Soumission & Domination | 598

Noël et fin d’année sous Covid

Pour cette fin d’année, Henri qui commence à en avoir assez d’être bloqué à Paris a réservé le Château. Il débarque avec Kev et ses potes (à Kev : Romaric & Tristan + Samson, Mathis, Loïc et Hugo). Ric et Alban ont invité Bogosse & Moitié chez André (mon banquier et père de Ric). Tous sont testé COVID et ont respecté 1 semaine de confinement total.

Même si d’habitude Noël est une fête plutôt familiale, là, Henri nous invite tous pour le déjeuner du 25. Nos deux cuisiniers Pablo et Nathan ont refusé catégoriquement qu’il commande tout chez le traiteur. Ils prennent en main les cuisines du sous-sol et aidés de tous au point qu’ils nous chassent, nous préparent un festin de Roi.

Les parents de PH et ceux de Max admirent le château dans lequel ils mettent les pieds pour la première fois. Les modifications et le niveau de confort les stupéfient.

Les livreurs n’ont pas chômé ces dernières semaines. Les plus gâtés sont les 3 petits. A 7 mois, ils réagissent toujours comme de vrais triplés. Les grands parents se battent pour leur donner à manger et babiller avec eux. Nous avons la chance qu’ils se développent à la même vitesse. Vêtements et équipements sont interchangeables.

Nos artistes Demi et Alban leur offrent l’un un tableau de leurs trois têtes et l’autre leurs bustes. Surprise pour nous, ils sont hyper-réalistes ce qui n’est pas leurs habitudes. Ils reçoivent les félicitations de tous les grands-parents.

J’ai fait cette année dans la simplicité et ai précommandé autant de S21 Ultra que de membre de ma famille (élargie) et d’amis.

Mes maris reçoivent en plus une montre Ressence 3BB (écran noir) et une 3W (écran blanc). Je n’ai pas pu me décider !

En fin d’après-midi, l’ancienne génération rentre chacun chez soi. Henri part avec Emma pour nous laisse le château.

Le temps que le chauffage monte les pièces à 23°C, nous fêtons cette première fin d’année au Champagne. Les discussions qui étaient restées générales et circonstanciées. Là, elles dérivent sur les derniers plans cul. Si Alban s’est contenté de Ric et réciproquement, ce n’est pas le cas des autres.

J’apprends, et Jérèm qui me colle aussi, que BoGosse le propriétaire d’une galerie Parisienne, a profité de cette période spéciale pour rechercher de jeunes artistes en devenir. Il a même signé quelques contrats assurant à leurs contractant un revenu dans l’attente de jours meilleurs. Bien sûr en contrepartie d’une exclusivité sur la vente de leurs œuvres futures, cela va de soi. Mais pour des étudiants aux Beaux-Arts, c’est plus un avantage qu’une réelle contrainte.

Kev, lui et ses potes de muscu ont continuer à se rencontrer à la salle et se sont même arrangés avec le patron pour disposer de créneaux particuliers. Du coup ils baisent sur place !! Ils sont impatients de nous monter les positions qu’ils ont élaboré sur les postes de muscu.

Iol n’en faut pas plus pour que les pantalons se tendent. Jérèm avait pris de l’avance et une petite tache assombrit le tissu juste sous le Zip.

Nous entamons une mini touze. MarA que sa grossesse commence à gêner nous renvoi Côme après que ce dernier l’ait raccompagnée. Elle me l’a confié pour qu’il s’amuse sans arrière-pensées.

Nous sommes donc avec mes 5 maris, mon beau-frère, mes 4 petits frères, les 11 Parisiens et Pablo, 23 à prendre de l’avance sur le 31.

Kev nous entraine tous à la salle de muscu au sous-sol. Si elle n’est pas aussi grande que celle du Blockhaus, elle l’est suffisamment pour nous accueillir tous sans que nous soyons collés les uns aux autres sauf si nous le décidons.

Nous sommes tous à poil (ou plutôt sans) 5mn après notre entrée. Quelques-uns passent sous les douches, notamment nos deux cuistots. Nos parisiens veulent nous faire une démo de leurs trouvailles.

Je dois reconnaitre qu’ils ont bien travaillé leur sujet. Si l’utilisation de la chaise romaine à contrepoids est évidente : l’enculé, de face ou de dos, en suspensions les cuisses passées sur les poignées, l’enculeur à la hauteur ajustée par le contre poids use de l’élasticité du support pour accompagner ses coups de rein qui propulse sa bite dans l’anus de son partenaire. Celle de banc de développé couché aussi avec usage ou non de la barre. Mais une variante encore inédite en province, la barre nue est empesée du poids du partenaire assis en équilibre. Kev fait la démo et soulève Mathis et ses 65Kg. Si quelques-uns rient du faible poids soulevé, la recherche de l’équilibre rend la tâche plus ardue. Quand la barre descend, la rondelle de Mathis se pose sur la bouche de Kev qui peut lui donner un coup de langue avant de le soulever à nouveau. Sinon les classiques soulevés de barre avec un mec assis sur son pieu et assistance au levage avec la bite de l’assistant dans la bouche de celui qui soulève. Sur le poste de tirage horizontal, Romaric place sont petit Tristan à 4 pattes entre le chariot sur lequel il est assis et ma masse de poids à soulever. Quand il tire, il lève les poids et décule. Quand il relâche l’effort il se plante dans le trou de son mec. Selon comme il relâche son effort, il se plante en douceur ou plus violement.

Cela fait, on se met tous à baiser. J’attrape Hugo avec qui j’avais baisé lors de mon dernier passage à Paris et que son bo cul rond et musclé appelle la sodo. La muscu que son télétravail a permis d’intensifier à fait son effet. Il n’a pas beaucoup pris en volume mais s’est arrondi. J’ai devant les yeux une grosse pèche qui ne demande qu’à laisser voir et perforer le « noyau ». Je plonge la tête en avant et tartine sa rondelle de salive. Il serre les fesses et j’use de la force pour écarter les deux globes. On s’amuse jusqu’à ce qu’il réclame la saillie. Je le pousse contre le poste des biceps. Il prend appuis et cambre les reins. J’attrape le gel en place de la bouteille d’eau, fait couler dans sa fente une bonne dose et pose mon gland juste sous le trou pour qu’il ne coule pas au sol. Je pousse des reins et fait y pénétrer peu à peu le lubrifiant. Jamais plus d’un cm de pénétration. Ça agace !! Il me prend par surprise en reculant d’un coup sec. Mon gland perfore son trou et s’enfonce, s’enfonce jusqu’à ce que mon bassin écrase ses fesses. Un râle de plaisir sort de sa bouche. Je me penche colle son dos et il tourne la tête. J’écrase son sourire sous mes lèvres. Il ouvre la bouche et je lui roule un patin alors que plus bas, ça se cale.

Son cul recule quand j’avance et avance quand je recule. Ça divise le travail par 2 et surtout nous permet que nos langues restent en contact. Mes tétons sentent rouler les muscles de son dos je passe la main devant et je serre ses 18 x5.5 de queue dure comme de la pierre. Je presse, il gémit d’une douce douleur mais ne cesse pour autant de branler ma queue avec sa rondelle. Quand je serre, il serre et bloque le mouvement de sa queue. Chaque choc nous rapproche de l’éjaculation. Du coup on s’arrête avant de juter. Y’a d’autres plans à faire !

Un coup de lingette et nous nous séparons. J’erre entre les groupes. Je mate quelques instants Jérèm en train de savourer le ramonage de son boyau par les 24x5.5 de Bogosse. Je lui roule une pelle avant de faire de même avec notre ami parisien. Ce dernier me confie qu’une nouvelle fois je ne me suis pas trompé. Rapport au fait que le petit mec qu’il a sur la queue est mon dernier mari en date !

Je continue mon petit tour. Ernesto fait profiter de ses 24x6 le cul Moitié. Habitué au 23x5.5 de Bogosse il n’a pas trop de mal à se formater. Il n’empêche qu’il apprécie l’augmentation de diamètre à sa juste valeur. Assis sur Ernesto couché sur un banc simple de muscu, il chevauche mon mari comme un cavalier des grandes plaines. Il alterne petit trop et galop.

Marc a jeté son dévolu sur Loïc dont il vient de faire la connaissance mais que son format plus fin que nous autres fait remonter en lui les souvenir de nos premières baises ! C’est vrai qu’à l’époque (lol il n’y a que 13ans. Déjà !!!!) je ne pesais que 75Kg. Mes 95 actuels même principalement de muscles m’ont fait changer de catégorie. Cela ne nous empêche pas de toujours faire l’amour ensemble. Mais la nostalgie…

Je me fais happer par Enguerrand. C’est vrai que cela fait quelques temps que nous nous sommes retrouvés en touze. Mon jeune BoF s’éclate total dans sa vie de gérant de Gite « rural ». Les prévisions de passages réguliers de notre « ami » du moyen orient assurent à elles seules plus que les frais de fonctionnement et une bonne rétribution des investisseurs. On s’écarte un peu de la masse agitée. Nous sommes à nous rouler pelles sur pelles que ses deux frères nous rejoignent. Je sens en premier lieu mon mari, Ludovic qui se colle dans mon dos et dont je reconnais la queue qui s’insinue entre mes cuisses, son gland massant mon périnée de ma rondelle à la base de mes couilles. Puis je vois Côme faire de même avec Enguerrand. Plus grand que ce dernier, il passe sa tête au-dessus de son épaule et le chasse de mes lèvres pour en occuper la place. Si Enguerrand ne manque pas de virilité, avec Côme c’est un cran au-dessus.

Si j’ai bien saisi, je vais me faire les trois frères ensemble. C’est une première pour moi !! Et je pense qu’ils ne l’ont encore jamais fait.

Je me souviens avoir initié la première de Ludo et Côme, de les avoir envoyés tous les trois satisfaire ma cliente Suisse, mais avec moi jamais.

Ça m’excite encore plus !!

Rapidement nous passons des bisous aux fellations simples, multiples réciproques… j’apprécie à leurs justes valeurs : la douceur de mon mari, l’avidité de mon jeune BoF et la voracité de son ainé. Ce qui me fait plaisir c’est qu’ils se roulent aussi des pelles entre eux. Pas de retenues idiotes, juste une façon supplémentaire de prouver leur amour fraternel !

Au centre de leurs intérêts, je me retrouve rapidement : enfilé par Côme (trop bonne sa façon de faire entrer son 20x6 au fond de mon trou) je sens ma queue ouvrir une rondelle. C’est celle d’Enguerrand. Il s’enfonce ma bite lentement en pivotant de droite à gauche. L’effet sur mon excitation est phénoménal. Bien serrée sa rondelle vrille ma queue et mon gland colle son intérieur, comme ventousé. Ma bouche elle est occupée alternativement par la langue e la queue de leur frère et mari (à moi).

Je suis couché sur le dos au fait d’un tas de tapis de sport. Côme est debout à m’enculer, il m’écarte les jambes. Enguerrand me fait face et ses mains en appuis sur mes pecs, fait monter et descendre son bassin pour me branler la bite. Ludo est debout à ma tête et n’a qu’à se pencher pour me rouler une pelle et à se redresser pour me limer les amygdales et la gorge. Alors je l’entends mélanger sa langue avec celle de son petit frère. Quand il change d’étage, il s’enfile dans la bouche d’Enguerrand et je m’occupe de ses couilles. Quand je les prends en bouche, il ne peut plus bouger beaucoup et c’est Enguerrand qui le pompe. Il pelle alors son grand frère.

Moi, au milieu, c’est le kiff total. Les stimuli arrivent de tous les côtés possibles. Je me retiens que ce soit encore plus extrême. Je suis rapidement obligé de maitriser Enguerrand et de le bloquer assis tout contre moi. Je me venge alors et lui branlant la queue. Et là c’est lui qui force et se dégage pour ne mas me juter dessus trop vite !

Ludovic laisse ses deux frères profiter de moi. Lui il m’a à dispo tous les jours de l’année !

Le gland de Côme me chauffe me cul et massacre ma prostate. Ce n’est pas pour rien que mes clients/tes me le réclament. Il ne faudra pas que j’oublie de faire envoyer une douzaine de rose rouge à MarA pour nous l’avoir gentiment laissé.

Ma pensée se délite quand mon organisme s’approche de la multi-jouissance.

Je pars le premier. Je jute dans mon petit BoF. Sans cesser de faire l’ascenseur sur ma queue, il largue son jus et me couvre des pecs aux cheveux d’une bonne dizaine de giclées. Auxquelles s’ajoute celles de Ludovic qui, en sens inverse complète mon recouvrement de mon menton aux couilles d’Enguerrand posées sous mon nombril. Le quatrième participant m’offre un lavement vu la quantité de jus avec lequel il me dose ! on termine comme de véritables petits cochons à lécher nos spermes et à nous frotter nos langues et museaux !

Douches. Je retourne dans la mêlée voir ce qu’il advient de mon dernier mari. Sans inquiétudes particulières. Je voulais savoir comment il s’en sortait.

Je le retrouve dans ma position aux prises des Parisiens adeptes de la muscu. C’est Romaric qui lui enfonce ses 25x7 dans l’oignon. Malgré les 21x6 de Samson qui le bâillonnent, je l’entends gémir de plaisir. Sa queue à lui est recouverte par Loïc qui s’astique la rondelle à monter et descendre le mat de 20x6.

Quand j’arrive, ils sont en phase terminale. Je vois le plaisir que prends mon mari et je sais que c’est un nouveau moi (dans l’esprit).

Marc n’est qu’actif, PH et Ludo, plus sensibles, privilégient les rapports affectifs même s’ils ne laissent pas leurs parts au chat dans les touzes. Jérèm semble coller plus à ma philosophie comme Ernesto. Aimer profondément et baiser comme si nos vies en dépendaient !

On se retrouve tous à l’étage au-dessus à prendre une dernière coupe avant de nous séparer.

Nous laissons le château aux invités de Kev et Henri. Avec mes maris, mes beaux-frères, petits frères et Pablo, nous rejoignons l’habitation de Côme. Il n’est pas si tard et MarA nous reçoit encombrée de son beau ventre de 7 mois passé. C’est la première fois que Jérèm vient chez eux. L’aspect fortifié l’impressionne. Il se voit comme dans la Bd « Chevalier Ardent ». L’entrée dans le logis seigneurial le ramène au présent. Le confort n’a rien à voir avec celui du XVème date de sa construction.

Peu pressés d’aller nous coucher, alors que Pablo cuisine à la demande omelettes individuelles, pancake et autre coupe-faim nous dissertons sur cette fin d’année et le 31 décembre qui fera pâle figure par rapport à ceux de ces dernières années. Pas de copains d’outre atlantiques bloqués par la Covid en Califormie ou à Dam Neck en Virginie, san compter nos cows boys du Wyoming. Pas de Suisses non plus ni d’espagnols. Nos amis de la gendarmerie mobile seront tous mobilisés. Bon nombre de mes Escorts ont exceptionnellement acceptés d’être « embauchés ». Plus pour faire plaisir aux clients qui n’ont pas été aussi servis qu’en 2019, que pour leurs comptes en banque déjà bien pourvus.

Nous serons donc dans une semaine le petit groupe de la veille plus les occupants des annexes et des apparts. Ces derniers testés sont confinés dans les 1200m² du Blockhaus + les 1200m² des Annexes sans compter les 2400m² de cours, les 600m² de la salle de sport et les 8 appartements (1500m²). C’est à peine si nous seront 80 cette année !