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20 Nov.

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HISTOIRE

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Une punition inappropriée

Prologue :

Je scrute le visage harmonieux de ma femme. Il suinte la souffrance, la rage, la colère, la déception. Des émotions qui me résument bien en somme. Je me mets à pleurer. Ca n'a pas l'air de l'attendrir. Elle finit par lâcher un : « Tu me dégoûtes ». Je pleure de plus belle, et finis par geindre un faible : « Je t'aime plus que tout, Bébé ». Là, je sais ce que vous vous dites. C'est quoi cette pleureuse sans couilles. Et pourtant si vous me croisiez dans la rue, je vous assure que ce n'est pas la première impression que je donne. Moi c'est Thomas, 32 ans, 1m85 pour 80 kgs d'un corps bien entretenu, une tchatche du tonnerre et une propension à flirter avec tout ce qui porte jupon. Plutôt beau gosse. J'ai du baiser plus de deux cents meufs dans ma vie. Non, non, je ne me la raconte pas. Mes potes me surnommaient le Tombeur, le Queutard, le Niqueur Fou... Ma spécialité : traiter les femmes de façon un peu « hard ». Ca marche toujours : elles gueulent, elles s'offusquent, et dès que leurs copines ont le dos tourné, elles viennent se faire sauter. C'est ça les nanas, ça joue les Sainte-Nitouche mais ça aime se faire traiter en chienne dès que plus personne ne regarde. Enfin pas toutes les femmes... Il y a 3 ans, quand j'ai croisé le regard de Célia, j'ai su que j'étais dans la merde. Aucune femme n'est plus belle que ma femme : 1m78, 59 kgs, une petite poitrine ronde parfaitement adaptée à mes mains. Un regard de chaton apeuré mêlé à une assurance de lionne. Ses cheveux bouclés, qui sentent tellement bon quand je les renifle, sa peau satinée si douce... Bref vous l'aurez compris je n'ai pas eu la moindre chance. Elle m'a directement calmé, adouci. Pour elle j'ai renoncé à mes trips un peu macho, j'ai ralenti ma libido de façon drastique pour m'adapter à ses besoins fatalement moins élevés. Je crois que je pourrais mourir pour elle. J'ai supporté sa maniaquerie, ses copines complètement connes, ai éloigné mes potes, ai même supporté chaque samedi son connard de frère, un flic raciste et débile profond qui me méprise ouvertement parce que je suis capable d'aligner trois phrases sans inclure un putain et sans faire de faute de conjugaison.

1 | Ca sent le roussi...

Mais le problème des queutards comme moi, c'est qu'à un moment donné, l'instinct du chasseur refait surface. En l'occurrence, c'est même pas moi qui ait commencé, c'est une collègue qui m'a chauffé. Elle se faisait apparemment chier avec son mari et semblait désireuse de s'amuser. Un soir qu'on était resté un peu plus tard pour finir une présentation, elle m'a chauffé un peu trop...Je l'ai déglingué sur la photocopieuse : la Sainte-Trinité Bouche/Chatte/Cul alternée sans répit pendant une bonne demi-heure. Et je l'ai traité de tous les noms.

On a remis ça, plusieurs fois. Je faisais bien attention, elle moins. Son mari a fini par nous griller, et plutôt que de nous interrompre, nous a filmé et a tout envoyé sur les réseaux sociaux afin que toutes ses amies, sa famille, soit bien au courant de qui elle était vraiment. Et une petite copie pour Célia bien sûr.

J'ai cru que je la perdais. Elle est retournée vivre chez ses parents pendant deux mois. J'ai failli devenir fou. Je n'ai pas existé pendant cette période, je ne dormais plus, je ne mangeais plus, je ne profitais même pas de mon célibat pour niquer, pas même une branlette. Bref, j'ai fait une dépression, et puis, et puis...elle m'a pardonné. Et je me suis juré de ne plus jamais déconner.

Jusqu'à la semaine dernière et sa petite connasse de cousine Véra. Une petite merdeuse de 18 ans, vulgasse au possible, habillée comme une semi-pute. Elle est venue avec sa mère et son petit-copain pour le week-end. On habite près de Carcassonne et il y a beaucoup à visiter dans le coin. Dès le début insupportable : avec sa mère, avec nous, avec son copain. Quand Célia et sa mère ont proposé d'aller visiter la ville, elle a évidemment tirer la tronche en disant qu'elle était fatiguée, et qu'elle ne bougeait plus. Le petit Brice a bien proposé de venir mais le regard noir de la petite pute l'a vite refroidi. Finalement j'ai dit que je resterai avec eux.

Ils se sont installés devant la télé pendant que je débarrassais et faisais la vaisselle. La gamine était au-delà de tout, son pauvre copain se faisait systématiquement pourrir et traiter comme une merde. A un moment, elle a commencé de devenir hystérique et à lui dire qu'elle ne savait pas ce qu'elle faisait avec un raté comme lui, qu'il était con, qu'il avait une petite bite...Le tout devant moi, limite en me prenant comme témoin. Le pauvre gars ne savait absolument plus où se mettre.

J'ai craqué, je me suis planté devant le gars et je lui ai dit : « Tu comptes te faire chier dessus encore longtemps par cette pétasse....Sérieux elle est même pas bonne » . Ca l'a fait sourire et elle s'est mise à me beugler dessus. Je suis resté tourné vers le gamin et ai ajouté : Leçon N°1, celui qui a la bite décide, et me retournant vers la connasse qui continuait de brailler, je l'ai chopé à la gorge et levé littéralement du sol. Son visage se mit à rougir instantanément, un gargouillis sortit de sa bouche et je pus lire la surprise et la terreur dans ses yeux.

« Ferme ta gueule petite pute, tu veux de la bite, c'est ça, et bah tu vas en avoir ». Je la repose au sol tout en lui pliant les genoux pour qu'elle retombe directement à bonne hauteur et lui appuie la gueule sur ma bosse. « J'espère que tu suces aussi bien que tu fais chier le monde, tu vas être grandiose ».

Elle proteste faiblement, vraiment une salope, je me décide, sors ma queue et la lui fous en bouche. Il lui en faut pas plus pour s'assagir et commencer à me traire la bite. Plutôt mieux que ce que j'imaginais au passage. La petite chienne n'hésite pas à se tourner vers son mec et continue de me sucer en le regardant bien dans les yeux. Brice est tétanisé, il ne parvient même pas à réagir. Je lui souris et lui dis : « Viens approche toi ». Il hésite, puis avance à petits pas.

Mets ta main dans sa culotte. Il me regarde, puis se baisse et se met à doigter la petite. Alors lui demande-je avec un grand sourire. Elle est trempée. Il ajoute lentement : la pute. Je vois sur son visage la libération de mois de calvaire.

« Je te montre ce qu'on fait aux petits putes qui te disent que t'as une petite bite ». Tout en enfonçant la gueule de la gamine sur ma queue, je lui baisse sa culotte sans ménagement et relève sa jupe. J'indique clairement au garçon le trou du cul de la petite. Il me regarde, sourit vicieusement et sort sa bite, pas si petite d'ailleurs et bien dure, le cochon. Il semble hésiter...me lance un : « Elle veut pas... ». La petite tente de se dégager car elle comprend qu'il se trame quelque chose mais je lui maintiens bien le nez contre mon pubis, qu'elle s'étouffe un peu.

« T'inquiète, elle risque rien, t'as une petite bite je te rappelle. » Il se crispe, j'ai utilisé le bon argument, et il l'encule d'une traite. J'ai prévu le coup et maintiens bien la gueule de Véra sur ma queue. Elle hurle, enfin elle essaie. « Ta gueule, la pute, alors il a une petite bite ton mec ? » et je lui libère la gueule. Elle prend quelques secondes pour tousser et respirer, choses d'autant plus difficiles que le gamin s'est mis à la cartonner à toute vitesse.

Arrête, arrête minaude-t-elle en pleurnichant. Il décule, enfonce direct sa queue dans la chatte de la gamine. « Alors qu'est-ce-qu'on dit, salope » hurle-t-il. Elle commence à gémir, on voit tout de suite qu'elle simule mais au moins l'ordre des choses est revenu. « Oh oui, baise-moi », feule-t-elle en me regardant avec un air vicelard, histoire de me faire comprendre qu'elle aurait préféré une autre queue. Vraiment une petite chienne...

Je tape sur l'épaule de Brice et lui dis « Je te laisse la finir » et me retire dans ma chambre.

Ils sont partis le lendemain et la gamine semblait assagie. Sur le moment, je n'ai même pas vraiment eu l'impression de tromper Célia. Après tout, je n'avais pas joui. J'avais juste permis à un gamin un peu faible de reprendre le contrôle sur sa petite vicelarde de copine. Célia ne l'a pas entendu de cette oreille.

Deux jours plus tard, Brice a largué la petite pute, qui est allée pleurer dans les bras de sa maman, et lui a tout raconté. Célia a été la suivante au courant.

Voilà pourquoi je chiale comme une gonzesse devant ma meuf, parce que je crois que cette fois, il n'y aura pas de pardon...

2 |Retrouvailles inabouties...

Ca fait maintenant une semaine que Célia est partie. Comme la dernière fois, je ne dors plus, je ne mange plus, je ne vis plus. Mes collègues commencent à se poser des questions. Mon boss m'a même suggéré de prendre quelques jours. Il m'a en tous les cas libéré le vendredi à midi en me disant d'aller me reposer.

Je suis rentré pour trouver un message sur le répondeur du fixe. Célia m'annonce qu'elle passera chercher des affaires à 16h, qu'elle espère que je ne serai pas là et que quand j'aurais le message, elle aura pu récupérer ses affaires sans voir ma gueule. Je recommence à pleurer en entendant sa voix, mais au moins je réalise que je vais la voir.

A 16h pile, j'entends la clé tourner dans la serrure. Je me suis planqué dans la salle de bains. Je l'entends bouger un peu. Quand je suis sûr qu'elle est dans la chambre, sans possibilité de fuite, je m'avance.

Elle est là, tellement belle, devant un carton où elle a ramassé des affaires, et en même temps ses traits sont tirés, sa bouche triste. Elle me voit et je vois le dégoût dans ses yeux. Je me mets à pleurer et me jette à ses genoux en l'agrippant et en la suppliant de me pardonner. Elle reste raide, sans répondre, me regarde m'humilier.

Elle finit par lâcher : « Comment tu fais pour te regarder dans la glace ? »

Je hoquète, puis lui dis : Tu sais pas comment elle le traitait, je l'ai pas fait pour le sexe, j'ai même pas joui...ce n'est pas ce qu'elle t'a raconté.

Elle me coupe : C'est exactement ce qu'elle m'a raconté. Et tu crois que parce que tu n'as pas joui ça change quelque chose. Elle s'arrête : Tu te rends compte de ta vision de la femme ...tu te rends... »

Je n'ai jamais pensé ça de toi, bébé, toi tu es...

Mais ça change rien. Je sais bien que tu m'aimes, c'est ce qui me fait le plus mal. Et je t'aime sale con. Mais tu as un gros problème avec les femmes. Soit tu les vénères, comme moi ou ta mère, soit tu les traites comme des putes. Si on a une fille, j'espère qu'elle sera du bon côté...

Mais comment tu peux penser....

Elle me coupe : et tu crois que te faire sucer la bite, même si tu ne jouis pas, ça me fait plaisir ?

Mais ce n'est....

Qu'est-ce-que tu dirais si tu me voyais me faire bouffer la chatte par un de tes potes ? T'inquiète chéri, je compte pas jouir...

Je la regarde, je ne peux répondre. Si je voyais cette scène je mourrais...

Mais elle reprend « D'ailleurs c'est ça qu'on va faire, tiens. Tu veux qu'on reste ensemble, et bien tu vas me regarder me faire sauter par un autre mec.

Je me mets à pleurer.

Tu vas regarder ses mains caresser mes seins, me voir lui prodiguer des caresses. Tu vas voir mon visage quand il me baisera. Ouais, c'est ça qu'on va faire, un mec avec une très grosse bite, c'est le genre de détail qu'un gros macho comme toi appréciera.

Je continue de pleurer. La vulgarité lui va mal. Je lâche un : Je veux pas....

Elle me regarde, elle aussi pleure. Tu as le choix, soit je te quitte et cette scène arrivera tôt ou tard, soit tu acceptes.

Mais pourquoi continue-je de geindre.

Pourquoi ? Parce que je veux qu'à chaque fois que tu regardes une autre fille avec tes pensées de pervers, tu te rappelles la scène que tu verras.

Je continue de pleurer...Je peux pas...

Elle ramasse son carton et repart. Je ne bouge pas et continue de pleurer. Alors qu'elle est arrivée à la porte, elle annonce : Je t'enverrai un SMS avec la date et l'heure. Si tu n'es pas là, je considérerai que c'est fini. Puis part en refermant la porte tout doucement.

Je reste là, hagard et je ne peux m'empêcher de répéter inlassablement dans ma tête : Pourquoi elle l'a pas claquée... ? Pourquoi elle l'a pas claquée... ? Pourquoi elle l'a pas claquée... ?

3 | Je m'en sors toujours...

Je regarde ma montre pour la centième fois : 16h03, encore un peu moins de deux heures.

Je m'observe dans la glace. J'ai pas bonne mine, mais pour la première fois depuis quinze jours, j'ai l'air vaguement reposé. J'ai écrasé cette nuit. En fait prendre ma décision m'a apaisé.

Après notre « affrontement » je me suis calmé. Je connais Célia, elle a dit ça sous le coup de la colère, elle veut me faire souffrir et c'est bien normal. Il faut que je courbe l'échine et la laisse écouler sa rage. Ca m'a un peu reboosté. Enfin ça c'était jusqu'au mardi soir, quand j'ai reçu un SMS de sa part avec juste écrit : Vendredi 18 h – Hôtel B..... - Chambre 69.

Chambre 69, elle l'a fait exprès non ? S'en sont suivis deux jours de pure fureur. Ok je l'aime mais quelle salope, non mais se faire sauter par un mec, et devant moi en plus. C'est dégueulasse. Personne ne mérite ça. Je l'ai détesté. Putain j'ai souhaité qu'elle s'éclate bien, cette conne, mais sans moi. Moi vendredi je serai en train de niquer de la chienne, grosse pute. Elle est pas née celle qui me traitera comme une merde.

C'est hier soir que tout a rebasculé. Alors que la date approchait je me suis demandé à quoi ressemblait la vie sans Célia...Plein de bonnes salopes...Mais pas de Célia....A nouveau mes potes...Mais pas de Célia...Moins de dépenses...Mais pas de Célia...

Et puis j'ai répondu à ma question : Qui mérite ça ? Bah moi, le salaud qui n'ai pas hésité à sauter une collègue pendant que ma femme me préparait amoureusement un bon petit repas, parce que je serais fatigué quand je rentrerais après tant de boulot. Ou à se faire sucer par une gamine de 18 ans en la violant à moitié...Moi le gros salaud qui mérite de voir ce qu'elle a fatalement dû imaginer mille fois en pleurant quand je me suis comporté comme un porc.

Ca m'a apaisé. Je vais récupérer ma femme. Ca sera une douleur horrible, mais ça va nous rendre plus forts. Elle a raison, après ça plus jamais je ne la tromperai...Et enfin j'ai dormi.

17h48. J'ai quitté le boulot il y a 25 min et suis déjà devant le hall de l'Hôtel. Finalement je me dis que je ne peux pas. Ca ne résoudra rien, je fais demi-tour et tombe sur...Célia. On se regarde.

Elle me demande : « Tu t'en vas ? ». Le ton n'est pas chaleureux, mais je reconnais cette petite étincelle dans ses yeux qui crie : « je suis heureuse de te voir » . Je lui souris en retour et lui réponds : « Plus maintenant... » Elle me sourit, putain ce qu'elle est belle, me prend par la main et m'emmène jusqu'à l'ascenseur en ajoutant : c'est au troisième.

Je suis étonné de son assurance. Contrairement à moi, Célia n'est pas portée sur le sexe, et je l'ai accepté. Oh pas qu'on s'ennuie quand on est tous les deux, c'est même une osmose que je n'ai connu qu'avec elle, mais en revanche, c'est quand elle en a envie, et elle préfère le classicisme dans le sexe, pas d'ustensiles, de jeux de rôles, de trips un peu coquins...Non, nous on fait juste l'amour désespérément, en se fondant l'un dans l'autre, et c'est à chaque fois merveilleux, sublime, inégalé.

Je me demande comment cette femme compte s'y prendre pour faire l'amour avec un homme alors qu'elle n'a connu que moi. Et en plus devant moi...Qui a t-elle-pu choisir pour cela ?

Alors qu'on arrive au troisième elle me sourit et à ce moment précis je comprends : Il n'y a personne là-haut, le simple fait que j'ai accepté est la réponse qu'elle souhaitait. Je jubile intérieurement.

On s'arrête devant la 69, toujours main dans la main, on se sourie. Elle pousse la porte et entre en premier dans le petit couloir qui mène à la chambre. Je l'entends dire : « C'est nous » et mon cœur se serre atrocement : mon dieu, il y a vraiment quelqu'un. Je rentre en baissant la tête, je ne peux pas regarder. Je ne vois que de grosses chaussures noires, mi-sportives, mi-protectrices, en tous les cas d'homme. Puis une vois familière me dire : bah alors on dit pas bonjour Tom ?

Je lève le visage en ressentant un dégoût profond, pour tomber sur une vraie gueule de con. Des cheveux bruns mal peignés, un visage viril et assez dur, quoique objectivement beau mais gâté par une barbe de 3 jours mal entretenue, des yeux noirs perçants qui respirent la méchanceté et la bêtise, et une bouche incongrue, pulpeuse, presque féminine, et toujours prompte à s'ouvrir pour raconter de la merde. Le tout en tenue de flic : le sergent Antoine G...., le frère de Célia.

Il me regarde d'un air mauvais pendant que Célia continue de sourire.

J'ouvre la bouche pour parler, mais dans un premier temps elle se contente de respirer, et c'est déjà beaucoup, des milliers d'images dégueulasses se multipliant dans ma tête.

« Apparemment pas... » relance-t-il...avec un air de profond triomphe dans le ton.

Célia commence à ouvrir la bouche mais la mienne retrouve son intention initiale juste avant. Mais t'es complètement malade, mais t'es folle à lier...Elle me regarde avec un air perdu tandis que le beauf commence à serrer les poings au cas où ma colère me pousserait trop loin.

Putain mais t'as pété un câble, mais c'est immonde, putain je vais pas te regarder baiser avec ton frère, mais....

J'entends alors un immense éclat de rire venu du côté du sergent, totalement incontrôlable. Mon regard retourne sur Célia qui elle me fixe comme si elle contemplait un monstre.

Mais t'es un malade Tom, tu crois vraiment que vais baiser avec mon frère ? Mais t'es encore plus immonde que je le pensais, faut te faire soigner et elle enchaîne en me frappant le torse, sans grande intention de nuire. Je reste con....mais...

C'est Antoine qui la récupère, encore hilare, et l'éloigne de moi. Ca va on se calme...je crois qu'il y a eu un petit malentendu, en même temps sans explication... Célia se sépare de son frère. Non mais ça va pas, t'aurais jamais pensé ça, toi. Toujours rieur, son frère lui répond : bah de la façon dont tu lui a amené les choses...

« Vous êtes tous des porcs, vous les mecs », râle-t-elle en se rajustant. Mais elle se met à sourire. Au final, l'intervention de ce con a plutôt apaisé les choses.

J'achève l'opération rabibochage par un : « Je suis désolé, je suis tendu, j'ai de la merde dans la tête...le tout avec un petit minois qui apitoierait n'importe qui. Ca marche parfaitement. « Excuse-moi, c'est moi qui suis tendue, et j'aurais du te dire qu'Antoine était dans la pièce », concède-telle.

C'est bon c'est cool Bébé dis-je en lui prenant la main. Elle me sourit et ne la retire pas. On s'avance vers un triomphe total, et le tout devant gros con qui doit être dégoûté.

Du coup je comprends pas trop ce qui se passe, Bébé ? Lui dis-je de mon ton le plus doucereux.

Elle se ressaisit. Je veux te pardonner, Tom, vraiment. J'entends Antoine maugréer un : Hélas !

Mais je suis désolée, là j'ai besoin que tu payes...Je sais que ça fait de moi un monstre, mais je veux te voir souffrir.

Je feins de choisir mes mots : Je sais Bébé, je le mérite, tout en passant mon bras autour de sa taille. Elle ne se dégage pas. C'est qui le meilleur. Sauf que je suis pas comme toi, continue-t-elle, moi je peux pas coucher comme ça, avec quelqu'un, sans avoir une connexion particulière, je sais pas comment vous faites, moi je peux pas. Je la sers un peu plus en lâchant un simple « Bébé » admiratif. Surtout ne pas sourire, ne pas montrer ma jubilation intérieure. Personne ne te demande de faire ça, Bébé.

"Je sais" et elle se met à pleurer dans mes bras. Mayday, mayday, retour à la base, succès sur toute la ligne, les enfants. Puis elle ajoute dans ses larmes : c'est pour ça que c'est toi qui va le faire.

4 | ...Ou pas !!!

Pardon, quoi ?

Elle s'éloigne de mes bras, renifle un peu et répète « C'est toi qui va le faire ».

Je regarde vers Antoine dont le visage est devenu étonnamment impassible. Bébé, je comprends pas trop là. C'est quoi l'intérêt. Je veux dire : tu veux que je te trompe devant toi ?

Elle ricane nerveusement : en quelque sorte.

Je pige soudainement, c'est un piège. J'enchaîne : mais Bébé j'en ai aucune envie, c'est toi que je veux, jamais plus je toucherai une autre fille, même si tu menaces de me quitter, je veux plus être en contact avec une autre peau que la tienne, plus respirer une autre odeur que la tienne, nos âmes sont liées Bébé, c'est plus fort que nous. Le tout dit d'une voix mi-rauque, mi-chevrotante, on frise l'Actor's Studio.

Elle me regarde, puis me sourit. Tom, ce n'est pas avec une fille que tu vas coucher, mais avec un mec...

Je la regarde. Tu veux dire que tu veux qu'on te baise à deux, ou qu'avec un mec on baise une autre fille...hasarde je avec une voix de moins en moins convaincue, tandis que le véritable ordre des mots refuse de s'assembler dans mon cerveau.

Tom, tu as très bien compris. Il n'y a pas de filles, juste un mec et toi.

J'enchaîne par un de plus en plus pathétique et de moins en moins Actor's Studio...Tu veux que je couche avec un mec ?

Elle rit doucement, mais son regard a pris une dureté méchante : Non pas du tout. Mes lèvres se relèvent d'espoir. Tu ne vas pas coucher avec un mec, Thomas, un mec va te baiser. Comme certains hommes baisent certaines femmes. Elle ajoute : je suis bête, tout simplement comme tu as baisé cette pauvre fille au travail, sans respect, sans volonté de faire plaisir, juste pour assouvir tes pathétiques désirs de puissance avec ta queue. Et comme tu as collé ta bite dans la bouche d'une gamine de 18 ans en l'appelant petite pute. Et bien c'est cela que tu vas vivre mon chéri, je veux que tu saches ce que ça fait de se sentir un objet, enfin même pas parce qu'un objet on ne l'insulte pas, on ne lui crache pas dessus. Non en fait même un animal on ne le traite pas comme cela. Je veux....elle cherche ses mots...que tu me comprennes...

« Je ne ferai jamais ça ». C'est sorti naturellement. A dire vrai presque de façon autoritaire. Elle me regarde, presque triste : « Je te comprends " puis se dirige vers la porte. Je la rattrape, alors que la colère s'empare de moi. : Non mais t'es pas sérieuse là ?

Elle reprend du poil de la bête : Tout à fait sérieuse.

« Ca t'exciterait de me voir me faire traiter comme une pute, c'est ça ?»

Elle me regarde exaspérée : « tu ne comprends définitivement rien, non ça ne m'exciterait pas. Ce genre de choses ne m'excitent pas, c'est ça que ton cerveau de pervers n'assimile pas. « Ca ne m'excite pas du tout ça...moi » , répète-t-elle, perdue. « Mais tu vas le faire...Parce que je veux être sûr que tu m'aimes suffisamment pour comprendre que ça va te faire du bien, de voir la façon dont tu traites les femmes ».

Je la regarde. La rage est en moi et va me sortir de là. « Ok je vois pas en quoi me prendre une bite dans le cul aide en quoi que ce soit, mais je vais le faire, pour te montrer ce que tu représentes pour moi ». Je me tourne vers Antoine, grand seigneur, « c'est quoi le plan, un de tes connards de potes doit se ramener, c'est ça », je me tourne nerveusement vers Célia. « Tu veux que je le suce bien, Bébé, c'est ça, va falloir que je fasse ma salope ? Faut que j'avale bien sûr ? Je peux le faire t'inquiète, il est où ?

Célia s'est remise à pleurer, elle marmonne : « tu gâches tout ».

J'explose : « Ah pardon, c'est moi qui gâche tout !!!! Pourtant c'est bien ce que tu veux que je fasse, non. Une bite dans la bouche, puis dans le cul. Tu sais quoi, t'aurais du en prendre deux, quitte à être une bonne salope, autant aller jusqu'au bout. Hey, toute une équipe de rugby même, un bon gros gang-bang en mode bukkake, c'est ça que tu veux ?

Elle continue de pleurnicher : « je sais même pas de quoi tu parles...arrête.... »

« Alors il est où mon chéri ? » Je hurle littéralement. Je feins de chercher dans le placard en appelant : « Ouh ouh, Chéri, t'es où, viens que je te suce la queue ??? Alors il est où? » dis-je en me retournant vers Célia.

Une voix grave me répond : « Regarde par ici ». Je me tourne vers Antoine qui vient de parler.

Puis à nouveau vers Célia. Putain, je lis dans son regard que c'est pas une énième connerie. Je suis à deux doigts de lui coller mon poing dans la gueule, oui oui à elle (enfin à lui aussi) , mais je me dis que j'ai une dernière chance. Je me précipite donc vers lui. Il a clairement un mouvement de recul. Je m'installe devant lui, puis me mets à genoux en commençant de tenter d'ouvrir sa braguette.

« C'est ton frère que tu veux que je suce, et bah allons-y, et c'est moi le pervers ! » J'entends Célia sangloter derrière moi. Putain faut qu'elle se dépêche car le frangin, une fois la surprise passée, est en train de se laisser faire. Heureusement que c'est un jean à boutons, je peux feindre de galérer un peu. J'en rajoute une couche : « J'ai toujours su que c'était tous des gros PD chez les flics ».

Il se tend mais enfin j'entends Célia dire : Arrête !!!

Elle est en larmes. « Je veux pas voir ça, arrête ». Je me relève et la prends dans mes bras. Elle se laisse aller. « Bébé, Bébé, calme toi c'est fini », dis-je en lui tapotant doucement la tête.

Elle me repousse violemment. « Mais tu me prends pour une conne !!! Tu crois que tu peux me manipuler comme tu veux hein, Thomas D. ? T'adores ça manipuler les autres, hein ? ». Je tente un « Bébé... » qui passe mal.

« Et arrête avec tes Bébé, Bébé. Tu te la pètes genre j'ai pas peur, mais je te connais Thomas D...

Devant une bite, tu chouinerais comme une fillette, et avec une dans le cul, j'en parle même pas. T'as raison, j'aurais dû demander à deux mecs, ça t'aurait bien calmé. Mais c'est moi et pas toi. Je suis pas une grosse salope comme t'aime.

Je lui réponds un ferme : Je n'aime que toi !

Elle l'ignore et se tourne vers son frère. « Toinou, je peux pas, je suis désolée. Je sais que je te demande beaucoup, mais je vous attends en bas ». Elle se tourne vers moi, puis à nouveau vers lui.

Elle prononce alors les mots tout doucement : « Je veux qu'au moins il te suce. Je veux que tu le regardes alors qu'il a ta bite dans sa bouche. Et n'hésite pas à lui dire ce que tu penses de lui, de son comportement. Je te demande pas de jouir, mais... »

Il ricane : « Y a peu de chances, soeurette, les mecs c'est pas du tout mon trip ». « Mais pour toi, il se tourne vers moi et me parle directement en disant cela, je vais faire une petite exception, juste pour le kif, rien de sexuel, juste une pure humiliation de l'un des plus gros connards de la terre. Ma bite dans ta bouche. Pour une fois que tu fermeras ta grande gueule ».

Nos regards se croisent. De la haine pure de chaque côté.

Célia me prend le menton et me regarde dans les yeux. « Tu as mérité d'être puni. Je t'aime et si tu m'aimes tu me comprendras ». Et elle sort de la chambre. Je tourne le regard vers le frangin.

Un regard très inamical. Mon sourire néanmoins reprend le dessus. Je peux encore m'en sortir, car une chose est sûre, « Toinou » est vraiment hétéro.

5| Merde, à ça près !!!

« Alors on fait moins son malin, petite merde...l » lâche-t-il du ton le plus méprisant dont ce bouffon est capable. La partie va être serrée mais je devrais m'en sortir face à un tel imbécile.

Je ne dis rien. « Thomas D. qui ferme sa gueule, pour une fois que t'as pas un avis de gros con de bobo de merde ».

Je ricane : Je bouffe de la viande, j'ai pas voté depuis 10 ans, et ma seule activité culturelle est le football devant une bonne binouse le week-end. Je suis pas bobo, c'est juste que t'es pas habitué à connaître quelqu'un qui peut s'exprimer sans que le résultat final ne s'apparente à un pet ou un rôt. Avec les singes que tu côtoies en même temps...

Il encaisse avec le sourire. Ca c'était juste pour lui montrer que la pleureuse était partie en même temps que Célia avait quitté cette pièce.

« Tu vas moins rire quand t'auras ma bite dans la bouche », crache-t-il.

J'acquiesce : Ca c'est sûr. Alors ça y est, tu te décides enfin (début de la riposte, admirez-moi ça). Tu fais ton coming-out. J'étais sûr que t'aimais la bite. Ta femme est bien trop mignonne pour un connard comme toi. Je me la sauterai bien au passage. Il serre les dents mais me laisse clairement finir ma tirade. Et ton môme, tu sais qu'il est mignon ton môme. Je suis sûr que t'es pas le père, il a l'air intelligent.

Il continue de se taire.

« Bah, viens P.D, je vais te sucer la bite ».

Je suis pas P.D, c'est juste pour te punir. De toute façon tu crois que tu peux me faire bander. T'es dégueu, t'as des poils, je suis sûr que tu pues. Mais tu vas te prendre ma queue dans la bouche juste pour t'apprendre la politesse assène-t-il.

Je l'ai. J'enchaîne : c'est bien ce que je dis, t'es un gros P.D.

Il m'arrête. Tu me prends pour un con, c'est ça. Je le connais ton argument, je me le répète depuis trois jours que Célia m'a demandé ce...il hésite sur le mot...service. Tu crois que je vois pas que tu dis ça pour éviter ta punition ? Et tu veux que je lui mente ?

Je l'ai (bis). Ecoute mec, je te mens pas une seule seconde. Il pouffe. Ce que je fais, je le fais pour éviter d'avoir une bite dans la bouche, très clairement. En même temps, si tu l'es comme tu le dis, c'est plutôt normal pour un hétéro. Mais quelle que soit la raison pour laquelle tu veux me mettre ta bite dans la bouche, ça reste toujours une bite dans une bouche, c'est un acte de P.D. Pour me punir, tu dois agir comme un P.D.

Il tente un : « si ce n'est pas pour prendre du plaisir ce n'est pas sexuel » qu'il a dû se répéter comme un mantra depuis trois jours.

Je l'ai (ter) : Ok Antoine. Donc tu me dis que si je mets ma bite dans la bouche de ton fils mais que je bande pas, tout va bien c'est ça.

Il grince des dents. Mais il a deux ans....gémit-il.

Je m'approche de lui et me mets à genoux. Ok laisse tomber qu'on en finisse (l'estocade finale).

Il me repousse. Et je dis quoi à Célia, je veux pas lui mentir.

Donc on a pas le choix dis-je en me rapprochant.

Attends, faudrait trouver un autre moyen de te punir, un équivalent.

GAGNE !!! C'est qui le génie !!!

Qu'est-ce-que tu proposes ?

Euh je sais pas trop....

T'inquiète, moi je sais, me dis-je dans ma tête.

Ecoute, j'ai vu un numéro pour les mecs comme moi, les mecs qu'ont du mal à gérer le sexe...tu vois. Je pourrais m'y inscrire afin de discuter avec des gens qui s'en sortent. Et puis on pourrait aller voir un psy, enfin surtout moi, tu vois. Et puis je pourrais faire du bénévolat pour une association de femmes battues, afin que je me rende compte que mes pensées sont loin d'être des fantasmes anodins, mais sont aussi une réalité terrible, effroyable, quotidienne.

Je savais que je l'aurais avec l'association de femmes battues, les flics ça aime ce genre de conneries qui les soulage un peu de la misère qu'ils ont à gérer quotidiennement.

Ouais, ça pourrait le faire.

Tu vois, je veux vraiment m'améliorer en tant que personne. Et puis j'aime ta sœur plus que tout, ça tu peux me croire.

Il a cédé. Ouais je sais, t'as une drôle de façon de le lui montrer, mais ça se voit que tu l'aimes. La preuve mec, t'étais prêt à sucer une bite...Il rigole connement. Très connement

J'y étais. J'avais tout fait. J'avais gagné à moindre mal. Mais j'ai une grande gueule. Et son rire m'a salement énervé.

Aucune chance, je rétorque sèchement.

Il continue de rigoler. Pourtant c'est ce que t'allais faire, mon gros...Le ton devient plus menaçant.

Je savais depuis le début que ça n'arriverait pas...

Il arrête de rire, on se toise, il lâche un : tu penses que j'ai pas les couilles, c'est ça... ?

Je ricane à mon tour. Non c'est pas ça du tout. Je laisse un petit blanc avant d'ajouter : C'est juste que Célia m'avait dit qu'elle cherchait un mec avec une très grosse queue, pour m'humilier. Je souris, le regarde et distille un : ça pouvait pas être toi.

Puéril je sais. Un vrai gamin. Nul, bouh, pas bien, mais on est Actor's Studio jusqu'au bout ou on l'est pas, merde. Il m'a littéralement sauté dessus en rugissant. Je jure que je n'avais pas l'intention de le frapper. Mais en me reculant brutalement, j'ai glissé sur le tapis. Du coup, au lieu que ça soit son poing qui finisse dans ma gueule, c'est mon pied qui a fini dans la sienne, dans un choc sourd et impressionnant.

Je me suis immédiatement redressé, enfin à quatre pattes c'était déjà pas mal. Il était allongé, sonné, à se tenir sa mâchoire endolorie. Puis il s'est lentement relevé pendant que je faisais de même. Comme deux fauves qui se préparent à la lutte.

Putain Antoine, je te jure que je voulais pas te frapper. Lui dis-je en prenant l'air le plus désolé possible. T'as vu j'ai glissé et...

Il me regarde. Ses yeux sont rouge de rage, sa mâchoire blessée tremblote nerveusement. On dirait un taureau qui s'apprête à embrocher un torero.

Mayday, mayday, il faut prévoir une évacuation, ça va très mal finir.

Il avise le sol afin de s'assurer qu'aucun autre tapis ne va venir le stopper, et se rue sur moi en sifflant : Je vais te défoncer connard !!!

6 | Puni....

Je suis pas une fillette, mais bon j'ai jamais fait de sports de combat, et à part quelques bastons au collège, ne me suis jamais vraiment battu. Lui c'est un flic de 30 ans, pleinement entraîné, et clairement plus lourd que moi. J'ai réussi à esquiver deux coups avant que son poing ne finisse par atteindre mon bide. Une bonne grosse douleur aussitôt suivie d'une autre plus brève causée par son pied qui me fauche et me fait chuter.

Je n'ai pas le temps de me redresser qu'il me chevauche. Je tente de résister mais ses deux jambes parviennent à ceinturer les miennes, tandis que ses deux mains me saisissent aux poignets. La position en d'autres circonstances porterait à confusion ne puis-je m'empêcher de penser. Mais sa main dans ma gueule me ramène à la situation. Il m'a giflé très rapidement avant de se saisir à nouveau de mon poignet. Il tente le même coup de l'autre côté mais cette fois dès que sa main me lâche je lui assène un coup de poing sur les côtes. Dans cette position je ne parviens pas à mettre beaucoup de force mais au moins ça a dévié sa main de ma gueule. Il arrive cependant à me ressaisir aux poignets mais ne tente plus rien. Je décide de mettre toute ma force pour me dégager. Jambes, bassins, bras...Je le repousse, il résiste, le tout dure au-moins une bonne minute et croyez-moi c'est long une minute dans ces conditions. Le silence n'est troublé que par nos grognements.

Je renonce finalement, il est plus fort. Il sent que j'abandonne et souris.

Alors connard, on fait pas le poids.

Je lui rétorque : et maintenant tu vas faire quoi, abruti. Tu comptes resté allongé sur moi pendant longtemps. Ca te fait kiffer de te frotter à moi, gros phoque.

Il apprécie pas. Putain je vais te défoncer....

Ca tu l'as déjà dit, change de disque...

Il me regarde. Je vois bien qu'il cherche une solution. Je remets un peu de pression sur son emprise pour accélérer le processus. Il tente à nouveau de me frapper mais cette fois lâche mes jambes pour gagner en force. J'en profite pour m'échapper sur le côté en poussant fortement sur mes jambes.

Je me redresse et me rue vers la porte. Presque, mais il me rattrape avant que je n'ai pu l'ouvrir et m'envoie un nouveau coup dans le dos. Je crie en tombant. Il est à nouveau près de moi et me balance quelques coups de pieds. Je me protège la tête de mes bras et me roule en boule pour cacher les autres parties sensibles.

Il s'arrête en haletant. Je te déteste, sale merde, j'ai envie de te tuer, crache-t-il

T'as pas les couilles.

Il me retombe dessus, et après une nouvelle minute de lutte, on se retrouve dans la même position de rodéo qu'auparavant.

On continue à se regarder haineusement sans rien dire. Il finit par lâcher un : t'en vaux même pas la peine.

Je ne bronche pas, il est temps que la partie se termine.

Tout en maintenant mes mains, il commence à reculer le bassin afin de se relever. Il butte néanmoins sur quelque chose et s'immobilise. Son cul se repose sur mon bassin et il le relève immédiatement comme s'il avait reçu une décharge électrique.

Son regard a changé. Incompréhension, dégoût et une petite pointe de vice s'y promènent.

Putain mais j'hallucine, tu bandes. Mais t'es un putain de pervers, mec. Il rigole. Et c'est moi le P.D.

Moi j'en suis à réaliser qu'effectivement je bande. Depuis quand...pourquoi...Difficile de répondre à cette question. Mais clairement je bande.

Il continue : putain quand je vais dire cela à Célia...

Je tente de me dégager mais il me maintient bien. Non, non tu bouges pas sale pervers.

Putain tu bandes, mec ! Je crois qu'on vient de trouver ton problème, mec. En fait tu traites les femmes comme tu voudrais qu'on te traite.

Je suis un peu perdu dans ma tête mais il va trop loin. Je pousse à nouveau et cette fois je le déséquilibre. J'accompagne le tout pour à mon tour m'installer sur lui mais il est trop rapide et parvient à se mettre sur le côté. La lutte reprend, sans coups réels, juste celui qui parviendra à immobiliser l'autre. Après une nouvelle minute interminable pour mes muscles il parvient à nouveau à m'immobiliser, mais cette fois je finis sur le ventre avec lui littéralement couché sur moi.

Encore perdu...lance-t-il en grognant.

Il me maintient fermement. Ses deux jambes se sont à nouveau enroulé autour des miennes. Son bassin appuie sur mes fesses m'empêchant toute tentative de redressement et ses deux bras maintiennent les miens. Une odeur de sueur accompagne notre lutte. Moi, tout ce que je sens, c'est cette barre bien dure qui appuie sur mes fesses...

Je me tors le cou pour le dévisager et parviens à ricaner : et qu'est-ce qu'elle dira qu'en elle saura que toi aussi tu bandes ?

Il s'apprête à me répondre quand son sourire se fige. Pas plus que moi, il n'avait dû réaliser que son corps avait mal interprété les frottements des dernières minutes.

Putain c'est quoi ce délire !!! lâche-t-il.

J'en profite, je le déséquilibre et parvient à me mettre sur lui. Il se défend, mais mollement. Son regard traduit sa grande honte et sa stupéfaction totale.

Alors Sergent, on aime frotter sa petite bite contre des garçons.... ???

Sale con, il repart de plus belle. Je tente de lui échapper en glissant par le bas mais il m'accroche le cou avec ses deux jambes. La scène devient encore plus surréaliste, ses deux jambes me collant littéralement la nuque contre sa bosse toujours aussi dure. Je tente de me retourner mais fatalement seul mon cou parvient à glisser, si bien que je suis rapidement en contact avec son paquet, mais de face cette fois.

Je mordille un peu le fut (c'est de la tenue de policier, c'est solide) en disant : Et bah on dirait que tu vas arriver à tes fins...P.D.

Il hurle : Je suis pas P.D !!! Et me libère. On se redresse tous les deux en continuant d'épier les mouvements de l'autre. De petits coups résonnent alors à la porte. Et la voix de Célia demande : Les garçons, tout va bien...Je peux rentrer ?

On se regarde. Nos deux pantalons indiquent très clairement que tout n'est pas réglé. J'entends soudain Antoine gueuler : On n'a pas fini.

Silence de l'autre côté de la porte. Puis une voix hésitante finit par demander : Thomas, ça va ?

Je regarde dans les yeux Antoine et lance. Tout va bien, Bébé, Antoine n'est pas très clair dans ses explications mais je suis sûr qu'il va progresser. Il me sourit méchamment.

Nouveau silence. O.k, bon bah je vous attends au bar, et pas de bêtises hein.

Antoine répond assez sèchement : C'est ça attend nous au bar.

On entend ensuite les pas s'éloigner.

Antoine finit par lâcher : Voyons si je progresse...tout en s'avançant vers moi.

7 | Ou pas...

On tourne l'un autour de l'autre, attentifs au moindre mouvement qui pourrait trahir une ruée.

tu veux encore m'en mettre une, ou tu veux que me m'occupe de ta petite bite, connard de flic ???

Il rigole : fantasme pas, gros pervers, je veux effectivement encore une fois t'en mettre une...ou deux sourit-il.

Ouais mais tu fatigues, mon gros....

Moins que toi....

On continue de tourner mais j'en ai marre et je porte le premier assaut. Mais il a raison, je suis mort.

Il me contre facilement et me fait tomber sur le lit avant de se coucher sur moi.

Je parviens à haleter un : tu préfères qu'on soit dans le lit, c'est ça, cochon.

Il gueule un : Ta gueule tonitruant.

J'essaie à nouveau de glisser par le bas, avec à peu près les mêmes résultats, ses jambes maintenant ma tête au niveau du pubis. Mais cette fois c'est voulu. Je plonge direct ma bouche sur la bosse qui commençait à perdre de sa gloire et frotte vigoureusement mes lèvres au niveau de la hampe. Il redevient dur dans la seconde : putain mais tu fais quoi ?, arrête.

Il dessert ses jambes, j'en profite pour me redresser un peu, puis le pousse par les fesses. Il passe la tête la première hors du lit mais je contrôle sa chute en m'agrippant à son bassin. J'entends tout de même le poc bien lourd de sa tête heurtant le sol, et le ouille qui l'accompagne. Il règne une odeur de fauves dans toute la pièce.

Antoine à maintenant la nuque sur le sol. Son torse et son bassin sont quasiment à la verticale, son torse le long du lit et son bassin encore dessus. Je le maintiens de mes bras, ma tête se retrouvant entre ses cuisses.

Il hoquète : arrête, arrête.

T'aimes ça petit cochon. Je libère une de mes mains. C'est bon, une seule suffit à le maintenir.

Direct je lui caresse la bite. T'adores même, vilain.

Il ne rigole plus du tout, entre la position inconfortable et mon petit jeu. J'arrache le seul bouton de son fut qui a survécu à notre lutte et baisse le dit fut afin d'avoir une vue sur son mignon petit boxer.

J'avais tort, mon beauf n'a pas une petite bite. C'est plutôt un beau morceau qui se montre moulé par le tissu trop serré. Objectivement un peu plus épaisse que la mienne, et un poil plus longue aussi. On doit gentiment s'approcher du 19 généreux.

Arrête Thomas.

Ca te fait kiffer ? Je file un grand coup de langue sur le boxer qui fait frémir sa queue et tout son corps. Mais ma deuxième main cède et il finit de s'écrouler sur le sol.

Je n'ai pas le temps de me remettre dans une position correcte sur le lit qu'il s'est redressé. Je sens ma tête être prise en étau dans ses deux mains et tirées sans aucun ménagement pour mon cou vers sa destination finale, sa bosse.

Ah tu veux jouer, connard !

Avec une rapidité stupéfiante, il tire sur l'élastique de son boxer en avançant son bassin. Une fois libérée, sa queue s'éjecte du sous-vêtement pour atterrir direct dans ma bouche. Instant de flottement, on se regarde....

Puis ses mains commencent leur ouvrage. Il m'appuie sur la gueule en murmurant : Bouffe salope.

Il n'y a pas d'intention de prendre du plaisir dans ses gestes. Clairement, si je pouvais juste mourir étouffé par sa bite, il serait le plus heureux des hommes.

Moi, au début je hoquette, puis panique en m'étouffant. Mais comme cela n'entraîne aucune réaction de pitié, je réajuste ma respiration par le nez tandis que ses couilles me battent le menton. Je sens de longs jets de bave couler des commissures de mes lèvres. Mes yeux commencent à pleurer. Et je ne parviens pas à détacher mes yeux des siens tout au long de ce supplice.

Il tourne fermement ma tête vers le côté, avec sa bite toujours solidement installée dedans.

Regarde-toi, pétasse. Regarde-toi Thomas D...Tu fais moins ton malin.

Sur le côté se trouve effectivement un grand miroir. Je me vois. Ces yeux complètement hagards, la bave qui coule, les larmes, tous ces liquides qui se mêlent, je les ai déjà vus. Chez Solène, ma première copine, qu'est-ce-que je lui ai fait subir à celle-là... Ou ma salope de collègue, elle avait ce même regard perdu quand je lui démontai la mâchoire. Et toutes les autres...Je me suis souvent demandé quel plaisir elle prenait à ce que je les traite comme cela. Maintenant je comprends. J'avais rien pigé. Et Célia n'a rien compris. Je ne me sens pas sali par ce qui arrive. Il ne me salit pas. A la rigueur c'est moi qui le salit. C'est moi qui réclame sa violence. Le dominateur n'est qu'un jouet pour le dominé.

Je n'avais jamais songé plus de deux secondes à sucer une bite un jour. Et je ne suis même pas sûr d'aimer cela. Mais le regard d'Antoine quand il me défonce la bouche, ça je pourrais faire n'importe quoi pour le revoir.

Il n'a pas arrêté mais commence à ralentir. Ma mâchoire commence à me faire mal et je décide d'en finir. Les mouvements ralentis permettent à ma langue d'entrer en action. Il sent tout de suite la différence, et se met à gémir en disant...sale pervers, arrête tu vas me faire jouir.

Bon pour que j'arrête il faudrait qu'il me lâche la tête, donc je traduis à ma façon en accélérant le mouvement de ma langue.

Putain je vais jouir cède-t-il en lâchant ses mains et en tentant de se retirer. J'avais anticipé le coup, ça joue les cadors mais ça pue le gentil garçon et m'agrippant à ses cuisses je le force à finir le travail dans ma bouche. Je pense qu'il a éjaculé plus de sept jets sur ma langue. Sa queue vibrait littéralement. Il feulait sans que je ne sois sûr si ce soit de bonheur ou de douleur. Je l'ai ensuite consciencieusement nettoyé. Il était hagard, moi plus du tout.

Je l'ai moi-même reculotté, il ressemblait à un petit garçon et se laissait faire. On y va lui dis-je d'un ton autoritaire. Et tu fermes ta gueule auprès de Célia. Il ne dit rien, toujours ailleurs. J'avais dit ça tout en sachant qu'il n'y avait aucun risque qu'il parle...pauvre petit hétéro tout chamboulé par son expérience.

Nous sommes redescendus sans rien dire. Quand elle nous a vu, Célia s'est précipité dans mes bras.

Elle atterrit pile contre une des côtes endolories par ma punition, m'arrachant un Ouch de douleur.

Me regardant avec inquiétude, elle s'enquit ; Qu'est-ce-qu'il y a ? Puis se tournant vers son frère, elle lui demanda : Tu l'a pas frappé j'espère ? Pas de réponse. Puis elle se mit à brailler en plein dans le hall de l'hôtel, Putain Antoine, je t'avais dit pas de violence physique. Mais vous ne connaissez que ça vous les flics.

Puis sans lui laisser le temps de s'expliquer, elle fit demi-tour et m'attrapant elle me dit : Viens mon chéri, on rentre et on oublie cette horrible histoire, je suis désolée, j'aurais pas du...

La saisissant par le cou, je repars en feignant également un petit claudiquement qui arrache un nouveau râle de regret à ma chérie. Avant de quitter le hall de l'hôtel, je m'offre tout de même un dernier plaisir. Je me tourne vers le beauf. Il n' pas bougé, il nous regarde juste sans émotion, sans vie. Peut-être est-il encore un peu dans la chambre 69, un peu dans ma bouche.

Je lui décoche le sourire le plus faux-cul, le plus immondement moqueur possible : Victoire par K.O .

Epilogue | On ne se refait pas...

-T'es sûre que ça te dérange pas, Bébé. Le dossier est vraiment important.

-Elle minaude....J'ai une confiance totale en toi, Thomas, je sais que tu as compris.

-si tu veux, je branche la cam et comme ça tu me vois à mon bureau.

-ça va pas, tu me prends pour qui...c'est bon, Tom. Je t'attends sagement à la maison. Saint-Jacques ça te dit pour te consoler de ta sale soirée ???

-nickel, t'es un amour...je vais faire le plus vite possible.

Je raccroche et me lève direct de mon bureau. J'avais déjà mis ma veste. Je la connais ma gonzesse.

Ca fait 15 jours que j'ai été puni et depuis c'est le pied total. Elle est même un peu plus chaude niveau cul, incroyable.

C'est pas tout ça mais je vais vérifier par la fenêtre que la 1008 est toujours sur le parking. Toujours là.

Je me dépêche de traverser le building pour aller dans l'aile financière. Comptabilité. Je rentre dans le bureau sans frapper. Comme prévu, elle est seule et en train de rassembler ses affaires.

J'ai du mal à interpréter la façon dont elle me regarde.

-qu'est-ce-que tu fais là, Thomas ? Tu crois pas qu'on a assez déconné comme ça.

-écoute Isa dis-je en m'approchant. Je suis en phase de rédemption et je me suis rendu compte que je ne m'étais jamais excusé auprès de toi.

Elle me lance un œil suspicieux.

-c'est gentil, ça me fait plaisir, c'est vrai que...

-une bonne grosse excuse calée bien profond dans ton cul de chienne, et je la choppe.

Elle se débat mollement.

-à genoux, salope

Elle obéit mais gémit un : Pas ici.

Je lui mets ma queue dans la bouche. Elle s'applique déjà. Dès que je suis bien dur, je la relève, la retourne et l'enfourne. Elle adore la pute. Je la bourre vite fait, finit par investir son cul et en deux minutes, me vide dedans.

Elle gueule un peu.

-putain, t'as déjà fini.

Je me rhabille tranquille.

-Pas le temps, je te péterai mieux la prochaine fois.

Elle réplique : il n'y aura pas de prochaine fois.

Je ricane et sors.

Je fonce vers ma voiture. Je vais vraiment rater l'heure. J'ai galéré pour obtenir l'info auprès de mes beaux-parents.

Je me gare près du commissariat et rentre rapidement dans le hall. On me demande ce que je cherche, mais je le vois en train de discuter avec deux collègues, et répond simplement : Lui en me dirigeant vers Antoine.

Il a l'air fatigué. Normal c'est la fin de ses 48h d'affilée. Il m'avait soûlé une fois, me disant combien c'était épuisant : ils dormaient à peine, mangeaient guère plus et ne pouvaient même pas vraiment se laver.

Dès qu'il m'a vu, il a bloqué. Un mélange de rage, de honte et de curiosité le tenaillait.

Il lâcha :

-qu'est-ce que tu fous ici ?

Je salue ses collègues comme si de rien n'était et sans le regarder lui dit :

-je veux te parler de Célia.

La frangine a séché les deux derniers repas familiaux et a refusé de répondre à son frère au téléphone. Mais je sens qu'elle va pas tarder à craquer. Autant en profiter avant.

Il soupire : Ok viens, on a qu'à aller dans le bureau du bas.

Je le suis. J'avoue je mate un peu son cul. Pas mal...

Il finit par me faire rentrer dans un tout petit bureau, je dirai 9m2, sans fenêtres et avec juste un bureau miteux et un vieil ordi à peine mieux. Je note qu'il ferme à clés derrière nous.

-Ouah, c'est vrai que vous avez des moyens dans la police.

-c'est ça, et ça te fait rire en plus, connard d'anarchiste.

Il me toise. Je le regarde de façon narquoise.

-dépêche-toi Tom, je veux rentrer. Je suis mort, je pue et j'ai envie de pisser. Et vraiment pas envie de voir ta gueule.

Je m'approche. Il a un mouvement de recul. Dans 9m2, il est cependant vite acculé. Je me mets à genoux devant lui et lui dit

-vas-y, pisse, si t'en as envie.

Il me regarde un peu circonspect, avant de réaliser devant mon air pervers, ce que je sous-entend.

-putain Tom tu veux que je te pisse dessus ? Mais t'es un grand malade.

-non tu vas pas pisser dans le bureau d'un commissariat. Je vais être obligé de tout avaler hélas. Je ne peux pas risquer de salir l'endroit. Et je commence à tenter de déboutonner son pantalon. Il tente de m'arrêter avec les mains mais je perçois que ce n'est pas non plus direct le coup de pied dans la gueule.

-arrête t'es con, je t'ai dit je suis pas lavé depuis avant-hier.

Je ricane alors que tous les boutons sont maintenant défaits suite à notre duel de doigts.

-Pourquoi tu crois que je viens pile maintenant.

Il râle : T'es un porc.

Mais son pantalon est maintenant au niveau des chevilles. Sa queue a pris du volume. Il ne faut pas qu'elle bande ou il pourrait bien avoir du mal à pisser.

Je parviens à retirer le caleçon sans aucune résistance et enfourne son gland dans ma bouche. Il tressaute et se met à vouloir entrer plus profond.

Je bloque, il me regarde interrogateur. J'attends juste à ses pieds avec son gland en bouche, sans bouger. Je savoure le goût, franchement délicieux de ce gland juteux. Putain ça sent l'homme. Il se rappelle le plan initial et cesse de vouloir me baiser la bouche. Cela dure ensuite 30 interminables secondes, ou je me dis 100 fois que je suis à genoux dans un commissariat, en train d'attendre que mon beauf se vide la vessie dans ma bouche, et que ce n'est pas très bien...Puis le premier jet me surprend. Je manque de m'étouffer. Je me reprends. Il gère son jet d'une main de maître, franchement régulier et peu fourni, ce qui me permet d'avaler plutôt facilement. Et m'offre même quelques pauses salvatrices. Le goût est dégueulasse mais la sensation unique. J'aurais quand même préféré qu'il me pisse dessus, mais bon, j'ai un grand respect pour les femmes de ménage...

Cela dure si longtemps que je pense que je vais craquer mais le jet finit par se tarir, tandis que la queue se remet à grossir. Je la lape, la suce, la lèche, la nettoie bien. Elle est à nouveau à son zénith.

-T'as aimé salope ?

-Dégueulasse

-Heureux que ça t'ai pas plu.

Il me soulève soudain par les aisselles, me pousse contre le bureau et me penche direct.

-maintenant c'est moi qui joue.

Il m'arrache littéralement le pantalon vers le bas, avant de déchirer la ficelle du string que j'avais mis.

-Putain de Tom, un string, mais je vais te déchirer....

Je cambre le cul comme un malade. Je me suis quand même un peu doigté dans la semaine histoire de préparer un peu le terrain, mais globalement, ça risque de faire mal.

Il crache sur ma rondelle, un truc que j'adore faire. Mais là c'est moi qui sent l'humidité atteindre mon oeillet si sensible. Je frissonne de bonheur.

-Tiens on va commencer par du léger. Je sens immédiatement un truc dur contre ma rondelle. J'essaie de me retourner mais il m'en empêche en ricanant. Ouille c'est rentré. Je réalise qu'il m'a mis sa matraque dans le cul. Le petit bout heureusement.

Je couine. On est presque à sec, c'est très rigide. Ma paroi est bien mise à l'épreuve.

-Sale petite chienne tu la kiffes ma grosse matraque ???

-Ouais connard de flic, les anarchistes comme tu dis, faut leur apprendre la vie à coup de matraques.

-Exactement, salope, t'es pas si conne. Il retire soudainement la matraque et la remplace presque instantanément par sa queue. Ouh là c'est plus épais. Mais beaucoup plus agréable aussi.

Je me mets à gémir en mode bien femelle pour exciter mon mâle.

-Ta gueule sale pute. Il me met la main sur la bouche, sort de mon cul, se penche pour retirer une de ses chaussures, puis la chaussette et me la colle direct dans la bouche, retrouvant ainsi l'usage de ses mains.

-Tiens Tom, respire moi ça. Putain t'es le plus gros pervers de la terre, raclure. Il finit par ajouter avant de se retirer : Jamais j'aurais cru que je pouvais me comporter comme ça, encore moins avec un mec. Mais te traiter comme la pire des chiennes, c'est le kif Tom !!!

Il remet la matraque. De toute façon je suis sagement en train de mâcher mon chewing-gum improvisé, au goût très prononcé. Je bande comme un malade. Mon cul me fait mal mais la sensation de se faire péter le cul est énorme.

Soudain, je sens qu'il tente d'ajouter sa bite à la matraque. Une douleur aigüe me traverse le fondement et je hurle dans ma chaussette en me cabrant. Il me maintient fermement :

Alors on fait moins sa maline, la chiennasse. Il apprend putain de vite, ce con.

Il écrase ma tête sur le côté contre le bureau. Je pleure.

Il enfonce sa queue plus profondément. Putain je prends cher.

Ca calme, hein... ??? Je continue de pleurer.

Il retire la matraque. Il apprend vite mais n'est pas encore méchant, ça viendra...

-va falloir progresser, morue constate-t-il. Je suis assez d'accord avec lui.

Il se remet à me fourrer comme un marteau-piqueur. Le fait de n'avoir plus que sa bite est un soulagement et je me surprend à ne plus la trouver si grosse.

Il se met cependant à ralentir le rythme. Les derniers coups sont profonds et lents. Il éjacule dans mon cul, très lentement et très longuement. Ses yeux sont exorbités de fatigue. Il pue la sueur à 100 mètres et sa respiration ne parvient pas à retrouver son rythme normal.

-Nettoie !

Je me précipite lui nettoyer sa queue. Il se rhabille rapidement pendant que j'essaie de reprendre mes esprits. Sans m'attendre, il ouvre la serrure de la porte.

-Arrange-toi pour que Célia me pardonne, et vite, énoncé d'un ton péremptoire.

Je lâche un OK alors que je tente de faire tenir mon pantalon qui n'a plus de bouton.

-et tu lui dis qu'à partir de maintenant, afin de resserrer nos liens, on a poker tous les jeudi soir, entre 20h et minuit. J'ai un endroit.

-OK me contente-je de répondre.

-Je serai peut-être pas seul ajoute-t-il.

-Ok

-ce n'était pas une demande, juste pour que tu sois au courant.

Je me contente d'un : je sais.

Il sort. Je regarde ma montre. Il faut que je me dépêche si je veux manger mes Saint-Jacques.

Bara17

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Ton plaisir est le mien Greg
Mon journal intime Chopassif
Premier pas Rik71
Le vendeur et la cabine d’essayage Glenn
Embauche Glenn
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Les séries : 65 pages

L’enterrement de vie de garçon | 2 | +1 JulesP
1 | 2
Vie étudiante | 5 | +1 Alexandre
1 | 2 | 34 | 5
Le vrai visage de mon fils | 5 | +1 Adreprofeco
1 | 2 | 3 | 4 | 5
Arthur et Maxime | 12 | +1 Sylvainerotic
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 FIN
En groupe à la piscine | 3 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3
Mon beau-frère | 18 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18
L’ensemenceur | 4 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 34
L’amant de ma femme | 8 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8
Bénévolat en Australie | 8 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 67 | 8

ET CE N'EST PAS TOUT !
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