1 | Première pipe
Je m’appelle Stéph‘, j‘ai 28 ans.
Je mesure 1m 72 pour 68 kg. Je suis sportif et possède une certaine musculature sans être non plus trop massif. Châtain, cheveux courtS, j‘ai la chance d‘avoir une bouche aux lèvres assez pulpeuse. Durant ma jeunesse pendant laquelle je découvris ma sexualité, j‘aimais me regarder sucer un objet (banane, concombre…) devant le miroir. Voir mes lèvres englober ce que j’imaginais un sexe d’homme puis les contempler glisser le long de ce phallus imaginaire me rendait dingue. Ce désir de fellation m‘a longuement hanté jusqu’à ma première fois, mais ça, on y reviendra.
Lors de mes séances de musculation, je mets l‘accent sur mes cuisses ainsi que mes fesses. Du coup, j’ai obtenu un certain galbe et un cul dont les compliments n‘ont rendu quelque peu fier :)
Niveau sexuel, je n‘ai pas trop de tabou. Depuis tout le temps, j’ai toujours préféré le hard à la douceur. Les hommes virils, brutaux et dominants sont ma priorité. Tant pis si ça déplaît à certains.
Je vais raconter un peu mon passé, mon présent et mes attentes. Voyez ça comme un journal intime. TOUT CE QUE J’ÉCRIS EST VÉRIDIQUE. Seuls les noms peuvent être changés.
Et pour commencer, voici ma toute première rencontre, quelques semaines après mes 18 ans, il y a 10 ans.
Bonne lecture :)
Je parle avec Fabrice depuis maintenant deux mois.
Il a 38 ans, infirmier, marié et bi.
Moi je viens de faire mes 18 ans. J‘ai une copine, mais je me sens attiré depuis maintenant quelques années par les hommes. Surtout par ce qui se trouve entre leurs jambes.
Combien de soirées ai-je passé à m‘imaginer un sexe dur entre mes lèvres? Puis j‘ai commencé à me doigter. Les doigts sont devenus des objets communs : banane ou concombre enroulé d‘un préservatif.
Et comme beaucoup, j‘ai discuté avec des hommes. On se chauffait sur Internet. Mais je n‘avais jamais osé passer le cap de la rencontre. Trop peur.
Avec Fabrice, on passe beaucoup de temps à papoter. Bien entendu, on se chauffe. Beaucoup, voire trop. Et ce soir, c‘est le grand soir. Je prends mon courage à deux mains et je pars le rencontrer.
Il est discret, prudent et sait que je n‘ai aucune expérience avec les hommes. Mais au fond de moi, je veux lui plaire. Je veux le faire bander comme jamais et lui montrer que je n‘ai pas froid aux yeux.
Et rien que d’imaginer l’idée une bite en train de se durcir grâce à moi, ça m‘excite au plus haut point !
Il est 22h30. Nous sommes en juin, le jour vient de décliner mais la nuit n‘est pas noire totale. Je suis debout sur le parking de la gare qui se trouve à cinq minutes à pied de mon lotissement. Durant les quelques centaines de mètres de marche à pied, j‘ai hésité. La peur et l’excitation se sont entremêlées en un sentiment alors inconnu jusqu’ici. Une sorte de stress terriblement enivrant. Et quand j’aperçois un appel de phare à l’entrée du parking, mon cœur semble exploser dans ma poitrine.
Le véhicule s‘approche, puis ralenti. Je reconnais Fabrice au volant (on s’était envoyé des photos) et il me sourit.
J‘ouvre la porte et m’assoie du côté passager.
‘‘Salut! Enfin, on se rencontre! me dit Fabrice d‘un air enjoué.
- Oui, enfin!“
Je suis apeuré. Du coup, c’est ma timidité qui prend le dessus. Fabrice le voit et me demande :
‘‘Stressé?
- Un peu oui…
- T‘inquiète pas, ça va aller. Je connais un coin très tranquille, on y va?“
Je lui réponds en hochant timidement la tête, puis nous quittons la gare.
Ca y est, j’y suis!
Je dois rester serein et profiter de ce moment tant attendu. Alors, je ferme les yeux et repense à toutes ces vidéos porno sur lesquelles je me suis imaginé en tant que femme ou homme passif. L’excitation redouble. Je commence à bander.
Pendant le trajet, Fabrice tourne parfois le visage dans ma direction. Je le vois poser ses yeux sur mon corps. Alors, pour briser ce silence, je tends mon bras tremblant vers lui et place ma main sur sa cuisse.
J‘entends mon chauffeur lâcher un petit râle de plaisir. Ce geste semble le rendre heureux.
Je remonte ma main vers son entre-cuisse, puis elle vient se plaquer contre ses couilles.
Je sens ses testicules ainsi que son sexe mou sous l’épaisseur du pantalon.
Ma première bite! Enfin! La sensation me rend fou!
‘‘Pas si timide“ me dit Fabrice en souriant.
Je le regarde en me mordillant les lèvres.
Ma main caresse sa queue qui parait grossir sous le jean.
‘‘On est arrivé, annonce-t-il. Tu veux rester dans la voiture ou tu veux qu‘on sorte?
- Il fait bon, allons dehors.“
Nous sommes dans un petit champs perdu entre deux sous-bois. La nuit est claire et l‘endroit semble très calme.
Nous nous tenons debout face à la voiture. Je suis légèrement assis contre le capot. Fabrice se tient devant moi. Il s‘approche doucement. A chacun de ses pas, mon cœur bat de plus en plus vite.
‘‘Tout va bien, demande-t-il?
- Oui, c‘est juste que je suis un peu stressé. Une fois chaud, ça ira.
- D’accord. Et comment te chauffer?
- Approche-toi“ lui dis-je en souriant.
Une fois proche de moi, je viens poser une main contre ses couilles et remonte la main sur son sexe. Lui, vient plaquer ses mains contre mes fesses et me tire vers lui.
Je le regarde dans les yeux et lui balance :
‘‘Donne-moi ta langue.“
Fabrice à l’air surpris, mais il s’exécute. Alors, je prends sa langue dans mes lèvres et la suce tout en glissant la mienne contre elle. Sous ma main, je sens sa bite durcir fortement.
Dans le feu de l‘action, il glisse ses main sous mon pantalon et choppe mes fesses. Il les pinces, les fait claquer, les écarte et passe quelques doigts contre mon trou tout lisse.
C‘est la première fois que je ressens ça. Je pourrais jouir maintenant tellement j‘aime cette sensation.
‘‘Mets-toi à genoux, dit Fabrice qui, d’un coup, vient de prendre un air plus autoritaire que j’apprécie fortement.
- D’accord.“
Je tombe à genoux et observe ses doigts défaire sa braguette. Son pantalon tombe jusqu’à ses chevilles. Puis, d’un geste lent, il descend son boxer. Sa queue se dresse devant moi. Rasée, environ 16 cm, circoncise. Je la regarde longuement. C‘est la première fois que je peux contempler une queue de si près. Je suis subjugué et excité.
Alors, je la saisis puis vient lécher son gland. L‘odeur, le goût et la texture me plaisent tellement que j‘ai peur de gicler si je me touche.
Je commence à la sucer lentement. J’enroule mes lèvres autour et donne des coups de langue dessus. Mes mains malaxent ses couilles puis viennent le branler tandis que je m‘occupe de lécher ses testicules.
‘‘Hummmm!! Et tu me dis que tu n‘as jamais sucé avant?
- Non, première fois, je réponds la bouche pleine.
- Continue.“
Je me régale. Je tente de prendre son sexe entièrement dans la bouche, mais je n’y arrive pas. Ma bouche s’emplit de salive que je crache sur sa queue pour mieux la branler.
Je le suce ainsi pendant dix minutes environ. Ma mâchoire me fait mal, alors je le laisse mener la danse. Il plaque ma tête contre le capot et me baise la bouche à coup de hanche. J‘adore ce sentiment de vulnérabilité et de soumission que cela procure.
‘‘Tu es sûr que tu ne veux pas aller plus loin? demande Fabrice.
- Non, pour une première fois, cela m’ira très bien“ lui dis-je en branlant sa queue trempée de ma salive.
Nous avions convenu à seulement une fellation pour notre première rencontre. Même si au fond de moi je veux sentir sa bite en moi, je préfère ne pas aller plus loin.
‘‘Comme tu le souhaites. Mais je te préviens, si on continue, je vais pas tarder à jouir.“
À ces mots, je choppe sa queue et la branle un peu plus rapidement. Je repasse sur mes genoux et donne des coups de langue sur son gland.
‘‘Gicle sur mon visage s’il te plait. Je veux que tu me recouvres de ton sperme.“
Je vois son sourire se dessiner sur son visage.
‘‘Alors t’arrêtes pas!“
Je prends sa queue dans ma bouche, resserre mes lèvres contre elle et la suce comme jamais. Mes mains caressent ses couilles, puis je les sens se rétracter.
‘‘Ca arrive!“
Je recule mon visage et le branle. Un jet chaud vient gicler contre mon visage, puis un deuxième qui coule contre mes lèvres. Surpris, j‘ouvre la bouche et là, un autre jet vient terminer sa course contre ma langue. Le goût m‘envahit. Je passe une main dans mon pantalon et je gicle dans ma main. Sous l‘effet de l’excitation, j‘avale le peu de sperme qui se trouvait dans ma bouche, puis je viens sucer sa queue humide et étale le jus sur mon visage à l‘aide de son gland que je nettoie ensuite.
‘‘Waou! Tu suces à la perfection toi! C’était super intense!
- Merci, lui dis-je timidement. Ta queue m‘a rendu fou.
- La prochaine fois, j’espère jouer avec ton petit cul.
- Promis.“
Nous nous relevons. Je me sens bien. Mon caleçon est trempé comme mon visage.
‘‘J‘ai avalé un peu de ton sperme, ça craint?
- Non, aucun souci avec moi. Avec mon boulot je suis contrôlé très souvent, VIH et MST. Et je suis très prudent.“
Voilà qui me rassure, même si je m‘en veux un peu d‘avoir osé avaler.
Fabrice me ramène à la gare. Nous discutons quelques minutes, puis je rentre chez moi.
C‘était la première fois. Et une chose est sûre: j‘aime vraiment la bite!
N‘hésitez pas m‘écrire mon mail si cela vous plait -> objsexahum@hotmail.com
La suite de mes aventures arrivent très prochainement ;)
Osah57
objsexahum@hotmail.com
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