Urinoir en folie

Hello, moi c'est Malik, un jeune beur de vingt-quatre ans. J'adore traîner dans les toilettes publiques des grandes surfaces. On y fait des rencontres parfois surprenantes.

La dernière fois, je pissais tranquille contre un urinoir lorsqu'un beau mec en costard-cravate s'est pointé. Belle gueule, peau mâte, style italien ténébreux. À peine un peu plus âgé que moi mais déjà sûr de sa personne.

Il est venu se caler direct à côté de moi alors que d'autres tasses étaient libres. Pas gêné pour un sou, le gars. Sans perdre de temps, il mate mon matos pendant qu'il sort le sien. Après s'être soulagé, il entreprend une petite branlette sans quitter ma bite des yeux. Mon sang ne fait qu'un tour. Je m'astique le jonc à mon tour tout en reculant un peu pour bien lui montrer mon zob en train de grossir.

Mon beau VRP louche sur ma queue. Ça l'excite un max. Je le vois passer une langue gourmande sur ses lèvres. Il en bave de désir. Qu'à cela ne tienne, je vais lui donner ce qu'il réclame.

Sans même me reboutonner, je me dirige vers une cabine et lui fais signe de la tête. Il regarde en direction de l'entrée puis me rejoint d'un pas assuré.

Il referme derrière lui et me saisit la queue avec autorité. Je sais trop bien ce qu'ils veulent, ces hétéros pressés. Une baise à la va-vite et puis retour au boulot.

Mais aujourd'hui, j'ai envie de profiter de lui à fond. Mes mains lui font une pression sur les épaules pour qu'il s'accroupisse. Il me regarde surpris mais finit par céder. Le voilà à présent sur les genoux, sa belle tronche à portée de mon dard. Il ouvre timidement la bouche et se met à me sucer du bout des lèvres. Apparemment, ce n'est pas ce qu'il était venu chercher. Je le sens contrarié. Mais bon, rien à braire, moi ce que je veux, c'est l'utiliser comme la dernière des catins.

Je lui saisis la nuque et imprime un mouvement plus rapide. Il a un haut-le-cœur mais ne me repousse pas. Au contraire, on dirait qu'il y prend goût. Il n'y a qu'à voir sa queue qui déforme son pantalon de tergal. Elle est prête à exploser. Je le traite de tous les noms et lui intime l'ordre de me regarder pendant qu'il me pompe. Il lève ses beaux yeux bleus, un peu perdu et j'en profite pour lui balancer quelques mollards, histoire de lui faire comprendre qu'il est à mon entière disposition.

Je n'en reviens pas. J'ai un super beau mâle viril au bout de mon zeb, un hétéro pure souche soumis à mes moindres caprices.

Tout en le fixant durement, je sors mon zboub de sa bouche qui commençait à fatiguer et lui biffe sa belle gueule d'ange. Il essaie de réenfourner mon manche à chaque coup sur ses joues. On dirait qu'il en redemande. Mais j'ai d'autres plans pour lui. Je lui présente mes skets que j'enlève pour lui faire sniffer mes cho7.

Il grogne, comme pour se révolter mais je lui enfonce mon pied dans la bouche. Mon nouveau joujou sexuel finit par mâchouiller le coton humide de transpiration. Je l'abreuve de la sueur de mes cho7 que j'ai au pied depuis deux jours. Encore groggy, j'en profite pour lui mettre mes baskets sous le nez afin qu'il se saoule de la forte odeur qu'elles dégagent.

Et sans que je lui demande rien, il sort la langue et entreprend de me les faire reluire. Bon sang, j'ai affaire à un bon soumis qui s'ignorait. Sans qu'il s'en doute, je viens de lui révéler sa vraie nature.

Je profite de mon avantage pour pousser mes pions un peu plus loin. Je me penche vers lui et lui colle la main au cul, histoire de voir s'il serait open pour que je l'enfile.

Cette petite pute écarte bien son trou au passage de mes doigts. Bingo! Je sens que je n'aurai pas perdu ma journée dans ce centre commercial. Je le relève, le retourne de force et le colle contre la paroi faïencée. Il met ses mains en appui et c'est là que je découvre son alliance. Bordel, le mec est marié mais tout ce qui l'intéresse, c'est une bite dans le cul.

Ok, mon beau, tu vas l'avoir mais avant, je vais bien te préparer. Je veux que tu repenses à cet instant ce soir, quand tu baiseras ta femme et chaque fois que tu viendras faire tes courses, tu te débrouilleras pour la laisser quelques minutes seule pendant que tu te feras tringler comme la pire des traînées.

Je m'agenouille pour lui lécher sa rondelle humide. Il écarte un peu plus les cuisses et s'offre sans pudeur. Envolé l'homme d'affaires sûr de lui qui venait dans ces chiottes pour se soulager. Un simple beur issu de l'immigration lui enseigne les délices d'une véritable baise.

Je remplace ma langue par deux doigts qui lui triturent l'œillet. Je le chauffe, l'élargis jusqu'à l'assaut final. Mais le bougre résiste tant bien que mal. Il ne veut pas succomber aussi facilement. À force de patience, il finit par céder et engloutit les six phalanges avec délectation. Seul un petit cri discret lancé à mon encontre indique que mon beau soumis vient de capituler.

De le voir creuser ses reins, de l'entendre gémir de plaisir, m'incite à passer à l'étape suivante. Je devine qu'il est fin prêt pour l'estocade finale.

Le pantalon sur les chevilles, debout contre le mur, jambes bien écartées avec son joli cul musclé prêt à l'emploi, je ne peux me retenir de l'humilier une dernière fois.

- Petite salope, ça a l'air de te plaire. Tu veux que je t'encule?

Pas de réponse.

- T'as perdu ta langue?
- Nn... Non.
- Alors dis-le!
- Je veux que tu... m'encules.

Je tourne mon index dans son trou bien offert. Il soupire d'aise.

- D'accord chéri, mais faut me le demander plus poliment.
- Je... Je veux que tu... que vous m'enculiez, s'il vous plaît.
- C'est mieux. Et pourquoi devrais-je te baiser?
- …
- Parce que tu es qu'une pute. Dis-le que t'es une pute.
- Je... Je suis une pute et... je veux... me... faire... ARRGGHHH !!!

Sans même le laisser finir, je l'embroche sans ménagement. Il hurle de douleur puis baisse d'un ton, se souvenant soudain que nous sommes dans un lieu public. N'importe qui pourrait entrer et se demander ce qui se passe.

Bien calé au chaud dans son cul, je stabilise ma prise. Il souffle fort, les mains crispées sur le carrelage. Je reprends mes mouvements tout en douceur. Il ne peut s'empêcher de gémir. Il se cambre à chaque coup de bite qu'il reçoit. Il ondule du bassin comme une femelle en chaleur. Je vois bien qu'il a complètement abandonné son rôle de macho hétéro et qu'il prend un plaisir pas possible. J'en profite pour lui agripper les hanches et lui asséner de grands coups de parpaings.

- T'es qu'une traînée, une putain. T'entends ce que je te dis? T'es qu'une pute bonne à baiser.
- Oui, oui, bon sang, plus fort!!!... Allez-y, c'est trop bon.
- Tu reviendras te faire démonter le cul?
- Oohh... OUIIII !!!

À ce moment là, je vois une gerbe blanchâtre maculer les carreaux du mur. Ce con vient de lâcher la purée sans même se toucher.

Je me déboîte, le retourne sans ménagement et le force à s'accroupir.

- Allez, finis-moi avec ta bouche de pipeuse.

Il ne faut pas le lui dire deux fois. Il ouvre bien grand la bouche et me pompe comme si sa vie en dépendait. En même temps, je le vois reprendre sa branlette. Sa tige se tend à nouveau. Décidément, ce jeune coq semble inépuisable. Je parie qu'il va cracher une deuxième fois.

Il enfourne mes dix-huit centimètres, suçote le gland violacé. Il a bien conscience que le goût est un peu amer mais il est tellement excité par ce qu'il vit que son cerveau a cessé de fonctionner. Il tourne à vide, comme un disque dur. Lui, ce qu'il a de dur c'est mon manche au bout de la langue. Je fais des va-et-vient dans sa bouche, lui caresse les cheveux. À un moment, il arrive à accélérer le rythme de sa fellation. C'est à mon tour de pousser des râles puissants.

Bordel, il apprend vite pour un hétéro. Une bonne bouche de salope, en perspective. Je suis obligé de calmer ses ardeurs pour ne pas cracher. Lui, au contraire redouble d'efforts. Il a sans doute compris qu'il serait en retard au taf. Mais moi j'en ai rien à foutre. Enfin, façon de parler.

Mon beau gosse est déchaîné. Il coulisse sa langue le long de ma bite, gobe mes boules à pleine bouche. Il me chauffe comme une pute. Il ferait un malheur dans ma cité. Je m'enfonce bien profond et lui tiens la tête. Je reste plusieurs secondes sans la bouger. Je vois des larmes lui couler des yeux. Il n'arrive plus à respirer. J'aime bien regarder mes bâtards s'étouffer sur mon chibre en érection. Je relâche enfin la pression puis sors ma queue toute baveuse. Je lui intime l'ordre d'ouvrir sa gueule de passive et me branle à l'entrée de ses lèvres. Je finis par lui décharger mon jus sur le bout de la langue. La petite pute avale tout, tout en me fixant droit dans les yeux.

Je l'ai super bien dressée celle-là, et en peu de temps.

J'essuie ma queue dégoulinante de jus sur sa cravate et lui retire 50€ de son portefeuilles, avant de disparaître.

M'étonnerait pas de le retrouver demain dans ces chiottes, à la même heure.

FIN