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Orientalismo

1 | Hypnose de mon banquier rebeu

Persuader le directeur de la banque d’intervertir mon conseiller bancaire avait été un jeu d’enfant.

Je suis passé d’une vieille femme acariâtre quinquagénaire à un jeune beur fin de la vingtaine. Il m’a suffit d’un coup de fil et d’un petit tour de persuasion dont moi seul ai le secret pour pouvoir profiter d’un accès illimité à Tayeb.

J’avais tout de suite flashé sur lui en le croisant dans un couloir de la banque : sa démarche assurée, son air mi canaille mi employé du mois, son costume (trop) cintré moulant son torse svelte et ses fesses musclées ne pouvaient me laisser indifférent. Sans compter que j’ai un faible pour les arabes, rien de plus jouissif pour moi que de dompter un oriental, ce sont les plus durs à posséder tant ils sont fiers et sanguins. Je garde des souvenirs émus de mes années de service militaire en Algérie où j’ai pas mal profité de mon grade pour foutre quelques locaux à poils, au détour d’une conversation j’avais appris que la famille de Tayeb était originaire d’Oran.

Durant plusieurs mois, j’ai enchainé les prétextes fallacieux pour entrer en contact avec le jeune maghrébin et ainsi commencer à induire des phases d’hypnoses de plus en plus fortes. Cela passait principalement par des messages vocaux que je lui laissait sur son téléphone pro qui me permirent ensuite, petit à petit, sans qu’il en ait conscience de le diriger vers des vidéos hébergées sur un serveur privé. J’étais excité rien qu’à l’imaginer devant son écran en train de fixer la spirale et de répéter mes phrases préenregistrés. L’hypnose est un art complexe, les charlatans dans la rue peuvent faire obéir les gens à la volonté faible, mais face à un caractère fort et pour des ordres touchant à l’intimité du sujet, il est nécessaire de travailler l’esprit pendant des semaines sans relâche.

C’est ce que je me suis astreint à faire avec Tayeb jusque’à ce qu’arrive le grand jour.

——

J’attends depuis 5 bonnes minutes, lorsque ma proie arrive enfin. Je le vois arriver dans le long couloir qui sépare son bureau du reste de l’agence. Il ne le sait pas mais cette distance c’est moi qui l’ai induite en manipulant l’esprit de son directeur, j’avais besoin d’être sûr que l’on ne serait pas dérangé lorsque je procéderai à la phase finale de mon plan. Les derniers mètres qui nous séparent me permettent de le découvrir une nouvelle fois.

Tayeb est un magnifique rebeu, 27 ans à tout casser, il porte une chemise blanche cintrée mettant en avant ses bras musclés et ses pectoraux dessinés, une cravate noir ainsi qu’un pantalon de costume gris. Il doit faire dans les 1m75, carré d’épaules, des cuisses épaisses encadrant un gros paquet prometteur.

Que dire de son visage, la peau mate, des yeux en amande d’un noir profond accentué par deux sourcils noirs eux aussi, une mâchoire carrée à la barbe légère et taillée symbole d’une virilité entretenue, deux lèvres charnues à la limite de l’obscène, une coupe à la mode révélant sa nuque avec un dégradé travaillé.

L’ensemble dégageant une assurance de façade sous laquelle on peut percevoir la fragilité de la petite frappe ayant travaillée dur pour sortir de sa condition sociale mais évoluant dans un milieu dont elle ne maitrise pas tous les codes. Sa boucle de ceinture Hermes et son parfum trop dosé me confirment que le jeune homme confond le bling bling et la classe.

- Monsieur Dulac ? Me lâche-il avec un sourire à la blancheur éclatante.

- Bonjour Monsieur Bendjira, comment allez-vous ?

- Très bien merci et vous même ?

- Cela va parfaitement bien, et cela ne fera qu’aller mieux aujourd’hui,

- Euh… tant mieux pour vous… vous me suiviez ? Dit-il en m’emboitant le pas.

Me voilà donc à suivre ce bel adonis, je ne peux m’empêcher de mater ses deux fesses rebondies et musclés pendant qu’il marche.

- Voilà je vous en prie prenez place.


- Je m’installe confortablement, il pianote sur son ordinateur et moi je sors de mon sac un métronome en bois que je mets en marche.

- Alors, j’ai tout d’abord envie de vous parler de votre P.E.L et de…

Tic, tac fait le métronome

Tayeb relève la tête au son de l’appareil.

- Qu’est ce que c’est que ça ? C’est un truc pour le piano non ?

- Chuuut chuut, tu te souviens ?

- Me souvenir ? Monsieur Dulac vous allez bien ? C’est une blagu….
Tic, tac fait le métronome.

- Tic tac, tic tac, tic tac Tayeb, suit le son du métronome mon beau.

- Tic ? Tac ? répond Tayeb en baillant.

Je vois que ses yeux commencent à regarder dans le vague, les centaines d’heures de vidéos où je lui ai implémenté ce son comme un déclencheur d’une phase d’hypnose profonde portent leurs fruits.

- Bien maintenant mon garçon nous allons compter ensemble jusqu’à 10. Chaque chiffre te fera plonger un peu plus dans un état de détente profonde, tu laissera tous tes membres et tout ton être embrasser cette relaxation. Tu es prêt ?

Le jeune beur tente de plisser les sourcils, dans une tentative désespérée de regagner sa concentration.

- Mais… pourquoi vous… ?

-Chuuut écoute le métronome, tic tac, répète après moi 1

- 1

- C’est bien voilà. 2

- 2 
Tic, tac fait le métronome.

- 3 tu n’a jamais été aussi détendu, tu te sens comme dans un bain chaud et tu ne ressens rien d’autre que du bien être.

- 3, je n’ai jamais été aussi détendu, je me sens comme dans un bain chaud et je ne ressens rien d’autre que du bien être.

Le maghrébin finit sa phrase en soupirant d’aise et en s’avachissant dans son fauteuil.

- 4 tu me fais une confiance aveugle, tout ce que je dis tu le respectera à la lettre.

- 4 je vous fais une confiance aveugle, tout ce que vous dites je le respecterai à la lettre.

- 5 mes ordres ne sont là que pour te procurer du bien être, tu as envie de ressentir du bien être, d’être plus détendu que jamais
Tic, tac fait le métronome.

- 5 vos ordres ne sont là que pour me procurer du bien être, j’ai envie de ressentir du bien être, d’être plus détendu que…. amais

La fin de sa phrase est difficilement compréhensible, il articule de moins en moins bien

- 6 aucun de mes ordres ne te semblera étrange, je ne te demanderai de faire des choses que pour accroître ton bien être. Hoche la tête si tu comprends.

- Tic, tac me répond il en chuchotant.

Voilà qui est très satisfaisant, le perdre à 6 est bon signe pour la suite, les sujets les plus récalcitrants résistent parfois jusqu’à 9. Sans doute ses parents sévères sur l’éducation lui ont apprit à bien obéir.

- 7 tu ne gardera aucun souvenir de notre rendez-vous, juste une impression fugace d’avoir passé un bon moment en ma présence.

- 8 tu te détends.

Tayeb a la tête calée sur son torse et dodeline doucement au rythme du métronome.

- 9 tu te détends.

- 10 tu es à moi.

C’est à mon tour de souffler. J’aurais eu l’air bien sot si cela n’avait pas fonctionné. Heureusement après des années de pratiques ma technique est au point. Le jeune maghrébin est maintenant complètement allongé dans son fauteuil et seul son bureau l’empêche de glisser au sol. Il arbore un air apaisé et une respiration lente et profonde. Pourtant il ne dort pas je vois ses lèvres charnues bouger doucement et je devine qu’il ne cesse de répéter "tic, tac" au léger rythme du métronome.

- Tu es bien maintenant ?

Il pousse un gémissement d’aise comme réponse.

- Bon garçon, maintenant je vais te demander de te lever et de venir t’assoir en face de moi dans les fauteuils là bas.

Avec des gestes faibles et d’un pas lent Tayeb se déplace jusqu’au petit salon dans l’angle de son bureau où je l’y rejoint en prenant soin d’emporter le métronome et ma sacoche.

- Tayeb, maintenant que tu es complètement dans les vapes, je dois te parler franch… mon garçon, regarde moi quand je te parle.

Il relève alors la tête me fixant d’un sourire niais de ses yeux noirs profonds.

- Depuis la première fois que je t’ai vu, l’envie de te posséder m’obsède. Je ne pense qu’à toi jour et nuit, l’idée que tu m’appartiennes entièrement, corps et âme et la possibilité de te dominer provoquent chez moi une excitation qui est quasiment de l’ordre du supplice. 
Pourquoi toi ? Tu dois certainement te demander (question purement rhétorique vu son état de conscience). 
A vrai dire cela n’est pas toi spécifiquement, plutôt ce que tu représentes. Un jeune homme d’abord, à l’apogée de ses capacités reproductives. Qu’il est jouissif de croiser tous ces beaux jeunes hommes musclés et viril au milieu de la vingtaine ou de la trentaine et de savoir que tous stockent en eu cette sève produite abondamment qu’il ne rêve que de pouvoir déverser. 
Ensuite, tu t’en doute surement un peu, mais ton appartenance ethnique a beaucoup joué. J’ai un attrait irrésistible pour les maghrébins. Votre fougue, votre masculinité, votre fierté, votre physique exotique, tout chez vous m’attire. Tu dois te dire que j’aurais pu m’attaquer à n’importe quel jeune de banlieue, cliché de la virilité arabe. Mais rien ne m’excite plus en réalité que l’idée de rabaisser un jeune beur en costume qui croit qu’il a un niveau de respectabilité assez haut pour renier sa vraie nature, celle d’une bête de sexe.

Il me sourit toujours bêtement sans comprendre la portée de mes propos.

- Bien tu va maintenant te lever et te déshabiller entièrement, commence par la chemise.

Comme un robot il se lève et défait sa cravate qu’il laisse tomber négligemment au sol puis commence à déboutonner sa chemise. Se faisant ses bras bras musclés tendent le tissus de sa chemise blanche.

Le voilà torse nu.

Je découvre son torse matte sculpté, aux pectoraux saillants et aux abdos dessinés. Pas une musculature ridicule de bodybuilder, celle d’un homme véritable au corps taillé par une pratique sportive riche. Des poils bouclés viennent courir en triangle entre ses deux pectoraux massifs et autour de ses petits mamelons bruns. Le frottement de sa chemise toute la journée a provoqué l’érection de leurs deux pointes. Les poils vont en se densifiant le long de ses abdominaux pour finir en une forêt drue et désorganisée sous son nombril, format un triangle s’arrêtant à la bordure du pantalon. Après une bonne journée de travail il dégage une odeur de sueur fraiche mélangé à son parfum masculin.

- Je suis bouche bée c’est magnifique, tu es magnifique Tayeb. C’est mieux que dans mes rêves les plus fous, montre moi un peu ces muscles, contracte les.

Il commence à prendre plusieurs poses en contractant tous les muscles de son corps.

Se faisant il me laisse apercevoir le dessous de ses aisselles fournies en poils frisés, pilosité typique des hommes d’Afrique.

- Stop, garde les bras derrière la tête, ne bouge plus.

Je ne peux m’empêcher de me relever et d’approcher mon nez de ses deux aisselles, des traces blanches de déodorants sont présentes parmi les poils abondants. Il est vrai que la mode du rasage de ces poils ci est passée, tant mieux ! Une odeur musquée se dégage de sous ses bras, pas celle de la transpiration rance mais une odeur de transpiration mâle, pleine de phéromone. Cela provoque chez moi immédiatement une érection de tous les diables.

Je me rassois et lui ordonne de passer à son pantalon.

Il s’exécute et s’escrime à défaire sa ceinture puis descend lentement son pantalon toujours en gardant une expression de plénitude idiote sur le visage.

Je n’aperçois tout d’abord que la bande de son caleçon, puis il descend son pantalon entièrement ce qui me permet de pouvoir admirer son boxer Calvin Klein gris, moulant à souhait ce qui m’apparait comme un appareil génital de compétition. Ses boules ont l’air grosse comme des oeufs et le relief massif les surplombants ne laisse que peu de place à l’imagination quand à la taille du sexe du jeune arabe, la forme de son gros gland circoncis est également clairement dessinée à travers le tissus.

Encadrant le paquet, deux cuisses épaisses mattes poilues, puis plus bas les mollets puissants, eux aussi recouverts d’un duvet de poils noirs frisés.

Cela coince au niveau des chaussures, il ne s’embête pas et les faits sauter puis les jettes négligemment dans le coin de la pièce.

- Assied toi en face de moi et donne moi ce pied.

Je ne suis pas un fétichiste des pieds mais je compte bien profiter de son corps en entier.

Tayeb s’assied négligemment dans le fauteuil en fasse de moi, son gros paquet remontant entre ses cuisses, et me tend un pied que je prend en main. Il doit faire du 43, une taille standard, ses ongles sont un peu abimés je devine par une pratique sportive, il doit être comme beaucoup de garçons arabes un fan de foot. Une légère pilosité noire vient habiller ses orteils. Comme pour ses aisselles, une odeur mâle légère se dégage de ses pieds, elle n’est pas pour me déplaire également. Entre ces doigts de pieds bruns, des bouloches restantes de ses chaussettes noires.

J’applique quelques pressions à des points précis de sa voute plantaire, vieux restes d’une technique de massage que l’un de mes amants thaï m’a appris, ce qui a pour effet de faire gémir d’aise le jeune beur. Le bruit du métronome résonne toujours en fonds sonore, couvert par les gémissements de Tayeb. Mon pantalon est trempé par ma propre excitation.

- Tu entends le métronome Tayeb ? Ecoute le profondément, écoute le pendant que je te masse les pieds, tu aimes les massages ? Sens comme ils t’emmènent encore plus loin dans la relaxation.

Durant plusieurs minutes, je m’applique à appuyer sur tous les poins de relaxation de ses pieds pendant qu’il dodeline de la tête en gémissant doucement complètement reparti aux limites de sa conscience. Sécurité nécessaire pour moi avant de passer à une étape bien plus intime de mon effeuillage où sa volonté pourrait reprendre le dessus.

- Bien assez pour les massages, dis-je en lui tapotant le pied. Debout mon grand.

Le bel Algérien se lève en titubant, complètement dans les vapes.

- Maintenant Tayeb, tu vas enlever ton caleçon et te mettre complètement nu devant moi, me montrer ton gros sexe d'arabe.

Je vois qu’il fronce les sourcils, j’ai bien fait de lui remettre une couche d’hypnose avant.

Il passe les deux mains sous son caleçon, hésite puis dans un réflexe pudique, dernière barrière inconsciente d’amour propre se retourne.
Je peux admirer son dos puissant ainsi que la forme de ses deux fesses musclés.

Le jeune beur abaisse finalement son caleçon dévoilant deux globes de chairs matte, parfaitement musclés, des fesses rondes avec une fossette, recouverte par un duvet de poils noirs s’intensifiant au niveau de sa raie. De magnifiques fesses bombés comme seules les hommes d’Afrique du nord ou d’Afrique subsaharienne peuvent avoir. Le genre de fesses que l’on pourrait regarder sans cesse se contracter en train de pénétrer un homme ou une femme.

- Retourne toi maintenant mon garçon.

Il obtempère et se retourne lentement, tout en gardant une main sur son sexe afin de le protéger de mon regard indiscret. Sa main n’est cependant pas assez grande face à ce qui semble être un organe volumineux, ses bourses brunes débordent d’ailleurs largement.

- Tu peux enlever ta main Tayeb, tu ne risque rien ici mon grand. Est-ce que tu me fais confiance ?

Il me regarde honteux hoche la tête et retire sa main.

La découverte du sexe d’un jeune homme est toujours pour moi comme la découverte d’une oeuvre d’art. Ce morceau de chaire, cette incarnation de sa virilité au coeur de sa construction personnelle, cet organe dissimulé avec tant de soin au quotidien, exposé finalement à ma vue.

Ma vision s’attarde d’abord sur sa pilosité pubienne.

Le triangle de poils sous son nombril dont je parlais plus tôt, descend, désordonnés jusqu’à son pubis, carré de poils noirs frisé. Une démarcation nette se fait avant le début de la verge où les poils sont tondu laissant la peau mate à nu, puis la pilosité reprend en poils courts bouclés autour du sexe et jusqu’aux cuisses.

Je suis mitigé quand à cette manie des jeunes de se raser le sexe, cela me déplait car je trouve que le sexe y perd en animalité. Cela me plait également cependant car j’aime imaginer ces jeunes hommes en train de prendre soin de leurs verges en la rasant, les poils tombants chargés de leur odeur animal dans l’intimité de leur salle de bain.

Je passe ensuite au gros sexe de l’arabe, bâton de chair épais et brun que je suis des yeux de la base du pubis jusqu’au bout du gland. Sa verge doit déjà faire dans les 15cm de long et 5 de large alors qu’elle est entièrement flacide. Elle est comme chez beaucoup d’homme beaucoup plus foncée que le reste de son corps. Point d’orgue de cette découverte, elle se termine par un gros gland circoncis rose foncé (je m’attendais plus à du brun également) bien dessiné à l’ourlet élégant, comme une couronne pour mon prince oriental, dépassant largement du corps de la verge. La peau du gland est épaisse, durcie par les frottements de son organe mis à nu contre ses vêtements.

Sa circoncision était une évidence, dès que j’ai su qu’il avait un prénom musulman je n’ai pas imaginé son sexe autrement, mais je ne peux m’empêcher d’être cependant un peu déçu.

J’aime, lorsqu’un jeune homme est à disposition devant moi - vous vous doutez bien que Tayeb n’est pas le premier à profiter de mes talents d’hypnotiseur - découvrir d’abord sa verge puis ensuite lui demander de se décalotter pour m’exposer son gland. C’est la partie la plus intime de l’homme et le prépuce est là pour la cacher des yeux indiscrets, ainsi même dans des douches collectives le gland de ces jeunes hommes est inaccessible. C’est donc un ultime plaisir que de voir ces hommes hétérosexuel s’exposer ainsi en relevant cet ourlet de peau protecteur pour offrir à mes yeux inquisiteurs cette intimité dévoilée. Bien souvent cela s’accompagne d’une odeur de sexe unique et parfois on distingue quelque trace d’une hygiène mal effectuée, qui ferait rougir de honte mes aimables sujets s’ils en étaient conscients.


D’un autre côté, l’exotisme de cette pratique propre à la religion de Tayeb m’excite encore d’avantage. Je dis propre à sa religion à lui car, dans nulle autre culture du monde cet acte ne revêt la même symbolique que dans l’Islam : chez les Juif fait à la naissance il marque une entrée dans la religion, chez les américains et d’autres occidentaux un acte de propreté hygiéniste.


Mais chez les musulmans, effectué lorsque l’enfant est déjà en âge de se souvenir, il marque une entrée dans le monde des hommes par la douleur et la violence infligé à l’organe le plus précieux de l’homme en devenir, son sexe. Cette intimité dévoilé pour toujours par la force, et apparaissant comme logique pour tous les hommes de cette race, est pour moi un rite barbare d’un autre temps formidablement érogène. Le gland de ces garçons est prêt à pénétrer, cette cicatrice et le souvenir de cette violence leur rappelant sans cesse leur devoir de mâle reproducteur. Le fait que tous ces hommes arabes partagent cette mutilation virile au sexe est une source de fantasme incroyable lorsque je croise un jeune beur. Parfois je m’amuse à essayé de distinguer l’ourlet propre à ces glands dessinés à travers leurs pantalons, une obscénité à l’image de leurs lèvres charnues, véritable appel au sexe.

Chez Tayeb, la cicatrice à la base du gland est irrégulière et ne laisse que peu d’amplitude à la peau pour bouger, le pauvre gosse a du en baver sans doute maintenu au sol par ses oncles pendant que le barbier du village faisait de lui un bon musulman.

Son sexe repose sur deux grosses et belles bourses pleines de jus dans un sac de peau bronzé et étroit ayant du mal à les contenir, chacune bien délimité par un sillon brun au milieu.

Vu la taille de ses bourses, son air d’arrogance quotidienne se justifie, son cerveau doit être noyé dans la testostérone qu’elles doivent produire en forte quantité. Le pauvre, j’imagine qu’il pense que cela vient de son caractère alors qu’il y est quasi contraint chimiquement. Les boules de Tayeb sont rasées de près ce qui permet d’en apprécier encore plus la taille. J’aurais cependant aimé voir son sexe encore plus à l’état sauvage recouvert par ses poils frisés.

- Avance toi vers moi Tayeb

Il est temps maintenant de pousser l’examen visuel au toucher.

Tayeb se déplace jusque’à ma hauteur, alors que je suis toujours assis sur un canapé. Sa grosse bite occupe maintenant tout mon champ de vision. Je tends une main quasi tremblante d’excitation vers sa verge. Il semble frémir quand je fais coupe de ma main pour recueillir ses deux boules oblongues. Quel plaisir suprême que d’avoir la source de virilité de ce bel arabe dans mes mains. Ses bourses sont lourdes et douces, je les fais rouler entre mes doigts. Une odeur de sexe se répand dans la pièce, l’odeur intime de Tayeb. Je porte ma main à mon nez après avoir longuement frotés ses boules et je manque de défaillir tellement ce parfum musquée et puissant m’envahit, ça sent le fauve ! C’est quelque chose de découvrir un homme nu, mais de sentir son odeur intime est un fruit défendu encore plus exquis.

Je passe maintenant un doigt sur sa verge, appréciant l’ourlet épais et majestueux de son gland, éprouvant le sillon marqué par la cicatrice de sa circoncision, marquant une douce caresse sur l’emplacement de son frein absent. Cette dernière caresse le fait tressaillir et j’ai l’impression que sa verge prend du volume. Qu’elle patiente, je compte bien la faire grossir plus tard.

Le volume de ses deux prunes m’intrigue et me pousse à l’interroger :

- Tu as de belles bourses Tayeb, tu dois t’en servir souvent ?

 Hochement de tête discret de sa part.

Bon il faut que je sois plus précis dans mes questions.

- C’est quand la dernière fois que tu as éjaculé mon grand ?

- Ce matin

- Quoi ? Avec ta copine ? Ça t’arrive souvent le matin ?

- J’ai pas de copine… Non tout seul, le matin j’ai le sexe qui frotte contre le lit et ça m’excite je peux pas m’empêcher, je suis… je suis désolé…


Ses excuses m’étonne, je ne pensais pas qu’il deviendrait aussi docile une fois sous mon contrôle.

- Ça n’est pas grave mon beau, c’est normal d’avoir des besoins quand on est un homme. Tu as regardé un porno pour t’aider ?

- Non

- Donne moi un peu plus de détails Tayeb, à quoi tu pensais ? Ecoute le métronome tic,tac,tic,tac, son son est rassurant tu peux te confier à moi mon grand.

- Tic,tac, tic répète il bêtement.

- Oui c’est ça, tic, tac, alors à quoi pensais tu pendant que tu te faisais du bien ce matin ?

- A Samia une fille que j’ai baisé la semaine dernière.

Ah voilà nous y sommes, la carapace commence à se rompre.

- Je savais que tu étais un homme à femme Tayeb, toutes ces chattes qui n’attendent que ta grosse bite brune pour les remettre à leur places…

- Oui ! S’exclame il, comme si j’avais provoqué en lui une révélation. Toutes ces salopes qui viennent se plaindre, Monsieur Bendjira, blabla le plafond de ma carte est trop bas blablabla, juste envie de les remplir pour qu’elles se la ferment.

Il dit ça tout en singeant une femme maniérée, son service trois pièces ballottant au rythme de ses mouvements. Le pauvre s’il se rendait compte.

- Ça doit être dur au quotidien de se maitriser, j’imagine que parfois dans ton bureau tu relâches la pression… manuellement ?

- Oui… 
Même ton coupable que lorsqu’il s’est excusé d’avoir éjaculé ce matin.

- T’inquiète je te comprends. Je lui fais un clin d’oeil qui lui redonne instantanément ce sourire niais qu’il a depuis le début de notre séance. Je vais t’aider à faire descendre la pression. Regarde j’ai ramené un ami.

Je sors de mon sac un plug noir de taille moyenne et le pose sur le sol.

Puis je saisi Tayeb par le bassin et le fait se retourner. Ses deux fesses musclées, poilues, m’apparaissent. Les poils à cet endroit sont bien souvent une gêne pour certains hommes, rien de plus viril cependant à mon sens, cela habille la nudité masculine au mieux.

Comme un pantin, je le fais se baisser et commence de longue caresses en passant du haut de son dos pour arriver à ses fesses, je sens une tension dans ses muscles, il va pourtant falloir qu’il soit encore plus détendu pour la suite.

- Je vais maintenant te demander de te concentrer mon grand, je veux que tu respires le plus profondément possible au rythme du métronome. Voilà inspire, expire, inspire, expire.

Petit à petit les muscles puissant de ses épaules se relâchent.

- Voilà c’est ça, détend toi.

Je m’assied à nouveau et le fait venir vers moi en l’attirant par le bassin. Une fois à ma hauteur je lui écarte les fesses et découvre son petit trou d’hétéro brun serré. Des poils noirs frisés en font le tours et descendent jusque’à la naissance de ses bourses. Je prends le large flacon de lubrifiant que j’ai ramené pour l’occasion et en verse une grosse noisette sur mes doigts.

Tayeb a un sursaut lorsque je touche sa rondelle.

- Chut chut, tout va bien. Sens comme c’est agréable dis-je en faisant des mouvements circulaire autour de son anus. Ecoute le métronome, tic, tac, tic, tac, je ne suis là que pour te faire du bien.

J’entends Tayeb soupirer doucement, de mon autre main je caresse ses testicules dont la peau s’est resserré mettant encore plus en avant la taille de chacune d’elle. J’applique abondamment du lubrifiant sur son trou puis me lève pour en verser sur le plug.

Lorsque je me retourne Tayeb est toujours le dos baissé le visage scrutant le sol.

- Lève toi et vient te positionner au dessus du plug.

Il sursaute comme réveillé d’un rêve, je constate avec plaisir que mes caresses anales lui ont fait beaucoup de bien puisqu’il a une demi molle et que je crois distinguer une goutte de liquide séminale en formation. Il s’arrête debout au dessus du plug ne sachant pas trop quoi faire.

- Accroupis toi, voilà comme ça.

Il est maintenant en position accroupie, ses boules et sa lourde verge semi gonflée complètement exposée.

- Bien maintenant je veux que tu mettes les deux bras derrières la tête, je veux voir tes aisselles, oui voilà comme ça. Tayeb, c’est le moment de me montrer que tu es un homme un vrai. Tu acceptes de relever le défi mon garçon ?

- Oui dit-il, un éclaire de fierté traversant son regard noir.

- Alors assieds toi sur le plug.

- Quoi ?? Mais ??

- Tayeb, n’ais-je pas respecté ce que je t’avais dis jusqu’à présent ? Est-ce que tu n’es pas parfaitement détendu ?

- Si, oui mais… pardon… je ne…

- Ecoute le métronome, suit son rythme, tic, tac, tic, tac, respire profondément, voilà comme ça. Je veux que tu fermes les yeux et que tu répètes après moi : me faire pénétrer me procure énormément de plaisir.

- Me faire pénétrer me procure énormément de plaisir répète il d’une voix absente.

- Quand le plug rentrera en moi cela sera l’un des meilleurs orgasmes de ma vie, mais je ne pourrais pas éjaculer tant que Monsieur Dulac ne m’en donnera pas l’ordre.

- Quand le plug rentrera en moi cela sera l’un des meilleurs orgasmes de ma vie, mais je ne pourrais pas éjaculer tant que Monsieur Dulac ne m’en donnera pas l’ordre.

- Bien va y maintenant descend dessus.

Le voilà qui commence à descendre sur le gode en plastique, son beau visage est contracté par la douleur.

- Aïe ça me fait mal, se plaint il, s’il vous plait, je ne veux…

Soudain, aspiré par son sphincter, le plug entre entièrement. La bouche de Tayeb forme un O de surprise et son sexe se dresse instantanément. Le temps est comme figé pour moi tant je me concentre afin de ne rater aucun détail de cette abandon ultime de Tayeb face à moi.

Ses doigts de pieds sont crispés sur la moquette du bureau, toujours accroupis, tous les muscles de son corps sont contractés, ses bourses sont remontées au niveau de la base de sa verge signe d'une éjaculation imminente, et son gros chibre brun pointe fièrement à la verticale terminé par le gland circoncis gonflé à son maximum. Sa bite en érection est bien large et doit mesurer dans les 19cm. Du précum coule du gland et descend lentement le long de son sexe pour venir mourir sur ses boules.

Quelques milli-secondes d’incompréhensions continuent de se lire sur le visage de Tayeb puis soudain :

- HAAAAAAAAAAAAAAAAAAN

Ce gémissement profond venant de ce bel Algérien en train de se goder devant moi a failli pour le coup me faire éjaculer à mon tour. Heureusement que j’ai pris la précaution de faire déplacer son bureau au fond de l’agence. Il est maintenant perdu dans son premier orgasme anale, sa bite dure comme du fer complètement exposé à ma vue, torturé par l’impossibilité de se soulager en éjaculant toute la crème produite par ses bourses.

- Stop, reste dans cette position.

Je m’approche de lui et saisi sa bite, il bande vraiment comme un cerf, c’est dur comme du bois. Je m’amuse avec sa queue en la tendant vers le bas pour la lâcher et la faire claquer sur ses abdos dessinés. Je répète l’opération plusieurs fois ce qui a pour effet de laisser de grosses flaques de précum sur son ventre et d’en faire tomber un peu au sol. Quel gâchis d’ailleurs ! Je passe ma main sous ses boules et j’appuie sur son périnée et cela fait sortir encore plus du liquide translucide de son gros gland maintenant mouillé. J’en prend un peu et le porte à mon nez mais ne sens rien d’autre que l’odeur du sexe du rebeu qui d’ailleurs embaume maintenant toute la pièce. Puis, je passe mon doigt sur le gland afin d’en étaler partout sur le haut de sa verge et commence un mouvement masturbatoire long et intense. Il se met à gémir comme un chiot, et je l’entend me supplier doucement :

- S’il vous plait, laissez moi éja.. han uler, j’ai trop… envie de… han

Quel plaisir de l’entendre me supplier de jouir.

- Patience mon beau, ton jus va bientôt sortir, debout maintenant, j’ai envie de te goûter.

Il se lève, ragaillardi par cette promesse, le plug toujours bien positionné dans son fondement et se positionne face à moi.

J’approche ma bouche de son sexe, et passe ma langue sous ses bourses. Nouveau gémissement de Tayeb. De là où je suis, je n’ai que ses grosses dates appétissante et odorantes en vue, j’ouvre la bouche à mon maximum et en prend une entièrement en bouche. Tayeb vacille sous le coup de la sensation et je plaque ma main sur son ventre pour le maintenir debout. J’alterne une boule et l’autre et Tayeb ne s’arrête pas de gémir, je l’entend maintenant me supplier en arabe. Sa bite gonflé à bloc ne cesse de suinter et je reçois du précum sur le nez. Je remonte maintenant depuis sous ses boules au haut de sa verge avec le bout de ma langue, je m’arrête à la cicatrice de son frein excisé et caresse avec la langue.

- HAAAAAN je ne HAAAAAN pourquoi je HAAAAAN

Point sensible identifié.

Puis immédiatement je me jette sur sa queue que je gobe en gorge profonde. Le gout fort de son sexe mélangé à tout le précum qu’il a produit m’envahit immédiatement. Je fais des allez retour lent et profond tout en caressant les bourses de mon étalon maghrébin. Il geint maintenant en continu.

- HAAAAN

Même sous hypnose ses réflexes de mâle dominant prennent le dessus puisque le voilà maintenant à donner des coups de hanche dans ma bouche, comme s’il voulait engrossait une des trainées qu’il a l’habitude de remplir.

Soudain, il s’arrête de gémir et me saisi par le cou. Au début je prends ce geste pour un acte sexuel dans la continuité de ses mouvements de hanches, mais il me repousse violemment au sol et me donne un coup de pied. J’en perds mon souffle, je ne comprends pas ce qu’il fait. Je relève la tête et voit son regard d’abord apeuré qui se rempli soudain de haine. Son sexe a débandé.

C'es alors que je réalise que… le métronome s’est arrêté.

- ESPECE DE FILS DE PUTE ! hurle-t- il JE VAIS TE TUER

Tayeb se jette sur moi, dans la panique nous roulons l’un sur l’autre, je tente d’attraper le métronome pour le relancer mais Tayeb me bloque le bras. Il est nu, accroupi à côté de moi et m’étrangle maintenant. Je suis à deux doigts de perdre connaissance quand une idée me traverse l’esprit, tentant le tout pour le tout je saisi le plug qui dépasse de ses fesses et le sort puis le rentre rapidement.

L’orgasme terrasse le jeune beur, qui gémit et lâche mon cou. Ouf je l’ai échappé belle.

Je continue mes aller-retour et il gémit à nouveau profondément, sur son visage je vois un instant qu’il hésite entre se sauver en me frappant à nouveau ou s’abandonner au plaisir que je lui procure. Mais la sensation est trop forte et trop bonne, sa queue s’est à nouveau dressé.

Je relance le métronome de mon autre bras tout en continuant de le goder et vois avec soulagement son sourire niais réapparaître.

- Tu m’a fait peur mon beau, dis-je en lui caressant le visage.

Les poils de sa barbe viennent griffer ma main, je descend au niveau de son sexe pour récupérer quelques goutes de son nectar puis remonte pour l’étaler sur ses lèvres, insérant ensuite mon pouce dans sa bouche. Plaisir suprême que de l’obliger à gouter son propre liquide séminale. Il tête mon doigt comme s’il tétait le sein ses yeux plissé par les orgasmes successifs que je lui procure.

Je me relève pour m’épousseter et surprise, Tayeb s’allonge sur le dos, les jambes repliés, le sexe en érection totale et se pénètre maintenant de lui même avec son jouet les yeux fermés. La découverte de sa prostate est un moment magique pour lui, je pense que je pourrais l’abandonner comme ça pendant des heures sans qu’il ne cesse.

C’est ma queue qui bientôt va remplacer ce plug. Je laisse Tayeb s’amuser tout seul et je ramène quelques coussins que j’entasse au sol.

- Viens voir Tayeb, je vais te montrer quelque chose qui va te donner deux fois plus de plaisir.


Le maghrébin s’arrête immédiatement et laisse tomber le plug à terre, comme un drogué ayant besoin de sa dose il se précipite vers moi à quatre pattes les yeux agrandis par l’envie de plaisir plus grand encore que ceux auxquels je l’ai soumis.

- Allonge toi sur le dos, voilà comme ça, c’est bien bon garçon.

Je le manipule comme je le souhaite lui fait replier les jambes et sors mon sexe dur et humide de mon pantalon.

-Tayeb, quand je vais claquer des doigts tu va regagner ta conscience, ton corps n’obéira cependant qu’à mes ordres, tu sera cependant libre de parler. Premier ordre, à chaque fois que mon sexe touchera ta prostate tu atteindra le plus puissant orgasme que tu ai jamais eu.

Nous sommes maintenant en missionnaire, les yeux dans les yeux, mon penis à l’entrée de son trou et je claque des doigts. Le regard du jeune beur passe du flou hypnotique à une interrogation brutale, il est paniqué et lorsqu’en quelque seconde comprend la situation se met à me supplier :

- Non non arrêtez qu’est-ce que vous… Non s’il-vous-plait je ne… Arghhh non !


Je commence à le pénétrer malgré ses supplications tout en le fixant dans les yeux, il me faut quelques secondes pour trouver sa glande et lorsque mon gland décalotté touche sa prostate le beau rebeu se cambre en gémissant.

- Putain qu’est-ce que ? S’exclame il.

Je recommence et son corps basané et musculeux se cambre encore plus, ses pieds et ses mains griffants le sol, sa bouche cherchant l’oxygène. J’enchaine les coups de boutoir, touchant à chaque fois sa prostate. Ses gémissements se sont maintenant transformé en râle, il n’arrive même plus à parler. Je sens ses grosses boules collante de sueur contre mon ventre à chaque fois que je vais en lui et la moiteur de son gland circoncis inondé de liquide séminal. Son odeur mâle m’emplit les narines, et je ne suis qu’à quelques pas de l’orgasme moi aussi. Cette proximité de l’orgasme me fait perdre la raison et j’ai alors la faiblesse de lui ordonner :

- Tayeb, tu peux maintenant reprendre le contrôle complet de ton corps.

Quel idiot, penserai-je plus tard, tout aurait pu dégénérer à ce moment là.

Au lieu de cela à ma surprise totale, le jeune musulman, fou de plaisir m’attrape les fesses pour que je le baise encore plus fort, encore plus loin, son cerveau complètement cramé par les sensations que je lui procure.

Ce cadeau de soumission total, me comble et me pousse à lui en faire un également. J’approche ma bouche de son oreille et dans un murmure lui dit :

- C’est bon Tayeb, tu peux éjaculer.

Tout en continuant à le bouriner en missionnaire, je me desserre un peu de lui pour assister au spectacle. Tayeb semble complètement perdu, il sent une seconde vague monter en lui, bien plus forte que celle que je lui procure avec ma bite. Il ne comprend cependant pas d’où elle vient puisque sa queue bien qu’en érection totale n’est pas stimulé. Ses bourses remontent encore plus dans leur poche et soudain un premier trait de sperme vient éclabousser son visage, il a à peine le temps de me jeter un regard pleins de reconnaissance avant de s’abandonner totalement à l’orgasme.

C’est le moment que je choisi pour me vider en lui à mon tour.

Les yeux révulsés le jeune Algérien lâche jets de sperme sur jets de sperme, il s’arrose le ventre. Sa peau matte est maculée de tache blanche. L’odeur forte de son foutre remplace toutes celles présentent auparavant. Après les jets ce sont des coulées épaisses qui sortent de son chibre et qui viennent peindre son pubis, couler sur ses testicules. Tayeb ne fait que gémir et râler, il ne contrôle plus rien, de la bave s’écoule du coin de ses lèvres et des larmes perlent de ses yeux. Quand enfin son éjaculation se calme, il n’est plus qu’une poupée désarticulée bougeant les membres dans le vide, comme un nouveau né qui attendrait qu’on le change. Son corps est souillé de sa semence et de son anus béant sors la mienne. Je viens me positionner derrière lui et pose sa tête sur mes genoux, puis d’une main je collecte en raclant le sperme qu’il a lâché sur son ventre et l’amène à sa bouche, il tête sans se poser de questions, et au bout de quelques minutes fini par s’endormir.

Je me lève doucement et décroche le téléphone.

- Allo monsieur le Directeur, tic, tac, tic, tac

- Tic ? Tac ? Tic, tac, tic, tac

- Envoyez l’équipe de nettoyeur.

Jean

jean872arty@onionmail.org

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