Maître-nageur

Maître-nageur en eaux troubles

6 | Le neveu

Je reste interloqué par ce que je viens d'entendre. Ce jeune à peine majeur veut me baiser à son tour. Mais jusqu'où s'arrêtera l'engrenage?! Je vais devenir le vide-couilles de tous les détenteurs de cette vidéo.

- Alors, tu décides quoi? J'ai pas toute la journée.

Je tente le tout pour le tout.

- Écoute, c'est du chantage, ce que tu me fais-là. C'est puni par la loi. Je veux bien me faire baiser mais c'est du donnant-donnant. Je récupère la vidéo et on peux faire quelque chose, tous les deux. Sinon, je vais trouver la police et peu importe les conséquences pour moi, je vous dénonce.

Il paraît réfléchir quelques secondes puis prend le chemin de la sortie.

- Tu bouges pas. Je reviens.

Il réapparaît peu après avec un téléphone portable à la main.

- C'est celui de mon oncle Mohamed. Il supprimera la vidéo si tu baises avec moi et si tu intègres sa fille aux cours de natation du mercredi.

Je hoche le tête en signe d'assentiment. Je me rappelle tout à coup que je suis en service.

- Mais je ne peux pas. Pas tout de suite. Je dois reprendre mon poste. Je suis déjà à la bourre.

- Je comprends. Je t'attendrai à la fermeture de la piscine.

- Ma femme vient me récupérer.

Il réfléchit un instant avant d'ouvrir le portable de Mohamed, de visionner les deux vidéos puis de les supprimer.

- Tu es quitte vis-à-vis de Momo, mais je les ai repiquées sur mon téléphone. File-moi ton numéro, je te contacterai, et t'as pas intérêt à te débiner.

****

J'ai pratiquement oublié cet incident lorsque je reçois un SMS du neveu de Mohamed.

« RDV ce soir 21H à ARIANE bloc B »

Ariane, Ariane... Ce nom ne m'évoque rien de précis. Je pianote sur Internet pour m'apercevoir qu'il s'agit en fait de la cité sensible de la ville. Bordel, je vais devoir aller dans la ZUP en pleine nuit, ça ne me rassure pas du tout. Et puis, qu'est-ce que je vais dire à ma femme pour justifier mon absence. Quelle excuse bidon vais-je devoir invoquer...

Tout ça tourne en boucle dans ma tête le reste de la journée.

Le soir fatidique arrivé, je téléphone à Muriel depuis la piscine en lui expliquant que je rentrerai tard. Il y a une ''Night Session'', ces entraînements nocturnes réservés aux champions de natation. Et bien sûr, ma présence est indispensable...

Elle gobe le bobard sans problème. C'est déjà ça de gagné. Avec un peu de chance, je vide les couilles du jeune puceau et je rentre pour border Lucas et lui lire une histoire.

Le GPS me conduit dans une zone des plus lugubres. Des rues mal éclairées, des poubelles renversées et surtout des bandes de jeunes qui me regardent étrangement. L'hostilité se lit clairement sous les capuches. Quelques doigts d'honneur à mon encontre me font frémir.

J'arrive enfin au Bloc B. C'est une tour plutôt tranquille. Ça me rassure un peu. À quelques mètres de l'entrée, une voiture de police stationne tous feux éteints. Sans doute la BAC. Je vois un jeune fonctionnaire à l'intérieur qui semble s'impatienter. Il tambourine sur le volant. Faudrait pas qu'il relève ma plaque d'immatriculation. J'ai déjà assez d'emmerdes comme ça.

Je sors de mon véhicule et marche rapidement vers l'entrée de l'immeuble. Passé le hall, un jeune rebeu me barre le passage.

- Tu cherches quoi, Blanche-Neige?

- J'ai rendez-vous avec...

Soudain, je me rends compte que je ne connais même pas son prénom.

- … avec le neveu de Mohamed.

Ce descriptif semble suffisant puisqu'il me fait signe de le suivre. Nous descendons quelques marches et après avoir longé un couloir humide je suis poussé dans une cave mal éclairée et puante au possible.

La première chose que je vois c'est le neveu, assis dans un fauteuil miteux, jambes écartées et le sexe dressé. Mes yeux parcourent ensuite le reste du local et je manque m'étrangler quand je découvre un type en uniforme, à genoux, en train de pomper un renoi.

Putain, c'est un flic, la trentaine, brun ténébreux avec son gilet pare-balles, sa matraque et son arme de service accrochées à la ceinture utilitaire. L'endroit est sombre, mal éclairé, mais la scène est sans équivoque. Je vois un fonctionnaire de police, le pantalon sur les talons en train de tailler une pipe alors qu'un doigt inquisiteur lui violente l'anus.

Bordel, c'est quoi ce délire?! Si la police passe aussi à la casserole, où va-t-on? Toujours est-il qu'il semble prendre un certain plaisir, vu la demi-molle qui pointe entre ses jambes.

Le neveu me fait signe d'approcher.

- Regarde cette femelle de flic. Elle appartient à Driss. Il l'a bien dressée. Admire comme elle lui suce le dard. Elle fait pas la fière dans son uniforme de condé. Ce soir, il l'a partage avec trois autres potes.

En effet, je n'avais pas remarqué les autres maghrébins dans l'obscurité. J'entends la voix du sucé (sans doute Driss) encourager sa chienne.

- Pompe-moi, grosse salope, ensuite je vais te limer la chatte. On va tous te baiser, ça t'apprendra à arriver en retard.

Chacun a baissé son froc et tous arborent des bites de belles dimensions. Bientôt une queue se présente à l'entrée des fesses poilues. Le gland tâtonne un peu avant de s'enfoncer à sec en une seule poussée. Le beau flic ténébreux marque un temps d'arrêt puis lâche un grognement strident. Mais le gros manche de Driss dans la bouche étouffe son hurlement.

Pendant cinq minutes je vois les quatre arabes s'acharner sur le cul et la bouche du beau policier. Ils l'enfilent sans ménagement. Tous, les uns derrière les autres, ils n'hésitent pas à lui labourer le cul avec force. Je constate que sa résistance a faibli et sa bite bandée trahit son excitation naissante. Je devine sa pastille complètement dilatée. Chaque claquement de couilles contre ses fesses musclées résonnent comme autant de victoires de la racaille sur les forces de l'ordre. Et dire que son collègue attend patiemment dans la voiture de service...

Mon sexe devient douloureux, prisonnier dans mon jeans. J'avais presque oublié la présence du neveu. Ce dernier se rappelle à mon bon souvenir en m'inclinant la nuque pour m'obliger à le sucer. Je goûte pour la première fois à ce jeune sexe bandé. Il est moins long que celui de son oncle mais par contre, plus épais. Je m'efforce de lui astiquer le manche du mieux que je peux pour mettre un terme le plus rapidement possible à cette situation.

Soudain, je sens d'autres mains caresser mon dos et mes jambes. Je me redresse, surpris. Merde, ce n'était pas prévu au programme. Je veux pas finir comme le flic, en tournante dans la cité.

- C'est quoi ce bordel!

Trois jeunes m'entourent et m'agrippent par le bras.

- Non, les gars, lâchez-moi. (m'adressant au neveu) Il ne devait y avoir que toi et moi. Je refuse d'aller plus loin...

Ils me serrent de près. Je peux sentir leur souffle chaud dans mon cou. Je me débats mais ils finissent par m'immobiliser. Je ne peux plus bouger. Je sens des mains partout sur mon corps. Mes fesses et ma queue sont pelotés sans ménagement. Je supplie une dernière fois.

- S'il vous plaît, arrêtez! Je ne veux pas...

La réponse du neveu fuse.

- Fous-toi à poil!

J'hésite. Le plus âgé m'oblige à le regarder et me décoche une violente claque. J'ai la joue écarlate mais à mon grand étonnement je ne réplique pas. Pire, je commence à faire sauter les boutons de mon jeans et bientôt mon pantalon finit sur mes chevilles.

Une autre gifle me rappelle à l'ordre.

- Ta chemise et ton slibard aussi.

Je me retrouve nu comme un ver. Je suis mort de honte. Heureusement que la cave est sombre et que les autres sont occupés à trombiner le flic.

Les jeunes reprennent leurs attouchements. Ils soupèsent mes bourses, tordent mes tétons, écartent mes cuisses...

- Mets-toi à genou, tu va nous pomper.

- Non, je vous en prie...

- Tu veux une autre baffe?!

Je comprends qu'il est inutile de résister. Cette jeune racaille aura de toute façon le dessus. Et c'est pas l'autre tarlouze de flic qui viendra à mon secours. Je jette un regard dans sa direction. Il est couché sur un matelas, les jambes relevées bien haut, et une grosse bite lui pilonne le cul façon marteau-piqueur. Côté face, il s'efforce d'enfourner deux grosses queues en même temps. Je le vois soudain déglutir le plus possible et un liquide jaunâtre s'écoule de ses lèvres. Je me demande s'ils ne sont pas en train de se soulager dans sa bouche!

C'est bizarre, mais ce type ne m'est pas inconnu...

- Regarde pas ou on te fait pareil. Kader, passe le premier.

Je me saisis de son sexe que j'embouche direct. Il a un membre de belle dimension et déjà raide. Je fais des aller-retour le long de sa tige qui devient luisante. Au même instant, je sens un jet dans mon dos. C'est chaud et ça coule sur mes reins, dans ma fente, le long de mes cuisses...

Putain, ce bâtard de neveu est en train de me pisser dessus.

- Ça t'apprendra à regarder ailleurs au lieu de te concentrer sur nos queues.

Bordel, comment je vais faire en rentrant à la maison. Muriel va s'apercevoir que je pue l'urine. Sans m'en rendre compte j'ai ralenti la cadence. Le dit Kader me saisit la tête et imprime un rythme effréné. À sa respiration saccadée, je devine sa jouissance monter. Effectivement, il finit par arroser mes amygdales, me forçant à tout avaler.

Un autre prend aussitôt sa place et m'introduit de force son gourdin. Il doit avoir à peine vingt ans mais sa queue est énorme. Un vrai manche de pioche. Il ressort son engin et me demande de lui lécher les couilles. Elles sont poilues et odorantes. Après quelques léchouilles, il reprend possession de ma bouche. J'ai mal aux mâchoires. Il coulisse jusqu'au fond de ma gorge, au rythme de ses mouvements de bassin. Je sens la respiration du jeune délinquant s'accélérer, il me pistonne comme s'il baisait une chatte. Ses coups de boutoirs martyrisent ma luette, ses poils pubiens s'écrasent sur mon menton. Il accélère et empoigne fermement ma tête entre ses mains. Je suffoque, mais il n'en a cure. Il force ma bouche au maximum dans un coup sec et vif et c'est avec une petite toux de ma part que je sens son gland glisser le long de ma gorge. Il reste dans cette position quelques secondes. Mon corps tressaute tandis qu'il me maintient la tête sur sa raideur. Je sens sa queue se vider directement dans mon gosier. Je n'aurai même pas le goût de son sperme dans la bouche.

Il finit par relâcher son étreinte et c'est à quatre pattes que je tente de tout recracher. Je tousse fort, j'ai du mal à reprendre mes esprits tant cette baise buccale a été violente. Mais déjà une troisième queue presse mes lèvres. J'ouvre la bouche comme un automate.

- Vas-y Hassan, montre à ce blanc-bec ce que c'est qu'une bite d'arabe.

C'est le plus âgé des quatre, autour de vingt-cinq ans. C'est lui qui m'a martyrisé la joue. J'ai encore les traces de ses doigts. Il rigole et me saisit le poignet.

- Branle-moi, d'abord.

Je m'exécute sans protester. Peut-être qu'avec un peu de chance j'arriverai à le faire jouir sans le sucer. Je lui empoigne le manche puis, dans un mouvement circulaire je fais glisser la peau sous le gland en le décalottant habilement, faisant apparaître et disparaître le prépuce sous le maniement de ma main.

- Putain, c'est trop bon! Au tour de ta bouche, à présent.

Merde, je vais pas pouvoir échapper à une troisième rasade de sperme. Ces deux jeunes précédents m'ont bien rempli. Je sens mon estomac au bord de l'overdose.

Par réflexe (je n'ose dire par habitude!) je sors le bout de ma langue et lui lèche le méat. Je reproduis en fait les mêmes gestes que me fait Muriel, ma femme.

- Humm !!! Tu sembles gourmand avec ta p'tite langue dehors. Regarde comme tu me fais bander.

En effet, le plus vieux de la bande arbore un engin de belle taille. Plus gros que le mien, autour de 23cmX6. Je suis presque jaloux de ce que j'ai sous les yeux.

Il me gifle une première fois, puis une deuxième... J'ouvre bien grand la bouche et le suce comme un forcené car je sais que sinon les coups vont pleuvoir.

Ses 23cm raclent le fond de ma gorge. Je m'étouffe, manque d'air mais lui, continue, à la recherche de son plaisir.

- Wouai, j'suis chaud, là... Aspire bien ma teub quand tu remontes ta bouche de suceuse. Et surtout, pas les dents, sinon...

Il me montre sa main tout en continuant de délirer à haute voix.

- Humm, c'est bon tout ça... Tu me fais monter le lait, là... Continue, j'vais pas traîner, j'vais jouir dans ta bouche de pédé. Et t'as intérêt à tout avaler sinon je te latte encore plus fort.

Je redouble d'application. Déjà que je pue la pisse, si en plus je me retrouve avec des marques sur les joues...

- C'est ça p'tite pute, continue, t'arrête pas... Dis que tu aimes le sperme, dis-moi que tu veux tout dans ta bouche de sale fiotte!!!

Et vlan,... une grosse taloche derrière ma tête.

- Oui, oui, donne-moi ton sperme...

- Ouiai, j'aime bien quand un blanco me le demande de cette façon...(il continue de me pilonner la bouche) Wouai,... Vas-y, tête bien, tu vas l'avoir ton lait, oh oui... Putain, trop bon ta p'tite bouche de maître-nageur.

Bordel, ce salaud de neveu n'a pas pu tenir sa langue. Il a fallu qu'il se vante d'avoir choppé un hétéro blanc pendant ses heures de service. Pourvu que le flic n'ai pas entendu.

Je reporte mon regard sur l'autre soumis. Il encaisse bien les différents coups de bites qui lui perforent l'anus. Depuis bientôt une heure de viol collectif, il a pris son rythme de croisière. Sa pastille semble plus épanouie que jamais et sa bouche aspire des litres de foutre sans sourciller. Je repense à son collègue resté dans la voiture. Il doit être fou de rage.

Une nouvelle beigne m'oblige à me remettre à l'ouvrage.

- Regarde pas!!! Contente-toi de bouffer ma crème. AARRGGHH, JE JOUIS... aspire à fond, avale, avale, putain... UURRRGGH... VA-YYYY !!!

Je reçois une quantité impressionnante de sperme que j'avale du mieux que je peux. Chaque jet manque de m'étouffer mais j'évite d'en perdre car sinon je risque une nouvelle raclée.

- Putain, c'était bon. T'es vraiment une grosse salope, tu m'as bien pompé. T'as le ventre un peu plus plein ce soir.

Je réagis à peine, quand j'entends une voix derrière mon dos. C'est le neveu.

- Bon, les gars, ça c'était juste les amuse-gueules. ( me relevant et plantant son index dans mon anus) Passons aux choses sérieuses...