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L'autoroute du bonheur

Je rentre de Paname où j'ai passé le week-end à descendre quelques bières et à fumer toutes sortes d'herbes avec mes poteaux du 9.3. Je roule sur l'autoroute du soleil, pépère, un lundi après-midi. Mon bolide trace sur le bitume en direction de Lyon. Je suis tranquille, la caisse sautant au rythme des basses de mon CD qui envoie du rap dans mes amphis de psychopathe.

À force de jouer avec les vibrations, je sens la pression monter et je me retrouve vite avec mon manche de pioche en action. J'aurais pu tenir le volant avec, tellement je suis chaud. Y a des moments comme ça où tu contrôles plus rien, où le cerveau se met en off et c'est ton zeb qui dirige. Ça peut arriver n'importe quand, avec n'importe qui, mais ce qui est sûr, c'est qu'il te faut vidanger au plus vite.

Et là, pas de bol, c'est la dèche. Tu peux pas espérer choper un auto-stoppeur ou aller au bordel du coin, faut te contenter de ta main. Au bout d'un quart-d'heure, j'ai mal à la queue à force de bander malgré mes caresses sur mon jogg pour essayer de calmer la bête. Un panneau annonce une aire de repos dans quatre bornes, idéal pour aller me branler dans les chiottes et me soulager enfin!

Arrivé sur les lieux, c'est morne plaine. Seul un biker sur sa Harley-Davidson, poirote un peu à l'écart. Il a tout l'attirail du parfait marginal. Gros biscotos sur un perfecto en cuir, cheveux longs, grosse barbe en bataille et casque vintage. Dès qu'il me voit, il descend de sa bécane et file direct dans les sanitaires.

Ouais... Habituellement, c'est pas mon gibier de prédilection mais là, j'ai trop envie de niquer. Je lui emboîte le pas (avant de lui déboîter autre chose...) et on se retrouve côte à côte à exhiber nos sexes devant les sanisettes. Il est cafi de tatouages à la gloire des Hells Angels avec sa tête de mort couverte d'un casque ailé. Ça me surprend un peu que je l'intéresse car dans leur milieu, ils sont pas tendres avec les pédés. Bon, dans chaque troupeau, y a toujours quelques brebis égarées...

Il s'astique le jonc tout en louchant sur mes vingt centimètres qui se déploient doucement. Pour un costaud, il est pas très bien monté. Tout juste du quinze par trois, mais moi, c'est sa pogne qui me branche. Et elle met pas longtemps à venir tâter du popol. Ses gros doigts blindés de bagouzes enserrent mon pieu et entament un savant aller-retour qui m'arrachent un premier soupir. Il est doux pour un mec qui avoisine les cent-dix kilos et sa main agit tel un gant de velours. Je commence à haleter comme un chiot et je suis pas loin de lâcher la sauce quand surgit le gars des autoroutes.

Putain, on l'avait pas vu venir, celui-là. Il débarque avec balais, serpillière et autre sacs poubelles. Il nous annonce que les WC sont fermés temporairement, le temps de les nettoyer. Mon motard ne tarde pas à s'éclipser mais moi je râle. Ce con vient de nous interrompre au pire des moments. J'allais enfin pouvoir me vider les couilles. Je lui dis que j'en ai pour une minute et entreprends une petite branlette vite fait. Mais mon nœud a du mal à gicler car entre-temps, j'ai débandé.

Le type commence son taf. Il nettoie sans enthousiasme le sol crade et je remarque vite son regard insistant sur moi. Il est pas mal, finalement, dans sa combinaison jaune fluo. Une petite trentaine, belle gueule de mec viril et un regard vicieux comme je les aime. Par le plus pur des hasards, il vient astiquer les urinoirs et mate avec vice ma teub en train de d'uriner un jet jaune et puissant contre la faïence. Je secoue bien ma tige sous ses yeux et lui lance un regard mortel.

Je trace direct vers une cabine de chiotte, non s'en m'être retourné une dernière dans sa direction et je prends bien soins de laisser la porte entrouverte, au cas où...

C'est du quitte ou double. Ça passe ou ça casse!

Je suis à peine posé que j'ai déjà ressorti ma queue. Je la branle comme un dératé et ça me fait un bien fou. Y a pas de temps à perdre, faut la remettre en condition, des fois que mon employé des autoroutes rappliquerait.

Dix secondes plus tard, il débarque comme prévu avec son balai et prend un air faussement surpris en ouvrant la porte. Il tombe nez à nez avec mon engin qui a repris de l'ampleur. Il s'avance sans dire un mot, lâche son outil de travail et ferme la porte derrière lui. En moins de deux, il glisse devant moi et sa bouche gourmande vient gober mon zboub. Sa langue chaude donne des petits coups sur mon gland circoncis et je lui chope la tête pour lui défoncer sa gueule de mec marié. (ben ouais, je vois briller son alliance à l'annulaire gauche). Putain, ils sont choo ici, les préposés au ménage. Je suis bouillant comme la braise et j'ai trop envie de décharger sur sa face de lopsa bien docile.

Le keum s'agrippe à mes cuisses et ma teub rentre et sort de sa bouche baveuse sans problème. Il a l'expérience, ce pédé et j'ai pas à pousser beaucoup pour que mes boules bien pleines viennent lui taper contre le menton alors que mon gland s'enfonce bien profond dans sa gorge. Je lui tire les cheveux en arrière pour voir son regard soumis à ma bite. Il gémit comme une pute et commence à faire glisser sa combinaison de travail sur le carrelage.

Et là, j'hallucine. Ce mec avec femme et enfants se ballade juste avec un jockstrap sous son habit de boulot. Je vois son beau petit cul poilu s'activer devant moi et alors que je lui bourre bien la gueule, il commence à se caresser le boule. Il lâche mon manche pour se mouiller les doigts tout en me fixant de ses beaux yeux de salope puis réembouche ma queue en s'enfonçant deux phalanges dans le fion. Ça, c'est du kif!!! Ma queue se raidit un peu plus et je commence à me dire que j'ai eu du flair en programmant une petite pose sur cette aire.

Il sort une capote de sa poche et me la déroule sur le zgeg. Prévenant, le gars. Il a pas envie de contaminer sa meuf. Il sait y faire et a tout prévu. J'ai comme l'impression que c'est pas une première pour lui de se faire retourner sur son lieu de travail. Il se redresse et va se caler la croupe bien tendue en arrière, face au mur. Je glisse derrière lui, la queue bien emballée. Je kiffe les autoroutes et le personnel mis à la disposition des utilisateurs. Je sens que je vais bien rentabiliser le prix de mon trajet.

Je place mon zeb à l'entrée de son cul bien dilaté et je le lime avec force. Ça rentre comme dans du beurre. Putain, il en est pas à son premier coup d'essai!!! Il se tortille en bonne chienne qu'il est devenu et ondule du bassin pour bien caler ma bite au fond de son trou. Je le pilonne en mode marteau-niqueur et à chaque pénétration, sa face vient s'écraser contre la faïence du mur. Il décolle au rythme de mes coups de reins. Je lui chope les seins et les pinces violemment. Il se met à couiner comme une lopsa et pousse lui-même son boule sur ma queue pour bien se la rentrer à fond. J'ai même pas à bouger, il vient s'exploser la chatte tout seul sur mon pieu bien raide. Trop c'est trop, je sors mon zeb d'un coup et le retourne face à moi. Il se jette sur mon morceau et retire le préso pour secouer mon manche à grands coups de poignet, tout en donnant des petits coups de langue sur le gland. En moins de deux, je lui balance ma sauce en pleine tronche. Le débit est tel que mon keumé se retrouve vite trempé. Il s'étale mon jus sur son torse velu et me couve du regard comme si j'étais la huitième merveille du monde.

- Je termine mon taf à seize heures, si tu veux remettre ça...

Je lui explique que je suis pressé mais la prochaine fois que je repasse dans le coin, pourquoi pas.

******

C'est le cœur léger et les couilles vides que je reprends la route. Il m'a vraiment chauffé, l'employé de l'A6 et tout en me remémorant nos exploits, je sens Marcel se réveiller entre mes jambes. Bordel, il est jamais rassasié, le bougre.

Je repère une grande aire de repos à vingt kilomètres de là. C'est l'endroit idéal pour faire des rencontres, soit sur le parking, soit dans la boutique.

J'arrive un peu tendu (dans tous les sens du terme...). J'avise une rangée de poids-lourds stationnés en épis. Je stoppe ma caisse tout près du dernier de la file et j'attends.

J'ai pas longtemps à poiroter. Arrive un gars, crade avec un jeans pourrave et un débardeur taché d'huile. Il me regarde bizarrement. C'est un portugais, pas très haut, avec des biscotos de ouf et des poils partout. Hummm, le genre de mec qui m'excite grave. Il monte dans sa cabine et me regarde à travers la vitre. Il a une vue plongeante sur mon entrejambe et la toile du survêt qui fait le chapiteau. Il se gratte un peu la tête mais ne perd pas une miette du spectacle. Je décide alors de passer à l'action. J'abaisse mon froc et lui montre mes 20cm bien dressés au garde-à-vous.

Il entrouvre sa portière et me fait signe de monter. La démarche un peu gênée par l'érection que j'ai sous le jogg, je contourne ma bagnole et trace vers sa cabine. Il s'est positionné côté passager et me fait asseoir sur le siège conducteur. C'est pas très grand là dedans et on se retrouve serrés l'un contre l'autre, mon zboub bien raide frottant contre le volant.

Il met un doigt sur sa bouche et me montre la couchette derrière nous. Il tire le rideau et je vois une femme allongée en train de ronfler. Ben mon salaud, tu t'ennuies pas. On ramène des putes pour passer le temps. À moins que ce ne soit sa meuf...

Sans plus attendre, mon chauffeur glisse entre mes cuisses et commence à me pomper le dard. Je me retrouve à trôner sur son siège en train d'agiter la main pour saluer chaque camion qui passe. Il est doué, le gonze. C'est une des meilleures pipes qu'on m'aie jamais faite. Et pourtant, j'en ai vu défiler des bouches gourmandes sur ma teub, et pas plus tard qu'il y a une heure, mais là, c'est du champion olympique. Mon portugais m'aspire le gland comme une goulue et ça me provoque des petites décharges électriques sur tout le bas du dos. Il plonge entre mes jambes et vient lécher mes couilles avec sa langue baveuse. Je sens ses lèvres voraces s'écarter pour sucer mes noisettes en alternance. Il finit par me les engloutir en entier. Mes deux burnes bien au chaud dans sa bouche de suceuse me font kiffer à mort.

Je suis tellement ouf que je me vautre sur le dossier et que je me laisse faire.

Mon chauffeur abandonne mes boules et revient lécher ma queue de haut en bas, avant de l'engloutir en fond de gorge. Je lui attrape la nuque à deux mains et l'enserre pour forcer le passage. De bons petits coups de reins bien sentis et mon zob entre et sort de sa bouche dans des bruits de succion bien excitants. Je me fous de savoir si ça réveillera sa pétasse, je suis trop en feu. Il malaxe mes glaouis en même temps, tout en me fixant droit dans les yeux. Il est terriblement bandant, mon petit routier avec ma queue entre ses lèvres. Je le gratifie d'un franc sourire, lui signifiant que l'espace d'une turlutte, il s'est transformé en roi des biberonneurs.

Putain, Portugal: twelve points from France!!! Et vive le Sporting...

Je sors mon zgeg de sa bouche. Ma pogne enserre la base de ma queue pour la faire rebondir sur le volant puis je lui tape sa face de keumé avec mon gland tout luisant. Je lui claque aussi les joues avec mon gros cigare et lui, déjà en manque, ouvre grand sa gueule pour essayer de le fumer. Il gémit à chaque fois que je le fais languir et ses petits cris de salopes me chauffent encore un peu plus. Je dessine le pourtour de ses lèvres avec mon dard baveux et il sort sa langue pour que je la tape avec ma bite humide de désir. Je branle mon zboub avec force et mes couilles rebondissent au bord de l'élastique du jogg au rythme de mes mouvements de poignet.

Je me contracte et soudain, je gicle de grosses flaques de sperme qui viennent s'écraser sur le pare-brise, le tableau de bord et le volant. Mon joli routier ibérique a l'air affolé mais je lui fais signe de sortir la langue. Il comprend le message et se met à astiquer l'habitacle de fond en comble. Il fait même reluire son levier de vitesse avant de finir sur le mien. Il aspire ma fente encore humide dans sa bouche de pipeuse et avale les dernières gouttes. On dirait un camé privée de sa dose.

J'ai juste le temps de redescendre du poids-lourd que j'entends la femme lui crier dessus. Elle s'est réveillée juste au bon moment. Je repars sans demander mon reste, ayant horreur des scènes de ménage.

*******

Arrivé à la cabine de péage, les ennuis commencent. Un escadron de gendarmerie procède à un contrôle routier. Ils sont huit au total, bien mis dans leur uniforme d'été, à stopper les automobilistes selon leur bon vouloir. Ils ont pas mis longtemps à me repérer, les bâtards. Un blédard du 9.3 au volant d'une Ferrari à 50.000€, forcément, c'est louche.

Je vois un beau militaire en tenue me faire signe de me garer. Il doit avoisiner les trente-cinq ans, belle gueule virile, mâchoire carrée, petite barbe de trois jours et coupe à la GI… Le tout avec un regard de killer qui vous fait baisser immédiatement les yeux. Du coup, ma vue se porte sur son fute hyper moulant et sa braguette prête à exploser. Il a un tuyau de poêle tellement large et long qui pointe vers le haut, qu'il finit par déformer la fine toile bleu-marine. On devine même le gland à l'étroit qui pousse sous la grosse ceinture sécuritaire. Putain l'engin, et c'est au repos... Qu'est-ce que ce doit être quand il bande!!!

Il voit bien que je le mate à mesure qu'il s'avance vers moi mais ça a pas l'air de le gêner. Il s'immobilise tout proche et me fait un vague salut militaire.

- Gendarmerie Nationale, contrôle autoroutier.

Je le regarde à travers la vitre ouverte de ma portière. De là où je suis, j'ai une vue plongeante sur son énorme colonne qui martyrise le fin tissus du pantalon d'uniforme. Putain, la matraque!!!

- Papiers du véhicule, je vous prie.

Je reviens à la réalité et sors mon permis de conduire. Il le parcours rapidement puis me demande si je n'ai rien consommé ou fumé avant de prendre la route. Je marque un temps d'arrêt. Ouais mec, j'ai sniffé grave ce week-end, et pas que de l'herbe. Toute sorte de trucs hallucinogènes qui te font délirer grave. Je doute que mon sang soit clean, un jour après.

Je fais la mine du gars qui a pas compris, mais mon militaire n'est pas dupe. Il a flairé le bon coup, il sait qu'il tient un client. Il me fait souffler dans le ballon et bien sûr, le test s'avère positif.

Il me demande de sortir de ma voiture et de le suivre dans le fourgon, garé un peu à l'écart. Il me précède et tout en le suivant, je mate son boule bien bombé. Hummm, j'en ferai bien mon quatre-heures mais bon, faut que j'arrête mes délires. Je suis pas en situation de force, là. Si la prise de sang se confirme, les emmerdes vont pas tarder à pleuvoir.

Il apostrophe un collègue assis à l'avant du véhicule et lui ordonne de prendre la relève. Manifestement, j'ai affaire au boss, ce qui redouble mon stress. Pfff!!! me voilà dans de beaux draps!

Nous restons seuls, mon haut-gradé et moi, à l'abri des regards indiscrets. Il s'assoit à l'arrière et pianote sur son ordi.

- Vous n'êtes pas inconnu de nos services, on dirait...

Aïe! J'avoue avoir eu quelques démêlées avec la justice, ces derniers temps. Que voulez-vous, on a le sang chaud dans le sud. Je baisse la tête et fais profil bas. Mon regard accroche alors sa braguette et sa grosse queue comprimée à l'intérieur. Il m'observe du coin de l'œil et se rend compte de mon blocage sur son manche de pioche. Il porte machinalement la main à son entrejambe et se palpe le paquet.

- C'est ça que tu regardes depuis tout à l'heure?

Je reste interloqué. Je tente de nier, ne voulant pas aggraver mon cas mais la suite de son discours me laisse sans voix.

- Je les connais trop bien, les types de ton espèce. On vous repère vite, nous les flics, à toujours nous tourner autour pendant qu'on est en service. Tu crois que j'ai pas vu ton manège?! Tu reluques ma queue depuis que je t'ai interpellé.

Il se lève, sort de la fourgonnette et vient se planter juste devant moi. Il me saisit la main droite et la plaque contre son sexe tendu.

- Vas-y, fais-toi plaisir, c'est ton jour de chance.

Bordel, j'en crois pas mes yeux. Ce mec hyper viril, représentant des forces de l'ordre, veut se faire branler en plein taf. Ni une ni deux, je lui abaisse la braguette et fourrage dans son froc pour en sortir l'objet de toutes mes convoitises.

Lui, se laisse faire tout en continuant ses délires verbaux.

- Ça vous excite, hein, tous ces flics en uniforme, la bite bien raide dans leurs pantalons moule-bites. Ouais, c'est ça... sors-la moi.

Il m'aide en dégrafant son gros ceinturon de cuir. Aussitôt, son pantalon glisse sur ses chevilles. Ma main descend sur son slip déformé par la trique. Je masse son paquet. Mon haut-gradé respire plus fort et il empoigne ma tête pour me forcer à m'accroupir. Bon prince, j'obtempère, même si c'est pas ma tasse de thé. En même temps, si je peux échapper à la contravention...

Tout doucement, j’écarte l'élastique de son sous-vêtement et tire le gros manche dehors. Le gland est rouge, gonflé, tout luisant d’excitation. Je vais chercher maintenant dans le slip les grosses couilles que j’extirpe à tour de rôle. Toute la bite de mon gendarme est sortie par la poche de son slip. Vingt-trois centimètres de chair dressée, bien veinée, épaisse,... avec le gland bien plus large que la queue. Sa prune est parfaitement ourlée, sa base telle une collerette retient son prépuce bien décalotté. Le méat bave de liquide séminal. Les couilles parfaitement rasées sont lourdes, pendantes, pleines… Je trouve cette queue terriblement excitante.

- Alors, qu'est-ce que t'attends?

Il m'empoigne la nuque et me l'enfonce bien profond. Je comprends qu'il ne rigole pas. Il est là pour me soumettre. Il se retire un peu, libère ma gorge puis réenfourne aussitôt. Je respire avec difficulté. Je comprends mieux pourquoi mes soumis ont du mal à encaisser mes coups de bélier.

- Grouille-toi, on n'a pas toute la journée.

Je dois lui obéir si je ne veux pas perdre tout le bénéfice de mon action. Je sors la langue, caresse sa fente, puis referme délicatement mes lèvres sur son pieu. Je fais monter et descendre ma tête sur son engin. Hummm, c'est bon. J'en ai rarement eu d'aussi gros à téter.

Lui, n'est pas là pour plaisanter, il s'enfonce d'office dans mon gosier et me pilonne la bouche comme si c'était une chatte de meuf. Je réalise alors que je suis juste un réceptacle dans lequel il va pouvoir se soulager. Le connard redouble d'efforts, il me déboîte la mâchoire, si bien que je finis par m'étouffer. Il relâche la pression et me fixe de ses yeux méchants. Sa main sur ma nuque me fait comprendre que je dois le gober dans sa totalité. Je respire un grand coup et j'engloutis son barreau de chaise jusqu'à la garde. Quand le gland franchit la luette, je marque un temps d'arrêt. Une envie de gerber me prend mais une poussée de sa part le fait glisser jusqu'au fond de ma gorge. Putain, il me l'a carré en entier. 23Cm de matraque de flic dans le gosier, j'y crois pas! Quand je pense que j'ai un mal fou à baiser une bonne bouche de suceuse avec mon calibre 20, là, j'ai explosé tous les records...

Même sans me l'avouer, je suis vachement fier de moi. Ma langue caresse son sexe, ses baloches tapent sur mon menton mais ça ne lui suffit pas. Je le sens soudain plus violent. Il m'agrippe brutalement les cheveux et fait coulisser ma tête le long de sa hampe, de plus en plus vite, de plus en plus fort.

Soudain, il se raidit et c'est l'explosion. Un torrent envahit ma bouche, j'en avale le maximum, une partie prend la mauvaise voie et ressort par le nez, comme quand on boit la tasse. À peine terminé, il ressort son pieu tout luisant et expurge les dernières gouttes. Un long filet de bave relie encore ma bouche à son engin. Du sperme coule de chaque côté de mes lèvres. Il me lâche enfin, et mes mains enserrent ma gorge endolorie. Putain, ce monstre m'a dépucelé le gosier. Jamais personne ne s'était aventuré aussi loin. Ce flic a profité de sa fonction pour se servir de moi comme d'un vulgaire vide-couilles. Ma bouche s'est transformée en poubelle à foutre l'espace d'un contrôle. Je devrais avoir honte, le maudire, chercher à me venger,... au lieu de quoi, j'attends bêtement la suite.

Et la suite ne tarde pas à arriver lorsqu'un de ses collègue se pointe avec un test d'alcoolémie à vérifier.

Il est à peine surpris de me voir à genoux, les lèvres luisantes de jus et son supérieur en train de remballer son service trois pièces.

- Mais, mon Colonel, fallait nous le dire que vous aviez chopé un rebeu de Paname!

Je le vois ouvrir son froc et exhiber un bazooka d'au moins 25cm. Une trompe d'éléphant... Bordel, ils sont teubés comme des acteurs porno dans la gendarmerie. À croire que c'est leur premier critère de sélection!!!

Il s'approche de moi, me maintenant au sol et presse son dard contre mes lèvres.

- Je peux l'essayer, chef?

FIN

Ceven X

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