Cette histoire est vraie. Elle s’est déroulée pendant les dernières vacances de Toussaint.
Je travaille pour l’Éducation Nationale, et donc je bénéficie des vacances scolaires. Mon mari devait partir quelques jours à Paris, pour son travail, et dormait chez son frère. Je décidais de l’accompagner.
Je vous ai déjà raconter mes parties de baise avec mon père et mon oncle, quand j’avais 18 ans.
Mon beau-frère s’est récemment séparé de sa copine. Pour vous le décrire, il est de taille moyenne, assez musclé. Il joue au foot depuis l’enfance, du coup son corps est bien dessiné, avec de belles fesses bien fermes et musclées. Cheveux noirs, coupés courts, le regard ténébreux. Javier, c’est son prénom, est d’origine espagnol. Autant vous préciser que je fantasme sur lui depuis le premier jour où je l’ai vu.
Nous sommes très proches, Javier et moi. Il est très tactile. Peu pudique, suite à son habitude des vestiaires au foot, j’ai pu le croiser à plusieurs reprises, nu, quand il sort de la salle de bain, pendant nos vacances d’été à Malaga. Au repos, sa bite est impressionnante, avec deux boules bien pendantes. Je n’osais l’imaginer en action…
Nous sommes arrivés le samedi, en fin de matinée chez Javier. Mon mari voulait passer du temps avec son frère. Le week-end fut calme. Repas arrosés et visite de Paris.
Lundi, mon mari est parti tôt travailler. Javier avait posé une semaine de congés pour passer du temps avec nous. Je mettais levé en même temps que mon mari, pour partager un café avec lui, avant qu’il ne parte. Une fois seul, je me posais sur le canapé pour regarder les chaines d’infos. Vers 9h, Javier émergea de son sommeil, et me fit le plaisir de se lever. Je le vis arriver en boxer, sans rien d’autre, au salon. J’étais en transe devant ce dieu vivant, avec sa tête encore ensommeillée. Habitué à servir mon mari, je proposais à Javier de lui préparer son petit-déjeuner. Il ne se fit pas prier.
Face à lui, je me sentais soumis. Il a toujours dégagé quelque chose de viril, dominant. Et j’aime me sentir femelle et servir mes hommes. C’est donc avec plaisir que je lui servi son petit-déjeuner sur le canapé
- Je te remercie mon Lucas. Tu sers aussi mon frère comme ça, chez vous ?
- Non, pour lui, j’enfile un costume de soubrette soumise. (Je tentais une note d’humour pour le faire réagir)
- C’est con que tu ne l’aies pas avec toi !
- T’es bête !
Je n’ai jamais eu de costume de soubrette, mais j’avoue que l’idée d’en porter un pour Javier, m’excitait beaucoup. Je débarrassai le petit-déjeuner et parti en cuisine pour ranger. Javier parti de son côté dans la salle de bain.
Je profitai d’être seul, au calme, pour sortir mon ordi et commencer l’écriture d’une histoire pour Cyrillo. Je ne manquai pas d’inspiration… Javier hantait mes pensées… C’est donc tout naturellement que je débutais l’histoire par « Javier, mon mâle alpha ». J’avais rédigé quatre ou cinq lignes, quand Javier sortit de la salle de bain et alla dans sa chambre s’habiller. Bien évidemment, il était nu. Je profitai du spectacle, qui allait certainement me servir pour mon histoire.
Cinq minutes après, Javier sortit de sa chambre. Il portait un survêtement gris, moulant, qui mettait en valeur son paquet et son cul. Et un maillot de l’équipe de France. Il était sexy comme pas permis. Je fermai vite l’ordinateur et lui fis un beau sourire.
- Tu matais un porno toi !
- Mais non, Javier, j’étais sur un document
- A d’autres ! Tu as fermé ton ordi rapidement, comme quelqu’un qui cache quelque chose. Je suis sûr que tu matais un porno !
- Je t’ai dit que non. Je profitai d’être seul pour écrire un truc. Mais comme tu es là, je préfère profiter de ta présence.
- Tu écris quoi ?
- Rien de particulier. Une nouvelle.
- Monsieur est écrivain ! je peux lire ?
- Non, Javier. Ce n’est que le début. Et de toute façon, tu n’aimeras pas.
- Et pourquoi ? Même si je n’aime pas, je suis curieux de savoir ce que mon beau-frère préféré écrit.
- Non, Javier, c’est une nouvelle érotique gay. Ce n’est pas pour toi.
- Tu écris des histoires de cul ??? Mon frère m’avait dit que tu es une vraie salope au lit, mais de là à écrire tes ébats !
- Javier !!! Ce ne sont pas mes ébats, même si je m’en inspire. J’ai inventé un personnage et j’y décris mes fantasmes.
- Intéressant. Je te laisse continuer tes histoires, je dois sortir vite fait. Je n’ai plus de clopes. A tout à l’heure.
- A plus mon beau
Je profitai d’être seul quelques instants pour avancer dans ma nouvelle. J’en étais au moment où Javier me faisait lécher ses couilles, quand j’entendis ce dernier se garer devant la maison. Je stoppai mon histoire et alluma la télé. Javier passait la porte au même moment.
- Tu nous prépare quoi à manger ce midi ?
- Parce que c’est à moi de cuisiner, Javier ?
- Tu connais mes talents culinaires. Si tu ne veux pas être malade…
- Ok, je m’en occupe alors.
Javier se posa dans le canapé et me demanda de lui apporter une bière. Je me dirigeai à la cuisine. Fier et excité de servir ce mâle. Le voir en mode pacha, en train de boire une bière et fumer me fit bander direct. Je retournais vite à la cuisine pour préparer à manger et me calmer.
Je m’occupais de nettoyer la salade quand je l’entendis m’appeler.
- Lucas, viens voir et vite.
Qu’est-ce qu’il me voulait encore ? Je passai la porte du salon. Javier était toujours sur le canapé, mon ordi ouvert sur les genoux. Quel con ! Je n’avais mis de mot de passe pour verrouiller mon ordi. Je savais très bien ce qu’il lisait…
- Alors comme ça, tu rêves d’être ma soumise ? Elle est chaude ton histoire ! Regarde l’effet que ça me fait !
Tout en prononçant cette dernière phrase, il posa l’ordi à coté de lui. En effet, je pouvais voir une belle bosse au niveau de son entre-jambe.
- Javier, ce n’est pas ce que tu crois. Excuse-moi. C’est juste un délire pour moi.
- Je ne crois pas non. Vu ce que j’ai lu, c’est assez précis. Tu me nommes, ton personnage est en vacances chez son beau-frère. Beaucoup de similitude pour un simple délire. Je crois en fait que tu fantasmes sur moi.
- Heu, Javier, oui, c’est vrai. Tu m’excites beaucoup. Mais ne t’inquiète pas, ce n’est qu’un fantasme.
Je ne savais plus où me mettre. J’avais honte et peur que cette révélation brise notre relation. Javier était toujours sur le canapé, jambes ouvertes. Il se frottait le paquet. Cette vision de l’homme macho qu’il dégageait me rendait fou. Pris de folie, je me suis jeté à ses pieds. A genoux devant sa bosse, je me suis entendu lui dire :
- Fais de moi ta chienne !
- Je ne suis pas pédé mais m’occuper d’une salope comme toi m’excite grave. Je vais te la faire vivre ton histoire. Reste comme ça et sniffe ma queue.
Je m’exécutais et reniflais son paquet. Ça sentait le mâle, l’homme viril. Je léchais par-dessus son survêt. Javier enleva son t-shirt. C’est tout naturellement que ma langue partie sur ses abdos, ses pecs. Je dévorai ce corps tant convoité. Je léchais ses tétons, me perdais dans ses poils. Son parfum m’enivrait.
- Lèche mes aisselles.
Je passais ma langue sous ses bras. Je respirais cette odeur de mâle, me shootais à la testostérone. En bon soumis, j’essayais de lui procurer le plus de plaisir possible. Avec son bras, il cala ma tête sous son aisselle.
- C’est bien ma salope. Tu obéis bien à ton beau-frère. On va voir jusqu’où je peux aller avec toi.
- Loin, très loin. J’ai peu de limites.
Javier me desserra de son emprise et se mit debout.
- A poil et à genoux chienne.
Je me déshabillais. Javier fit de même. Je vis enfin l’objet de mes convoitises. Sa queue. Longue, épaisse, puissante. Elle paraissait lourde, entourée d’un duvet de poils. Deux boules pendantes et grosses venaient la sublimer. Elle me faisait envie. Il bandait à moitié.
Je me plaçais à genoux. Javier était face à moi.
- Je vais te marquer ma pute. A partir de maintenant, tu es à moi. Ouvre la bouche.
Je vis sa queue se dresser, et tout à coup, un liquide chaud, puissant se déversait sur moi. Il me pissait dessus. Et je trouvais ça excitant. Sa pisse glissait sur moi, dans ma bouche.
- Avale !
J’avalais. Quand il eut fini, il me demanda de nettoyer sa queue. Je pus enfin la gouter ! Je l’ai prise en bouche. Je m’appliquai à bien lui lécher le gland. Puis j’aspirai son dard et le tétais goulûment. Je voulais lui offrir la meilleure pipe de sa vie.
- Putain, ta bouche est trop bonne. Vas-y suce !
Je le suçais à fond, tout en lui malaxant les couilles. Il me tenait la tête avec ses deux mains et imposait son rythme. Je bavais. J’adorais sentir sa queue dans ma bouche. Il retira son chibre de ma bouche, et me cracha un gros mollard au visage. Je me léchais pour le récupérer et retournais sucer sa bite.
Au bout de 15 minutes, Javier me fit relever. Il m’enlaça de ses bras puissants et me roula une pelle bien baveuse. J’embrassai mon homme comme si ma vie en dépendait. J’étais en transe.
- Maintenant, à 4 pattes, chienne. Montre ta chatte à ton maitre.
- Oui, Javier.
Et bim, il me décolla une petite gifle.
- Tu dois m’appeler maitre !
- Oui, maitre.
A 4 pattes, sur le canapé, je dandinais mon boule face à lui. Javier me mettait des fessées et me crachait dessus.
- Continue ma salope. Montre-moi que tu mérites ma queue.
J’écartais mes fesses avec mes mains pour bien lui montrer mon trou. Je sentis d’abord un doigt me titiller la rondelle. L’excitation montait en moi. Je poussais des petits cris. Puis son doigt s’enfonça en moi. Il faisait de allers-retours et m’ouvrait la chatte. Un deuxième doigt rejoignit le premier. Puis un troisième. Il me labourait avec sa main. Je kiffais ! Mes cris étaient de plus en plus forts.
- Tu aimes ça ma salope hein !
- Oui maitre, encore !
Il retira sa main et je sentis sa langue sur mon trou. Il me dévorait la chatte. C’était délicieux. Un feu montait en moi. Je criais de plus en plus fort. Ce qui excitait beaucoup mon étalon. Ses coups de langue redoublaient en intensité. Je sentais sa barbe frotter sur mon cul. Ce contact me fit jouir du cul. J’étais en extase.
Mon male se redressa, il agrippa mes hanches et cracha sur sa queue.
- Je vais te féconder. Tu vas gouter à ma puissance.
Il plaça sa bite devant mon orifice. Il l’enfonça petit à petit. Mon trou était serré, mais j’étais tellement excité qu’elle coulissa facilement en moi. Javier la rentrait à fond puis la sortait. Il m’a fait ça 5 ou 6 fois. Quand il vit que j’étais bien ouvert, il la plaça en moi, jusqu’à la garde. Il commença des vas et vient de plus en plus fort. Au bout de quelques minutes, il me pilonna à fond. Je sentais ses boules claquer sur mon cul. C’était délicieux. Je hurlais de plaisir.
- C’est bien ma femelle, montre à ton maitre que tu aimes ça.
- Oui, j’aime ça maitre !
Et je continuais à jouir. Quel pied ! Je vivais enfin mon fantasme. Cet homme que je désirais tant me possédait enfin !
Javier me tenait par les cheveux tout en continuant sa baise intensive. Ses coups de reins étaient tellement bons que je finis par éjaculer sans me toucher. Javier récupéra mon foutre avec ses doigts et me les mis dans la bouche. Je goutais mon nectar.
Il me baisa comme ça une bonne vingtaine de minutes. D’un coup, il s’enfonça à fond en moi.
- Je jouis !
En effet, je sentis sa queue se raidir, se contracter. 5 jets puissants m’ont tapissé le fond de mon cul. Javier essaye de les tasser avec sa bite. Puis il se retira. Du jus coulait de trou. Il le récupéra et me fit lécher. J’adorais l’idée de boire le sperme de mon étalon. Puis, je nettoyais sa queue avec ma langue.
Nous étions à la fois aux anges et en même temps fatigués par cette partie de jambe en l’air. Javier me prit dans ses bras, me serra contre lui et m’embrassa. Nos langues se cherchaient, nos salives se mélangeaient. J’aimais le sentir à moi, contre moi. Sa main passait dans mes cheveux. Sa brutalité pendant notre partie de sexe se transformait en tendresse. Ce qui me fit fondre.
- Bon, chéri. Si l’on mangeait ?
Je me rhabillais et m’empressais d’aller lui préparer son repas. Les jours suivants furent tout aussi chauds…
A suivre.
J’attends vos retours.
LopeLyon
lopelyonpassif@gmail.com
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