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HISTOIRE

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Autostop

Chapitre 1

L’année qui suivit le début de ma relation avec Stéphane, mon amant et maître, je vécus une aventure inoubliable. C’était au moment des vacances d’été. J’avais 19 ans et venais de passer mes examens de 1ère année de droit avec succès. Plutôt joli garçon, mesurant 1,81 mètre pour 65 kg, sans signe extérieur de féminité, je disposais de charmes indéniables qui attiraient autant les hommes que les femmes. Mais Dame Nature avait décidé pour moi que je serais gay passif ascendant salope.

Pour des raisons familiales, Stéphane n’était pas disponible pendant 2 semaines. Aussi et avec son accord, je décidais de partir seul passer une semaine dans le Pays basque. N’ayant pas de véhicule à cette époque, l’autostop restait pour moi le meilleur moyen de locomotion et qui sait, peut-être que ce serait l’occasion de faire des rencontres intéressantes. Pour cela aussi, Stéphane m’avait donné son autorisation à la seule condition que je lui raconte tout lors de nos retrouvailles. Il adorait que je me fasse baiser par d’autres et mes histoires l’excitaient un max.

Une fois mon sac à dos organisé surmonté d’une petite toile de tente au cas où je ne trouverais pas une âme généreuse pour m’héberger, je partis, vers 11 heures, à l’aventure le cœur léger sans oublier d’emporter plusieurs boites de capote, une bouteille de poppers, une poire de lavement et deux plugs, un gros et un plus petit que je m’enfilai direct dans le cul, histoire d’exciter ma libido en continu. Vêtu d’un bermuda en jean, moulant parfaitement mon fessier et fendu à l’arrière (une fente invisible grâce à une superposition des tissus), d’un simple tee-shirt mettant en valeur mes formes juvéniles et de baskets blanches, mon allure ne pouvait pas laisser présager de mes goûts. Aussi, pour les affirmer sans équivoque, j’utilisai le hanky code ou code foulard, connu des seuls initiés. À cette époque, Grindr n’existait pas encore. Pour faciliter les rencontres, le foulard placé d’une certaine façon permettait d’afficher ses tendances et goûts sans ambiguïté. Aussi dans ma poche droite et bien visible des conducteurs, je positionnais un foulard bleu foncé et un vert clair. Le bleu foncé placé à droite signifiait que j’étais un passif, amateur de sexe anal, et le vert clair que je pouvais le faire contre de l’argent. Après tout, si je pouvais en retirer quelques subsides, ce serait super. Toutefois, je plaçais le vert sous le bleu pour le rendre moins visible. Ainsi affublé, je quittais notre appartement, proche de la place de la Victoire, direction le Sud et la RN10 ; l’autoroute n’existait pas encore à cette époque.

Pour commencer mon périple, je pris les transports en commun pour sortir de Bordeaux. Le bus était bondé et je dus jouer des coudes pour entrer et me faire une petite place avec mon encombrant sac à dos que je déposai à mes pieds, tant bien que mal. Je remarquai rapidement que mon apparence ne laissait pas indifférente, notamment un jeune mâle d’environ 30 ans, proche de moi, qui me regardait avec insistance. À un moment, je vis son regard descendre vers ma poche droite et un grand sourire illumina sa face. J’avais déjà fait une touche. Je lui rendis mon plus beau sourire en lui faisant un clin d’œil. Le prenant pour une invitation, il vint se placer derrière moi et profita d’un arrêt brutal du bus pour coller son bassin à mes fesses. Je sentis immédiatement que je lui faisais de l’effet. Il bandait comme un beau diable. De la façon la plus discrète possible, je passais une main derrière mon dos pour lui caresser la teub. De son côté, il me malaxait le cul avec insistance et trouva sans problème la fente. Il y glissa un doigt et tomba sur le petit plug qu’il fit aller et venir sur quelques centimètres. Inutile de vous dire que ce léger va-et-vient dans mon trou électrisa mes sens et ce fut avec grande peine que je réfrénais un gémissement de plaisir. Toutefois, pour bien lui signifier ma bonne volonté et mon ouverture d’esprit (et d’autre chose), je jouais du bassin en lui imprimant des petits mouvements d’avant en arrière assez discrets pour ne pas être remarqués. Il se pencha alors vers moi et me murmura à l’oreille :

- Tu m’as l’air bien chaud. Je descends au prochain arrêt. Tu veux me suivre ? Je t’invite à déjeuner chez moi.

J’opinai du chef, toute occasion étant bonne à prendre. Les vacances commençaient bien.

Il sortit le premier et comme un bon toutou, je le suivis. Aussitôt dehors, et alors que nous marchions, il me demanda à brule-pourpoint :

- Alors, comme ça, tu adores te faire troncher ?

- Oui, j’adore.

Décidément, j’avais l’art de tomber sur des vicieux dont le langage direct et sans détour avait la faculté de m’exciter au plus haut point. Heureusement pour eux, car un autre, plus fleur bleue ou moins salope que moi, offusqué par de tels propos aurait pu décliner l’invitation et prendre les jambes à son cou. Mais ce n’était pas mon style… bien au contraire.

- Super. Moi c’est Arnaud et toi ?

- Luc

- Et tu aimes la bite apparemment ?

- Oui plus que tout.

- Vu le plug, le contraire eut été étonnant. Tu es endurant ?

- Oui très. J’aime tellement la queue que j’aimerais en avoir une en permanence dans le cul.

- Tu as le plug, ça ne te suffit pas ?

- Rien ne vaut une vraie queue bien chaude qui vous pilonne le cul.

- Ok, je vois. Les plans directs, ça te va ?

- Oui aussi.

- Humm, super. Alors, tu ne vas pas être déçu. Tu aimes embrasser aussi ?

- Oui bien sûr.

Arrivé devant son immeuble, il fit le code et dès notre entrée dans le hall, il me plaqua au mur et m’embrassa avec fougue en me pelotant le cul.

- Je sens que nous allons bien nous entendre dit-il. J’adore les petits pédés dans ton genre. C’est chaud comme la braise et jamais rassasié. Je me trompe ?

- Non, c’est tout moi.

- Parfait. Passe devant moi que j’admire ton derche.

Pendant la montée des marches, il en profita pour insinuer un doigt dans la fente de mon short et introduire son majeur à côté du plug. Sous l’effet, je me mis à gémir comme une femelle en chaleur.

- Humm, ça sent la bonne salope, tout ça. Tu vas bien en profiter, ma poupée. J’ai les couilles bien pleines et j’ai besoin de me vider.

- Humm ouiiii, lui répondis-je.

Une fois entré dans son appartement, je déposai mon sac à dos. Aussitôt, il me plaqua contre le mur et avant même que j’ai pu dire « ouf », il sortit sa bite, mit une capote qu’il sortit de je-ne-sais-où, retira mon plug, me lubrifia rapidement la chatte avec sa salive et m’encula direct.

- Alors tu aimes te faire baiser direct comme ça ?

- Oui, fis-je entre deux gémissements.

- Normal, vu la couleur de ton foulard. Les vaginales dans ton genre, c’est toujours un plaisir pour les mâles.

- Oui j’adoooore.

- Allez prends ça ma belle ! Tu la sens ma grosse bite qui te laboure le fion.

- Ouiiii, vas-y. Défonce-moi comme un vrai mâle en rut.

- T’inquiète, je vais t’en donner plus que tu n’en veux. Tu as un peu de temps devant toi ?

- Oui, je suis en vacances.

- Ok super. Car je crois que je vais bien profiter de ta chatte plusieurs fois. Une chaudasse dans ton genre, ça mérite qu’on lui consacre un peu de temps.

Pendant, plusieurs minutes, il me ramona à fond tout en me déshabillant. Puis dans un râle, il juta en me traitant de grosse salope.

- Nettoie-moi la queue comme une bonne pute que tu es.

Je ne me le fis pas dire deux fois. Je m’agenouillai aussitôt et lui nettoyai la queue bien à fond en avalant ce qui restait de jus sur sa queue.

- Bonne suceuse en plus ! Tu es plein de qualité, mon biquet, et mignon de surcroit. Tu pars en vacances ?

- Oui, je vais dans le Pays basque passer quelques jours.

- Et tu y vas seul ?

- Oui. J’aime bien m’évader quelques jours de Bordeaux.

- Dommage que je ne sois pas libre. Je t’aurai bien accompagné. J’aurais pu te baiser où je voulais, quand je voulais. Mais je bosse.

Apparemment, cette idée l’excitait et il se remit à bander dur comme fer. Toujours agenouillé, je repris son manche en bouche et donnais le meilleur de moi-même.

- Oui, suce-moi bien à fond. J’adore. T’es vraiment une grosse gourmande. J’aimerais te revoir si tu es ok.

- Tout est possible.

- Humm, tant mieux. Tu sais où j’habite maintenant. Tu t’en souviendras ?

- Oui Arnaud. J’ai une excellente mémoire.

Pendant plusieurs minutes, je lui gobai le dard bien à fond, lui léchai les boules et la hampe turgescente, titillai son gland tout en le branlant. Puis, il me fit mettre en levrette sur son canapé et là encore, m’encula avec frénésie. Il était clair que ce mec n’avait pas baisé depuis plusieurs jours et que je lui donnais l’occasion de se purger les couilles. Fidèle à mon désir de tire-jus, je me laissai faire et commençai à me branler. Pour une fois qu’un mec ne me l’interdisait pas, j’en profitai pour me palucher le jonc.

- Vas-y salope. Branle-toi que je sente ton cul se resserrer sur ma queue.

Rapidement, j’inondai son canapé de mon jus et sous l’effet de mes sphincters, il se mit à jouir lui aussi pendant de longues secondes.

- Humm que c’est bon tout ça, dit-il en déculant. Allez, nettoie-moi la bite comme tout à l’heure.

Pour la seconde fois, j’obtempérai.

- Bon, ce n’est pas tout ça. Je reprends le taf dans 1h30 et je dois déjeuner. Comme promis, je t’invite en espérant que tu n’es pas trop exigeant sur la bouffe.

- Non, ne t’inquiète pas, je m’adapte.

Toujours à poil, il dressa rapidement la table et mis un plat à réchauffer. J’en profitai pour l’observer. 1m85 environ, 75 kg, légèrement musclé, mais sans plus, avec un beau petit cul et une belle bite de 10 cm au repos, de quoi émoustiller ma libido.

Une fois installés autour de notre plat réchauffé, nous discutâmes de choses diverses et variées, mais surtout de cul. J’appris qu’il était actif principalement (j’en avais déjà eu un aperçu), que sa copine (il était bi) n’était pas là et qu’il en profitait pour se laisser aller à ses pulsions homosexuelles. Je trouvais bizarre qu’un mec comme lui, vivant en couple, reçoive directement chez lui. En m’invitant, il prenait un risque, celui que je m’incruste ou le fasse chanter. Apparemment, il me dit avoir eu confiance dès qu’il m’avait vu et que je lui inspirais tellement d’envie que son désir avait annihilé toute forme de raison et de prudence. Heureusement, il était bien tombé, car je n’étais pas du genre à insister. J’avais assez d’occasions de me faire baiser sans avoir besoin de quémander.

De mon côté, je lui avouai vivre avec un mec et lui racontai quelques-unes de mes aventures. Il s’étonna que je le trompe aussi facilement. Je lui expliquai alors les termes de nos accords. Apparemment, cela l’excita. Je vis sa bite reprendre de la vigueur. N’y tenant plus, il se pencha vers moi pour m’embrasser goulûment. Son désir était en train de renaître avec une ardeur décuplée et je sus que j’allais passer, une fois de plus, à la casserole. Devant autant d’effusion, je ne pus résister et me penchant lui pris la queue en bouche. Un de ses doigts vint titiller ma rondelle.

- T’es vraiment une bonne, toi ! Toujours prête à te faire mettre.

- On est salope ou on ne l’est pas, lui répondis-je.

- Humm, dommage que je sois avec ma copine, sinon j’aurais bien fait un bout de chemin avec toi. Tu m’excites grave. J’espère que l’on pourra se revoir à l’occasion si ton mec est d’accord.

- Oui pourquoi pas.

- Vas-y suce moi bien à fond, bébé. Je sens que ça monte…. Donne-moi vite ta chatte que je t’engrosse encore une fois.

Assis sur sa chaise, je m’empalais sur son dard capoté tendu à l’extrême. Il plaqua ses lèvres sur les miennes ; sa langue suivait les rythmes de ses va-et-vient.

- Oui Bébé. Dégorge-moi bien le poireau… Tire-moi le jus comme tu sembles aimer le faire… Humm c’est bon… Quelle chatte putain !... Tu sais y faire, ma petite salope pour bien vider les couilles… Et tu couines comme une femelle, j’adore…tu la sens ma grosse bite qui te pilonne bien à fond.

- Ouiiii, je la sens bien. Lâche la purée, mon chéri.

- Ça vient… Ouiiiii, je t’inonde le cul ma belle.

- Ouiii, moi aussi, je vais juter.

- Vas-y ma caille, jouis. J’adore ça quand on me jouit sur le ventre.

Je l’inondais de ma semence. Nous restâmes imbriqués plus d’une minute, heureux mutuellement de nos jouissances et repus. Croisant ses bras derrière ma nuque, il m’attira vers lui et m’embrassa avec langueur et passion, comme si dans ce court laps de temps, il s’était épris de moi au point de tomber amoureux. Je me faisais certainement des idées, mais ses baisers étaient si doux, si charnels, si voluptueux, si tendres qu’il n’en aurait pas fallu beaucoup pour que moi aussi, je cède à la tentation d’une relation plus poussée. Mais j’avais Stéphane que j’aimais de tout mon cœur et de toute mon âme et si nous étions d’accord pour que j’ai des aventures physiques, il n’était pas à l’ordre du jour que je le trompe sentimentalement parlant. Aussi très rapidement, reprenant mes esprits, je me levai pour mettre fin à cette effusion qui pourrait me faire emprunter un nouveau chemin. Je vis de la déception sur le visage d’Arnaud et j’étais triste pour lui, mais il me fallait impérativement mettre de la distance entre lui et moi. Pour le rassurer, je lui dis :

- Ne t’inquiète pas. On se reverra à mon retour si tu es dispo et même si tu le souhaites, nous t’inviterons à la maison avec Stéphane. Je suis sûr qu’il aimera te rencontrer. Laisse-moi ton téléphone si tu le veux et promis, juré, je te rappelle.

- C’est sûr ça ?

- Oui tu peux compter sur moi et tu es trop mimi pour que je t’oublie.

- Humm, tu me fais plaisir, mon bébé….

Et il se jeta une nouvelle fois sur moi pour m’embrasser avec fougue. Puis il m’indiqua la douche. Nous la prîmes rapidement ensemble en nous enlaçant tendrement. Puis après m’avoir donné son numéro, nous quittâmes l’appartement, lui pour retourner au travail et moi pour continuer mes aventures.

Chapitre 2

Les sens apaisés, mais pas pour longtemps, je repris mon voyage à l’endroit où je l’avais provisoirement quitté sans oublier de replacer le plug dans on endroit préféré. Je repris le bus pour m’emmener dans la direction souhaitée à savoir la station la plus proche de la N10. Vers 14 heures et dans ce sens, le bus n’était pas bondé et rien de remarquable ne se produisit. 30 minutes, plus tard, les foulards bien en vue et en prenant une attitude la plus lascive possible, je prenais position au bord de la nationale en veillant à ce qu’un véhicule puisse se garer facilement. Une première voiture s’arrêta. Un couple homme-femme me proposa de m’avancer à une dizaine de kilomètres plus loin, mais je déclinais leur proposition. Vous l’avez compris, j’aurais préféré que ce soit un homme seul ou éventuellement un couple d’hommes. Ils repartirent en me souhaitant bonne chance et bon voyage.

Était-ce un pressentiment, mais vu la suite, j’avais eu raison de décliner ? En effet, quelques minutes plus tard, une voiture qui était déjà passée une première fois s’arrêta à quelques mètres de moi. Et ô surprise, je reconnus quelques visages familiers. 4 mecs étaient à l’intérieur dont 2 que je connaissais bien : Benjamin et Marek, des copains de sport de Stéphane. Des copains de sport qui avaient déjà eu l’occasion de me baiser et connaissaient parfaitement mes talents.

- Salut Luc. Tu vas où comme ça ? me demanda Benjamin.

- Je vais passer quelques jours dans le Pays basque.

- Et Stéphane t’a abandonné ?

- Non pas du tout. Il n’est pas là en ce moment et il m’a donné quelques jours de liberté.

- Ça tombe bien, on y va aussi. On a loué une maison là-bas. Tu veux venir avec nous ?

- Oui volontiers.

Pendant ce bref échange, des regards de connivence s’échangeaient entre les mecs. De toute évidence, ma réputation était faite. Je l’appris par la suite, mais voici quelles furent leurs discussions avant de faire demi-tour pour venir me chercher.

- Et les mecs, mais c’est Luc, la salope de Stéphane, qui fait du stop ! fit remarquer Benjamin.

- Oui tu as raison, confirma Marek. Je l’ai reconnu trop tard cette petite salope. On aurait pu s’arrêter pour la prendre… dans tous les sens du terme…

- Ça va pas les mecs, fit Franck (un de ceux que je ne connaissais pas encore). On n’est pas des pédés. Et qui c’est ce Stéphane ?

- Mais si, tu le connais. On fait du sport ensemble, il est dans notre équipe. Tu l’as déjà vu. Un beau gosse aux cheveux bouclés, il joue pivot, répondit Benjamin.

- Oui, je le vois très bien et il est pédé ?

- Disons plutôt qu’il est bi, mais il a tellement de besoins sexuels, qu’il aime avoir toujours sous la main une bonne salope à baiser. Et selon lui, rien ne vaut une jeune pédale. Il les trouve plus chaudes que les nanas et toujours prêtes à se faire niquer. Il adore en plus la partager avec d’autres. C’est pour ça que Marek et moi, on a déjà eu l’occasion de l’embrocher à plusieurs reprises. Plus salope, tu ne trouveras pas.

- Une fois de plus, je confirme, intervint Marek.

- Tu passes à côté d’une super expérience, mec, continua Benjamin. Avec Marek, même si on l’a déjà baisé plusieurs fois, ce n’est pas ça qui nous empêche de baiser des meufs. Il a des trous d’enfer et d’une gourmandise incroyable.

- Oui, c’est une grosse gourmande, fit Marek. C’est un super coup et puis un trou reste un trou. Faut vivre de nouvelles expériences les gars ! C’est vous qui la baiserez, pas le contraire. C’est lui la pédale, pas vous. Je m’en porte garant. C’est une salope exceptionnelle qui va vous vider les couilles, comme jamais une nana ne le fera. Je suis sûr que vous aimerez ça.

- Tu en penses quoi Sam ? interrogea Franck.

- Je ne sais pas trop. C’est tentant et bizarre en même temps. Je baise des meufs en général et vis-à-vis des mecs, je n’ai jamais eu aucune tentation, mais Marek a raison : il ne faut pas mourir idiot et passer à côté des bonnes occasions.

- Voilà qui est bien répondu Sam, répliqua Benjamin. Alors Franck, tu es prêt à sauter le pas ? Je t’assure que c’est une excellente affaire. J’en bande déjà.

- Si ça vous fait plaisir, pourquoi pas, mais je me réserve le droit de ne pas y toucher, rétorqua Franck. Et rien ne m’empêchera de draguer des meufs si on en trouve.

- Oui bien sûr, fit Marek. Cela va de soi. Nous sommes libres comme l’air. On pourrait aussi avoir les deux : une femelle et une salope mâle à disposition. Ce serait super pour bien se vider les burnes. Laissez-nous faire. On va bien la chauffer la Luc et il adore tellement la bite qu’il en redemandera.

- OK les mecs. Sam fait demi-tour. On va lui proposer de venir avec nous.

Voici après reconstitution, le dialogue approximatif qu’ils échangèrent. C’est ainsi que quelques minutes plus tard, ils se retrouvèrent face à moi. Comme dit plus haut, j’acceptai l’invitation, deux fois plutôt qu’une. Me retrouver en compagnie de Marek et Benjamin était fort rassurant et prometteur de belles baises à venir. Une fois, le sac à dos mis dans le coffre et les foulards rangés, je pris place à l’arrière entre Benjamin et Marek. La voiture était spacieuse et je crois me souvenir que c’était une BMW série 5. Rapidement, les présentations furent faites. Franck me dévisagea un long moment en s’attardant sur toutes les parties de mon anatomie, probablement en se demandant ce qui pourrait l’attirer chez moi et faire en sorte qu’il saute le pas. Quant à Sam, ces regards appuyés se faisaient via le rétroviseur central. Très vite, Benjamin cassa la glace et prit les choses en main.

- Alors comme ça, Stéphane t’a abandonné ?

- Non pas abandonné. Juste laissé quartier libre.

- Libre de tout ?

- Oui libre de tout lui répondis-je en lui faisant un clin d’œil.

- OK je vois, dit-il en envoyant à Marek un signe d’acquiescement

Il ne leur en fallut pas davantage pour qu’aussitôt, des mains baladeuses me caressent les cuisses. Franck et Sam n’en perdaient pas une miette, curieux de voir la suite.

- Vous voyez les mecs, on vous l’avait dit, fit Marek. Une vraie chaudasse !

- Si t’es OK et à condition que tout le monde soit d’accord, je te propose la chose suivante : nous t’hébergeons gratuitement pendant une semaine et en contrepartie, nous bénéficions de tes talents. Je suis sûr que Stéphane serait d’accord. Qu’en pensez-vous les mecs, demanda Benjamin ?

A part Franck qui se montra plus timoré, les 3 autres acceptèrent immédiatement. Franck mis en minorité dut se soumettre à la majorité. Je sentais qu’avec celui-là, les choses ne seraient pas simples, mais j’étais sûr qu’une fois qu’il y aurait goûté, il y reviendrait. Mon intuition se révéla juste au-delà même de mes espérances.

- C’est OK pour moi répondis-je.

- Super, alors au boulot, ma belle ! Montre à nos amis de quoi tu es capable.

Toujours avide de queues, je commençai à caresser mes deux acolytes dont la bandaison ne se fit pas attendre. D’eux-mêmes, ils sortirent leur bite et par un adroit branlage, je leur donnai encore plus de vigueur. Franck observait avec attention sans montrer, en cet instant précis, de signe de dégoût, mais au contraire de la curiosité. J’appris ensuite que tous les 4 participaient à des gang-bang avec des partenaires consentantes. Ils avaient donc l’habitude de connaître leurs anatomies dans tous leurs détails.

Pendant que je branlais les deux garçons, Benjamin m’obligea à pivoter la tête pour l’embrasser. Sa langue impérieuse me fit un effet de « ouf ». Quant à Marek, il avait réussi à glisser une de ses mains dans mon dos pour me caresser le cul. Bien sûr, il trouva rapidement la fente qui lui permit de glisser un doigt.

- Putain les mecs ! Quand je vous disais qu’elle était chaude. Elle a fait un trou dans son short pour que l’on y glisse un doigt et en plus, elle n’a pas de culotte. Elle n’attend que ça : se faire baiser. Et encore mieux, elle s’est enfilé un gode. Si ce n’est pas la preuve que c’est une bonne salope qui adore la bite, je veux bien que l’on me pende.

Pour faciliter les choses, je soulevai légèrement mon bassin pour retirer le plug et qu’il puisse introduire plus facilement un ou plusieurs doigts dans ma chatte déjà toute mouillée.

- Regardez ça, les mecs ! Son gode n’est pas gros, mais ça prouve bien qu’elle est toujours en manque de bite. Et en plus, elle mouille la vilaine, dit Marek. Ça glisse tout seul. Humm, je sens que nous allons prendre du bon temps. Tu devrais voir ça Franck.

- Ouais bof ! lui répondit Franck. Je te fais confiance. Tu as plus d’expérience que moi.

- Raison de plus pour essayer.

- Allez, vas-y, surenchérit Sam. Tu verras bien si c’est différent d’une chatte de donzelle.

Marek me demanda de me retourner sur mon siège pour présenter mon cul à Franck. Et c’est Marek à son tour qui me prenant le visage entre ses mains m’obligea à l’embrasser pendant que j’écartais au maximum mon cul avec les deux miennes.

- Allez mec ! Rentre-lui ton doigt dans la rondelle. Elle adore ça, cette salope, fit Benjamin.

Ne voulant pas être en reste ou ne pas donner l’impression de se débiner, il obtempéra. Très lentement, son majeur m’embrocha et comme pour lui signifier qu’il le faisait bien, je gémis. C’est toujours le genre de truc qui émoustille les mecs.

- Alors, comment tu trouves ça, interrogea Benjamin ?

- Ouais, c’est pas mal, répondit Franck. C’est plus serré qu’une meuf et il a l’air d’aimer ça. J’imagine qu’une queue doit le ou la faire monter au 7ème ciel.

- T’as tout compris, mon Frankie ! Et avec elle, pas de migraine ou de problème de règles, toujours prête à se faire féconder comme une bonne pute. N’est-ce pas ma jolie me demanda Benjamin ?

- Oui toujours, fis-je entre deux baisers avec Marek.

Pour montrer encore plus mon contentement, je faisais aller et venir mon bassin sur son doigt, mimant ainsi l’acte sexuel.

- Et en plus, elle en redemande. Vous aviez raison, les gars. Une vraie chaudasse ! fit Franck.

- Tu vois, on te l’avait bien dit, répliqua Benjamin.

- Je peux en mettre un 2ème, vous croyez ? interrogea Franck.

- Oui tu peux et même plus : 3 ou 4 si tu veux. Elle s’élargit facilement. On lui a déjà fait plusieurs doubles et à chaque fois, ça rentre comme dans du beurre.

- À ce point ! C’est pas croyable d’avoir une chatte aussi souple, dit Franck.

- Sam, si tu veux, tu peux rejoindre Franck dans son cul avec tes doigts de la main droite. Tu verras que ça rentre tout seul, proposa Benjamin.

Bien qu’il soit concentré sur la route, Sam n’avait pas perdu une miette de la conversation et observait les opérations dans le rétroviseur qu’il avait légèrement abaissé pour visualiser au mieux mon cul et le doigtage de son ami Franck. Comme proposé, il libéra sa main droite et vint positionner son majeur au-dessus de celui de Franck. Bien entendu, il put sans forcer l’introduire entièrement. Les deux mecs y allaient de bon cœur, m’écartant la rosette au maximum. Excité comme un malade, je gémissais de plus en plus fort.

- Putain la salope fit Sam ! Plus elle en a, plus elle en veut. J’ai grave envie de la baiser bien à fond. Pas toi Franck ?

- Je ne sais pas encore, mais c’est vrai que c’est tentant et ça commence à me faire bander cette histoire.

- Moi aussi, elle me fait bander comme un taureau, cette trainée, surenchérit Sam. Bon, faut que je calme un peu, c’est moi qui conduis.

Je sentis qu’il retira à regret son doigt, mais Franck laissa le sien et y prenait, semble-t-il, du plaisir. Quant à mes acolytes à l’arrière, il continuait à se palucher le jonc avec vigueur. Et là, commença une séance de suce bien profonde. Tout d’abord, c’est Marek qui eut droit à ma bouche. Je m’empalais au plus profond sur son pieu d’environ 18 cm et d’un bon diamètre. Je connaissais bien sa pine comme celle de Benjamin qui avaient, toutes les deux, déjà visité les lieux. Je m’en donnais à cœur joie en espérant que ma prestation de suceuse convaincrait Franck de se laisser faire plus tard. Marek, sous mes coups de langue, se mit à gémir lui aussi, la tête penchée en arrière, totalement concentré sur son plaisir. Derrière, 3 doigts vinrent m’élargir la chatte confirmant que Franck y prenait de plus en plus de plaisir. Puis ce fut au tour de Benjamin que je suçais aussi avidement que Marek. Très vite, je fus complètement déshabillé et me retrouvais à poil. Sans quitter la bite de Benjamin, Marek me fit pivoter le cul vers lui. À genoux entre les deux et comprenant rapidement ce qui se passait, je lui tendis une capote prise dans l’une des poches de mon short (faut toujours sortir couvert). Et là, extase suprême, il m’encula direct. La position n’était pas des plus confortables, mais l’espace de la banquette arrière était suffisant pour que je sois pris en sandwich.

Franck n’en revenait pas. Il ne quittait pas le spectacle des yeux et commençait à se palucher le dard. Sam en faisait autant. L’excitation était générale et était montée d’un cran. Ça puait les phéromones mâles. Pendant plusieurs minutes, Marek me pilonna comme un dingue en me traitant de tous les noms. Benjamin m’appuyait sur la tête pour que je m’empale au maximum sur sa queue. Et dans un râle quasi simultané, ils jouirent en même temps, l’un dans la capote, l’autre dans ma bouche. Et comme à mon habitude, j’avalais tout.

- Putain que c’était bon, fit Marek en déculant.

- Je confirme rajouta Benjamin.

- T’as vu ça Franck ? Ça ne te donne pas envie de lui en mettre un petit coup. Je suis sûr qu’elle est prête à se faire limer encore et encore.

- Ben, je crois que vu ce que j’ai vu, je vais me laisser tenter. Vous m’avez donné la gaule, les mecs et j’ai maintenant une grosse envie de me vider les couilles. Et toi Sam ?

- Oui pour sûr. Ils ont trop pris leur pied pour que l’on passe à côté. Je vais essayer de trouver un coin tranquille pour qu’on la bourrine.

- Excellente idée. T’es d’accord pour te faire baiser encore un coup me demanda Franck en se tournant vers moi ?

- Toujours prêt. J’aime trop ça pour vous dire non et j’ai pitié pour vous. J’ai super envie de vous vider les couilles à vous aussi.

- C’est vraiment la reine des salopes dit Benjamin. On vous l’avait dit.

Quelques minutes, plus tard, Sam trouvait un endroit tranquille dans la campagne landaise, à l’abri des regards, au milieu des pins.

Chapitre 3

Une fois trouvé un endroit tranquille, tout le monde descendit, eux habillés et moi complètement à poil, prêt à servir tous ces beaux mâles.

Sam et Franck bandaient à donf. C’était visible à l’œil nu. Ils s’adossèrent côte à côte sur la voiture. Aussitôt, je me précipitai sur leurs braguettes bien pleines et libérai leurs zobs de leur cage de tissu. Sans attendre, je gobai la queue de Sam et branlai celle de Franck. Benjamin et Marek n’étaient pas en reste. Même s’ils avaient déchargé tous les deux, je compris très vite qu’ils avaient rechargé les batteries et c’est 4 queues qui se présentèrent à ma bouche. 4 queues inégales dans leur taille, mais peu m’importait. Ce qui comptait avant tout, c’est que je les satisfasse et me montre à la hauteur pour qu’ils me gardent avec eux.

Pour faciliter notre partouze campagnarde, Marek sortit du coffre une grande couverture qui nous permettrait de nous allonger et de nous protéger des aiguilles de pin qui couvraient le sol. Sam et Franck s’allongèrent sur le dos pour que je puisse les sucer puis quelques doigts vinrent me travailler la chatte.

- Dommage qu’il ait qu’un seul trou sinon je crois qu’on les aurait tous fait travailler dit Marek en rigolant.

- Il en a déjà deux bien gourmands et on sait qu’on peut être trois en même temps à lui pilonner la chatte et la bouche, dit Benjamin en s’associant au rire de Marek.

Sam et Franck commençaient à gémir sous mes coups de langue. Je leur faisais du bien et cela décuplait mon plaisir. Lentement, à tour de rôle et avec application, je leur titillais le gland, leur suçais les couilles, aspirais leurs chibres, l’engloutissais à fond. C’était bon, c’était divin. Pendant ce temps, Marek me léchouillait la rosette avec un art consommé. Ses meufs devaient apprécier ses talents. Sa langue fouineuse lubrifiait mon trou, s’insinuait dans mon intimité puis lentement, il remontait des couilles jusqu’à l’objet de ses désirs. J’étais aux anges. Un doigt, puis deux et enfin un troisième vinrent m’élargir l’oignon. Puis une queue me fourra. C’était celle de Benjamin. Me prenant par les hanches, il imprima un mouvement régulier en allant au plus profond à chaque fois. Avec une queue en bouche, je pouvais difficilement couiner, mais ma respiration saccadée témoignait du plaisir que j’y prenais. Puis, il laissa sa place à Sam. Je la sentis passer. Avec ses 20cm, il me perfora la cramouille et juta rapidement.

Puis ce fut au tour de Franck de jouir et comme à mon habitude, j’avalais et n’en perdais pas une goutte. Puis Benjamin revint s’engouffrer dans mon antre avec une fougue décuplée pendant que je suçais Marek. Eux aussi, m’engrossèrent au bout de quelques minutes. Et enfin, ce fut à mon tour de balancer la purée dans un râle qui a dû s’entendre à des kilomètres à la ronde.

Cette partie de jambes en l’air, en pleine nature, au milieu de nulle part, nous avait tous épuisés. Si quelqu’un nous avait surpris à ce moment-là, il aurait vu un mec à poil au milieu de 4 autres, les bites à l’air et reprenant leur souffle.

Pour me remercier, Benjamin m’embrassa tendrement, suivi de Marek. Suivant l’exemple de ses camarades, Sam en fit tout autant avec une langue plus impérieuse comme s’il continuait ainsi à me pénétrer et à me dominer. Franck resta sur la réserve. Il n’était pas encore prêt à embrasser un mec. Cela viendrait plus tard. Mais à son corps défendant, il reconnut qu’il avait apprécié cette expérience.

- Je dois vous avouer les mecs que j’ai bien aimé. J’étais réticent, mais une suceuse comme ça, j’ai rarement connu.

- Et tu seras d’accord pour la sauter demanda Sam ? En tout cas, moi j’ai trouvé ça super de baiser un cul de mec.

- On verra, répondit Franck.

Lentement, je me retournai vers lui et introduisant une main sous son polo Lacoste, commençai à lui caresser le torse en lui jetant un regard de biche. Il se laissa faire. Puis, lentement, je remontai le polo et lui léchai les tétons qui se durcirent sous mes papouilles. Les autres observaient sans savoir quelles seraient ses réactions. Mais contre toute attente, il n’émit aucune objection et n’eut aucun geste de recul. J’essayai d’être le plus doux et le plus sensuel possible comme pourrait l’être une gonzesse. Puis ma main descendit vers son sexe. Là encore, il se laissa faire. Sous l’effet de mes caresses, il recommença à bander.

- Hé les mecs ! Vous voyez ce que je vois ? Notre macho se remet à bander, dit Marek. Je crois qu’il est converti.

- Faut dire qu’elle sait y faire pour faire bander, fit remarquer Benjamin. Jamais rassasié, il lui en faut encore.

Franck ne disait rien et avait fermé les yeux, tout à son plaisir. Il était en confiance avec ses amis et il savait, vu ce qu’il avait vu, qu’il n’avait rien à craindre de ceux qui venaient de lui démontrer que l’on pouvait baiser un mec sans pour autant devenir pédé. Il était et resterait un mâle alpha comme ses congénères. J’étais juste là pour lui faire éprouver de nouvelles sensations et lui démontrer que le plaisir pouvait être polymorphe.

Pour ne rien brusquer, je descendis lentement sur sa teub pour la prendre en bouche. Rapidement, son zob reprit une belle vigueur et sans qu’il s’y attende, je m’empalai sur sa bite pour qu’il sente enfin le cul d’un mec enserrer sa pine. Là encore, il n’émit aucune protestation, d’autant plus que les trois autres applaudirent l’exploit. Il ne pouvait plus se dérober. À califourchon sur sa queue, c’est moi qui imprimais un mouvement régulier sous les encouragements de ses comparses dont l’un d’eux se mit à chanter « Vas-y Francky, c’est bon. Vas-y Francky, c’est bon bon bon. » repris en chœur par les deux autres. Quand je sentis qu’il était prêt à jouir, je me retirai pour qu’il se finisse dans ma bouche. Plusieurs jets successifs m’inondèrent la gueule. Les autres redoublèrent leurs applaudissements pour le féliciter d’avoir passé une nouvelle étape.

- Alors, mec, tu as aimé, demanda Sam ?

- Oui… euh… je crois. En tout cas, elle sait y faire la garce pour tirer le jus.

- On te l’avait dit que c’était une bonne tireuse de jus répliqua Marek.

Sur ce, tout le monde réajusta sa tenue et moi, je me rhabillai.

- Je crois que c’est bon, ma louloute. Tu as été adoubé par nous tous. N’est-ce pas les copains demanda Benjamin ?

Un Oui collectif confirma mon adoubement.

- Bon, c’est pas tout ça, mais on a encore quelques bornes à faire dit Sam.

- Tu es en état pour conduire interrogea Franck ?

- Oui pas de problème. Je ne suis pas épuisé comme les deux lascars à l’arrière qui ont tiré leurs coups deux fois.

Rapidement, tout le monde reprit sa place, moi entouré par Marek et Benjamin à l’arrière. Le reste du voyage fut tranquille. Mes deux acolytes s’endormirent rapidement et moi-même, bercé par le doux ronronnement du moteur, la tête appuyée sur l’épaule de Marek, succombai au sommeil sans avoir oublié de poser chacune de mes mains sur les bites molles de mes deux voisins.

Ainsi s’acheva ma première expérience d’autostop.

La suite de la semaine fut aussi débridée et sujette à débauches multiples et variées que cette 1ère journée. Je vous la raconterai plus tard.

Merci de m’avoir lu.

Luc

luctulede@gmail.com

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