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605 | Tilian aux études 2
Quand il rentre en WE, Tilian me confie ce qui vient de lui arriver à sa formation.
Il m’assure que coté santé, seuls les étudiants Covid Négatifs ont l’autorisation du présentiel. Car ils sont amenés à travailler parfois côte à côte. Il ajoute que pour les « à cotés » il a toujours baisé sous plastique.
Moi je suis content puisqu’il y passe quand même pas mal de temps. Il me garantit qu’il ne me fera pas défaut et que même si cela se renforce entre Anne et lui, il répondra présent pour mes clients.
Je l’assure que c’est un taf à la demande. Il n’a aucune obligation de taffer comme un fou, juste de répondre à ses besoins financiers (qui je le sais comprennent une partie des frais familiaux). Il me dit qu’il veut aussi ne pas avoir à compter quand ils pourront sortir.
Je l’amène au rez-de-chaussée. J’ai eu envie pour lui d’un modèle moins policé et plus brutal que les DS3 que je mets entre les mains de mes jeunes. Il ne comprend pas quand je m’arrête devant un Pick Up Ford Raptor. Quand il saisit, il est tout fou et me saute au cou. Evidement ça dégénère !! Si j’aime bien mes escorts, j’ai une tendresse plus marquée avec ceux que le sort n’a pas aidé.
Il ouvre le plateau et me pousse dessus. Debout il écarte mes jambes et vient me bouffer le paquet (juste couvert d’un short ultra-slim). Ma queue qui avait commencé à se remplir de sang fait un bond et bande carrément. Il pompe mon gland par-dessus le tissu. Rapidement ce dernier est trempé et devient transparent (short blanc). Il tire à la ceinture et je me retrouve direct à poil, mon jock parti avec le short ! Ma bite claque mes abdos. Il me pousse pour que je m’alonge et tire ma queue à la verticale pour l’engloutir. Ses dispositions innées rendent possible la gorge profonde alors qu’il me surplombe seulement. Quand mon gland passe la luette, je me redresse et prends la tête de mon escort dans les bras. Je serre et sens ses dents s’enfoncer dans ma chair. Bonne capacité d’apnée aussi car il ne cherche pas tout de suite à se redresser. Je le laisse quand même respirer. Il me roule une pelle avant de reprendre ma queue en bouche. Je l’attrape sous les bras et le soulève pour qu’il se couche avec moi sur le caoutchouc de la benne.
Je m’alonge sur le dos, il me domine en 69. Ma tête basculée en arrière je me laisse défoncer la gorge. Juste retour des choses alors qu’il me travaille la queue comme le pro qu’il est devenu. Rien à voir avec ses premières pipes à part la profondeur acquise dès ses premiers essais. Mes clients, s’ils apprécient la maladresse des puceaux, ils aiment aussi l’efficacité des pros. Là, il me sort le grand jeu. Agacement du gland à la langue, pompage profond avec déglutition. Mon gland devient hypersensible. Plus d’une fois je le fais cesser en appuyant fortement sur sa tête. Le manque d’oxygène à un effet calmant certain 😉.
Son cockring doré m’envoi des reflets dans les yeux. Bien retenu par la bandaison de son porteur, je ne risque pas de le prendre dans la gueule. Je préfère le mien, plus léger même s’il est complet (anneau fermé) et en ivoire (cadeau de Tic et Tac en 2013).
Mon partenaire est chaud et bien excité. Ses couilles, justes sous mes yeux, gonflent. Les miennes doivent être pareilles !
Je bascule, descends du plateau alors qu’il est resté à 4 pattes. Il attend mon bon vouloir. Je m’approche et plonge la tête entre ses fesses. Sa rosette est superbe. Toujours ronde malgré les passages de bites XXL, bien épilée, elle attire ma langue qui la recouvre de salive. Le gémissement qu’il laisse échapper dit combien il apprécie. Je travaille de la langue et des doigts jusqu’à ce que trois glissent facile. Je saute sur le plateau. Les amortisseurs accusent l’arrivée de 95Kg de muscle. Tilian accroche ses mains à l’arceau et creuse les reins. Il attend. Je m’installe à genoux entre ses jambes, positionne mon gland et pousse. Alors que je croyais entrer comme dans du beurre vu la préparation, il résiste et je m’aperçois que c’est volontaire. Pour preuve, il tourne la tête et me fait un beau sourire !
Moi, on ne me résiste pas 😊. J’attrape ses hanches et les tire vers moi. Associé à un mouvement de bassin en avant, je plante mon partenaire. Plaisir partagé. J’explore sa chaude cavité et il fait en sort de coller ma hampe au plus près. Douce douleur de la peau tirée en arrière. Plaqué sur lui, je temporise mon retrait. Couché sur son dos je lui lèche la nuque et suis content de le voir frissonner. Petite ruade du cul de sa part. Impatience à se faire labourer la rondelle ! On baise comme des bêtes. Une levrette suivie d’une rotation à 180° qui me permet de le baiser tout en lui roulant des pelles. Il combat ma langue dans sa bouche comme pour me prouver qu’il n’est pas un passif docile ! Mais ses pieds qui appuient sur mes reins et s’assurent que je ne cesse de lui labourer la rondelle m’en donne l’assurrance. Plusieurs fois le rideau du portail sur la rue se lève et retombe sur le véhicule d’un de mes escorts ou d’un résident. Je crois bien que deux de mes maris nous ont souhaité de bien nous éclater et que l’un m’a claqué les fesses.
Je le relève et le plie sur le toit de l’habitacle. Coincé contre la vitre, il ne peut se dérober (comme s’il en avait l’envie) à mes assauts. Encore bien 5 minutes à le limer. Sur le point de jouir, je me retire. La sueur coule sur nous.
Il prend la main et c’est mon tour. Il me soulève et me couche dos sur le toit. Mon cul se trouve comme par hasard pile à la bonne hauteur. Pas de préparation il tente la percée ! La sueur + l’excitation lui permette de me pénétrer d’une bonne moitié de ses 18cm. Il sort crache dessus et s’enfonce à nouveau. Là, il la met entière. OK je suis habitué à souvent plus long et plus large (là 4,5 de diamètre) mais il est efficace.
De toutes les façons la prostate n’est pas si profonde que cela !
Mes jambes posent sur ses épaules et il les écarte pour s’écraser sur moi et me remplir l’autre bout par sa belle langue. Après tout ce que l’on a déjà fait, non ne résistons pas longtemps et j’explose entre nos abdos, nous en foutant plein nos mentons. Il ne résiste pas à mes compressions spasmodiques de sa queue et me rempli le cul. Il s’écrase de tout son poids sur moi. Mon sperme colle ! je sens sa queue dégonfler et serre la rondelle pour ne pas tout saloper sa caisse.
Mort de rire comme deux collégiens quand on se fait la réflexion de ne pas avoir été discrets, on fait étape au premier pour une bonne douche et nous changer avant d’arriver au 4ème juste à temps pour l’apéro.
Marc nous demande si nous avions bien baptisé le nouveau véhicule. Même s’il a pris de l’assurance, avec mes maris, Tilian a encore un peu de mal à être total à l’aise. Il rougit et va pour s’excuser. Marc l’attrape par le cou et l’empêche de dire des bêtises en fourrant la langue dans sa bouche. Quand il se décolle, Tilian a un peu de mal à tenir debout. C’est mon Mari !!
PH lui demande si cela lui fait plaisir le 4x4. Les yeux de Tilian brillent, il nous dit se demander comme j’avais pu deviner.
Il se fait gentiment chambrer. Même Jérèm y va. Bien lui en prend, il se fait renvoyer qu’avec son AMG GT R, il était mal placé pour le chauffer.
Je propose une lutte avant le diner entre mes deux jeunes. Nous, les anciens, compterions les points. L’idée est prise au bond par un Tilian que sa semaine à… a privée de sport digne de ce nom et approuvée par mon jeune mari qui, quand je le regarde dans les yeux, à une idée derrière la tête.
Migration du groupe vars le dojo. Il n’est pas si tard qu’il soit vide. Sur le tatami les plus jeunes s’entraient sous les regards de Jona et François. Dans un coin, Guillaume et Paul (son petit copain) s’entrainent avec des couteaux. Bien qu’ils soient d’entrainement et qu’avec ils ne risquent pas de se couper, les chocs entrainent quand même des bleus !
Jona m’explique qu’après l’agression qu’ils ont subie, ils lui avaient fait la demande. Après avoir bien réfléchi avec François et c’est pour cela que ce dernier est présent, il avait accepté d’ajouter cet « accessoire » pour l’entrainement de ceux qui le voulait.
Tilian, prend un des couteaux et je vois avec stupéfaction qu’après avoir pesé son l’équilibre, il le fait tourner dans sa main droite avec une vitesse folle. Quand il le rend à Jona, il fait la remarque que pour un couteau d’entrainement il avait visé juste.
Je n’ai pas le temps d’en parler qu’il se tourne vers Jérèm et lui demande s’il est prêt. J’explique le défi à Jona.
Tous s’arrêtent pour les regarder. Fort de ses nouvelles connaissances, Jérèm se lance. Il prend l’ascendant mais un je ne sais quoi me trouble. Il réussit à placer quelques clés puis, d’un coup, se retrouve sur le cul. Tilian a passé la seconde ! Une fois, deux fois, trois fois il lui fait le coup. Mon Jérèm est tout chafouin !
Moi, je me dis que notre ami Tilian avait encore caché un peu de ses capacités.
Jérèm s’incline pour stopper l’hécatombe. Mais c’est en riant et en faisant promettre de remettre ça à Tilian qu’ils se serrent les mains.
J’attrape ce dernier alors qu’il partait à la douche avec Jérèm. Je l’informe d’un point sur ses capacités après le diner. Il accepte je le lâche.
Diner sympathique et délicieux comme toujours. Les conversations naviguent des nouveautés sur le Covid19, les dernières théories du complot, le programme des jours à venir et de certains qui cachent leurs potentiels.
Je prends 2 cafés et descend au premier avec Tilian.
Assis de chaque coté de mon bureau, je me place en patron et le place en employé.
Il se tortille dan son fauteuil. J’attends.
Tilian : « tu comprends, si je t’avais tout dis la première fois, tu ne m’aurais pas recruté. T’aurais eu peur de faire rentrer zonard dangereux »
Moi : « c’est comme ça que tu me vois ? Sectaire ? Xénophobe ? »
Tilian : « non, bien sûr que non. Pas maintenant. Mais je ne savais pas non plus trop dans quoi je mettais les pieds ».
Moi : « ok, donc juste un manque de confiance compréhensible vu comment nous nous étions rencontrés »
Tilian : « oui c’est ça. Puis après c’était un peu trop tard. Je savais pas comment dire »
Je fais le tour de mon bureau. Il se lève. Je le prends dans mes bras et on se roule un patin. Je lui demande s’il est convaincu maintenant qu’il peut être franc avec moi, avec nous, quelque soit le sujet. Depuis quelques mois qu’il nous côtoie de près, il a dû en entendre pas mal et sait que nous veillons les uns sur les autres.
Il admet qu’il ne s’était pas attendu à ça quand il avait signé avec moi. Il voit comment les mecs s’éclatent et que ce n’est pas des craques. Oui, il a entendu quelques récits sur les « aléas » que certains ont subis. La réponse de mon beau-frère et son copain, sortis plutôt bien. Celle de Guillaume et Paul qui était plus grave. Ça ne l’étonne pas car dans les quartiers, les mecs doivent paraître viril, dominants. Ceux qui ne le sont pas ont du mal à y vivre. Et ça même si certains sont de vrais homos en eux. Pd c’est gentil, ils utilisent plus les vocables de Lope, Tapette, Tarlouze, Tafiole…Donc dès qu’ils voient 2 mecs ensemble ils sont persuadés de pouvoir les larver à peu de risque.
Pour lui et Killian, le fait d’avoir dans sa poche le caïd du quartier et ça uniquement parce que lui s’était formaté pour répondre physiquement, avait protégé leurs fesses.
Donc du coup, pour le couteau ?
« Ok j’ai aussi appris à me servir d’accessoires. Le bâton et tout ce qui peut s’y apparenter et le couteau bien sûr à la main et au lancé, il était le meilleur du coin. Mais aussi de faire avec ce qu’on trouve sous la main : extincteurs, couvercle de poubelle, même une porte bien utilisée sert en défense comme à l’attaque. »
Je lui demande de faire un point avec mes deux pros, Jona et François. Eux verrons s’il est intéressant d’ajouter certaines de ces pratiques à l’entrainement de tous.
Il m’assure qu’il le fera dès le lendemain et qu’il est prêt à aider.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!