Premier épisode
2| La suite
Voici la suite. Tout est vrai !
Pour rappel, je suis blond, minet. Mignon. Très attiré par les daddy pervers. J’avais 18 ans à cette époque. Et pas froid au cul !
Mon père avait 45 ans. Un corps musclé et svelte. Très sexy. Et incroyablement bien monté !
Mon oncle Benji a vécu 2 mois chez nous. Pendant cette période, j’étais l’esclave sexuel de mes deux hommes. Et ce n’était pas pour me déplaire ! J’étais consentant en tout. J’adorai
vivre nu parmi eux et répondre à leurs désirs. Nous avons testé pas mal de choses. J’ai même surpris mon père se faire prendre par mon oncle. Ça puait la testostérone chez nous.
Je ne me posais même pas la question de trouver un copain, j’avais deux mâles à combler !
Après le départ de Benji, l’appétit sexuel de papa est retombé peu à peu. Au début, nous baisions souvent. Mais au fil des semaines, nos séances coquines se faisaient plus rares.
J’osai en parler à papa :
- Je ne t’attire plus ?
- Si, fils. Tu le sais bien. Mais en ce moment, c’est compliqué au travail. Je suis fatigué en permanence.
- Laisse-moi te détendre.
Je joignais le geste à la parole. Papa était assis sur le canapé, en boxer. Sa tenue fétiche quand il était à la maison. Je m’avançai vers lui en le fixant dans les yeux. Je m’agenouillai devant lui et commençais à lui lécher sa bosse par-dessus son boxer. Je le baissais et
entama une pipe comme je sais bien les faire. Je sentais que papa prenait du plaisir. Je m’appliquais à bien le sucer quand sans rien comprendre, il tira ma tête de sa queue.
- Lucas, je suis fatigué. On fera ça plus tard. Je n’ai pas la tête au cul en ce moment.
Frustré, je me relevais et partis dans ma chambre. Je pris mon téléphone et appela mon oncle pour des conseils.
- Oui, Tonton. C’est Lucas. On peut parler ?
- Ça va mon chéri ? Je t’écoute.
- Ça ne va pas fort avec papa ces derniers temps. Ça fait quelques semaines que l’on ne baise quasiment plus. Il se dit fatigué par son travail. Je ne sais pas quoi penser.
Tu as des idées ?
- Lucas, Alex m’a confié qu’effectivement il en bavait pas mal niveau travail en ce moment. Et je pense que c’est devenu trop routinier entre vous. Il rentrait, tu étais à poil à l’attendre. Il faut que tu ravives la flamme. Que tu l’excites de nouveau. Trouve quelque chose que tu n’as jamais essayé avec lui. C’est peut-être la clé pour résoudre ton problème. Souviens-toi des petites histoires que je t’ai raconté sur ton père et moi quand nous étions plus jeunes. Tu peux peut-être y trouver de l’inspiration. En attendant passe me voir, je m’occuperai de ta chatte.
- Je passerai d’ici la fin de la semaine. Merci pour tes conseils. Bye.
Je raccrochais et me mis à réfléchir à comment « séduire » mon père. Benji avait raison. On baisait plus par habitude que par envie. Il fallait que j’innove pour l’exciter à nouveau.
Je repensais aux histoires de mon oncle. Le fait que mon père et lui participaient à des partouzes. Qu’ils aimaient baiser des femmes à deux. Je me souvenais que mon père appréciait les rousses. Et là, l’idée me vient ! Il fallait que je sois une de ces femmes qui font bander mon père.
Ni une, ni deux, je surfais sur internet à la recherche de ma quête. Au bout de quelques minutes, je tombais sur un site de tenues sexy pour femmes en chaleur ou pour travestis bien chaud. Je commandais un ensemble de soubrette bien chaude avec en plus bas résille et porte jarretelle. Des superbes escarpins à talons hauts et vernis, noirs. Une perruque rousse, aux cheveux longs et ondulés.
Sur un autre site, je trouvai du maquillage dont un rouge à lèvre bien rouge, sexy.
Je ne dis rien et reçu mes colis quelques jours plus tard. Je profitais de l’absence de papa pour essayer tout ça. Je pris soin de bien m’épiler les jambes. Le reste l’est toujours. Face au miroir, hormis l’absence de poitrine, je ressemblais à une actrice porno. J’étais satisfait du résultat. Il me fallait maintenant mettre mon plan en action.
J’attendis samedi. Le jour où papa va à la piscine. Il a toujours pour habitude de rentrer vers 17h15-17h30. J’avais pris rendez-vous, sur une célèbre application de rencontre avec un mec de 56 ans, bien chaud et attiré par les travestis soumis. Je me préparais. L’idée est que papa me surprenne en train de me faire baiser sauvagement par un autre mec, dans mon déguisement de soubrette bien salope.
Comme prévu, Bruno arrive à l’heure. Bien chaud et excité de me voir en travesti, il me soumet direct.
- Bien ma traînée, tu vas commencer par venir me déshabiller.
Je m’exécutais. Je lui enlevai son polo, je profitai au passage pour lui embrasser les tétons.
Un peu bedonnant, Bruno avait une petite paire de seins. Je laissai des traces de rouges à lèvres sur son torse. Je défis ensuite sa ceinture et lui baissa son pantalon. Il bandait bien dur dans son slip blanc taché de traces d’urine. Bruno me saisit par les cheveux et plaqua sa bouche sur la mienne. Il me roula une grosse pelle baveuse.
- Maintenant ma chienne, tu vas me retirer mon slip avec ta bouche.
Je me mis à genoux et entamai ma mission. Une fois son slip sur les chevilles, Bruno s’en débarrassa.
- À quatre pattes sur le lit ma putain.
Bruno se plaça derrière moi. Il écarta la ficelle de mon string et fourra sa langue dans ma chatte. Son anulingus était divin. Je mouillais, couinais. Ce qui excitait mon dady car il redoublait d’effort sur mon trou. Il me jeta son slip vers moi et me dit :
- Sniffe le salope, pendant que je te lèche la chatte. Je l’ai bien imbibé pour toi.
En effet son slip sentait l’urine, le sperme et la transpiration. Je le reniflais avec délectation pendant que la langue de Bruno fouillait mes entrailles. Il était au courant de mon plan. Il m’avait donc positionné le visage face à la porte de ma chambre, pour que mon père en rentrant de voit bien.
- Viens me sucer maintenant.
Je me retournai. Bruno s’était allongé sur le dos. Je gobai sa queue. Elle était longue, épaisse. Et délicieuse. Je le suçais goulûment. Il râlait de plaisir. Je sentais son liquide pré séminal se répandre dans ma bouche. Sa verge de chair (les experts seront de quoi je parle) comblait ma bouche et mon désir.
- Il est 17h10, ton père ne va pas tarder. Je vais m’occuper de ton cul. Putain, s’il est aussi bon que ta bouche, je vais me régaler ! Remets du rouge à lèvre, tu l’as étalé sur ma queue
Je me levais, me faisais une retouche maquillage et alla me positionner sur le lit, à quatre pattes. Face à la porte de ma chambre, grande ouverte. J’ai ôté mon string et présentais mon cul à Bruno.
Il s’enduit la queue de gel. Il en mit sur ses doigts et me les fourra dans la chatte. Je lâchai un cri mélangé de douleur et de plaisir.
Bruno se positionna derrière moi et présenta son gland sur mon trou. Habitué des grands modèles, il se fraya facilement un chemin en moi. Il rentra sa queue jusqu’à la garde. Il resta en moi, immobile pendant quelques secondes. En voyant que mon cul se montrait accueillant, Bruno se mit à me pilonner avec force. J’adorai ses assauts. Je criais de plaisir. Je criais si fort que je n’ai même pas entendu la porte de l’entrée s’ouvrir. Mon père se tenait devant la porte de ma chambre et me regardait me faire sauter par mon daddy pervers.
- Elle est trop bonne ta chienne de fils. Putain, je me régale. Je vais bien le féconder.
Papa resta 2-3 minutes à nous mater. Surpris de me voir dans cet accoutrement. Avec Bruno derrière qui me pilonnait à fond. Il partit ensuite. Mon amant continue à me fourrer encore bien 15 minutes. Je sens son membre se raidir en moi. Ses mains tressaillent sur mes hanches. Et dans un cri grave et profond, je l’entends dire :
- Je viens ma salope.
Et là, je sens plusieurs jets puissants me tapisser l’intérieur. J’ai moi-même joui plusieurs fois du cul.
Bruno se retire, il ramasse son jus qui coule de mon trou et me le fourre dans la bouche. Je me délecte de ce nectar que j’aime tant.
Bruno finit par se rhabiller. Avant de partir, il me lance :
- J’espère que ton père a aimé ce qu’il a vu et que ton plan a fonctionné. Je te baiserai bien avec lui. Fais signe.
Je le raccompagne à la porte, toujours vêtu de mon habit de soubrette. Je retourne à ma chambre, me mets nu et vais à la douche. Après m’être lavé, j’enfile un string et je vais au salon.
Mon père n’y était pas. Il s’était enfermé dans sa chambre. Ce qui ne lui ressemblait pas. Je frappe à la porte et j’entre sans attendre de réponse. Je vis mon père allongé sur son lit. Habillé.
- Ça va papa ? Tu as besoin de quelque chose ?
- Ça va fils. Non merci. C’est bon. Je me repose un peu et je te retrouve après au salon. Et s’il te plaît, enfile des vêtements !
Je retourne dans ma chambre et enfile un débardeur. Je vais au salon et m’affale devant la télé. Papa sort de sa chambre au bout de 30 minutes.
- Lucas, je sors faire un tour. Je reviens d’ici 1h. Si ce n’est pas le cas, manges sans moi.
Je reste con. Mon plan a complètement foiré. Papa est parti. Au moins, je me serai fait baiser ! Tout n’était pas perdu.
20h, mon père n’est toujours pas rentré. Je mange vite fait devant la télé. Je m’endors sur le canapé. Vers 22h, j’entends la porte d’entrée se fermer. Papa est de retour. Je me réveille en sursaut et le regarde entrer dans le salon. Il est souriant, l’air détendu.
- J’ai passé du temps avec Benji. On a beaucoup discuté. Te voir, tout à l’heure, m’a à la fois excité et énervé. Excité de te voir habillé comme tu étais. Et énervé de te voir te faire baiser par un autre que Benji ou moi. Je t’aime mon fils, vraiment. Ton oncle a raison, une bonne baise me fera du bien. Et tu es très doué pour me détendre ! Va te changer. Je veux te voir comme cette après-midi.
Je me suis précipité dans ma chambre. J’ai enfilé ma tenue de soubrette, mes bas, ma perruque et mes talons. Je me suis maquillé. Je suis retourné au salon. Papa m’attendait sur le canapé. Il avait un boxer en cuir noir et un harnais en cuir aussi autour du torse. Ça allait être chaud ce soir !
- Viens t’asseoir sur moi
Je m’agenouille sur mon père. Il m’attire à lui et m’embrasse. Sa langue fouille ma bouche.
Ses mains me caressent les cheveux et le corps.
- J’aime te voir en travesti bien chaude ma petite pute de fils. Papa va bien te donner du plaisir.
Ses mains passent sur ma poitrine. Il baisse les bretelles de ma tenue et commence à caresser mes tétons. Ses lèvres passent dessus. Ça me procure une sensation de plaisir intense. Je sens sa langue les lécher, ses dents les mordiller. Je pousse des cris. Papa voit que j’aime ça. Il continue.
- J’aime tes seins mon fils.
- Ils sont à toi, papa. Profite en à fond.
Son léchage reprend de plus belle. Mes mains fouillent ses cheveux. Je les agrippe, les tirent. Je jouie de plaisir. Sa bouche remonte sur la mienne. Nos langues se mélangent. Je sens sa queue bien dure à travers son boxer. Putain, ce sous-vêtement en cuir. Ça m’excite énormément.
Je me mets à genoux et me positionne entre ses cuisses. Je lèche sa queue bien dure par-dessus son boxer. Cette odeur de cuir m’enivre. Papa se lève, il défait sa braguette et sort son boa. Je me jette dessus et l’enfourne en bouche. Je suis affamé. Sa queue me caresse la glotte, frotte l’intérieur de mes joues. Je suis aux anges. Je le suce goulument. Je sors sa queue de ma bouche, je me bifle avec. J’étale sur mes joues ma bave mélangée à son liquide pré-séminal. Je me marquais de son odeur de mâle alpha. Ma pipe continua encore quinze minutes.
- Relève toi fils et viens te mettre à quatre pattes sur le canapé. Je veux voir ton cul.
J’obéis.
- Écarte ta chatte avec tes mains. Oui voilà. Putain ce qu’elle donne envie.
Papa se mit à genoux. Il écarta la ficelle de mon string et commença à me bouffer le cul. Sa langue passait sur mon trou. Il me dévora. De temps en temps, je le sentais me mordiller le cul. Je poussais des râles de plaisir.
- Tu mouilles bien ma salope de fils. Tu la veux ma queue. Tu veux que papa te baise ? Dis-le.
Je me suis mis à crier :
- Oui, papa. Baise-moi. Encule ta salope de fils. Je veux te sentir en moi.
Excité comme je l’étais, le lubrifiant était accessoire. Papa me fit me mettre le plus possible au fond du canapé. Il monta dessus et se positionna sur moi, en doggy style. Je sentis sa queue à l’entrée de mon trou, offert à mon daddy. Il me pénétra facilement tant j’étais ouvert et excité.
- Ce trou, fils. Ce trou ! C’est trop bon.
Je sentais sa queue me fouiller les entrailles. Il la rentrait jusqu’à la garde. Je sentais ses boules taper sur mon cul. Je hurlais tant c’était bon. Ses assauts me procuraient un plaisir fou. Il haletait. Me fessait régulièrement. Retrouver sa queue en moi ainsi que sa façon si brute de baiser était jouissif. Lui aussi se régalait. Il criait, m’insultait.
- Ta chatte me rend fou fils. Je te promets de recommencer comme avant. Te baiser tous les jours.
- Oui, papa. Baise-moi. Encore. Plus fort.
Je sentais son bassin taper sur mon cul. C’était trop bon. Son corps transpirant l’aidait à mieux glisser sur moi. Il me ramona comme ça pendant une vingtaine de minutes. Je jouissais du cul. Il se retira d’un coup.
- A genoux ma soumise. Papa va te donner le biberon.
Je m’exécutais. A genoux, la bouche grande ouverte. Papa fourra sa queue au fond de ma gorge. Il me prit la tête en entama quelques aller-retours. Au bout de deux minutes, il poussa un cri qui lui venait du fond des entrailles. Je senti immédiatement son liquide chaud, épais et en quantité me tapisser la bouche.
Je m’appliquais à bien lui nettoyer la queue. Puis, épuisés, transpirants, nous sommes allés prendre une douche ensemble.
La soirée fut calme. A suivre… J’attends vos retours
LopeLyon
lopelyonpassif@gmail.com
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