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Nils me verse un jus de fruit, on boit à la santé de José et de son nouvel appart, José est toujours lié par terre. Pour Nils faut pas lui faire du bien à ce José, ce sera sa punition pour l’outrage de la chambrée. On s’habille et avant de partir, Nils lui délie les mains histoire de reprendre sa ceinture…Il se débrouillera pour le reste. Nils me dit que si te truc m’a plu on pourrait se revoir de temps en temps, je lui dit que je reste en contact de toutes façons avec José que je vois au travail tous les matins. Le lendemain matin José était au boulot et ne faisait aucune allusion. Le soir lors des prolongations de la journée de boulot il me dit qu’il avait eu un coup de fil de Nils qui voudrait qu’on se revoit la semaine prochaine mais à la condition que je sois comme eux complètement rasé. Je lui dit que peut être…Le week-end ce sera chacun pour soi, José profitera de sa copine dans son nouvel appart, moi triathlon à balaruc petite compétition ne regroupant que 110 participants mais qui permet se maintenir en forme pour les suivantes…J’en profite pour aiguiller mes potes de sport sur le sujet du rasage « T’as vu comme il y en a qui se rasent toutes les choses… »Gino le plus jeune de notre bande des 4 de notre bande de sportifs précise (comme je l’avais déjà remarqué) qu’il se coupe tout vraiment très court, que ses conquêtes féminines adorent…Je dis que je vais essayer aussi…Comme ça ils ne se douteront de rien…
C’est le soir chez moi que je me décide à faire le nécessaire. C’est pas que je soit particulièrement poilu…Dans la salle de bains je commence par les quelque poils clairsemés sur la poitrine avant de descendre sur les parties sensibles… J’y met plein de mousse à raser et j’attaque, ça me fait bander et finalement facilite les choses…Ouah ! Quelle vision, j’avais jamais vu que j’avais une bite aussi grande ! et puis cette sensation de l’épiderme à nu, en contact direct, c’est vraiment extraordinaire. Il me reste l’arrière, que je crois faire au mieux en écartant les cuisses, c’est difficile, on n’y voit pas grand-chose. Je vérifie avec la main, ça doit être pas mal, rien qu’un terrain lisse. L’enlèvement final de toute la mousse permet une vision réelle du chantier. Je n’arrête pas de frotter le nouveau terrain vierge, je caresse tout, et en particulier ma hampe que je trouve magnifique…Il y a longtemps que je me suis pas branlé avec d’aussi fortes sensations…Ouah c’est bon ! Ces diables de jeunes viennent de m’emmener dans un engrenage un peu fou, il y a 3 mois je ne les connaissais pas et n’avait de vie sexuelle que rien que de très standard et de très rare. Je m’étonne moi-même.
On se retrouve un mardi soir chez José, Nils était déjà là « Alors t’as fait le nécessaire, mets toi en tenue, fous toi à poil patron »…Il n’étais pas du même milieu que José, et se permettait de me tutoyer de suite alors que José avait mis 2 mois avant de m’appeler par mon prénom et me tutoyer…Mais comme à chaque fois je rentre dans le jeu, sinon ce n’était pas la peine de venir et de poursuivre cette aventure…Chemisette, chaussures, pantalon, et toujours cette réticence pour enlever l’ultime rempart du caleçon. Nils s’approche et le baisse brutalement Je suis à 38 ans à poil debout devant ces deux gaillards de 18 et 19 ans, ils étaient torses nus tous les deux il faisait chaud Nils en bermuda, José en 501. Nils frotte ma peau nouvellement dévoilée, contourne la bite et les couilles, m’écarte les jambes et passe sa main dans l’échancrure pour vérifier le rasage intégral « Il reste que le dessous des bras mais c’est pas grave, tu le fera pour la prochaine fois »…Poursuite par une caresse de la bouche sur toute la zone, je bande. La bouche de Nils s’empare du gland, la sensation est délicieuse, je ne connaissait pas ce contact intégral de la peau c’est divin, nouveau pour moi, les lèvres butent sur le ventre comme c’est impossible avec des poils, c’est bon ! José jaloux intervient ! ce sont deux bouches qui sont maintenant autour de ma queue….Ils s’arrêtent quand ils voient ma pression trop forte proche de l’aboutissement…Faut faire durer le plaisir…
Ils s’embrassent tous les deux devant moi, se frottent le dos, puis le torse, leurs mains descendent presque synchro les ceintures se détachent, bermuda et jean’s tombent à terre reste le seul slip que José affectionne, Nils arrache les velcros et le seul sexe non visiblement tendu prend toute son ampleur…Ils se roulent par terre, le 69 et splendide, je regarde en me masturbant lentement. José vient à mon secours s’approche en rampant et me fait mettre à genoux il a la tête sous mes couilles, je me baisse un peu, sa langue vient fouiller ma raie, mon trou, ses mains écartent les fesses pour titiller au plus profond. Je suis en pleine période de découvertes, jamais une femme ne m’avait fait ça ! Nils à l’autre bout pompe mon lécheur, il se tourne pour que à 4 pattes son cul vienne contre mon sexe. Je lui écarte les fesses moi aussi, mon cylindre frotte dans la fente. C’est bon sans poils, peaux contre peaux…J’explose, je macule le dos de Nils qui reçoit presque en même temps la purée de José dans le visage. Notre mécano se termine lui-même à la main, il n’y tient plus, arrose le ventre de José…On met au moins un quart d’heure à refaire surface…Salle de bains, rhabillages et jus de fruits… « Tu vois Marc, c’est super quand on est rasé quand est ce qu’on remet ça ? »
Léonel
leonelo34@gmail.com