Soumission & Domination | 597

Robin-1

Jérèm :

Comme promis j’embarque Robin dans les magasins. Levis store : je ne lui laisse pas le choix et j’opte pour des slims élastiques car il va vite reprendre du volume. Aux 2 Skinny taper, un noir et un bleu ciel et aux 2- 511 slim fit strech j’ajoute 2- 512 Taper. Une douzaine de T-shirts et 3 sweats dont un à capuche terminent nos achats dans cette boutique. La carte Black de Sasha commence juste à chauffer. Polos + manteau + blousons + chaussures, je le mets au niveau de base du Blockhaus. Sasha attend qu’il ait repris sa forme avant de le faire passer chez son tailleur.

Avant le couvre-feu on a le temps de passer au salon d’esthétique. Sasha lui a proposé/demandé de se conformer au standard local et Robin l’a accepté. S’il est imberbe du torse et que depuis peu il se rase les couilles, il n’empêche qu’il lui reste un peu trop de poils et comme ils sont bien noirs…

Donc je l’accompagne car il n’est pas à l’aise et j’en profite pour me mettre à jour moi aussi.

Comme il est fréquent que les escorts de Sasha viennent à plusieurs se faire épiler, nous sommes emmenés à une salle où nous pouvons être ensemble.

Pour moi ce sera aisselles + avant-bras + jambes et maillot + les abdos sous le nombril et pour Robin, qui est encore plus noir de poil que moi, c’est pareil en plus long.

Quand les 2 meufs arrivent pour s’occuper de nous, nous sommes sur les tables avec juste une petite serviette sur nos sexes. Robin pique un fard ! Les filles le déstressent et le rassure qu’il ne serait pas le premier mec qui banderait au départ. Car l’épilation à la cire pour certaines parties les font vite retomber.

Il regarde s’activer sur moi la première esthéticienne. La sienne décale son travail pour qu’il voit ce qu’il va subir.

Elle commence par les mollets et le bas des cuisses. Elle poursuit par les aisselles puis s’attaque aux abords de mon sexe. Robin va morfler un peu plus car il est un peu plus fourni que moi dans cette région.

Quand mes poils entre mon pubis et mon nombril ont tous disparus, elle m’achève sur les plis de mes aines.

A mes côtés, Robin encaisse bravement, ces tourments qui sont nouveaux pour lui.

Il me confit qu’il était heureux de n’avoir pas bandé et que ce soit fini. Il me demande la périodicité de ces opérations. 3 semaines dans les premiers temps puis mensuel. Pour les escorts ça peut être plus rapproché selon l’exigence client.

Alors qu’il n’avait pas osé questionner Sasha, il profite du retour pour me poser quelques questions.

J’explique que nous sommes quelques-uns que l’envie et/ou surtout la nécessité a fait choisir la voie de « L’escort ». J’ajoute que cela permet ave un minimum de temps engagé de prétendre à un salaire de cadre à cadre sup dans certains cas.

Il se tourne brutalement vers moi et me dit que c’est pas possible. Je confirme que si moi, je ne taffe pas très souvent, certains de mes confrères se font hors 1ère fois de 50 à 150K€ par mois. Heureusement que sa ceinture de sécurité est mise. Elle l’empêche de taper du crane dans le plafond.

Remarque de sa part : « faut coucher »

Réponse de la mienne « ben, oui, aussi et parfois principalement, surtout la première fois. »

Je précise. La Clientèle est principalement masculine mais les meufs qui prétendent à user de nos prestations sont en général ménopausées mais ultra chaudes et libérées question sexe. Robin me demande de préciser. Ben oui quoi, elles pompent mieux que les minettes que tu t’es fait et elles, elles se laissent enculer profond !

J’ajoute que s’il veut en faire partie (des escorts) il n’a qu’à demander à Sasha. Mis avant ce serait bein qu’il reprenne forme humaine. Il éclate de rire et avoue que là, il n’est effectivement pas au mieux de sa forme.

Il réfléchit le reste du chemin. Quand on arrive au Blockhaus on va à notre « cours » de natation et évaluation de son niveau par Antony.

Le ES que je lui ai choisi lui va comme un gant, latex bien sûr 😉. Il rend bien hommage à ses petites fesses et à son beau paquet. Je le laisse à notre maitre-nageur et aligne les longueurs en séquences de 200m 4 nages : 50m papillon, 50m dos, 50m brasse et 50m crawl.

Quand je jette un œil rapide à chaque changement de sens, je vois qu’Antony à l’air satisfait. Au briefing qui suit, la technique du nouveau venu est considérée comme bonne. Il manque juste de puissance et ça, ça va revenir avec les entrainements.

On se sèche et abandonnons les maillots pour des jocks et des shorts. Pas moins moulants que nos deux maillots. (NDL : pour ceux qui se poseraient la question de la gestion du linge, chacun de ceux dont l’hygiène vestimentaire dépend du Blockhaus ont à leur disposition une demi-douzaine de sacs à linge sale personnalisés).

Quand nous pénétrons la salle de muscu, quelques sifflements expriment l’appréciation de la mise aux « normes locales » de mon « protégé ».

Alors qu’il faisait maigre, là il ne fait plus que fin.

En cette fin d’après-midi de fin de semaine, beaucoup de postes sont utilisés en rotation par 2 Escorts en train de peaufiner leurs musculatures en vue de leur prestation à venir. Robin ne peut s’empêcher de bander devant l’alignement de corps quasi parfaits. Je ne ris pas car cela arrive encore aux plus aguerris des pros de Sasha. Les deux Gymnastes sont présents et enchainent barres parallèles, anneaux et travail au sol. Contrairement au smurf, où la vitesse d’exécution aide aux figures, là tout est travailler en force. Quand Florian vient nous saluer, Robin ne peut s’empêcher de mater sa largeur d’épaule.

Echauffés de nos longueurs de piscine, nous attaquons direct le programme élaboré par Jona. Développés couchés puis développés inclinés, à la barre. On enchaine avec le travail des triceps à la poulie puis aux haltères avant de terminer par les quadriceps à la machine et une série d’abdos statiques.

On arrive au Dojo bien, bien chauds ! Seul João est là à encadrer les 4 chats sauvages comme les appelle Sasha, en l’occurrence : Val et Thibault contre son mec Axel associé à Yanis mon petit frère.

Je regarde plus ce dernier et mate les progrès qu’il a encore fait. Dans pas longtemps je n’aimerai pas être celui qui essayera de leur piquer du fric ou même leurs smartphones.

Jona arrive sur nos talons et je sers de sparring partner pour Robin. Je chute ou résiste à la demande. Je le mets même au tapis pour la bonne compréhension des mouvements.

Les choses intéressantes arrivent à la fin de l’entrainement. Alors que nous sommes « chassés » par des « anciens » (Ndlr : ils ont entre 20 et 25ans !!) nous nous retrouvons tous les 6 à nous doucher à côté. Les jeunes (1 ans de moins que nous !) ont encore de l’énergie à revendre. Ça chahute, joue à chat-bite pour finalement s’échanger de bonnes grosses pelles. On se fait happer Robin et moi. Lui par mon petit frère et moi par Val. S’il avait voulu résister, vu les carrures des 4, il aurait eu du mal actuellement. Nos deux queues bien raides prouvaient l’envie que nous avions de participer. Nos corps fraîchement épilés ont subi force de caresses et passages de mains, ce qui vous l’avouerez ne peut faire qu’entretenir nos excitations.

Alors que Robin restait sur l’expectative dans les bras de Yanis dont le 20x6 faisait pointer son gland sous ses couilles (de Robin donc la queue de Yanis passée entre les cuisses du dit nouveau, suivez un peu !!), Axel s’est rapproché et collé pour lui rouler un patin. Moi j’étais pris dans le même type de sandwich avec Thib derrière moi et la langue d’Axel dans ma bouche.

Comme Axel s’est baissé pour pomper ma queue, Thib l’a remplacé et nous avons mélangé nos salives. Coincé entre nos deux bassins, Axel s’est mis à alterner les pipes. Je travaille les tétons de mon rouleur de pelle et ça le fait sursauter. Comme si je lui provoquais des décharges électriques. Mais ses lèvres ne quittent pas les miennes. Je me dégage pour voir où en est Robin.

Vu comme ce dernier mélange sa langue avec celles de ses deux protagonistes, je pense qu’il a enfin laissé tomber les barrières. Je fais confiance à Yanis pour bien le mettre dans le bain.

Moi je profite de son mec et de celui de Val. On tourne sur nos queues à concourir au plus vorace des trois. J’avale les 20x5 de Thib aussi facile que les 19x4.5 de Val. Eux se gavent de mes 20x6. Je sens même leurs dents repousser les chairs de mon pubis pour m’en manger plus encore. Délicieuse douleur !

Mon gland ressent chaque fin de pénétration comme un plaisir supplémentaire. Dans les derniers cm de gorge, il est compressé et massé par leurs déglutitions.

Je laisse Axel me pomper et retourne Thib. Ma main le penche jusqu’à ce qu’il s’accroche au lavabo central et je crache sur sa rondelle. Axel a compris où je veux en venir et étale ma salive sur la rondelle du nouveau copain. Je pose mon gland et pousse doucement. Ma salive entre. Je recule et Axel rajoute une couche que je pousse à nouveau. Je fais cela jusqu’à ce que Thib en ait marre et recule d’un coup pour s’enfiler mon gland tout entier. Il serre sa rondelle dès qu’il est entré entier. Trop fort cette délicieuse douleur ! Encore meilleur que les fonds de gorges.

Axel couvre ma hampe de salive et, alors que je tire vers moi le bassin de Thib je pousse du mien. Sa rondelle cède et je m’enfonce dans son trou. Ma queue est entourée d’une douce chaleur. Dès la première poussée je le défonce entier. Arrivé au fond je me mets en mode pause. Je savoure !

Thib balance des hanches et sa rondelle masse ma base. Je me retire total, attend une nouvelle couche de salive et quand Axel à fait le taff, je plonge à nouveau dans le nouveau ! Il amorti le choc et expulse un « raaaaghhhh » . Axel glisse entre nos jambes écartées et vient pomper ma capote vivante.

Mes reins en mode automatique, je peux mater le trio voisin.

Je les avais laissés à un mélange de langues et je les retrouve dans un processus d’enfilage. Robin expérimente, et d’après ce que je vois et j’entends il kiffe ça, la sodo en tant qu’actif dans le cul de Val. Dans son dos, Yanis se relève de lui avoir bouffé le cul. Je le vois s’enduire la bite de gel et planter le petit dernier. Robin râle plus fort que mon enculé mais on n’entend pas de douleur dans ce cri. Il se colle au dos de Val qui amortit le poids.

A ce moment-là, Robin tourne la tête vers moi. Son visage exprime le plaisir. Je lui demande si c’est bon. La réponse est simple « bon, trop bon ». je le laisse aux prise avec ses partenaires et me focalise sur les miens.

Axel sort et se place entre Thib et le lavabo. Les prises d’axel passent de la faïence aux hanches de notre pote et plonge la tête pour bouffer sa tige. Cela dure le temps qu’Axel s’estime en manque et il tire à lui Thib pour me désengager et prend vite sa place. Ce n’est pas moi qui vais me plaindre ! Même bien excitée, sa rondelle résiste un peu avant de céder. Il tient à me faire savoir que c’est uniquement parce qu’il le veut en me bloquant à mi-parcours d’une compression anale digne d’un escort de Sasha. Du coup je l’écrase contre la faïence. Mon avant-bras plié dans son cou, ses jambes bloquées par les miennes, il ne peut décoller de la paroi des douches. Tout à moi, il arrive juste à se cambrer pour faciliter mes pénétrations. Je le pilonne à rythmes variés qui nous font monter plus vite que prévu et surpris je lui remplis el cul alors que son sperme éclabousse puis dégouline sur le mur.

C’est le moment que choisi notre partenaire abandonné, Thib, pour m’enculer à la sauvage. Il me défonce grave les quelques minutes que je mets à me vider. Alors que j’allais le prévenir de sortir, il me remplit le boyau et sort direct. Mon dos recueille les 3 dernières éjaculations.

Cuits nous nous asseyons sous les douches et faisons couler l’eau.

Au travers du rideau d’eau, on assiste à l’apothéose du second trio. Resté dans la même configuration : Yanis dans le cul de Robin lui-même dans celui de Val. En cascade, Val jute sur le carrelage, cela entraine Robin qui se vide au moins 6 fois si l’on en croit ses spasmes, dans son cul. Yanis sort complètement et arrose ses deux partenaires d’autant de jets de sperme.

Robin s’incruste à côté de moi pour me demande si c’est à chaque fois pareil. Je reste vague avec un « plus ou moins » qui me vaut un coup de coude dans les cotes de la part de mon autre voisin. Val, le plus expérimenté Blockhaus, lui explique qu’eux : lui + axel et les autres jeunes non escorts sont en général très demandeur et c’est plus 9 fois sur 10 que 50/50 que les séances de sport terminent comme ça.

Robin reprend la parole pour nous prévenir qu’il ce ne sont pas ces « intermèdes » qui changeront son degré d’exigence question soutient scolaire. Le « J’en était sûr » de Yanis fait rire tout le monde.