Je n’ai, sévit ici que 2 fois la dernière date de la semaine dernière, je vous ai habituer à des d’histoires plutôt longues, celle ci le sera beaucoup moins elle date d’hier.
Si l’histoire est moins longue que les précédentes, le plan l’a été aussi, mais m’a laissé sur le carreau
J’ai pas pour habitude de coucher comme ça mais là je dois avouer que là je ne regrette pas.
On est lundi, , rien de prévu, il fait beau, je décide d’aller me balader près d’un lac à côté de de chez moi, juste comme ça une balade au grand air.
Il y a un genre de Bar Resto sous forme cabane avec une terrasse des tables et chaises au tour il est 15h30 et il ne reste plus grand monde, je demande si je peux m’assoir et prendre une bière à la serveuse, qui me dit oui mais précise qu’ils vont fermer pour la coupure d’ici une demi-heure, ce qui me surprend, elle me précise alors que c’est parce qu’ils ont une réservation de 35 couverts pour le soir et que le patron qui est le chef aussi est seul pour se mettre en place.
Je comprends dis ok pas de problème, elle me sert, je paye et elle s’en va en me disant laissez le verre on s’en occupera à la réouverture.
Au bout de 15 minutes, je vois arriver une espèce de grand lascar en tenue de cuisinier, il sort pour fumer une clope, il a dans les 50 ans un peu plus peut-être plutôt banal ni beau ni moche, dans les 1m80 et 80 ou 85 kgs cheveux ras gris, les yeux sombres, très mate de peau, on ne peut pas dire qu’il soit beau mais il a une gueule.
C’est vous le dernier client me dit ‘il, Véro m’a prévenu (j’en déduis que la serveuse s’appelle Véro)
Moi : oui je fini ma bière et je m’en vais, pas de souci.
Lui : tranquille, n’y a pas le feu, je me suis mis en avance je m’accorde une pause, je peux me demande-t-il ? en me montrant la chaise en face de moi.
Moi : oui faites.
Lui : on se connait non ?
Moi : je ne crois pas
Lui : si votre tête me dit quelque chose
Moi possible j’habite la ville depuis 2019, mais c’est la 1ere fois que je viens ici, dans un magasin par-là peut-être.
Lui : vous en voulait une autre en me montrant ma bière presque vide.
Moi : pourquoi pas il s’évacue et revient avec 2 mousses chacun la sienne,
Je le vois qui semble réfléchir, et d’un coup il me dit ça y est je sais ou on s’est vu !
Moi : ah bon ?
Lui : oui à une soirée chez un pote il y a un mois ou deux chez Pierre à l’inauguration de son resto à Dax.
Effectivement je me rappelle l’inauguration chez Pierre que je connais bien depuis plus de 15 ans mais pas du bonhomme.
Pierre est un mec banché mec, qui m’a sauté 2 fois mais sans plus et effectivement il y avait plus de mecs que de nanas ce jour-là.
Lui : vous connaissez bien Pierre, ?
Moi : oui on peut dire çà, depuis une quinzaine d’années mais on se voit que rarement et vous ?
Lui : je le connais bien depuis 3 ans seulement, mais on en a fait des bonnes, ensemble, c’est un sacré queutard comme moi, on s’est partagé de bons coups ensemble et de rajouter moi c’est Luc toi ?
Moi :Gil-James.
Je te laisse 5 minutes je vais éteindre sous mes casseroles.
Je me dis, décidément le monde est petit je viens boire un coup et je me trouve face à un mec, qui manifestement est de la famille si je puis dire.
Il revient au bout de 10 minutes, et me balance tout de go, je viens d’avoir Pierre au téléphone, qui m’a dit que tu n’étais pas le dernier d’après ce que j’ai compris,
Le salopard il a appelé Pierre dans la foulée, et l’autre n’a pas tenu sa langue.
Il m’a dit que vous aviez sérieusement batifoler ensemble, et comme je le connais j’imagine de quoi il parle.
Moi : ce n’est pas vrai , bonjour l’anonymat
Lui : ne te casse pas la tête, je suis comme lui, un baiseur de cul, et toi apparemment si j’ai bien compris t’aime ramasser de temps en temps.
Qu’est-ce que vous voulez répondre à ça ?
Moi : ben oui de temps en temps comme tu dis.
Lui : je n’ai pas trop de temps et je suis du genre direct, si ça te dit on se fait un plan direct dans la réserve, j’ai tout juste ¾ d’heure avant que le personnel de salle revienne.
Moi : heu effectivement c’est direct, je n’étais pas venu pour ça.
Lui : et tu crois que quand je me suis levé ce matin je pensais avoir la possibilité de tirer un coup ? ben non, mais après tout pourquoi se priver si l’occasion se présente, il n’y a pas ce mal à se faire du bien, si j’ai bien compris Pierre t’aime la queue, et tu n’es pas du genre farouche, j’en ai une bonne, qui demande que ça,
Ce con m’a mis le feu au cul, après tout comme il dit pourquoi pas !
Moi : ok mais va pas falloir trainer
Lui : OK rapplique, et de se lever je le suis comme un toutou
Il ferme derrière nous m’entraine dans une grande réserve.
A peine arrivé il baisse son froc et enlève sa veste de cuistot , me dit zou à poil et vient me mettre en forme,
J’obtempère, apparemment tout ça lui a donné des idées il est déjà en semi-érection , et ma foi, voilà un bien bel outil pas excessivement long, dans les 18 à 19 peut-être mais un bon gros calibre bien épais, avec un magnifique gland violacé, je l’enfourne en demi molle, 3 minutes après il arbore un superbe engin bien raide dur comme du béton.
Et elle bonne à sucer je ne m’en prive pas, il monte vite dans les tours, me dit arrête tu vas me faire jouir, retire sa queue de ma bouche, et me dit je vais te casser le cul, parait que t’aime ça.
Je me relève, il m’entraine vers une vielle banquette qui traine dans la réserve, me fait mettre à genoux, m’écarte les fesses, vient y coller sa bouche puis sa langue vient me travailler la rondelle, il salive tant qu’il peut dessus puis y insère 1 doigt, fait que quelque va et viens, puis un 2ème doigt vient rejoindre l’autre, tout ça bien virilement avec fermeté mais sans violence.
Je commence à sérieusement avoir chaud, je couine et gémis de plaisir, mon cul va à la rencontre de ses doigts, il en en tente un 3ème, ça passe aussi mais difficilement, et surtout mes cris et gémissements lui font comprendre que je ne suis pas loin de jouir, et qu’il peut se servir à tout moment.
Ce qu’il fait, il vient se placer derrière moi, pose son gland brulant su mon trou, balance de la salive.
Là , je me dis je vais prendre quelque chose, pas eu le temps d’appréhender, il pousse fort très fort, son gland me transperce d’un coup avec 2 bons centimètres dans la foulée, je gueule, ça brule mais c’est en même temps bon, j’adore de temps en temps me faire péter le cul comme ça.
Il reste tout juste 5 ou 6 secondes sans bouger et recommence m’enfiler d’un seul coup lent mais péremptoire et ininterrompu, mes intestins s’ouvrent et lui laisse le passage, ma tuyauterie s’adapte, ma rondelle elle, en revanche souffre encore un peu, à un moment je sens son pubis collé à mes fesses, il est au taquet, il s’affirme en me tenant bien calé au fond de moi sans trop bouger, histoire de me montrer qui est le patron.
Alors, me dit ‘il tu m’a l’air d’une bonne salope qui aime la bite toi, tu la sens bien là ?
Moi : ho oui et putain c’est bon ça fait un peu mal mais c’est bon, on ne va pas en rester là quand même, là faut me finir.
Lui : j’y arrive et de commencer à me limer en puissance et force sans ménagement à grands coups de reins et de queue, maintenant çà glisse mieux, mais il me remplit bien de partout, lui commence aussi sérieusement à s’exprimer, il n’est pas loin non plus, de mon côté je parts en vrille, une puissante pulsion me descend des reins, mon anneau s’’ouvre et se referme sur son manche , un tsunami me dévaste le cul, je ne bande même pas, mais la jouissance qui m’emporte est puissante et brutale, lui de son côté gueule qu’il v partir à un moment je recule et me colle à son pubis, s’en est trop pour lui, il me balance une série de jets brulants répétitifs dans le fond du ventre, se retire un peu tout en éjaculant en encore.
Puis, sa tempête s’arrête, moi je suis toujours secoué de spasmes à répétions avec contractions anales et abdominales.
Puis il ressort me laissant le cul béant, il me jette un rouleau de sopalin, me dit essuis tout ça tu vas t’en foutre partout.
Je m’exécute, et faisant en plus une sorte de tampon que je glisse dans mon slip avant de le remettre, par précaution (ai j’ai eu raison, je m’en suis rendu compte une fois arrivé à la maison)
Il est déjà ré habillé quand le fini, je le retrouve au bar, il nous a servi 2 mousses, regarde sa montre, et me dit même pas 30 minutes montre en mains, bois ta bière celle-là tu ne l’as pas volée, putain quel cul j’ai adoré,
Moi : j’en a autant pour toi, sacrée bite chargée en plus
Lui : oui çà faisait un moment qu’elle avait craché son venin, la vache ça soulage !
Lui : bon c’est bien joli tout ça mais il faut que je m’y remette
Moi : OK je te laisse bosser et je me casse,
Lui : Tu connais l’adresse maintenant tu viens manger ou te faire manger quand tu veux salut !
A peine arrivé à la maison mon portable sonne, Pierre qui me dit alors parait que tu t’es bien fait déglinguer cet après midi si j’ai bien compris.
Moi : Bonjour d’abord, je vois que le tamtam de la brousse fonctionne,
Et oui plutôt, c’est un phénomène ton pote, il m’a cassé les pattes arrières le salopard, pourquoi tu ne me l’as pas présenté avant ?
Lui : parce que je n’y ai pas pensé, et puis on se voit rarement nous deux, avec lui c’est pareil d’ailleurs avec nos métiers, ce n’est pas si simple, et le temps passe vite, mais quand il m’a appelé tout à l’heure, j’étais surpris , du contexte et hasard, je lui en ai dit un peu sur toi, en me disant ; ces 2 -là comme je les connais ils devraient bien s’entendre.
Moi : tu en en as dit un peu ? beaucoup tu veux dire, il a tapé juste ou il fallait, comme il fallait, alors que franchement, je n’avais pas du tout ça en tête en allant me balader là-bas.
Pierre : et bien maintenant quand ça te démangera tu sais où aller, d’ailleurs cela serait cool qu’on se fasse un plan à 3 un de ces 4, nous deux et toi , on a déjà fait ça lui et moi deux ou trois fois avec des mecs, mais tout bien réfléchi, avec un qui prend comme toi quand tu es en bonnes conditions jamais, à voir.
En tout cas à écouter Luc, il était aux anges et je sais que ce n’est pas un facile.
Moi : pourquoi pas, mais à organiser avec poppers parce que 2 comme vous en même temps merci, il faudra au moins ça.
Voilà chers lecteurs la petite dernière d’hier, comme quoi, tout ne vient pas à qui sait attendre mais bien à qui sait saisir l’opportunité.
Je crois que cette fin d’été sera chaude !
A vous lire et à l’écoute de vos commentaires.
Gillandes
Gilandes@orange.fr