Soumission & Domination | 604

604 | En Tilian aux études

Tilian a maintenant pris le rythme des prestations. Sans être blazé, il enchaine les rendez-vous avec mes clients sans crainte. Ces dernières se sont évanouies dès son dépucelage. Ses capacités naturelles à pomper en gorge profonde se sont confirmées sur des longueurs plus importantes que les 26cm de son initiation. il prend aisément sinon facilement les mieux membrés de mes clients et ce jusqu’à 28x7 !

A contrario, à l’autre bout, il y arrive aussi mais avec plus de travail. Ce qui garantit à mes clients une rondelle toujours bien serrée. Il a tenu a ce que je change les tofs de sa fiche où il apparait nu. Il a adopté le port du cockring en permanence. Ce dernier offert par son premier client brille à la base de sa queue. D’autant plus que cette dernière est quasiment exempte de tout poil. Je ne sais si c’était volontaire mais c’est celui qui reçoit les plus beaux bonus. Surenchères entre clients !?

Son coffre-fort se remplit plus vite que ses collègues de même niveau. S’il était déçu de n’avoir pas eu de montre de prix lors de sa première presta contrairement à ses copains et même s’il ne quitte plus son cockring, maintenant ce ne sont pas moins de 5 qui dorment à l’abri. Une Ulysse Nardin Skeleton X cadran noir et rouge côtoie du même fabricant une Tourbillon Free Wheel puis une RM (Richard Mille) 004 V3 et une Endeavour centre seconds ainsi qu’une Greubel Forsey GMT sport, originale avec son globe terrestre qui tourne en 24h !

Côté famille, il a mis cette dernière à l’abri en achetant pour elle un bel et grand appartement qui permet de recevoir toute la famille.si son petit frère était un peu vénère de changer d’école, surtout pour une privée il s’y est rapidement fait. Ma recommandation à fait son effet auprès de la direction de l’établissement que je connais personnellement pour avoir financé une selle de langue. Sa garde-robe, mise à jour en marques par le grand frère et surtout son assurance personnelle ont fait le reste auprès de sa classe.

Pour son DMA la partie présentielle, se fait dans un autre département de la région. A plus d’une heure et demie de sa base, il reste de temps en temps dans l’enceinte du lycée. Il se retrouve avec la moitié de son cours en alternance. Heureux de pouvoir partager sur leur passion, il m’explique que les soirées s’éternisent. Discussion sur leurs projets, appréhension de l’avenir (trouver un taf), et à cet âge-là, sur les copines aussi.

Tilian me dit avoir été franc là-dessus dès la première conversation. Il leur a carrément dit que pour lui les meufs il savait les baiser mais que l’amour c’est avec les mecs. A un qui s’était permis une remarque classable au minimum de déplacée pour ne pas dire homophobe, il avait fait la démonstration qu’il ne fallait pas le chercher. Plaqué au sol une première fois, le con a prétendu la surprise pour refaire le plan. La seconde fois aussi il a fini au sol et aussi rapidement.

 Respect de tous et admiration de certains.

Depuis il est rarement seul dans son lit quand il est là-bas !

Je sens, à son regard qui part dans le vague quand il m’en parle, qu’il n’y a pas que du sexe au moins avec l’un des protagonistes. Comme je suis un petit curieux, ça, vous devez l’avoir deviné depuis longtemps, je creuse.

Tilian :

Dès le premier soir il faut qu’un conard vienne me défier sur ma sexualité. Je suis maintenant et grâce à Sasha, à l’aise avec cela. Les cours de MMA+ ça aide aussi d’être quasiment sûr de pouvoir étaler un mec.

D’ailleurs c’est ce que j’ai fait. J’ai étalé le mec d’une balayette avant de mettre mon pied sur son thorax coté gorge 😉. Comme il prétextait que je l’avais pris en traitre, on a remis ça pour le même résultat.

Pas revu du reste de la soirée passée en bonne intelligence avec le reste du groupe. Ils me disent de laisser tomber. Le mec les ignore généralement depuis 2 ans !

Je rentre dans ma chambre après une bonne douche. Je suis encore avec la serviette autour des reins que j’entends frapper.

Surprise qui vois-je rentrer ? le conard ! Il a l’air tout gêné. Il s’approche et dès que ses yeux rencontrent les miens, je l’attrape par la nuque et écrase mes lèvres sur les siennes. Surpris, il ouvre la bouche et ma langue s’engouffre dans le passage pour aller chahuter avec la sienne.

Faut pas laisser les connards sur leurs fausses certitudes !

Surprise pour moi et je pense encore plus pour lui, mais ça matche tous les deux !!

Le con me fait bander grave et comme mon autre bras colle son corps contre le miens, je sens que lui aussi réagit (enfin sa queue).

D’ailleurs il ne cherche pas à s’écarter de moi. C’est un signe non ?

Quand je relâche la pression, il s’écarte en cherchant son équilibre. Autant battre le fer quand il est chaud, je le pousse sur mon lit (1 place, on est dans un internat !!). Et m’alonge sur lui.

Question : « alors les Pd c’est tous des tafioles ? »

Lui : « ben non »

Moi : « Ok t’es plus un con alors »

Lui : « Merci et déso pour tout à l’heure, après j’ai eu trop la honte pour revenir. »

Moi : « c’est toi qui es passé pour une grosse tâche »

Lui : « je sais ! »

Moi : « tu restes ? »

Lui : « je peux ? »

Moi : « oui je dois encore te convaincre de certaines choses »

Lui : « OK apprend moi »

Je le détaille de près. J’avais déjà vu qu’il avait une plutôt belle gueule et que physiquement il laissait deviner un corps assez bien découplé. A la palpation, les muscles sont là et bien fermes. De son côté il ne se gêne pas pour caresser ma peau toute propre. Merci les séances de muscu au Blockhaus car il apprécie ce qu’elles ont données sur moi.

Je vire son polo. Un ton en dessous pour l’épaisseur des pecs mais les abdos sont parfaits. Les bras raccords avec les pecs. Je tire son slim. Belles cuisses de footeux, ce qu’il n’est pas. Il avoue, marcheur. Un beau slip Clavin Klein distendu par une bite au garde à vous. Ma 20x6 circoncise à pour concurrente une non moins égale mais non coupée.

Quand je vire ce dernier morceau de tissu, il m’apparait bien fait un ton global en dessous de moi et un ton au-dessus en pilosité.

Debout face à face, on se mate réciproquement. Je laisse ses mains apprivoiser ce qu’il voit. Je note qu’il s’attarde aux surfaces où lui est poilu.

Lui : « t’as jamais eu de remarque sur le fait que tu t’épiles ? »

Moi : « si mais c’est facile à expliquer. Les poils ça se prend dans les dents. Et t’es pas obligé de dire que ce sont celles de mecs 😉 »

Lui : « j’adore »

Moi : « tu veux essayer ? »

Lui : « non »

Mais je le sens en même temps tenté. J’attrape une autre serviette le la lui jette. Instinctivement il s’entoure le bassin et je le tire aux sanitaires.

Au surveillant qui passe la tête hors de sa porte j’explique « séance de rasage ». D’un signe de tête il nous fait signe d’y aller. Je saurai le lendemain que Anne lui pourrissait la vie depuis 2 ans qu’il était là.

Reprenons le cours du temps : arrivés à la salle d’eau, personne vu l’heure. J’attrape mon rasoir et commence à l’enduire de mousse à raser. Châtain clair il est moins poilu que je ne l’étais en arrivant au blockhaus.

Les avants bras et les aisselles sont vite faits, les mollets aussi avec le bas des cuisses. Quand j’attaque le « centre » il rigole moins mais bande toujours. Je le mets à mon image : couilles rasées et pubis raccourci et bien délimité. Côté pile, pas de poil. Une douche évacue le restant de mousse. Je vérifie de la main qu’il est tout lisse. Trop bandant ! il se regarde dans les petits miroirs au-dessus des lavabos. Il réalise ce qu’il a accepté. Je me colle dans son dos. Ma queue glisse entre ses jambes et mon gland soulèves ses couilles. Je pose mon menton sur son épaule et regarde dans ses yeux. « Regarde comme tu es beau. » Mes lèvres se posent sur son cou et ma langue vient remonter jusqu’à) son oreille. Il penche la tête en arrière pour m’aider. C’est gagné. Enfin pour le moment !

On retourne à ma chambre. Dos sur mon matelas, il me mate tomber la serviette. Ses yeux accrochent le cockring que je porte en permanence. Alors que je m’approche, il se redresse et tend la main. Elle est super douce quand il enveloppe ma queue. Je le laisse faire. « C’est ma première ». Je m’en doutais un peu.

Il met l’autre main. Ses caresses englobent maintenant mes couilles. Je bande comme un cerf ! Je mate son entrejambe, il est pareil !

Je m’approche un peu. Ma queue elle aussi et se trouve à la hauteur de son visage. Je le sens hésiter puis il ouvre la bouche et sort la langue. Petit coup de rien de ma part et mon gland vient se poser dessus. Pas de recul, j’avance et il entre dans sa bouche.

J’ai l’impression que maintenant il ne se pose plus de question. Sa langue enveloppe mon gland, explore toute sa surface avant de le laisser rentrer plus loin. Quand je bute sur le fond, il avale brusquement et je bascule en avant lui plantant la totalité de mon 20x6 ! Pas d’étouffement ni de renvoi !! Tout comme moi 😊. Je ressors quand même vite. Je me penche et lui roule une pelle avant de replonger ma queue dans sa bouche. Il me refait le même coup. Je sors et lui demande combien de queue il a sucé. Il se défend que la mienne est la première. C’est donc un vrai point commun avec moi qui n‘a pas eu plus de difficultés que lui pour les gorges profondes.

Je le pousse et m’installe en 69. Je veux lui montrer que je peux faire de même et surtout lui rendre le plaisir qu’il me donne. Le fait que je le pompe lui donne des ailes. Il y met l’ardeur que l’aisance lui permet. Si c’est inné, il est bon, très bon. Sa queue vibre dans ma bouche. Je serre ses couilles quand je l’avale. J’ai bien fait car je sens le flot buter contre ce barrage. Je le pompe encore quelques minutes puis desserre la main. Je me prends tout dans la gorge. Il jute à n’en plus finir. Je crois bien en avoir avalé 10 ! Je jute à mon tour et il me rend la pareille. Il me laisse un gland nickel. Il pivote et on se pelle grave. On s’endort en cuillère (lit de 90cm).

Matin : sonnerie de réveille. Il sursaute je l’empêche de tomber du lit. Il me regarde, se regarde et me regarde à nouveaux dans les yeux cette fois ci. Je vois passer dans les siens comme une lueur de désespoir ! Je le prends dans mes bras et l’apaise d’une pelle qui signe notre lien nouveau. Il s’arrête de trembler.

Nous n’avons pas beaucoup de temps avant le petit déjeuner. Il sort et tombe sur les collègues en chemin vers la salle de bain commune. J’entends ses épaules s’appuyer contre la porte et comme un chambrage arriver. Je sors aussitôt. Mon bras autour de sa taille indique à tout le monde le nouveau statut d’Anne. Du coup on est deux à supporter les coups d’œil alors qu’on se douche et qu’on se rase le visage.

Comme le petit groupe allait pour sortir, je me plaque contre la porte et annonce que notre collègue Anne avait revu ses positions concernant les choix de chacun. Je l’attrape par la main et le tire contre moi. Je lui roule une pelle puis annonce au groupe qu’il suffisait de savoir comment l’aborder. Rires et j’entends un « oui il fallait savoir le prendre », mais sur le ton bon enfant.

On se retrouve tous devant nos bols. Anne répond à quelques questions et remarques. Entre autres qu’il avait mis le temps à se décoincer et que s’il l’avait dit plus tôt il n’aurait pas été mis à l’écart pendant 2 ans.

Réponse de l’intéressé : « mais à ce moment-là je n’étais pas prêt. Tilian a été l’élément déclencheur ».

Mon « J’adore être l’élément déclencheur » fait rire tout le groupe. La file s’étire pour aller à l’atelier, je me retrouve avec un collègue qui me confie que s’il avait su pour Anne, il se serait proposé pour l’initier. Je le, regarde, il me fait un clin d’œil. Encore un Pd 😉. Je lui dis que plus tard peut être. On se sépare pour aller sur nos établis. Je regarde Anne qui me questionne du regard. Je ferme les yeux, rassurant.

Ce soir, nous avons accès à la salle multisport. Petit match de basket. Anne nous fait gagner ! Tous lui tapent dans la main ou le dos car c’est aussi une première de le voir jouer en équipe. Comme nous regagnons nos chambres, encore humides de nos douches, le surveillant me prend à part. Il ne parle de rien mais me demande juste d’être discret. Anne amène sa couette et dans ma chambre nous rapprochons les deux lits présents. 2 serre-clips piqués à l’atelier et les pieds sont attachés. Ce soir c’est sodos !!!

Anne appréhende plus qu’hier et tremble un peu quand je m’approche de lui. On reprend au début : roulage de pelle => érections directes => détente. Je fais passer son polo par-dessus la tête et mes mains caressent son dos. Il fait de même. Les pantalons de survêt tombent d’eux même et nos slips suivent. J’adore le sentir contre moi. Rien à voir avec les autres mecs avec qui j’ai baisé et pris du plaisir ! Il doit le sentir car c’est pas une bite que j’ai mais une vraie barre d’acier. La sienne est à l’unisson. Il prend l’initiative du 69. Sans forcer il me mange une nouvelle fois en entier ! Malgré cela je sens mon gland bien compressé. Quand je dégluti pour masser son gland dans ma gorge, il s’essaye et m’imite à merveille. Je le fais jouir et je jouis en même temps. Je garde son dernier sperme en bouche et quand il laisse ma bite propre, je me retourne et l’embrasse pour qu’on partage. Surpris au début il finit par se battre pour manger son sperme. Sur le dos, côte à côte, on regarde le plafond. Je le laisse venir le premier.

Anne : « tu ne sais pas ce que c’est que d’avoir un prénom et un nom comme le mien ! »

Moi : « c’est sûr que Tilian c’est mieux mais dans mon milieu seulement ! »

Il rit et m’explique que c’est le nom d’un de ses ancêtres Grand connétable de France.

Moi : « comme les rillettes ».

Il rit gentiment car ce n’est pas la première fois qu’on la lui faite la blague !

Je bande toujours, même pas de coup de mou après avoir juté ! Je regarde et mon partenaire est dans le même état. Je roule le recouvre de mon corps et l’embrasse à nouveau. Puis je descends son corps. Le cou les tétons ce qui lui arrache quelques sursauts, le sillon inter abdos, le nombril que je laisse plein de salive et tombe sur sa queue. Je ne le pompe pas. Ma langue descend la hampe, passe entre les couilles et, alors que je lui soulève les jambes jusqu’à basculer son bassin, ma langue lèche le court chemin qui l’amène à sa rondelle.

Je m’attaque à lui donner tout le bien que je sais que cet endroit peut provoquer. Je l’entends soupirer de plaisir. Il me remplace aux plis de ses genoux et je peux mieux préparer sa rosette. Je lèche, dépose une bonne couche de salive, m’aide de mes doigts pour la faire entrer, recommence. A chaque fois il s’ouvre un peu mieux. Je ne veux pas lui faire mal avec mon 6 !

Je le tourne en levrette. Son cul est plus à ma hauteur et il se cambre du plaisir que je lui donne. Ses mains viennent même écarter ses fesses pour me faciliter l’accès.

Je lui dis être safe. Il me dit être vierge. Je m’agenouille entre ses jambes et pose mon gland couvert de gel pile au centre. J’attends car je veux que ce soit lui qui le demande. Ça ne manque pas ! il balance des hanches et je vois mon gland entrer doucement en lui. Je ne bouge toujours pas. En twerkant, il recule lentement et je m’enfonce. Quand nos chairs se collent c’est divin. Je me penche, colle son dos et lui glisse à l’oreille que c’est super bon. Il m’assure que c’est pareil pour lui.

Je me redresse et mes mains accrochées à ses hanches je commence à lentement ressortir. Son anneau me serre à merveille. Il retient un peu mon gland sous sa couronne. Plop, me voila sorti. Une belle couche de gel pour remplacer ma salive et ce coup-ci c’est moi qui le pénètre. Tout le long je sens mon gland ouvrir le passage et ma hampe collée au plus près. Mon angle d’attaque me fait buter sur sa prostate. Gémissements de l’intéressé.

La porte s’entrouvre. Anne ne s’en rend pas compte. Je tourne la tête pensant voir le surveillant mais c’est le collègue qui s’en voulait d’avoir loupé le coche. Un beau shorty ES déformé par une belle barre. Je lui fais signe d’approcher. Anne ne se rend toujours compte de rien puisqu’il arrive dans mon dos. On se pelle. Je ne suis pas son premier, ça c’est sûr. Un peu plus petit que moi, j’avais déjà noté qu’il était bogosse en plus d’être bien musclé. Je ne change pas le rythme de ma sodo pour ne pas alerter mon partenaire. Il quitte son shorty. Un beau 18x5 ou 6en sort comme un clown de sa boite (rapport au bout rouge bien sûr). Je lui fais signe de passer à la tête d’Anne. J’attrape ce dernier par les cheveux pour le soulever à 4 pattes. Il ouvre les yeux surpris et mate direct la bite de Corentin. Il n’a pas beaucoup de temps car je pousse et il se l’enfile d’un coup jusqu’aux couilles.

Corentin : « putain, quelle bouche ! On imaginerais pas ! »

Moi : « c’est de l’inné car j’ai pas eu à le formater »

Anne : « merci les mecs mais je suis pas un morceau de viande !! »

Je me penche, il tourne la tête et je le galoche. Après on se partage la nouvelle bite. Ma gorge confirme un 18cm et un presque 6 de diamètre. Belle hampe droite un peu ovale de section couronnée d’un gland dégagé dont la belle corole contient le prépuce retroussé.

Je me retire et propose ma place à Corentin après accord d’Anne. Ce dernier je viens lui rouler un patin. Alors qu’il se fait plus sèchement sodomiser par un Corentin en manque, je lui demande si cela ne va pas trop vite pour lui. Réponse de l’intéressé : « j’ai attendu mes 19ans pour me faire dépuceler, j’ai perdu au moins 4 ans ».

Ok sa réponse me va. Je contourne et passe derrière Corentin. Je me plaque dans son dos et ma queue pousse ses couilles. Ses va te vient font glisser mon gland de ces dernières à sa rondelle. Plutôt glissant son trou ! ça sent la préparation !

Je m’écarte me capote et reprends place. Quand mon gland passe sur sa rondelle je bascule le bassin et vient planter notre nouveau partenaire. Bien que je sente une certaine résistance, je m’enfonce direct. Anne en subit le contre coup 😊

Le premier à venir c’est Anne qui salope ma couette. Corentin suit et je termine. Belle compression de son anneau sur ma queue=> je remplis ma capote.

Etalés côtes à côtes, Corentin nous remercie. Cela fait un moment qu’il avait trouvé des partenaires et il a apprécié qu’on le laisse participer.

Je lui dis, et cela informe Anne du même coup, que n’étant pas possessif, il sera toujours le bienvenu à mes baises. Anne me suit. Corentin nous quitte, pas encore prêt pour un coming-out dans la formation.

Seuls, Anne me demande si avec moi ce sera toujours comme ça. Je joue franc et lui dit que oui, j’ai bien senti un truc entre nous deux mais que non je n’envisageais aps une relation exclusive. En plus comme il venait d’être dépucelé, il avait plein d’expérience à mener ce qu’un seul partenaire ne pouvait assurer.

Là aussi il me suit.