La Seyne-Sur-Mer.
Salut, moi c'est Kamel, un franco tunisien de vingt-cinq ans. Je suis de Sarcelles mais j'ai décidé cet été de rendre visite à mon couz Fatih qui crèche à la Seyne, près de Toulon.
J'arrive aux abords de la cité Berthe, à onze heures du soir. Tout est calme, ça me change de chez moi. Ils sont tous au bistrot ou quoi?!
Au détour d'une rue, près d'un parc, j'aperçois une caisse de police, tout feux éteints. J'avance prudemment. Elle est vide. Personne à l'intérieur. J'entends des bruits feutrés à l'intérieur du parc. J'escalade la barrière et derrière un fourré, je vois un flic de la BAC en uniforme bleu-marine cerné par une bande de jeunes. Ils ont tous à peu près la vingtaine, survêt Armani, débardeurs Lacoste ou pour certains, carrément torse poil. Faut dire que les nuits sont chaudes en plein mois de juillet.
Le keuf en question est un grand blond baraqué, style Schwarzenegger, 35 ans, bien foutu, belle gueule de mec viril avec tout son matos d'intervention sur lui. Gilet pare-balles, bombe lacrymogène, arme de service et gros ceinturon pour impressionner. Mais ça a pas l'air de leur faire peur aux potes de mon couz. Ils viennent de le choper et le mettent direct à quatre pattes, prêt pour une touze en plein air.
Ils l'obligent à baisser son froc et se chauffent à tour de rôle sur son cul bien exposé. Putain!!! C'est aussi cho que chez nous. Ici aussi, les condés dégustent dans les cités.
Je vois trois rebeus, un céfran et un black, tous des vrais scarlas en train de prendre du bon temps à l'abri des regards. La lopsa a gardé tout son équipement du haut. Je vois briller les grosses lettres ''PSIG'' dans son dos. Je sais pas où ils sont allés le pêcho mais je sens qu'il va morfler grave.
J'avise un second flic couché dans l'herbe face contre terre comme quand on se fait coincer dans la banlieue par ces bâtards. Un autre groupe de jeuns s'occupe de son cul et de sa bouche. Le cul prend un bon 22cm sans moufter et la bouche fait reluire des Adidas couvertes de poussière et de merde. Aucune révolte de leur part. De bons flics passifs, dressés à satisfaire la racaille du coin .
Le flic blond, bien docile à genoux sur un banc est en train de pépom un des arabes qui l'étouffe avec sa teub de 24 cm. Il lui déforme la gueule à chaque poussée. En même temps, sa main branle le céfran pendant que les trois autres matent la scène en se pignolant le bout et en fumant un joint.
Caché dans un fourré, je fais pareil. Mes doigts glissent dans mon survêt et commencent à palper mes boules. Ma teub durcit et se dresse à l'horizontale. J'ai plus qu'à passer en mode manuel. Si je suis un nikeur né, jouer les mateurs, c'est pas pour me déplaire. Le zgeb au garde à vous, je m'astique comme un ouf devant cette orgie. Un des mecs me repère et me fait signe d'approcher.
Ok, frérot, no problem, plus on est de queues plus on nique.Clair qu'il faut que je participe aux festivités.
Je sors de ma planque et tombe nez-à-nez avec mon couz Fatih.
- Putain, mon frère, qu'est-ce que tu trôles ici?
- Je te cherchais.
- Ben, tu vois, tu m'as trouvé. On se défoule sur une doublette de flics. On les a pécho le mois dernier pendant leur ronde de nuit et depuis, on les touze dans les caves. Mais ce soir, c'est eux qui nous ont contactés. Ils avaient besoin d'une bonne baise pour évacuer le stress, comme ils nous ont dit. Alors, bons princes, on s'occupe d'eux. Tu veux participer?
Il me prend par le bras et m'entraîne vers le groupe
- Viens essayer sa bouche en premier, un vrai aspirateur de jus.
On s'approche des trois mateurs et après quelques palabres, ils acceptent de le faire tourner. Le céfran me cède la place à regret. J'ai à peine le temps d'approcher de la bouche du keuf qu'il me pompe direct. Il est chooo le bâtard. Il mordille ma teub à travers le survêt et ondule son boule sous mon nez. Je sors mon zeb déjà raide cash et il vient coller sa langue sur mon gland pour téter comme une vraie chienne en manque.
Putain, elle est belle la police française!!!
Il me chauffe grave avec ses coups de langue baveuse et sitôt descendu mon falzar il engloutit mon zboub comme si sa vie en dépendait. Je lui laisse prendre soin de ma teub qui grossit dans sa bouche. Il commence une pipe royale sur mon gland qui tarde pas à lui défoncer les amygdales. Il suce la moitié de ma queue en me fixant droit dans les yeux avec son regard de salope. Il prend plaisir à me faire reluire le zgeg. Il grogne à chaque fois que je le ressors de sa bouche baveuse et tire la langue comme un chien enragé. Je rapproche la marchandise et lui dessine le contour de ses lèvres avec mon gros gland bien luisant. Il devient comme un fou et sans attendre, il se jette dessus et se l'enfourne direct avec une voracité qui fait plaisir à voir. Il comprend qu'il est à sa vraie place, à genoux sur ce banc, son uniforme sur le dos.
Et dire que c'est censé faire respecter l'ordre. Pour sûr, on doit se sentir vachement en sécurité avec de telles suceuses.
Les mecs autour de moi m'encouragent à aller plus loin. Alors, je le chope par la nuque et je lui burine la face à grands coups de reins. En deux minutes, il a mon barreau tout entier qui vient lui racler le fond de gorge. Il encaisse bien pour un novice, même s'il finit par s'étouffer. Il tête mon dard comme un veau avec le pi de sa mère. Je lui relève la tête, lui ordonne d'ouvrir la bouche et le molarde un peu. Il me regarde avec reconnaissance en bon soumis qu'il est, puis retourne direct sur mon pieu qu'il s'enfonce jusqu'à la glotte. On le voit avaler mes 22cm comme une pute professionnelle. Il bloque quand mes poils caresse son menton et reste en immersion le plus longtemps possible, sans respirer.
Il finit par relâcher la pression. Notre poulet se met à tousser fort et dégueule un peu de bile.
- Dix secondes!!! annonce le black... Vient de pulvériser son propre record.
- Il nous a pas menti. Faut croire qu'il était en manque, le bâtard.
Le keuf écoute sans rien dire, fier de lui, et me reprend en bouche comme un bon toutou bien dressé. Une chose est sûre, notre flicaille aime la queue! À nouveaux, mes boules bien pleines cognent sur son menton. Il respire difficilement mais ne me lâche pas des yeux pour autant. Je lui gave la bouche comme un ouf mais c'est clair que mon soumis en veut plus. Il lâche mon zob et commence à bouffer mes couilles comme un affamé. Mais putain, où ont-ils appris tout ça??? Certainement pas à l'école de police. Quoique, sous les douches...
Je me penche sur lui pour lui caresser le boule. Il a deux demi-lunes bien rondes et bien lisses, un vrai cul de salope à défoncer direct.
Fatih comprend mon attente. Ce flic doit prendre cher pour avoir défié les lois de la cité. Je le laisse récupérer un peu pendant que je me tape une petite branlette avec mes nouveaux potes de baise. On va bien s'en occuper de cette lopsa et elles se rappellera longtemps de mon passage dans la région.
Comme je suis l'invité, je ne veux pas trop m'imposer. Je discute un peu avec mon couz pendant que les racailles du coin se servent sur la bête. Ils sont bien organisés et tournent à tour de rôle pour se faire sucer ou branler. Le pauvre poulet bave des litres de salive sur des chibres surdimensionnés. On l'entend déglutir difficilement à chaque fond de gorge.
Il passe un mauvais quart-d'heure. Ils sont tous excités mais c'est le black qui est le plus déchaîné. Il vient se caler derrière le passif en chaleur pour lui bourrer le cul pendant qu'il astique la tige d'un des rebeus.
Dommage, j'aurais bien aimé passer en premier.
Quand il l'a bien élargi avec son bourrin de 8cm de large, il me fait signe d'approcher. Il me cède la place et je me retrouve alors bien au cho dans ce conduit de mec offert. Il couine de bonheur lorsque je tape tout au fond. J'attaque un limage en règle en l'agrippant par les cheveux et en le traitant de tous les noms. Ce flic marié, (je vois son alliance briller à son annulaire) kiffe grave ma queue et donne son cul comme la pire des lopsas. Il ondule pour mieux faire rebondir mes boules sur les siennes et je sens sa prostate qui chauffe, tellement je le lime à donf.
Il gueule sa mère quand mes couilles qui commencent à gonfler viennent lui claquer le cul et qu'il sent toute ma teub lui déchirer les entrailles. L'expression « enculé de flic! » n'a jamais aussi bien porté son nom qu'en cet instant.
La face écrasée contre le banc, ma pute soumise à ma queue est en train de grimper au septième ciel pendant que son boule se fait ramoner comme jamais. Avec un cul pareil, je vais pas résister longtemps. Je self-contrôle un max pour ne pas déverser direct la marchandise. Une chienne comme ça, mérite bien une petite éjac faciale.
Je décule et le chope par les épaules pour qu'il se colle à genoux devant moi. Je peux mieux voir son visage. Une belle gueule de militaire, mâchoire carré, cheveux courts taillés en brosse, regard de macho arrogant qui doit prendre plaisir à humilier les meufs et les mecs de banlieues. Et bien, ce soir, les rôles sont inversés. C'est moi qui vais te loper la face jusqu'à ce que tu demandes grâce.
Après tout, crémer la tronche d'un flic en service, c'est pas donné à tout le monde.
Je me branle la teub sous ses yeux soûlés de plaisir. Apparemment, il n'est toujours pas retombé de son nuage. Je sens mes burnes qui bouillonnent à l'intérieur et après l'avoir traité une dernière fois de grosse pute, je lui balance de grands jets de sperme sur la gueule.
En vingt Secondes chrono, le keuf de la BAC est recouvert de jus et son gilet pare-balles dégouline de mon foutre encore cho.
Je le laisse aux mains de mes nouveaux potes et m'apprête à remballer le matos lorsque mon couz se jette sur ma queue comme un affamé.
Ah! Je le reconnais bien là, Fatih, incapable de résister à ma grosse pine. Je le laisse se délecter du reste de ma sauce pendant que je jette un coup d'œil discret autour de moi. À côté de nous, ça s'active de plus belle. Aucun répit pour l'autre flic de service. Il est mis à l'abattage en mode tournante. Il gémit comme une pute et je vois un black d'au moins 120Kg se retirer de son cul pour lui balancer sa purée sur le dos. Il jute tellement fort qu'on voit même plus les grosses lettres de la BAC. Au même instant, l'un des rebeus lui gicle de longs jets crêmeux sur la joue. La lopsa se tourne et ouvre la bouche pour en recueillir les dernières gouttes.
Une vraie goulue celle-là. Putain, ils ont pas mis longtemps à la maquer. Derrière leurs uniformes, ils jouent les durs à cuire mais ils sont tous les mêmes: incapables de résister à un gros baobab africain.
Aussitôt joui, aussitôt partis. Ici, c'est comme chez Mac Do. Tu consommes et tu te casses.
Bientôt, nous restons que tous les trois: moi, mon couz et le premier keuf, encore en manque. Toujours à quatre pattes sur le banc, il me tend son p'tit cul sous les rayons de lune. Je lui palpe le trou. C'est cho et gluant. Putain qu'est-ce qu'il a pris. Et il en redemande!!!
Alors que Fatih me redresse la colonne à coups de langue experte, j'enfourne deux doigts directs dans ce boule bien musclé, histoire de lui signifier à qui il appartient.
Il se laisse faire docilement. Quand même, être aussi passif alors qu'on pèse près de cent kilos... Si ça continue, ce mec va virer pédé et sa femme n'aura d'autre recours que de se goder ou prendre un amant.
Quand je lui présente trois doigts, il ondule du bassin et son trou aspire mes phalanges comme un glouton. Et puis, sans crier gare, je lui enfonce les cinq doigts de ma main. Il gueule sa race. Ça m'excite deux fois plus. Je le ramone le plus loin possible, calant ma main bien au fond de ce trou gluant. Il ne proteste plus lorsque je lui malaxe sa prostate. Il en redemande. Il couine de bonheur.
Fatih s'est redressé lorsque le keuf a gueulé toute sa misère. Il n'a pas tout de suite compris pourquoi mais quand il a vu disparaître ma pogne dans son fondement, il a sifflé d'admiration.
- Putain, frérot, tu l'as bien ouvert.
- Avec tout le sperme que cette pute a aspiré, ça pouvait que rentrer.
Lorsqu'il sent mes doigts se déplier au fond de ses boyaux et quand il voit Fatih se branler devant son visage, le beau gosse de la BAC empoigne sa tige raide et active sa main jusqu'à asperger les lames du banc.
Il est vidé, soumis, vaincu. Il garde la tête basse. Il n'ose affronter nos regards. Fatih accélère sa branle et arrose les cheveux de notre soumis pendant que je lui présente ma main a nettoyer. Il hésite un instant avant de se résoudre à me laper chaque doigt comme un chiot docile.
Putain, ils l'ont bien dressé, celui-là. Ça me donne des idées pour quand je remonterai sur Paris.
Sa radio résonne au loin. On doit l'appeler pour une nouvelle mission. Ça fait bien trois heures qu'il est en mode tournante. Vont commencer à s'impatienter au commissariat.
Il ramasse quelques kleenex qui traînent par terre, tente de faire disparaître les taches les plus visibles puis remonte son futal. Il agrafe sa ceinture utilitaire, ajuste ses menottes et sa matraque. Il vérifie que son arme est bien dans son étui puis nous salue militairement avant de s'éclipser sans demander son reste.
Mon pote le voit s'éloigner puis le siffle comme un clebs. Notre vide-couilles se retourne et revient, tout penaud.
- Dis à l'autre pute de ramener son cul. J'ai encore du jus pour lui.
Infatigable, le couz!
On voit bientôt rappliquer le deuxième poulet. C'est celui qui servait de garage à bites au deuxième groupe. Il a toujours sa tenue réglementaire mais a préféré laisser son arme de service dans la bagnole. Téméraire mais pas fou, le gonze.
Fatih lui demande de virer son calbut et de lui tendre son petit boule bien rond et bien lisse. Vu les marques rouges qui zèbrent ses fesses, il a pris cher. Les mecs de la téci sont pas des tendres. Surtout avec les flics. Ils les pourchassent comme dans les rodéos et quand ils en coincent un, il déguste. Et ce soir, je crois que ce petit keuf d'à peine vingt ans (le même âge que Fatih) va dérouiller.
Sans qu'on lui demande, il est à quatre pattes devant nous et mate nos braguettes avec un regard de vicieuse. Il sait ce qu'on attend de lui. Il mouille son majeur dans sa bouche et se le plante dans le cul en se tortillant comme une meuf. Fatih se dessape et déroule son zboub circoncis. Un bon dix-huit centimètres de merguez arabe. Connaissant la violence de mon couz, il va lui déchirer sa mère!
En trois coups de rein, il lui éclate le cul et plante sa teub à moitié dans son boule. Le jeune flic beugle comme une vraie pucelle qu'aurait vu le loup pour la première fois.
Il lime sa lopsa à grands coups de queue et son zgeg arrive à se frayer un chemin jusqu'au fond de son derche. Il l'a chopé par les cheveux et lui tire la tête en arrière pour mieux le voir prendre son pied avec son manche de ouf. Je m'approche et me dessape tranquille tout en matant Fatih en train de défoncer son keuf. Je vire mon caleçon et sors mon putain de zboub. Vingt-deux centimètres de chair fraîche que j'enfourne dans sa gueule de flic. Ça lui déforme toute la bouche, il est carrément étouffé et pousse des soupirs de phoque. Il bave comme une pute et arrive à gober les deux tiers de ma batte de base-ball.
- Vas-y, frérot, montre-moi comment on fait décoller une lopsa.
Fatih comprend le message. Il lui pilonne le boule en l'agrippant par les hanches. L'autre hurle malgré mon gourdin dans sa gorge. Je m'enfonce plus profond pour le faire taire et il finit par me téter le gland comme un chaton qui cherche du lait.
Fatih le pète comme un vrai bœuf. La racaille est sans pitié dans le sud. Il l'explose à grands coups de marteau-piqueur pour essayer d'entrer le maximum de son zboub dans son cul éclaté. C'est trop chooo! Je sens mes boules en surchauffe et je balance six longues giclées de sperme qui nourrissent mon militaire. Fatih se retire aussitôt et asperge le dos de sa flicaille. Son gilet pare-balles est inondé et une nouvelle fois les grosses lettre ''PSIG'' fluorescentes, sont luisantes de son jus.
Le jeune policier se relève avec difficulté et rajuste sa ceinture du mieux qu'il peut. Il s'apprête à partir quand Fatih l'interpelle.
- Alors, monsieur l'agent, on n'oublie pas quelque chose?
Le flic se fige, le buste bien droit, et nous adresse un salut militaire de haute tenue. Le même qu'il fait à chaque fois qu'il croise un haut-gradé.
On rigole en le voyant s'éloigner en zigzaguant. On l'a tellement déboîté qu'il marche comme un zombi. On papote encore un peu dans ce parc désert puis mon couz m'invite à boire une bière chez lui. Au passage, je matte son petit cul bien rond dans son jeans pourrave.
''Miamm!'' J'ai encore faim, moi.
FIN
Racaille&Flics : 1-0
Ceven X
hellocevenx@gmail.com
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