Premier épisode
Saison 1
Chapitre 2
Trois heures à attendre. C’était long. J’eus beaucoup de mal à me concentrer sur un dossier de droit des affaires qu’il m’avait confié. De mémoire, je crois me souvenir qu’il s’agissait d’un dossier de constitution d’une Société Anonyme. N’étant qu’en 2ème année de droit, je n’étais pas encore très habitué à ce type de montage et vu mon peu de concentration, je n’appris pas grand-chose. Je pensais uniquement au rendez-vous de 18 heures. Qu’attendait-il de moi ? Lequel de mes talents souhaitait-il découvrir ? Quelle serait le contenu du contrat ? Mille questions traversaient mon esprit en ébullition. Et plus mon imagination fonctionnait, plus je bandais. Je serais bien allé aux toilettes pour me soulager mais vu son ton autoritaire, je concluais très vite que c’était une mauvaise idée. Mieux valait que j’entretienne mon excitation pour donner le meilleur de moi-même. Tout au plus, y fis-je un tour pour faire un brin de toilette et me vider les intestins au maximum pour éviter tout problème. Avec un peu de papier toilette trempé dans l’eau de la cuvette, je me nettoyais le cul, histoire d’éviter les mauvaises odeurs et me rasais quelques poils (j’ai toujours un rasoir jetable sur moi au cas où) pour lui présenter une chatte la plus lisse possible. J’étais certain qu’il aimerait ça.
Enfin arriva l’heure fatidique, l’heure où toutes les secrétaires sont parties. Je me retrouvais donc seul en compagnie de mon cher Maître. Je l’entendis fermer la porte principale à clé et retourner dans son bureau. Le moment était venu de le rejoindre. Et quelle ne fut pas ma surprise quand je vis qu’il avait installé sur son bureau des godes de différentes grosseurs. Devant ma surprise, il éclata de rire.
- Ne fais pas le mec surpris. Tu sais ce que c’est, non ?
- Oui, Maître mais des aussi gros, j’en ai rarement vu.
- Arrête de me raconter des salades. Les pédés de ton espèce adorent ça. Et plus, c’est gros, plus c’est bon, non ? Ne m’as-tu pas dit cet après-midi que tu étais adepte de la double sodo ?
- Adepte je ne sais pas, mais quand cela m’est arrivé, j’ai bien aimé.
- A la bonne heure, ma petite femelle ! Si tu peux te prendre deux bites dans le cul, ces godes ne doivent pas t’impressionner. Bon allez, trêve de plaisanterie. Fous toi à poil que j’admire la bête mais lascivement pendant que je bois mon super whisky de 20 ans d’âge !
L’entrée en matière était brutale et directe mais pas pour me déplaire. Avec lenteur, en prenant des poses sensuelles, je me dessapais pour lui montrer mon obéissance. Très vite, il se tripota la queue en proie à une excitation qui décupla la mienne.
- Très bien tout ça. Je vois avec plaisir que tu sais mettre le feu aux couilles.
Le grand avocat d’affaires s’abandonnait totalement et son langage cru détonait avec ses habitudes. Lui si raffiné en temps normal, usait de mots et de paroles peu habituelles. C’en était d’autant plus excitant que cela laissait entrevoir du vice, beaucoup de vice. J’adorais ce contraste entre l’homme civilisé, cultivé et l’homme primaire se laissant aller à ses instincts animaux. Ma bite, bandée à mort, était le signe extérieur de cette adoration mais il ne le vit pas de suite car je préférais dans un 1er temps lui faire admirer mon fessier bien ferme et bien lisse.
- Humm que voilà un joli cul ! Je comprends que tu sois maqué. Passer à côté d’un tel cul serait criminel. Recule-toi en écartant bien tes fesses que je puisse admirer ta rondelle.
Lentement, je m’approchais de lui en écartant au maximum mes lobes pour lui faire voir toute la beauté de ma chatte juvénile, toute lisse et sans défaut.
- En plus, tu es rasée comme une pute. De mieux en mieux. Faut sacrément que tu aimes la bite et sois une bonne salope pour présenter un trou comme ça. Viens, approche-toi !
Quand je fus assez prêt, il me prit les deux lobes entre ses mains et commença à me lécher le cul. Sa langue me fouillait avec avidité et je commençais à gémir de plaisir sous ses succions de plus en plus intrusives.
- C’est ça. Gémis comme une femelle ! J’adore quand une salope s’exprime et montre son plaisir. Ça me fait encore plus bander.
Comme mes mains, par un geste réflexe, se dirigeaient vers ma queue, il les prit de force et me les bloqua dans le dos.
- Pas de ça avec moi. Tu jouiras quand je le déciderais, et uniquement si tu fais bien ton job. Compris ?
- Oui Maître.
- Très bien. Putain, quelle chatte ! J’adore.
Après quelques minutes d’un anulingus en règle, il se releva, toujours en me maintenant les mains dans le dos et sans prévenir m’encula d’un coup sec. Je me mis à gémir encore plus fort.
- Ça, c’est de la salope qui aime la bite.
- Oui Maître. Bourrez-moi bien à fond. C’est trop bon.
- Ne t’inquiète pas, petite chienne ! Je vais te mettre ce qu’il faut. Des kilomètres de bite, tu vas t’en prendre.
Pendant une dizaine de minutes, il me pilonna la chatte. J’appréciais particulièrement le fait qu’il soit resté habillé alors que j’étais totalement nu. C’était un signe supplémentaire de soumission qui accroissait mon excitation. Je mouillais comme un jour de grande pluie. J’étais au bord de l’extase et il me fallut beaucoup de maitrise pour ne pas jouir dès cet instant, même sans me toucher. Lui aussi possédait un art avancé de la maitrise de soi. Aussi après ces quelques minutes d’enculage en règle, il se retira et m’intima l’ordre de m’installer sur sa petite table de réunion avec une jambe repliée sur la table ce qui lui donnait un total accès à mon cul. Et là, commencèrent les tests de godage.
- On va tester l’ouverture de ton cul. Il a l’air souple et bien habitué à la bite mais on va voir jusqu’où tu peux aller mais avant, j’ai une petite surprise pour toi.
Il se dirigea vers son bureau et revint avec une paire de menottes. Il était assez surprenant qu’il possède tout cet attirail, ici dans son bureau. Soit il avait prémédité son coup, sûr de ma soumission à venir, soit il pratiquait avec d’autres personnes et était un habitué de la chose. Quoi qu’il en soit, en cette heure, c’était moi qui en profiterais et seul comptait le moment présent. Les questions viendraient plus tard.
- J’aime les garçons bien sages et soumis. Aussi, pour t’aider à l’être, je vais te poser une paire de menottes pour te bloquer les mains derrière le dos. Ainsi, tu ne seras pas tenté de te taper la colonne.
- Oui Maître. Faites ce qui vous semble bon pour moi.
- Faut vraiment que tu aimes la bite pour accepter tout ça. J’aime aussi quand il y a un peu de résistance, cela justifie quelques bonnes corrections mais finalement, c’est pas mal non plus d’avoir une petite pute soumise qui ne demande qu’à se faire dominer. Encore plus quand elle a un physique comme le tien, un teint de jouvencelle et un cul à faire bander tous les impuissants de la terre.
Et là, subitement, il me tira les cheveux en arrière et me roula un patin d’enfer. Sa langue chercha la mienne pour la soumettre à son autorité. Son haleine emplie des vapeurs d’alcool était aussi exquise que ses doigts qui, comme sa langue, me travaillaient la chatte déjà ouverte par sa queue.
- Humm, c’est bien bon tout ça. Tu te laisses faire et apparemment, tu prends ton pied.
- Oui Maître.
- Super. On va tester la souplesse de ta rondelle.
Joignant le geste à la parole, il alla chercher tous les godes et commença le test. Le 1er passa sans problème puis progressivement il augmenta la grosseur jusqu’au plus gros. Le gland était énorme et je craignais que mon cul se déchire mais j’en avais vu d’autres et je savais qu’avec un peu d’effort, il finirait par rentrer lui aussi. Pour faciliter la chose, il me gaza plusieurs fois avec une petite bouteille de poppers sortie d’une de ses poches.
- Belle souplesse de chatte, ma salope ! Tu viens de te prendre le plus gros. Je crois que tu es prête pour une double mais avant, tu vas me sucer un peu.
Il se positionna de façon à ce que sa queue soit devant ma bouche et pendant que je le suçais, il continua à me travailler la chatte avec un gode moyen, histoire de me conserver ma souplesse. Après ces quelques minutes de pure délice – y a t-il quelque chose de meilleure que d’avoir une bite dans le cul et une autre dans la bouche ? -, il prit place derrière moi et tout en maintenant le gode, rentra sa queue progressivement. Je subissais une double sodo en règle.
Au vu des circonstances et du déroulement de la séance, j’avais oublié un détail important : l’absence de capote.
- Excusez-moi Maitre mais vous ne mettez pas de capote ?
- Ferme là, salope ! C’est moi qui commande mais tu n’as rien à craindre. Je ne suis pas comme toi une pute qui se fait baiser et je suis négatif si cela peut te rassurer. Et toi, tu es quoi ?
- Négatif, Maitre et sain, totalement sain.
- A la bonne heure. Personne ne court de risque. Maintenant tais-toi et gémis comme une femelle.
Inutile de me le dire, je couinais sous ses coups de butoir. Avoir deux queues dans le trou est toujours un plaisir immense. Se sentir bien rempli, soumis par deux mâles (ici un seul mais la sensation est la même avec un gode) est unique. Mon excitation était telle que je jouis du cul sans autre préambule. Ma jouissance contractant mes sphincters entraina la sienne et c’est en hurlant qu’il me déchargea tout son foutre dans la chatte. Sous l’effet de sa jouissance, il s’affala sur mon dos et en guise de remerciement m’embrassa tendrement dans le cou. J’étais heureux de l’avoir satisfait et cela me semblait réciproque.
- Waouh ! Quel pied ! Y avait longtemps que je n’avais pas joui comme ça et je te le dois, ma petite chérie. T’es un super coup et je crois que nous allons faire de grandes choses ensemble. J’ai plein de projet pour toi, t’es trop bonne.
- Merci Maitre. Vos compliments me touchent droit au cœur.
- Au cœur, au cœur ! Tu veux dire au cul surtout, fit-il en éclatant de rire.
- Du cœur au cul, la distance est courte, lui répondis-je en riant également.
- Très bien, mon ange. Tu vas me combler.
Il décula mais laissa le gode en place et se positionnant devant moi, m’obligea à lui nettoyer le chibre avec ma langue.
- Reste comme ça pour l’instant, je reviens.
Quelques secondes plus tard, il revint avec un plug qui remplaça le gode.
- Désormais, tu le porteras en permanence dès que tu seras ici. Rien que de savoir que tu le portes sur toi, m’excitera un max. Et je veux que tu aies la chatte toujours très souple pour que je puisse t’enculer quand bon me semblera à toute heure du jour.
- Parfait Maitre. Pas de problème.
- Mais sache que je suis un gros baiseur et que plusieurs fois par jour, c’est mon rythme. J’espère que tu pourras encaisser.
- J’encaisserai Maître. J’y suis habitué. C’est mon lot quotidien avec mon mec.
- Il te baise régulièrement ?
- Oui au moins trois ou quatre fois par jour et parfois plus les week-ends quand il fait venir des copains pour me baiser. Il aime me partager et j’aime ça.
- Humm ! J’aime bien cette idée que tu te sois fait baiser avant d’arriver au bureau. S’il te baise le matin, garde son jus dans ton cul. Avec le plug, tu devrais le conserver sans problème.
- Bien Maître.
- Putain ! Quel pied, je vais prendre. Si tous les stagiaires étaient aussi salopes que toi, j’aurais été moins regardant sur leur recrutement. Bon, relève-toi et viens t’asseoir.
J’obtempérai. Je rappelle que j’avais toujours les mains menottées dans le dos et le plug qui s’enfonça lorsque je pris place sur le fauteuil face à lui.
- Bon, parlons peu mais parlons bien. Désormais, tu porteras en permanence le plug quand tu seras ici. Ok ?
- Oui Maître.
- Tu resteras à ma disposition quand je le souhaiterais et cela, plusieurs fois par jour et sans rechigner. Je t’appelle, tu viens.
- Bien sûr, Maître.
- Pour faciliter les choses, tu te feras confectionner à mes frais des pantalons avec une fente à l’arrière ce qui me permettra de t’enculer plus facilement ce qui sous-entend que tu ne porteras plus de sous-vêtement et même si tu bandes et que ça se voit, je m’en fiche. C’est ton problème.
- D’accord Maitre. Je peux aussi mettre un jockstrap.
- Non, rien du tout. C’est plus fun. Enfin, j’aimerais bien rencontrer ton copain. S’il est aussi tolérant que tu le dis, cela devrait être facile. Je veux que nous discutions tous les trois mais surtout lui et moi des termes d’un contrat pour ta mise à disposition. Bien sûr, il y a aura une rémunération à la clé. L’argent est toujours une motivation suffisante pour faire accepter certaines clauses.
- Bien Maitre. Je lui en parlerai dès ce soir.
- Parfait et donne moi une réponse demain sans faute.
- Vous l’aurez.
- Exceptionnellement, comme tu viens de faire des heures supplémentaires, tu arriveras au cabinet vers 10 heures, 10 heures 30. Tu vois, je sais accorder des avantages aux bons employés. A demain et n’oublie pas : je veux une réponse.
- Oui Maître.
Sur ce, il me détacha. Je me rhabillai et après un patin bien baveux dont il prit l’initiative, il mit fin à notre entretien après m’avoir tripoté au préalable le fion pour voir si le plug était bien en place.
Sur le chemin du retour, j’étais en proie à mille questionnements à propos de ce fameux contrat et de la rémunération associée. Quoi qu’il en soit, je trouvais la situation excessivement excitante, d’autant plus excitante que le plug l’entretenait, me rappelant mon rôle de soumis et d’objet sexuel.
Luc
luctulede@gmail.com
