Eloge des vestiaires collectifs

Je suis de cette génération qui a connu le service militaire, la nudité entre hommes faisait partie du quotidien. C’était l’époque des décalotages et des palpations de bourses à la chaine dans des gymnases remplis d’hommes nus attendant leur tour pour se faire examiner. L’époque où la pilosité était laissée au naturel et où sexe et bourses s’exposaient fièrement dans un écrin de poils mâles. Un homme gardant son slip dans un vestiaire aurait paru suspect, la pudibonderie c’était pour les femmes.

Ce temps est fini et l’individualisme a envahi jusqu’au vestiaire où s’est perdu cette expérience de la nudité collective, de ce retour aux sources où vêtements et autres marqueurs sociaux tombaient pour laisser place à l’expérience d’être un homme en communauté avec pour seul droit d’entrée celui de posséder l’organe génital mâle. Qu’importe l’âge, la race ou l’apparence, les distinctions sociales s’effaçaient et seul restait la sensation unique d’acceptation par la nudité d’appartenir à la même communauté d’hommes.

Heureusement, il existe des endroits épargnés par cette pudibonderie. Dans les campagnes où la notion de camaraderie existe encore on trouve des lieux de nudités collective préservés. Il y est aisé de voir se prélasser ou déconner joyeusement nus dans les vestiaires et dans les douches des jeunes hommes appréciant cette promiscuité viril et naturelle.

Même si certains affichent une pudeur de façade, je sais d’expérience que le plus hétéro des mecs prendra toujours plaisir à se relaxer sous une douche chaude dans le plus simple appareil en compagnie de ses pairs masculins. J’ai vécu des scènes où de nouveaux arrivés dans des équipes sportives commençaient pudiquement à se doucher en caleçon et voyant que tous les autres se promenaient nus le laissait tomber rapidement. Quelques semaines après, ils étaient les premiers à se balader à poils en faisant l’hélicoptère avec leur bite.

C’est dans les endroits les plus pauvres et à la culture religieuse forte que la pudeur est la plus extrême, le ridicule poussé aux douches en caleçons sales après le sport (ou parfois à pas de douches du tout).

Afin de continuer à vivre cette expérience, mon secret c’est les salles de sports select, autrement dit chères. Là, vous trouverez encore des jeunes préservés de l’esprit de la pudibonderie. La culture du corps sportif dans les classes sociales supérieures leur ayant inculqué à ne pas avoir honte de leur corps.

C’est d’abord un plaisir certain que de croiser un jeune mâle avant son entrée dans les vestiaires. Le voir dans ses vêtements du quotidien et ainsi en apprendre un peu plus sur lui : du jeune étudiant aux traits encore juvéniles dans la période de sa vie où sa bite visite le plus de chattes, au jeune actif en chemise installé dans sa vie de couple dont les bourses serrées dans son pantalon de bureau doivent être gorgée d’une semence qu’il contient pour sa belle. Rien de plus jouissif que de les déshabiller du regard, les imaginer nu et pouvoir découvrir cette réalité ensuite. C’est d’ailleurs plutôt les mecs approchant de la fin de la vingtaine qui rejoignent le club de la génération « moins pudique », avec l’âge on apprend à s’accepter comme on est.

La séance débutant, j’aime à observer le visage de ces jeunes hommes grimaçant d’effort, un visage proche de celui qu’ils doivent avoir pendant l’orgasme. Peu à peu les tâches de transpiration se forment sur leur t-shirt et un discret fumet commence à émaner de leur corps. Plus la séance dure plus la transpiration vient faire luire ces muscles tendus, gonflant chaque fois un peu plus après l’effort. Seuls résonnent dans la salle les bruits virils, proche de ceux de la baise, que les mâles produisent en repoussant leurs charges et les félicitations entres hommes lorsqu’une série est compétée efficacement.

Certains jeunes hommes manquant de goût viennent en jogging ample, mais la plupart au fait de leur beauté naturelle, viennent en short courts, mettant bien en avant leur paquet lorsqu’ils s’allongent et leurs cuisses larges et poilues.

A noter que je ne fait pas ici l’apologie des hommes bodybuildés qui sont pour moi repoussant, ce sont des hommes artificiels, un vrai mâle aime le sport et entretien son corps mais sans excès.

Lorsque la séance se termine, vient le moment que je préfère le plus, celui du retour au vestiaire.

La testostérone produite par l’effort se sent dans l’air ambiant, comme si leur sueur en était chargé. Transformé par ce pic d’hormone ils incarnent une masculinité parfaite, se ressentant dans leur regard et leur posture de conquérants.

A l’entrée des vestiaires c’est l’odeur de ces corps qui frappe en premier, elle est le fruit unique du regroupement de tous ces mâles reproducteurs. Pas une odeur forte mais un parfum exquis, mariage des odeurs corporelles propre à chaque homme dégagés par toutes leurs glandes : des aisselles aux pieds en passant par leur sexe lui aussi ayant transpiré. Cette odeur s’accompagne d’une moiteur, d’une humidité chaude presque palpable.

Bien souvent les jeunes hommes se rendent à la salle en groupe et les exclamations de voix de leurs discussions se font entendre, parfois exagérées, comme pour marquer une décontraction préalable au déshabillage et chasser toute ambiguïté.

C’est toujours le t-shirt qui part le premier. Imprégné de leur sueur fraiche, il vient mouler parfaitement leurs formes. Dans un geste terriblement sexy où les bras se croisent, permettant d’abord d’apercevoir les abdos. Ces tablettes que tous se donnent tant de mal à construire. Une ligne de poils toujours plus ou moins denses les recouvres. Noirs ou clairs, lisses ou frisés, ces poils perlent d’une sueur qui descend jusqu’au pubis. Le fameux chemin du bonheur qui semble indiquer une direction à suivre pour la langue. Chez certains hommes, ces poils peuvent se densifier et former un tapis recouvrant l’ensemble des abdominaux poussant la ressemblance avec des jeunes loups.

Puis se dévoilent les pectoraux, plus où moins développés, une fierté absolue pour de nombreux hommes, affichée grâce à des t-shirts moulants ou des polos ajustés. Les mamelons peuvent avoir différentes tailles, je trouve que les plus petits sont les plus virils car les plus éloignés de ceux de la gent féminine. Leur couleur varie en fonction de l’ethnie. Chez certains, ils pointent allègrement excités par les mouvements du t-shirt pendant la séance, ils n’en ont cure, seuls les femmes doivent s’en cacher. Recouvrant les pectoraux un duvet ou une forêt de poils donnant envie d’y blottir sa tête. C’est pour moi un symbole de virilité très excitant. J’adore voir quelques poils dépasser du col de la chemise d’un beau gosse en costume, comme si la virilité indompté souhaitaient s’exprimer sans l’accord de son propriétaire. C’est souvent entre les pecs que la naissance de cette pilosité se développe pour venir peu à peu recouvrir tout le torse.

Vient ensuite dans le même mouvement, la découverte les aisselles, royaume des hormones où les poils collés par la sueur fraiche s’affiche fièrement, loin de la mode stupide qui consistait à les raser il y a encore quelques années. S’en dégage une odeur enivrante, pas l’odeur rance d’une vieille transpiration, mais le parfum de jeunes mâles au plus fort de leur capacité sexuelle et reproductive.

Le jeune homme est maintenant torse nu. C’est une expression fausse car jamais perçue dans nos sociétés comme une forme de nudité pour l’homme. Ils peuvent déambuler ainsi à l’aise, comme il n’est pas rare de les surprendre en été. Souvent, c’est le privilège de ceux pratiquant un sport régulier qui font tomber le haut à la moindre occasion. C’est un délice d’observer la contraction des bras, des épaules, gonflées par l’effort passé et laissant de sueur.

Vient ensuite le tour des chaussures et des chaussettes. La mode est au blanc, nike ou adidas, parfois un peu ternis par une utilisation répétée. Complètement ignoré par ces modèles masculins, uniquement vu pour leur utilisation utilitaire pour jouer ou marcher sans savoir que leurs pieds recèlent pourtant un potentiel érotique formidable. Ils les exposent sans le savoir, comme une affirmation de masculinité évidente, dans ces immondes claquettes à la mode, beauf mais tellement viril. Les pieds laissent une empreinte au sol, produite par la moiteur après l’effort et dégagent une odeur particulière, qui vient s’ajouter à celle du reste de leur corps transpirant.

Le moment tant attendu arrive enfin, celui de la mise à nu total. Comme un pansement à arracher, ils regardent fixement devant eux ou parlent pour masquer le passage de cette étape. Beaucoup font la « danse de la serviette » et s’enroulent dans cette dernière pour descendre short et boxer. Même pour les plus à l’aise avec leurs corps, on observera rarement un déshabillage frontal, ils se retourneront le plus possible afin de masquer leur sexe aux yeux curieux, question de principe. C’est donc les fesses que nous découvrons toujours en premier. Quoi de plus sexy qu’une belle paire de fesses musclée et galbée, on les imagine se contractant sans cesse pour pénétrer leur partenaire et finir par décharger leur semence abondante. En la matière ce sont les hommes africains les mieux dotés, leurs culs noirs sont toujours bien bombés, comme une caractéristique sexuelle secondaire surdéveloppée. C’est par ailleurs la seule partie de leurs corps que les mecs hétéro laissent à l’état sauvage. J’ai rarement vu un mec hétéro les fesses épilées, à part pour leurs besoins primaires ils ne s’en servent pour rien d’autre, je doute qu’ils en voient l’utilité. C’est chez les bruns bien entendu que la pilosité se voit le plus. Chez certains hommes c’est carrément la foret amazonienne avec des poils allant en frisant qui recouvrent les deux lobes. Pour les moins poilus seuls les poils descendant vers leur anus dépassent. Après une séance de sport leur trou est bien humide de transpiration, en atteste les traces sur les boxers. Le regard peut alors descendre vers les cuisses, épaisses, souvent poilus elles aussi, elles dégagent la puissance masculine des étalons, les mollets gonflés à bloc viennent compléter le tableau.

Vous imaginez que c’est à ce moment de mon récit que nous allons découvrir leurs sexes. Vous vous trompez, vous ne pourrez en avoir qu’une vue furtive à ce moment là. Le boxer baissé et c’est presque immédiatement une serviette enroulé ou posé négligemment d’une main qui vient recouvrir pénis et bourses.

Deux options s’offrent alors à nous, les salles proposant des douches fermées ou ouvertes. Le pire étant celle proposant les deux, vous perdez 50% de votre population masculine qui sera obligé par « principe » de faire le choix de la douche fermée, seuls les mecs habitués aux sports co iront dans les douches ouvertes.

Mais nous sommes ici pour le plaisir donc nous prendrons l’hypothèse de douches ouvertes. C’est dans leurs claquettes laides mais terriblement sexy, laissant apparaitre leurs pieds odorants, qu’ils prendront la direction de la douche. Si la serviette n’est là que pour cacher le sexe on aura le privilège d’avoir la vue de petits culs musclés bougeant au rythme de leurs pas.

Quand c’est un groupe de potes qui se rendent ensemble à la douche, la pudeur laisse vite place à une joie infantine, comme un retour à l’insouciance de l’enfance où la nudité n’existe pas.

Combien de fois ai-je assisté à des bousculades, des éclaboussures de jeunes éphèbes s’amusant entre eux la queue ballotant à l’air.

Si c’est un jeune hétéro qui se rend seul à la douche, il n’affichera pas une nudité aussi éclatante et il passera certainement la plupart de son temps face au mur. Si vous vous montrez respectueux - pas comme certains mecs gay que j’ai déjà vu faire des allusions mettant le gars mal à l’aise - il y a toujours un moment où le jeune mâle se retournera et vous fera le cadeau de sa nudité totale car il se sentira « safe » et pas jugé.

Suivant l’organisation naturelle du corps et la fameuse ligne de poils dont je parlais plus haut, mes yeux partent des pecs pour descendre jusqu’au pubis. A mon grand regret ce dernier est maintenant toujours épilé. Pas un homme que j’ai eu le plaisir de découvrir dans le plus simple appareil récemment n’avait de poils. C’est dommage on perd en animalité mais le sexe n’en est que mieux mis en avant.

De mes observations j’ai noté qu’il y avait deux types de pénis. Ceux qui pendent lourdement vers le bas ou ceux qui restent droit. Je pense que c’est les bourses qui donnent cet effet, plus elles sont grosses et contractées plus le penis est surélevé.

Dans les deux cas, c’est toujours un plaisir pour moi que de découvrir un nouveau sexe. Aucun ne se ressemblent, tous ont leurs caractéristiques propres, c’est comme de rencontrer ce jeune mec pour une deuxième fois, de pouvoir conserver dans ma mémoire pour toujours cette vision de l’intimité dévoilée. C’est encore plus plaisant quand fortuitement on tombe sur un jeune que l’on connait, cela m’est arrivé il y a plusieurs semaines quand j’ai croisé par hasard dans la douche, le mécano de mon garage. Un jeune italien de 31 ans, il était gêné au début et m’a adressé un rapide signe de tête, puis nous avons commencé à discuter et il s’est détendu, me laissant l’occasion d’admirer son gros membre flacide à loisir. J’avais imaginé sa queue des dizaines de fois dans mes fantasmes et elle correspondait bien à l’idée que je m’en faisais. Brune d’abord, sans surprise du fait de ses origines. Chez beaucoup d’homme le sexe est bien plus foncé que le reste du corps, il s’agirait d’une action de la testostérone sur la peau. Cela donne à l’organe un côté moins propret et plus attirant je trouve. Ce sont les bourses qui se colorent le plus fortement et c’était le cas chez mon italien qui avait deux boules de la taille de noyaux d’avocats bien brunes chacune.

Dans l’imaginaire collectif, c’est la taille du pénis qui importe le plus, il est vrai qu’il est très agréable de voir un jeune mâle exhiber fièrement une lourde queue, cela renforce sa confiance en lui et l’affirmation de sa masculinité. Il est plus facile pour un homme bien doté de se mettre à nu et devenir ainsi le roi du vestiaire. Les lecteurs les plus sportifs sauront cependant bien que ça n’est pas après une bonne séance de sport que le sexe masculin est le plus à son avantage, le sang ayant afflué vers d’autres parties du corps.

Pour ma part, je suis plus attentif à la taille des bourses, depuis que plus jeune un ami médecin m’avait parlait du lien entre leur taille et la production d’hormones qu’elle relâchent dans l’organisme. C’est ces deux glandes qui vont permettre de transformer le garçon en homme dès le début de sa vie sexuelle, le rendre plus agressif, dominant, plus musclé et lui donner l’obsession de remplir le plus de trou possible. J’aime toujours ainsi à penser que découvrir un homme avec de grosses bourses donnera une bonne indication sur sa vie sexuelle et sa libido. J’ai plusieurs fois eu confirmation de cette théorie en découvrant les énormes paires de bourses des mecs à la masculinité la plus voyante du vestiaire. En fonction de la température de l’eau, la peau des testicules peut se relâcher et nous donner le plaisir de voir les deux glandes bien plus précisément dans le sac, comme si le corps voulait offrir à nos yeux une vue encore plus détaillée.

Venant se poser sur les bourses, le gland recouvert du prépuce. Ce dernier est pointu comme sur les statues grecs masquant la forme du gland ou en cloche moulant le gland et donnant un premier aperçu de la partie la plus intime de l’homme. Plus le prépuce est charnu, veiné et imposant plus il renforce l’animalité du sexe. Chez les garçons bien élevés, un décalottage plus ou moins rapide se fera permettant à l’observateur de voir le graal de la nudité masculine, le gland. Seul les partenaires intimes de ces jeunes hommes ont normalement le plaisir de connaitre cette partie de leur anatomie. Rosé ou violacé il semble toujours prêt à se gorger de sang pour transformer le jeune homme en une bête de sexe. On peut parfois apercevoir des impuretés autour du gland, fruit de la transpiration de la séance, elles sont bien vites nettoyées et disparaissent en suivant le chemin de l’eau venant couler du gland jusqu’aux bourses.

En parlant de prépuce, cela est rare, mais j’ai déjà eu l’occasion de croiser des rebeu dans les douches. Ce sont souvent des jeunes mecs de la deuxième ou troisième génération d’immigrés avec des parents leur ayant donné une éducation « à la française ». Lorsque cela arrive je suis aux anges, c’est un spectacle dont je ne me lasse jamais, ils ont des caractéristiques sexuels secondaires uniques allant des lèvres épaisse à la pilosité, comme un appel au sexe sur patte. L’impossibilité pour eux de cacher leur gros gland exposé sans cachette à la vue de tous par leur circoncision religieuse m’excite également énormément, quoi de plus impudique que cette mise en avant définitive de la partie la plus intime de l’homme.

Plus le mec se sentira en confiance et pas observé, plus il restera longtemps dans la douche pour profiter de la relaxation offerte pas l’eau chaude après la séance. J’ai alors tout loisir de voir l’eau s’écouler en caressant les formes virils du corps masculin. Je trouve également terriblement sexy quand un mec se savonne de manière consciencieuse, faisant mousser généreusement ses aisselles, soulevant ses bourses, faisant ballotter son sexe, c’est là aussi rentrer dans un rituel intime.

La douche touchant à sa fin, le jeune mec reprendra la direction des vestiaires et même si il vous a côtoyé nu pendant plusieurs minutes il cachera à nouveau son sexe avec sa serviette pour se déplacer. Dernière chance de profiter du spectacle, le séchage avec cette nouvelle technique à la mode, surement héritée des vestiaires de foot, qui consiste à déposer sa serviette aux pieds pour se les sécher et ainsi s’exposer une dernière (ou première si vous avez des douches fermées) fois le sexe à l’air. Puis vient le temps de l’enfilage du boxer avec parfois la chance, si le mec est de dos, d’observer une grosse paire de boules et le bout de la queue entre les jambes pendant la manoeuvre.

N’hésitez pas à m’envoyer vos avis sur mon récit par mail et à me raconter vous aussi votre expérience/ce qui vous plait dans les vestiaires collectifs ;)