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HISTOIRE

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Dressé par deux Racailles

Note

Cette histoire reprend les personnages de la série '' Un si grand soleil'' diffusée sur France 2. Il s'agit ici:

De Manuel Léoni (dit '' Manu''), 36 ans, capitaine de police à Montpellier, en charge de la B.A.C. Beau mec au corps trapu et très musclé. Un visage ovale, crâne presque rasé, de beaux yeux sombres et une barbe noire taillée courte.

Du Major Alexandre Lévy (dit ''Alex''), 40 ans, grand, physique de nounours, cheveux noirs avec la raie sur le côté, lunettes de vue carrées et petit bouc discret.

Chapitre 1

Il se doutait que cette mission allait foirer. Il le savait depuis le début, mais Alex n'avait rien voulu entendre. Tout ce qui l'intéressait, c'était coincer ces dealers à la petite semaine. Résultat: il se retrouvait face à deux d'entre eux, les mains au dessus de la tête, tenu en joue par sa propre arme de service.

Il les avait coursés à travers les immeubles de la Mosson (l'un des quartiers chauds de Montpellier), mais il connaissait beaucoup moins bien le secteur qu'eux. Ils avaient réussi à le semer avant de lui tendre un piège en le coinçant au détour d'une ruelle sordide.

Et il était tombé dans ce traquenard comme un débutant.

Maintenant, il leur fait face, totalement démuni.

- Qu'est-ce que tu fous avec un flingue sur toi? T'es de la police, c'est ça?!

Le Capitaine Manuel Léoni se garde bien de répondre. Il sait qu'il se trouve à la merci de deux petites frappes qui n'hésiteront pas à le descendre. Il se contente de baisser les yeux. Surtout, ne pas les provoquer.

- Allez, les mains contre le mur et écarte les jambes.

Le Capitaine s'exécute. Le plus jeune, un nord-africain d'une vingtaine d'années, s'approche de lui et commence à le palper. Il part des chevilles et remonte jusqu'aux fesses. Il fouille les poches arrières et en ressort une carte de police.

- Putain, t'as raison, frérot, c'est un flic. Un bâtard de la B.A.C. C'est trop chaud, là. Attends, je reprends ma fouille.

Il lui écarte un peu plus les jambes et vient directement peloter ses fesses bien tendues par le pantalon moulant.

- Hey! Qu'est-ce que tu fais.

L'autre lui colle son flingue sur la nuque.

- Ta gueule, sale flic. On fait la même chose que toi quand tu nous coinces.

Léoni serre les dents et cesse de parler. Il prend sur lui. Rien dans son attitude ne doit trahir sa frayeur.

- Tourne-toi (puis désignant sa braguette gonflée) Tu cacherais pas une autre arme, toi?

Cette fois, le plus jeune lui empoigne les couilles à travers la toile du jeans et les serre méchamment.

Le Capitaine Léoni ne peut s'empêcher de hurler sous l'effet de la douleur.

- C'est ça, gueule. Personne viendra te sauver.

Le plus âgé des deux recule, tout en le tenant en joue et lui intime l'ordre de retirer son t-shirt.

- ...Ton ceinturon aussi.

Léoni obéit. Il espère secrètement qu'Alex (le Major Alexandre Lévy) s'est lancé à sa recherche et viendra le tirer de ce mauvais pas.

- Prends tes menottes et passe-les aux poignets.

- Mais... Mais pourquoi? Vous n'avez pas le droit de faire ça. Je fais partie de la B.A.C et...

- Tu la fermes et tu fais ce qu'on te dit.

Il finit par s'enchaîner les poignets avec ses propres menottes.

- Bien, maintenant tu baisses ton froc.

- Mais ça va pas la tête ou quoi???

Il pointe l'arme vers l'entrejambe de Léoni.

- Écoute moi espèce de connard, tu fais ce qu'on te dit ou je t'explose les roubignoles.

Le policier devient blême. Une boule se forme dans son ventre. Il se met soudain à paniquer.

- Écoutez les gars, on peut s'arranger. Laissez-moi partir et je ne dirai rien.

- T'inquiète, tu vas repartir tranquille tout à l'heure, mais là, on va s'amuser un peu. Maintenant, tu vas la boucler, te retourner et mettre à nouveau tes mains contre le mur.

Vu le ton menaçant, Léoni ne proteste plus et fait ce qu'on lui demande. Il pose ses mains menottées contre la façade et entend le plus jeune marcher vers lui. D'un geste autoritaire, il l'oblige à se pencher en avant, mettant en valeur ses belles fesses musclées.

- T'as vu ce cul, Moktar?! Putain, on dirait un cul de gonzesse.

- Ouai... Mais on voit pas grand chose avec son falzar.

- T'inquiète, je vire tout ça.

Il défait le bouton, abaisse la braguette et tire le pantalon d'un coup sec. Le boxer vient avec. Le Capitaine se retrouve le cul à l'air devant eux. Il se sent humilié. Les larmes lui montent aux yeux. Mais il ne dit rien et ne bouge pas. Il ne veut pas leur donner le spectacle de l'angoisse qui l'envahit.

Le plus jeune reprend ses caresses. Il lui malaxe le cul, le serre puis l'écarte. Il lui administre quelques tapes avant de l'ouvrir en grand. Son œillet vierge est mis en évidence.

- T'as vu ce trou, une vraie chatte de meuf. Fais-moi confiance, il va prendre mes vingt-deux centimètres bien profond.

Léoni se raidit en entendant cela. Ce n'est pas possible, ils ne vont pas passer à l'acte!

- Ouai, ça à l'air pas mal. Écarte encore pour voir si mon gourdin pourra rentrer?

Le jeune écarte le cul de son captif au maximum, son trou est bien exposé, là. Il palpite un peu. Le militaire a honte comme jamais. Il sent Moktar approcher, racler sa gorge puis balancer un bon crachat qui atterrit sur sa rondelle.

- Je vais voir comment il encaisse, cette pute de flic.

Léoni commence à se rebeller. Il tente de se retourner pour mettre fin à cette mascarade. Moktar lui assène un coup violent à la tête.

- La prochaine fois, je tire.

Il sent ses fesses écartelées et un doigt le pénétrer. Il grimace de douleur. C'est la première fois qu'il subit une telle intrusion. Tout doucement, une première phalange se fraie un chemin. Il a les doigts longs, agiles. Il prend tout son temps. Léoni serre les dents.

Le plus jeune se marre, tout en encourageant son partenaire.

- Allez, mon pote, vas-y franco, il est là pour ça.

- Ok, à tes ordres, dit Moktar.

Il retire son doigt, puis en enfonce deux d'un coup. Il le ramone super fort. Le Capitaine de police gueule à plein poumons. Ce salaud y va à fond, sans pitié, martyrisant son beau cul de mec hétéro. Il se défoule sur ses fesses, ricanant avec son complice. Quelques claques achèvent le trentenaire qui se laisse pistonner sans plus réagir.

Quand il sent trois doigts vriller dans son conduit, il supplie de ralentir, mais ça les excite encore plus. L'aîné redouble de violence et là, contre toute attente, la queue de Léoni se dresse toute seule sous l'effet du doigtage. Le plus jeune le remarque et dit.

- Tu vois, mon frère, ils sont tous les mêmes dans la flicaille, de vraies tantouzes.

Le beau Capitaine serre les dents, pour ne pas montrer l'effet que ça lui fait. Mais il craque et commence à gémir. C'est plus fort que lui, tous ces doigts qui lui chauffent l'anus, ça l'excite un max. Moktar se déchaîne. Il fourrage son trou, l'écarte au maximum, trouve sa prostate qu'il écrase sans ménagement...

- Je savais que tes petites fesses de pédé me laisseraient venir.

Léoni ne dit rien. Il représente les forces de l'ordre et pourtant il reste là, sans réagir. Pire, son bassin ondule au grès des différentes pénétrations. Même s'il a toujours mal, le sentiment de bien-être est presque aussi fort. Il sent des ondes de chaleur l'envahir. Il se cambre, halète comme une chienne en chaleur, le front appuyé contre le mur. Sa bouche salive. Ses beaux yeux sombres lancent des éclairs de plaisir. Jamais il n'aurait osé imaginer se faire violenter par deux racailles et aimer ça.

- Ça te plaît, hein, ma salope! Ça t'excite trois doigts dans le cul.

Le jeune rebeu parcourt le visage du Capitaine avec le canon de son arme de service. Il explore chaque recoin de sa barbe puis immobilise le cylindre devant ses lèvres. Sans réfléchir, Léoni ouvre la bouche et suce le long tube d'acier. Il fait reluire son SIG Sauer* avec sa propre salive.

(* pistolet semi- automatique employé par la police nationale)

- Quelle chienne, regarde-le! dit Moktar.

Il le baffe plusieurs fois pendant que son complice lui enfonce l'arme jusqu'aux amygdales.

- Je sais pas si on va le relâcher. J'ai envie de me faire un peu de blé. On manque de meufs dans la cité, on pourrait le faire tourner. T'en penses quoi? (caressant son crâne tout en le doigtant). Avec une perruque, ça peut le faire.

Le Capitaine de police n'en croit pas ses oreilles. Ils sont prêts à le prostituer pour quelques euros.

- Ouai, mais faut voir s'il suce aussi bien que sur son flingue.

Moktar retire ses doigts sans ménagement, arrachant un cri aigu au policier, puis le fout aussitôt à genoux.

- Vas-y, mon pote, à toi de jouer.

Le plus jeune baisse son bas de survêt et sort une queue peu poilue mais de belle dimension. Bordel, elle est bien plus longue que ce qu'il croyait.

Il agite son membre à moitié dressé, frotte le gland sur les lèvres de Léoni, puis tente de forcer sa bouche.

Ce dernier détourne la tête, rempli de dégoût. Il veut bien se laisser doigter mais pas sucer la bite d'un délinquant. Le canon froid contre sa tempe le force à changer d'avis. Avant d'avaler sa première queue, il reçoit un dernier avertissement.

- Un conseil, ouvre bien ta bouche de suceuse et pompe-le comme une reine, sinon tu reverras plus tes collègues.

Notre bel hétéro n'a pas vraiment le choix. Il finit par ouvrir la bouche. Le jeune dealer lui la fourre direct au fond du gosier. Léoni a un mouvement de recul, mais son agresseur lui agrippe la tête et imprime un rythme soutenu. Il l'oblige à une gorge profonde. C'est sa première fellation, il tousse, bave, suffoque...

- Hoaw! Les flics de la B.A.C sucent vraiment mieux que les meufs, y a rien à dire. Un vrai pro!

- Je t'ai dit qu'on en aura pour notre argent. Et encore, j'ai pas essayé son cul.

À présent, le jeune arabe bande dur. Sa queue est bien raide. Il a fermé les yeux, tout occupé à lui défoncer la gueule à grands coups de reins. La bave coule en abondance autour de son chibre. Il est aux anges. Il râle de plaisir. C'est tellement bon de soumettre une bouche de flic. Il revoit tous ses potes, obligés d'obéir à ces machos armés jusqu'aux dents et qui se croient au Far-Ouest. Pour une fois qu'ils en tiennent un, il va payer pour les autres...

Il redouble de violence. Il voit bien dans le regard de son captif qu'il voudrait le tuer, mais bientôt, c'est lui qui voudra mourir, brisé.

- Hummm!!! T'es une bonne suceuse, toi. Je suis sûr que tu le fais souvent.

Pas de réponse.

Une gifle lui décolle l'oreille.

- Alors! Karim t'a posé une question.

Léoni fait non de la tête tout en gardant la queue de son assaillant dans la bouche.

- Ben dis-donc, t'apprends vite, petite cochonne. Tu vas devenir la pompeuse attitrée du quartier. Allez, tourne-ton cul, mon pote va s'occuper de toi.

Il retire sa queue brusquement. Le Capitaine Léoni a la bouche en feu. Il tousse fort et vomit un peu de bile. Eux, rigolent de plus belle tout en se moquant de lui.

Il ose enfin affronter ses agresseurs et leur demande une nouvelle fois de le laisser partir. Moktar lui dit de la fermer et de remettre ses mains contre le mur. Il les regarde en les suppliant du regard.

Il repositionne ses mains sur la paroi. Il a les jambes qui tremblent. Il réalise soudain qu'il va se faire enculer par deux petits voyous de banlieue. Il baisse la tête, résigné. Il s'attend au pire, surtout lorsque Moktar lui murmure à l'oreille.

- Supplie-moi de te baiser, sale chienne.

Là, s'en est trop! Le capitaine Manu Léoni se redresse et empoigne son assaillant. L'instinct guerrier reprend le dessus.

- Va te faire foutre, connard.

L'arme se retrouve braquée sur lui.

- Je le répéterai pas deux fois. Je vais compter jusqu'à cinq, après, je te fais sauter la cervelle. UN... DEUX... TROIS... QUATRE...(le clic du cran d'arrêt est levé).

- OK, Ok, baise-moi, si ça te chante.

- Tss, tss, mieux que ça. T'es une pute qui doit implorer ma queue. Dis-le que t'es une pute.

(moment de silence avant de répondre)

- Je... Je suis...

- Tu es quoi?

- une ...pute.

- Et tu veux quoi?

(nouveau moment d'hésitation. Léoni sent la honte envahir son visage)

- Me... faire baiser.

- Tu veux que je te défonce le cul, c'est ça?

(sentant son trou palpiter à cette simple évocation et commençant à perdre la tête)

- Oui.

- TU VEUX QUOI ? DIS-LE !!!

- Je... Je veux me faire défoncer le cul avec ta grosse queue.

- Ben voilà, fallait juste demander.

Il lui crache dans la raie. Deux doigts massent sa rondelle avant que son gourdin pointe enfin contre son œillet. Il inspire un grand coup, puis pousse...

Un cri strident s'échappe de la ruelle déserte. La pastille du capitaine vient de céder. Pourtant, le jeune caïd a rentré juste le gland. Il avance difficilement dans ce cul serré. Léoni se retient de crier davantage, de peur d'ameuter d'autres dealers. La bite de Moktar est moins longue que celle de son complice mais beaucoup plus large. Il progresse cm par cm.

Le policier de la B.A.C sent son cul envahi, écartelé. À 36 ans, c'est sa première sodomie. Il souffle fort. Il sent l'haleine chaude de son violeur lui brûler l'arrière du cou. Il gémit de douleur mais Moktar n'a que faire des plaintes de sa victime. Il le pilonne à la dure et il aime ça, le salaud. Il n'arrête pas, il va de plus en plus loin. Les coups de boutoirs redoublent de violence.

Léoni se tend vers l'avant pour échapper au supplice. Il se retrouve écrasé contre le mur.

Il grogne de douleur mais bientôt ses râles deviennent plus plaintifs. Il se mord les lèvres pour ne pas crier. Il ne se reconnaît plus, lui l'hétéro pur jus. Il est dans un état second. Le voilà baisé dans une ruelle déserte et sa seule réaction est de couiner de plaisir.

Sa queue a durci et son gland frotte contre la paroi. Il bande comme un âne. Il ne doit pas trop gémir sinon l'autre va se déchaîner.

Soudain, le beau militaire sent le ventre du délinquant collé contre son cul. Bon sang, il a tout rentré. Il a du mal à comprendre comment une bite aussi large que longue peut le pénétrer si facilement.

Mais ce n'est pas la préoccupation première de Moktar. Il est là pour soumettre ce cul hétéro. Il sort sa queue quasiment en entier puis la replonge d'un coup sec. Il est fier d'entendre un représentant des forces de l'ordre gueuler à chaque coup de bite. Il prend son pied tout en commentant.

- C'est la première fois qu'un flic prend la totalité de mon zeb dans le cul.

Quoi?!... Il n'est donc pas le premier à y passer? D'autres collègues ont subit sa loi?!

Peut-être plusieurs de ses hommes!...

Mais il n'a pas le temps de réfléchir davantage que déjà Moktar accélère. Il le bourre de toute sa longueur, sort et rentre à un rythme effréné. Il est obligé de bâillonner son enculé tant il beugle fort. Il lui déboîte le cul, ça claque fort et sec. Son pote l'encourage à continuer. Il lui dit qu'il doit payer pour tous les frères de la cité qu'il a coincé. Il le défonce à mort. Le Capitaine n'est plus qu'un pantin désarticulé, écrasé contre le mur, les mains au dessus de sa tête, menotté comme un voleur. Seule sa queue réagit. Elle pulse des quantités de mouille, prête à exploser.

- Putain, frérot, regarde comme il encaisse bien ce pédé. Je crois qu'il va jouir du cul.

Ces paroles décuplent la rage de Moktar. Il lui explose le fion avec sa bite en feu. Léoni le supplie d'arrêter mais c'est l'effet inverse qui se produit. Le maghrébin lui ouvre le cul en deux avant de s'immobiliser bien profond à l'intérieur. Son gland fouille les entrailles vierges du représentant de la B.A.C tandis que ses boules rebondissent contre ses fesses meurtries.

Le plus jeune commence à se branler. Sa queue reprend du volume.

- Et, mon frère, il me chauffe grave, ce con. J'ai envie de me le faire, moi aussi.

- Pas de soucis, il lui reste un trou de libre.

Léoni est poussé en avant. Les 22 cm de Karim viennent s'écraser contre ses lèvres. Il ouvre la bouche et enfourne à nouveau le manche dressé. Cette fois, sans protester...

Le gland s'enfonce jusqu'à la glotte, lui donnant envie de vomir. Sa queue occupe tout l'espace. Il respire difficilement. Putain, quel monstre il a entre les jambes, ce jeune de banlieue! Il en serait presque jaloux.

Il s'applique à faire reluire cette belle teub. Elle coulisse sans à-coups. Il la sent palpiter et vibrer au gré de ses coups de langue. Il la lèche, l'aspire, suçote le gland... si bien que Karim finit par se retirer, de peur de jouir trop vite.

- lèche-moi un peu les couilles.

Une telle demande, en temps normal, aurait valu à son auteur un uppercut direct en pleine figure. Léoni aurait fracassé l'effronté. Mais là, dans cette rue déserte, il se contente d'obéir docilement.

Il abandonne à regret son sucre d'orge pour passer une langue maladroite sur ses boules glabres. Elles sont très volumineuses et dégagent une forte odeur de transpiration. Malgré toute l'application qu'il y met, le léchage s'avère malaisé tant le pilonnage de son cul est intense. Moktar ne le ménage pas, sa rondelle est complètement ruinée. Son corps tressaute à chaque assaut.

- Ouaiii!!! Il suce bien les couilles, ce pédé.

Puis, introduisant à nouveau son braquemart entre les lèvres de son suceur.

- Pistonne le bien... Ça me branle en même temps.

Les coups de boutoirs redoublent. Le fier Capitaine n'est plus qu'un puits de luxure. Il sait qu'il va devoir satisfaire ces deux jeunes mâles bourrés de testostérones. Il servira de vide-couilles. Ils vont le transformer en décharge à foutre. Ils lui apprennent déjà à obéir sans moufter avant de le dresser en bonne chienne soumise.

Cette perspective l'excite. Il ne s'appartient plus. Ses hanches et sa bouche relancent chaque pilonnage, invitant à une défonce plus violente. Moktar est déchaîné. Il lui emmanche son gourdin jusqu'aux couilles. Il sort et entre à une vitesse folle. Karim n'a pas besoin de bouger. Son membre vient directement s'empaler dans la bouche offerte du Capitaine.

Les enchaînements de queues se font plus physiques. Les deux pervers transpirent abondamment. Chaque plainte de Léoni est une occasion pour accélérer toujours plus la cadence.

Le beau Capitaine se sent possédé. Il ne se débat plus, entièrement à leur merci. Courbé en deux, les mains menottées, il est vaincu, écartelé. Les larmes lui viennent. Ses grands yeux sombres renvoient de lui une image de débauché. Il découvre enfin sa vraie nature. Celle d'un soumis.

- Tu deviens une vraie petite chienne. T'es en chaleur, là!

Léoni approuve de la tête. Il ne veut pas recevoir une autre baffe. Et puis, au fond de lui, il sait que c'est vrai.

- T'es ma pute, maintenant.

Nouveau hochement de tête.

- Tu vas revenir souvent dans le quartier te faire défoncer ta grosse chatte de flic.

- Huumm!!!

- T'inquiète, mes potes et moi, on va bien s'occuper de toi, lance Moktar dans un grand éclat de rire.

- Putain, mon frère, il aime ça, se faire humilier. C'est plus un homme, c'est une larve!

Léoni cesse d'écouter, trop concentré à sucer et à se tortiller. Oui, à sa grande honte, il ne se considère plus comme l'archétype du macho masculin. Les remarques dégradantes de Moktar l'ont fait bander encore plus dur. Il aspire à devenir sa chose, à être dominé par lui. Il kifferait se faire doser par tous les mecs de la cité. Et oui, sa bouche et son cul de flic leur appartiennent désormais. Ça fait plus d'une demi-heure que l'un et l'autre ont cédé. Qu'ils ont lâché prise. Qu'ils ont enfin trouvé leurs véritables Maîtres...

Seul son cerveau tente encore de le résonner. En vain.

Il se penche un peu plus et tend sa croupe. Chacun comprend alors sa disposition à s'offrir. Ses sphincters resserrent cette colonne brûlante qui le perfore. Ils emprisonnent la queue de Moktar, la branlent sur toute sa longueur, refusent de la voir sortir. C'est son cul qui s'empale de lui-même sur ce monstre de chair. Lui, qui imprime des mouvements de va-et vient...

- Tu peux plus t'en passer maintenant que t'y as goûté, hein? Elle te plaît ma grosse queue d'arabe.

- Hummm

- Tu la voulais dans le cul, c'est ça, p'tite pute. Regarde comme je te bourre bien.

- HUUMMM

- Ah! elle est belle la police...

Les voilà tout excités. Ils ne se gênent pas pour le baiser sans complaisance. Ils le ramonent comme une femelle. À ce rythme, le Capitaine Léoni se demande qui va décharger le premier. Le jeune Karim est au bord de l'explosion, il le sent. Sa langue est déjà pleine de mouille.

Le militaire redouble d'ardeur. Il sait ce qui l'attend mais il continue. Son cerveau est en mode ''pause'', il a cessé de résister.

À cet instant, il n'est plus ce haut gradé qui commande aux hommes de la Brigade Anti Criminelle, mais un simple flic menotté et soumis qui attend sa récompense.

Karim le saisit par les oreilles et s'en sert pour faire coulisser sa bouche sur son engin. Il impose une défonce totale. La queue plonge au plus profond. Son gland heurte le pharynx, ressort, puis revient à la charge tel un bélier.

Léoni voudrait plus de douceur. Son fond de gorge lui brûle, il a mal. La nausée le prend, il voudrait gerber...

À force d'accélérations, la bave lui coule des lèvres et dégouline le long du menton. Karim stabilise son rythme puis se crispe.

- Putain!!! Je vais jouir. T'avales pas!

Léoni sent cette barre de chair convulser puis se contracter alors qu'il se retrouve la nuque bloquée. Karim le maintient fermement, ne voulant pas qu'il se retire. Il contemple son soumis avec mépris. Cette petite fiotte s'est laissée dominer trop facilement, à son goût.

Bordel, ces mecs de la police sont de vraies tarlouzes!

Il lui redresse la tête et l'oblige à le regarder droit dans les yeux. Il lui crache au visage tout en l'insultant. Le Capitaine, brisé, aspire sa queue du mieux qu'il peut. Il veut sentir cette liqueur chaude envahir sa bouche.

Il le veut... Putain, il le veut... IL LE VEUT...

Ce jeune de 18 ans sait qu'il va assister à une grande première. Un officier de la B.A.C s'apprête à goûter son foutre pour la première fois de sa vie.

- AAAHHHH !!! Je jouiiiis...

Le Capitaine Léoni a juste le temps de respirer un grand coup. Un premier jet crémeux vient s'écraser sur son palais, suivi de quelques autres moins copieux mais tout aussi épais. Karim l'oblige à garder sa queue en bouche pour être certain que son souffre-douleur ne recrachera pas sa semence.

Léoni en garde une grosse quantité mais quelques gouttes s'échappent de la commissure des lèvres et s'écoulent le long de sa fine barbe brune.

Le jeune maghrébin finit par le libérer. Le Capitaine se retrouve la bouche vidée de son gourdin mais remplie de sa crème qu'il n'a pas avalé.

- Ouvre la bouche.

Léoni se soumet. Il entrouvre la bouche dans laquelle nage un liquide blanc et visqueux.

- Sors la langue.

Il sort une langue gluante de sperme. Jamais il n'aurait imaginé se faire humilier de la sorte. Être à la merci de deux malfrats qui s'acharnent à casser du flic. Mais à sa grande honte, il constate que pour rien au monde il n'échangerait sa place.

- Avale!

Il hésite un instant. Il se revoit jouer la scène. Bon sang, ce ne peut pas être lui, emmanché d'un côté et la langue chargée de foutre, de l'autre.

- Alors, qu'est-ce-que t'attends!!! Bois du bon jus d'arabe. Je vais te dresser à la queue, moi!

Léoni soutient son regard, autant par défi que par fierté et avale la totalité du liquide. Il déglutit avec difficulté à cause du goût fort et salé.

Voyant que son pote en a terminé, Moktar repositionne son enculé contre le mur.

- Mets tes mains au dessus de la tête et écarte les jambes.

Léoni capitule. Il est devenu leur jouet sexuel. Ils se payent un représentant des forces de l'ordre et ils ne vont pas le rater. Il sent qu'une nouvelle humiliation l'attend. Il baisse la tête et fait ce qu'on lui demande.

- Parfait. Viens voir le travail, frérot.

Karim contourne le policier de la B.A.C. Il constate les dégâts en sifflant d'admiration. L'œillet est complètement ravagé par la baise sauvage qu'il a subit. Il est boursouflé, rougi, déchiré par endroit. Il s'ouvre, se ferme, comme un bec d'oisillon qui demanderait la béquée.

- Putain mec, tu l'as bien ouvert. Un vrai garage à bites.

- Ouai. Et le garage de cette pute va contenir plusieurs bagnoles...

Léoni ne saisit pas tout ce qui se trame derrière son dos. Il les entend rire. Son cerveau tourne au ralenti. Il sent bien sa rondelle distendue et l'air frais qui s'engouffre dans ses boyaux. Il est insensible aux doigts qui le fourragent et aux mollards qu'on lui crache dans la raie et qui coulent le long de sa jambe.

Le fonctionnaire de police s'attend à être pénétré par le gros dard de Moktar. Il se prépare à un nouvel assaut, quand soudain, il sent comme une sensation de froid entre ses fesses. Un objet dur et rond cherche à forcer sa rondelle. Il a à peine le temps de réaliser, que déjà son sphincter cède sous la pression.

- Détends-toi, il est déjà rentré à moitié.

Léoni tente de se redresser. Il panique. Ces cinglés lui ont introduit le canon de son SIG Sauer dans le cul. Il sent le cylindre coulisser à l'intérieur. Il serre les fesses, se crispe au maximum, mais son œillet est déjà trop dilaté pour résister.

- Laisse-toi faire. Elle est bonne ton arme de service, hein? Tu pensais jamais qu'elle servirait à ça.

Le fier Capitaine commence à geindre. Il réalise soudain dans quel merdier il s'est mis.

- S'il vous plaît, arrêtez. Vous avez eu ce que vous vouliez... Laissez-moi partir.

- Pas question, t'es notre pute, lui répond Moktar

Le ton de sa voix se fait soudain plus menaçant. Il se penche en avant et lui susurre à l'oreille:

- Si tu résistes, je t'explose de l'intérieur, compris?

Léoni acquiesce de la tête.

- Et t'as intérêt d'assurer.

Il se repositionne derrière sa proie et présente à son tour son chibre à l'entrée des fesses déjà occupées.

Léoni sent la queue collée au canon de l'arme qui cherche à le pénétrer. Il résiste tant bien que mal. Mais après quelques tâtonnements, le gland finit par passer. Le trentenaire ténébreux se retrouve bientôt empalé par son flingue et une queue de 20cm.

Moktar savoure sa réussite sous les encouragements de Karim. Il grogne de satisfaction et marque une pause. Il attend que le cul qu'il honore se fasse à sa large queue et au tube d'acier. Léoni gémit fort. Il voudrait que ça s'arrête. Son trou est écartelé et il souffre le martyr.

- Penche-toi encore un peu, lui ordonne le jeune délinquant en appuyant une main sur ses reins.

Quelques secondes après, il pense que sa cible est prête. Il commence des va-et-vient lents et réguliers. Progressivement, il augmente la cadence, les coups deviennent plus secs.

Plus profonds, aussi.

Cette double pénétration est intense. Elle chauffe les boyaux du Capitaine qui finit par rendre grâce. Son cul se fait de plus en plus salope. Il s'agite dans tous les sens, s'offre à son nouveau vainqueur. Se soumet à son nouveau Maître.

Le tyrannique Moktar!

Ce dernier le baise de toute sa force de délinquant, lui perfore le fion comme un sauvage. Les deux intrus dans son cul s'entendent comme larrons en foire. Le canon de l'arme agit comme un piston de velours alors que la colonne de chair le défonce comme un marteau-piqueur..

Moktar redouble d'efforts. Un grand coup de reins le harponne jusqu'à l'os. Son bazooka coulisse de concert avec le flingue. Ses grenades ricochent contre ses fesses. Léoni est incapable de lui résister. Il encaisse comme il peut. L'assaut est des plus violents.

Mais comment fait-il pour l'enculer si facilement? Il n'en sait rien.

Tout ce qu'il sait, c'est que la bite qui le ramone est bien raide et que l'arme fichée au fond de lui le fait grimper au septième ciel. Il gémit comme un bon enculé. Comme un jeune puceau qui découvre la queue.

Karim lui relève un peut le cul pour que son compère puisse le limer plus profond. Il s'est saisi de l'arme et la fait coulisser jusqu' à la gâchette. Et même si la longueur du canon n'est pas très longue (9,8cm), sa hauteur (14cm), associé à la grosse queue de Moktar ont fait exploser la pastille du viril hétéro.

Léoni a du mal a garder l'équilibre. Il beugle son envie de baise. Être leur pute du moment, c'est tout ce qui compte. Son nouveau Maître commence à le fesser. Il lui assène des coups de plus en plus forts, ce qui décuple son plaisir. Les couilles de son baiseur claquent contre sa croupe rougie. Sa queue ballote dans tous les sens et laisse échapper quantité de jus. Il n'est plus très loin de jouir.

Soudain, Moktar se fige et cherche à se retirer. Léoni comprend qu'il veut décharger sur ses fesses. Mais il a trop envie de le sentir gicler en lui. Il est accro. Il bave de désir. Il ne se reconnaît plus. Envolé l'homme qui collectionnait les femmes, le Don Juan sûr de lui qui enchaînait les conquêtes féminines. Aujourd'hui, il n'est plus un homme mais un simple trou qui se soumet à la loi de deux racailles du quartier.

Il tend son cul, l'invite à revenir. Il se cambre, s'offre comme la dernière des catins. Il vient de lui-même s'empaler sur le gland baveux. Moktar grogne comme un animal.

- T'es vraiment une grosse cochonne. Putain, il a pas fallu longtemps pour te dresser, toi!

Il lui griffe le dos, l'insulte, lui mord l'oreille jusqu'au sang et, d'un geste rageur, le saisit par les hanches et l'encule bien profond, le faisait hurler de surprise.

Pendant ce temps, Karim a retiré le pistolet et le présente devant les lèvres de Léoni.

- Vas-y, astique-le, il est pas très clean. Tu voudrais pas que tes collègues te demandent d'où sortent toutes ces tâches?!

Le Capitaine ouvre la bouche et gobe le canon. Ça a un drôle de goût: âpre, amer,... mais déjà sa langue s'enroule autour du cylindre et s'active à le nettoyer. Il fait reluire son arme à feu aussi bien qu'avec un chiffon. Bon sang, il ne pensait pas que sa bouche servirait un jour à ça. Il pousse même le vice jusqu'à lécher la gâchette et la crosse sous le regard hilare de Karim.

Et tant pis pour les empruntes digitales...

Pendant ce temps, la queue de son dominant le baise fort. Il n'aurait jamais cru qu'on pouvait ressentir un tel plaisir en se faisant prendre le cul. Son cul qui lui ne lui appartient plus, désormais...

Ces dernières pensées le font jouir. Sans même se toucher. Sa bite gicle dans tous les sens, sur le mur, son jeans, ses baskets,... Des flopées de sperme qui lui arrachent une plainte aiguë.

Moktar ne tarde pas à venir. Sa queue gonfle puis crache de puissants jets de foutre. Le Capitaine de la B.A.C. comprend qu'il se fait engrosser. Que ses boyaux enflent de la semence virile d'un jeune caïd. Il ressent toutes les vibrations du manche qui le remplit. Il sait que son nouveau Maître vidange ses grosses couilles en lui, largue ses milliers de graines au fond de son cul vierge.

Qu'il le féconde devant toute la cité...

Qu'il lui fait un petit...

Un petit délinquant.

Moktar reste encore emboîté quelques secondes, le temps de cracher la dernière giclée.

- Hoaww!!! J'espère qu'il va tomber enceinte avec tout ce que je lui ai mis.

- Putain, tu l'as bien rempli, mon pote.

L'agrippant à la gorge.

- Je veux que tu gardes mes bébés toute cette nuit, compris? (pointant le pistolet dans sa direction). En attendant, tu vas nous remercier.

- Merci.

- Merci de quoi, sale pédé de flic?

Le Capitaine de police, Manu Léoni, 36 ans, membre des forces de la B.A.C, ancien hétéro, regarde le canon de sa propre arme pointée sur lui. Il sait que même sans ça, il les remercierait quand même.

- Merci de m'avoir baisé.

- Et mon jus, tu lui dis pas merci?

- Merci pour le jus dans mon cul.

- Allez, casse-toi, t'as eu ce que tu voulais. Et n'oublie pas de revenir!

FIN

PS : c'est drôle mais depuis cette histoire, lorsque je regarde ''Un si grand soleil'', je ne vois plus le beau Capitaine Léoni avec les mêmes yeux. 😉

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Ceven X

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