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7 et 8 Mai

Grosse queue
"Plan à 3"
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HISTOIRE

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Premier épisode | Épisode précédent

Les délices de la soumission

Saison 1

Chapitre 3

Quand j’arrivais Stéphane était déjà là. Comme tous les soirs, il m’ordonna, dès mon arrivée et tel que le stipulait notre accord, de me mettre à poil et de lui tailler une pipe. Légaliste par nature, je respectai notre engagement. Le plug n’échappât pas à sa vigilance.

- Je vois que tu vas avoir plein de choses à me raconter, ma chérie mais avant au travail, pompe-moi le dard et on discutera après.

Stéphane était un beau garçon et j’étais amoureux de lui depuis le collège. Mais notre relation s’enflamma quand nous nous retrouvâmes colocataire d’un appartement à Bordeaux pour y suivre nos études universitaires. Les choses se firent petit à petit jusqu’à ce qu’il me fasse découvrir ma vraie nature de salope, accroc à la bite. En quelques jours seulement, il me fit découvrir les plaisirs entre mâle et je fus vite, très vite, déniaisé. C’était un gros baiseur qui après de nombreuses aventures hétéros, s’était tourné vers les mecs, les trouvant plus en capacité de satisfaire son appétit, ses attentes et ses vices. C’est vrai qu’entre mecs, les choses sont souvent plus faciles. Quoi qu’il en soit, il fit de moi sa pute et si sexuellement notre entente était parfaite, il y avait aussi de l’amour dans notre relation. Les purs moments de tendresse n’étaient pas rares ce qui complétaient à merveille notre union. Notre confiance mutuelle me permettait de m’abandonner sans arrière-pensée et sans résistance à sa perversité. Par-dessus tout, il aimait me partager. Cela lui procurait une sensation augmentée de mâle alpha et de dominateur. Et bien que nous ayons presque le même âge, il était devenu, à ma grande surprise, maître en matière de domination et de manipulation des sentiments. J’en étais conscient et l’acceptais volontiers.

Une fois, ma pipe terminée et le hors d’œuvre juteux consommé, il me demanda de lui raconter par le menu ce qui s’était passé. Je n’omettais aucun détail sur les deux séances de baise que je venais de vivre avec Maître Thibaud (C’est le prénom de l’avocat). Il se montra enthousiaste et accepta immédiatement le rendez-vous. Était-ce la promesse d’une rémunération qui lui plut ou l’idée de me partager ? Je ne saurais le dire. Mais son acceptation rapide m’excita à tel point que je me jetais sur lui avec passion et lui offrit un baiser passionné.

- Oh là ! Attends un peu de connaître les termes du contrat avant de t’emporter. Je n’accepterai qu’à certaines conditions.

- Lesquelles Maître ? (Lui aussi, je l’appelais Maître, c’était dans notre accord)

- Nous verrons bien. Mais je tiens quand même à te préserver un peu. Certes, tu es une grosse salope et tu adores ça mais point trop n’en faut. Tu dois aussi te ménager, ma chérie.

- Merci Maître. C’est gentil de penser à moi.

- Non, ce n’est pas gentil. J’ai juste envie que tu restes à moi et que ton désir à mon égard soit toujours le même. Et que je puisse continuer à t’utiliser à ma guise sans que tu sois épuisé. Tu vois, je pense d’abord à moi.

- C’est gentil quand même Maître.

- Prends-le comme tu veux. En attendant, va préparer le repas pendant que je prends une douche.

C’était un rituel quotidien. Il prenait sa douche, je préparais le repas complètement à poil. Je savais ce qui m’attendait car à chaque fois, j’avais droit à une saillie après la douche. Il adorait me voir aux fourneaux et me limer l’oignon en même temps. Ce qui ne manqua pas d’arriver ce soir-là. Dès qu’il fut sorti de la salle de bains, il vint me peloter l’arrière-train, m’enleva le plug et fourra sa bite dans mon derche. Bien sûr, je gémissais car quelle que soit la bite, je couinais. J’aimais trop me sentir possédé comme une femelle pour ne pas l’exprimer d’une façon ou d’une autre.

Je savais aussi à moins qu’il ait décidé de sortir que j’aurais droit à une autre saillie avant de nous coucher. Car il faut savoir qu’en général, nos sorties étaient toutes sexuelles et ce soir-là, il en avait prévu une.

Pas très loin de chez nous, à quelques centaines de mètres, habitait un couple que nous avions rencontré quelques jours auparavant dans un restaurant. Ma dégaine avait attiré l’un d’eux et profitant d’une pause pipi, il m’avait accosté de façon assez crue dans les toilettes. Il avait très rapidement compris que j’étais une petite salope et en couple avec Stéphane. Après lui avoir expliqué que je ne décidais de rien, il se dirigea vers Stéphane et c’est ainsi que nous fîmes connaissance de Philippe et Florian. Après une chaude discussion et un échange de numéros de téléphone, nous nous quittèrent sans omettre l’organisation d’un plan futur. Et de toute évidence, c’était pour ce soir car bien que ma journée ait été sexuellement très chargée, il m’avoua avoir prévu un plan chez eux.

- Bon, je me suis bien vidé les couilles mais elles sont encore bien pleines. J’ai prévu d’aller chez Phil et Flo pour bien terminer la soirée. Ça tombe bien. Avec ton histoire avec ton avocat, tu m’as mis le feu aux burettes et je pense qu’ils sont aussi chauds que moi. Tu vas en prendre plein la chatte encore mais tu aimes ça, non ?

- Oui Maître, vos désirs sont des ordres et comme vous le savez, je ne suis jamais rassasié.

- Parfait. On va te préparer selon leurs désirs mais va prendre une douche avant. Je veux que tu sentes bon et te nettoies le cul. Il en va de ma réputation et il n’y a rien de pire qu’une pute négligée. Pour que tout soit parfait, je ne veux voir aucun poil.

Pendant que je prenais une douche réparatrice, Stéphane mit sur le lit les éléments de ma tenue du soir : slip en cuir, collier, laisse, plug, cagoule avec ouverture amovible pour les yeux, cage de chasteté, ballstretchers, menottes et sandalettes. Pendant qu’à son tour, il reprenait une douche, je commençais à raser les poils inconvenants : aisselles, pubis, jambes, bras, couilles. Dès qu’il en fut sorti, il inspecta mon travail. Ne le trouvant pas aussi parfait qu’il le souhaitait, il se chargea de peaufiner la présentation. Je devais être bien lisse de partout et faire le deuil de tout signe de virilité. Une fois fait, je m’accoutrais rapidement. J’eus un peu de mal à enfiler la culotte de cuir, la cage de chasteté et les ballstretchers me faisant un paquet énorme.

- Bon c’est parfait comme ça. Mets tes mains derrière le dos que je les menotte. Je crois que nos amis vont bien apprécier. Je te conseille comme d’habitude d’obéir sans discuter ni poser de questions. Tu vas être extrêmement gentille et tu parleras uniquement quand on t’en aura donné la permission. Ni plus ni moins OK ?

- Oui Maître.

Puis, il me tira par la laisse sans ménagement. J’eus à peine le temps de voir qu’il était déjà 22H15. Il me poussa dans la rue à moitié à poil en m’ayant prévenu au préalable qu’ils habitaient à quelques centaines de mètres. Bien que la température soit agréable en cette soirée de juillet, la fraîcheur de la nuit me fit frissonner et tout mon épiderme fut balayé par une vague de chair de poule. Une poule, voilà bien ce que j’étais. Une poule suivant aveuglément son coq et prête à tout pour se faire féconder.

Comme convenu, je ne posais aucune question et suivais sans mot dire. Vu l’heure, la probabilité de croiser quelques noctambules n’était pas nulle. Et c’est ce qui arriva. À peine avions-nous fait 200 mètres que nous rencontrions une bande de joyeux lurons. Mon rythme cardiaque s’accéléra, la situation devenait tendue. Qu’allions-nous faire devant cet imprévu ? Mais c’était sans compter sur la présence d’esprit de Stéphane. Profitant du renfoncement d’une porte de garage, il me plaqua contre le coin de la porte, couvrant mon corps nu du sien et m’embrassa à pleine bouche dans l’intention de nous faire passer pour un couple d’amoureux. C’était risqué, mais à part cela ou la fuite, il y avait peu de solutions. Sa maîtrise de la situation me rassura. Sentir son corps chaud sur le mien et, cette fois-ci encore, sa fougue et sa langue fouineuse, me firent mouiller. Toutes ces situations avaient l’art de m’exciter au point de perdre toute contenance. Si j’avais eu les mains libres, je lui aurais malaxé la bite en même temps, car le bougre bandait encore comme un taureau. .

- Oh ! Regardez les deux amoureux dit l’un d’eux. Je crois qu’il y en a une qui va passer une bonne soirée.

- Oui c’est sûr fit un autre. Il va s’la faire sa p’tite chérie.

Malgré la faible obscurité, aucun ne remarqua que j’avais une cagoule, que j’étais quasi à poil, et surtout que j’étais un mec. Dans le cas contraire, cela aurait pu dégénérer, car même si l’homosexualité était bien mieux admise et tolérée, son exhibition sur la place publique l’était beaucoup moins. Heureusement, ils n’y virent que du feu et passèrent leur chemin. Pour autant, Stéphane ne desserra pas son étreinte. Il continua à m’embrasser et à me caresser le corps, et plus particulièrement les tétons que j’avais sensibles. Je me mis alors à roucouler de plaisir ce qui redoubla son ardeur. Poussant son corps contre le mien, je sentais sa queue contre ma cuisse et j’en mouillais de bonheur faute de pouvoir bander à cause de la cage. Dirigeant une de ses mains vers mon cul, il réussit à y introduire en plus du plug deux doigts et me souffla à l’oreille, visiblement heureux.

- Je ne sais pas ce que j’ai fait au Bon Dieu pour mériter une aussi bonne femelle que toi, mais vraiment, tu es la meilleure que j’ai connue jusqu’à présent. Tu me fais triquer à mort, ma poulette. Et en plus, tu mouilles toujours de la chatte, preuve que tu es une vraie chienne. T’es vraiment une super petite pédale qui mériterait, non pas trois étoiles au Michelin, mais bien quatre ou cinq, tellement tu es bonne et mignonne de surcroît. Hum… j’ai envie de ta rondelle et de te baiser, de te baiser, de te baiser... Et toi tu as envie de ma queue ?

- Oui plus que jamais Maître. J’adore votre bite quand elle me fourre l’oignon, c’est divin.

- Et toujours aussi vicieuse et grossière. Même après une journée à s’être fait fourrer le fion. Cest parfait, parfait, parfait. On va s’éclater comme des fous.

Et il m’embrassa encore plus vigoureusement. Puis desserrant son étreinte et voyant que le champ était libre, nous reprîmes notre virée nocturne. Enfin, quelques minutes plus tard, nous arrivâmes à destination. Stéphane sonna. Une voix dans l’interphone lui indiqua l’étage et lui demanda si la petite lope était bien chaude. Stéphane lui précisa que je l’étais plus que jamais. Il nous ouvrit la porte, j’avais reconnu la voix de Philippe. Une fois les deux étages montés et avant de pénétrer dans l’appartement, Stéphane remit la partie amovible de la cagoule sur mes yeux pour me rendre complètement aveugle, puis me guida doucement pour me faire éviter les obstacles. À peine franchie la porte d’entrée, Philippe s’exclama.

- Ah enfin, ce n’est pas trop tôt. On commençait à désespérer. Il est presque 22 heures 30 et on est chaud bouillant. Crois-moi Stéphane, la petite pute va prendre cher.

- Elle adore ça. Elle est chaude comme la braise et la chatte bien à point. On va lui faire sa fête à cette petite garce, répliqua Stéphane dont le ton contrastait complètement avec celui employé quelques minutes auparavant.

- Salut les amis, fit à son tour Florian. Content de vous voir. Alors, elle est bien motivée la petite traînée. Elle veut de la bite ?

- Oui, pour sûr répondit Stéphane. Je l’ai harnaché comme vous le vouliez, tout y est. Vous pourrez voir ça par vous-mêmes. Et elle est rasée de partout. Elle a une vraie chatte de gonzesse sans un poil ni devant ni derrière.

Immédiatement, Florian vint se plaquer derrière moi et commença à me pincer le bout des tétons avec ses grosses paluches. En même temps, toujours les mains menottées dans le dos, je sentis son énorme queue. Fidèle à ma réputation, j’impulsais à ma main un mouvement sans ambiguïté sur mon envie de bite. Son mandrin me paraissait énorme et il l’était.

- Ah oui, c’est sûr qu’elle veut d’la bite. Elle profite de la situation pour m’astiquer le zob, cette p’tite salope. Et entends comme elle gémit. Putain, quelle chienne ! Faut que j’me la fasse.

Aussitôt, il me fit pencher vers l’avant, m’ôta ma culotte de cuir et le plug, enfila une capote taille XXXXXXXXL et m’encula sans ménagement.

- Eh, vas-y mollo. Vu le calibre de ton braquemart, tu vas lui perforer les boyaux.

- Ne t’inquiète pas fit Florian, j’ai l’habitude. Je lui en mets les deux tiers et ensuite, je pousse doucement, mais j’suis certain que cette chienne va se les prendre facile mes 23 centimètres. Elle a un cul pour accueillir tout un car de touristes congolais.

Ils partirent tous d’un grand éclat de rire. L’image était saisissante et assez réjouissante pour déclencher une hilarité générale. Quant à Philippe, il n’était pas en reste. Sa bite me limait la gueule avec autant de frénésie que celle de son copain. Une queue devant, une queue derrière, là encore, je couinais de plaisir, enfin presque c’est à dire autant que faire se peut quand on a la bouche pleine. Pour un soumis comme moi, rien n’était meilleur que cette sensation d’être pris en tenaille entre deux désirs mâles et bien raides.

Pendant les 5 ou 6 minutes que dura ce premier intermède, Stéphane prenait des photos. Faut dire que la scène était digne de faire la une de Paris-Match. Deux beaux mecs se payant une belle petite pute, cela méritait quelques colonnes dans un grand quotidien régional ou national.

- Bon, c’était super cette petite entrée en matière et ça promet pour la suite, fit Philippe, mais on sera mieux dans le salon et dans la chambre. On a tout préparé.

- Putain qu’c’était good, very good fit Florian. Des vaginales dans son genre, c’est bon pour les gros queutards comme moi. Eh Stéphane ! Si un jour, tu n’en veux plus, je l’adopte tout de suite. Elle a tout pris la chienne, c’est vraiment une jument exceptionnelle. Elle arriverait première au Grand Prix de l’Arc de Triomphe de la Bite, c’est certain.

Et tous partirent encore d’un gros éclat de rire. Moi-même, tout en restant silencieux, puisque tel avait été mes ordres, je rigolais intérieurement. Décidément, ce Florian avait de l’humour. Non seulement la soirée s’annonçait chaude à souhait, mais pleine de bonne humeur. Cela me plût et me mit en confiance, quelles que fussent les propos désobligeants à mon encontre, des propos que j’aimais et qui m’excitaient à mort.

J’avais eu droit à l’apéritif (façon de parler, aucun n’ayant joui). Maintenant, nous allions passer aux hors-d’œuvre, aux plats de résistance et enfin aux desserts. J’allais prendre cher. Philippe l’avait annoncé et je ne fus pas déçu.

Luc

luctulede@gmail.com

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