.
Moi : ben écoute, j’ai pas eu trop le choix, mais bon maintenant c’est fait, au moins je saurais ce que c’est.
Bon me dit ‘il on va arriver je te pose où ?
Je lui donne mon adresse, il dit tu rigoles ou quoi c’est à 300 mètres de chez moi.
Moi : Ha bon ?
Il se gare, me dit il est presque 22heures tu crèche chez tes parents ?
Moi : non chez ma sœur, ma mère est partie à Paris dans sa famille voilà 2 mois pour échapper à mon père qui prend mal leur divorce.
Elle t’attend ?
Non j’ai la clé je viens quand je veux ou peux.
Lui : et si tu ne rentrais que demain, tu pourrais passer la nuit chez moi je vis seul les gosses sont chez mon EX.
Moi : Je ne sais pas trop honnêtement, j’imagine ce que tu as dans la tête, et moi déjà la pipe c’est une nouveauté alors plus je ne sais pas.
Lui : écoute pas de problème on pourrait aller à un peu plus loin que tout à l’heure, et si quelque chose ne te plais pas ou si t’es pas prêt, tu parts après tout t’habite à côté, je ne suis pas là pour te violer, mais si tu veux passer le cap au fur et à mesure on avancera, et on s’arrêtera là où tu le décideras.
Je suis tenté, d’aller un peu plus loin, cette fellation m’a bien excité mais en même temps j’ai la trouille, et bon ok je prends le risque, après tout on verra bien, pourquoi mourir idiot.
Voilà !
La suite au prochain épisode, qui ne saurait tarder.
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Gillandes
Gilandes@orange.fr