Saison 1
Saison 2 | Le restaurant
Dans Les délices de la soumission – Saison I, je vous ai raconté en détail ma rencontre avec Maître Thibaud, avocat chez lequel j’effectuais un stage puis celle avec Philippe et Florian. Cette 1ère partie relatait des faits survenus sur une seule journée. C’était mon lot quasi quotidien à cette époque. Depuis je me suis assagi mais c’est toujours avec nostalgie que j’y repense. Ah la jeunesse ! Période bénie où tous les sens sont en éveil, où la moindre évocation, le moindre effleurement génèrent une excitation immédiate dont les effets physiques sont irrépressibles. Plus j’en avais, plus j’en voulais. J’étais insatiable et Stéphane, mon amant et déniaiseur, - qui le comprit très vite - en usa et en abusa pour son plaisir et celui des autres.
Voici maintenant la suite.
Chapitre 1
Je me réveillais le lendemain matin vers 9 heures dans mon lit et dans les bras de Stéphane dont la turgescence matinale se frottait à mon cul. Pourquoi n’étais-je pas chez Phil et Flo pour recevoir ma punition ? En attendant des réponses, je profitais du sommeil de Stéphane pour introduire sa queue dans mon cul, toujours en manque. Lentement, je m’empalais sur son chibre et par de légers va et vient, je le branlais avec ma chatte. C’était bon et c’était doux. Ce corps à corps eut pour effet de le réveiller et il se mit subitement à me bourrer rapidement.
- Bonjour ma chérie ! Toujours en manque à ce que je vois ?
- Oui mon chéri. Je t’appartiens et mon cul est à toi.
- Humm que c’est bon !
Pour assurer une meilleure pénétration, il me leva une jambe pour s’immiscer au plus profond de mon trou. Sa respiration s’accéléra et dans un sursaut ultime déchargea son jus.
- Toujours aussi bonne pute malgré ce que tu as vécu hier soir.
- Je suis là pour ça mais peux-tu me dire pourquoi je ne suis pas chez Philippe ?
- Tu es tombé comme une masse et ils ont eu pitié de toi. Nous t’avons ramené à plusieurs et tu ne t’es rendu compte de rien. Tu dormais à poings fermés.
- Très bien. C’est sympa.
- Bon, c’est pas tout ça mais faut te préparer pour ta journée, ma chérie.
Après un petit déjeuner rapidement avalé, une bonne douche, un bon lavement et le plug remis à sa place, je repartais bosser au cabinet. Dès mon arrivée, Maitre Thibaud me fit appeler sous prétexte d’un dossier à terminer. Bien sûr, ce prétexte était fallacieux. Il voulait en savoir plus sur la réaction de Stéphane mais avant, il vérifia que le plug était bien en position.
- C’est bien ça. Tu es très obéissante et tu me fais bander, ma salope.
En effet, il ne fallait pas être grand clerc pour voir que sa bite avait pris une dimension des plus généreuses. Comme la veille, il m’intima l’ordre de passer sous le bureau pour lui tailler une bonne pipe. Quelques coups de langue suffirent à le faire juter et je pris mon 2ème petit-déjeuner car j’ai oublié de vous dire qu’après le 1er assaut matinal, Stéphane m’avait obligé à le sucer en guise d’au revoir. Cela aurait été criminel de ne pas bénéficier de la 2ème érection matinale de mon mâle.
Une fois rhabillé, il me fit sortir et me demanda ce qu’avait dit Stéphane.
- Alors ma petite tapette. Qu’en a dit ton chéri ? Il est d’accord ?
- Oui il est d’accord Maître pour vous rencontrer.
- Génial. Il est dispo facilement ?
- Oui Maître.
- Ce soir 18 heures, ça lui irait ?
- Oui je pense Maître.
- Bon très bien. Appelle-le et confirme-lui le rendez-vous ce soir à 18 heures. Je compte sur toi.
- Ce sera fait Maitre.
Aussitôt sorti et de retour dans mon bureau, je lui téléphonais et comme je m’y attendais, il donna une réponse positive.
Excité, dans l’attente de ce rendez-vous, je ne débandais pas de la matinée et n’ayant pas de sous-vêtement pour cacher mon priapisme, j’étais un peu gêné lors de mes déambulations dans le cabinet. Par chance, aucune des secrétaires présentes ne le remarqua ou fit semblant de ne rien voir. Il est quasi certain qu’elles étaient au courant des turpitudes de leur patron. A plusieurs reprises, j’avais surpris quelques coups d’œil entre elles qui le laissaient présumer. Quoi qu’il en soit, elles me traitèrent toujours avec gentillesse et attention. Maître Thibaud, veillant à ce que l’ambiance soit toujours bonne, entretenait des rapports plutôt décontractés avec son pool de secrétaires qui le lui rendait bien en travaillant avec sérieux et constance. Le cadre de travail était des plus agréable.
Quand 12 heures sonnèrent, Maître Thibaud m’appela dans son bureau. Comme la veille, il attendit que les secrétaires soient parties pour verrouiller la porte principale derrière elles.
- Alors, ma petite pute, tout va bien ?
- Oui Maître.
- Apparemment, tu bandes comme un taureau. La situation semble te plaire ?
- Oui Maître
- Parfait, approche-toi que je puisse en juger par moi-même.
Lentement, il me défit le pantalon qui me tomba sur les chevilles. Ma bite lui sauta au visage et alors que je ne m’y attendais pas, il la prit en bouche.
- C’est mon cadeau pour ton obéissance mais je t’interdis de jouir.
- Ça va être dur Maître.
- Retiens-toi sinon je te corrigerai sévèrement et le plug que tu as actuellement dans le cul n’est rien en regard de celui que je te réserve.
Était-ce une stratégie pour voir si l’idée d’un plug plus gros me faisait peur et ainsi mieux déterminer mon degré de vice ou était-ce simplement un ordre qu’il voulait voir respecté ? Toujours est-il que je ne pus résister et lui envoyais ma sauce sur le visage.
- Oh la vilaine. Elle a joui. Pour commencer, tu vas me nettoyer le visage avec ta langue mais avant, tu te fous à poil et je te menotte comme hier.
C’est donc dans cette position plutôt inconfortable que je lui nettoyais le visage. Puis, se positionnant derrière moi, il enleva le plug violemment et m’encula à sec. La chatte en partie dilatée, la douleur fut peu intense et comme à mon habitude, je me mis à gémir de plaisir.
- Décidément, tu es la plus grosse salope que je connaisse. Jamais vu un spécimen pareil. Tu l’aimes ma bite, hein, grosse pute ?
- Oui Maître, je l’adore.
- Mais tu sais qu’il faut la mériter.
- Oui Maître, je le sais.
- Allez prends ça dans l’oignon et couines comme un goret ou plutôt une truie. Ça m’excite.
Je ne me fis pas prier et chouinais de plaisir.
- Une truie comme toi, ça aime se faire engrosser, non ?
- Oui Maître, donnez-moi tout. Engrossez-moi.
Il ne lui en fallut pas davantage pour me gicler dans la chatte à gros bouillons. J’étais aux anges et lui aussi. J’en étais déjà à deux turlutes et une saillie et la journée n’était pas finie. Après s’être rhabillé ou plutôt remis le paquet en place et avoir repris une certaine contenance vestimentaire, il se dirigea vers son bureau et en revint avec un plug énorme d’au moins 7 ou 8 cm de diamètre.
- Tu l’as voulu ta punition et bien la voilà.
Après l’avoir enduit de crème, il me l’embrocha dans le fion non sans appuyer comme un malade. J’étais bien rempli mais en bonne salope que j’étais, je me mis à bander aussitôt.
- Je vois que même ça, ça te fait de l’effet. Je suis tombé sur la championne du monde des vaginales. A vrai dire, c’est un vrai régal de voir un jeune mec aussi salope et aussi mignon de surcroît. J’espère que nous allons trouver un terrain d’entente avec ton chéri.
- Oui certainement Maître.
- Bon rhabille-toi, je t’invite au resto pour fêter notre rencontre. Tu le mérites bien.
- Merci Maître.
Pendant les quinze minutes du trajet, il m’obligea à le sucer pendant qu’un de ses doigts m’écartait la rondelle en plus du plug. Tout était prétexte à sexe. Aucun temps mort. Enfin, nous arrivâmes dans un endroit assez isolé. Au bout d’une longue allée se dessina un château genre Renaissance. Une magnifique demeure agrémentée de terrasses fleuries et ombragées. Un lieu idyllique de perdition. Dès notre entrée, je constatai que la clientèle était essentiellement masculine, une clientèle qui dans sa quasi-totalité me dévisagea de la tête aux pieds en s’attardant sur certaines parties de mon anatomie. Maître Thibaud devait y avoir ses habitudes au vu des nombreuses salutations qu’il reçut. Le maître d’hôtel nous installa dans un coin un peu retiré et à l’abri des regards, des regards concupiscents qui m’avaient littéralement déshabillé lors de notre pérégrination entre les tables. Une des personnes présentes avait attiré Maître Thibaud et me fixant du regard lui avait demandé si j’étais son nouveau soumis.
- Pas encore mais c’est en bonne voie. Encore un détail ou deux à régler et on verra.
- Tu as de la chance. Si tu ne fais pas affaire, présente-le-moi. Je sens qu’il y a là de la graine de championne.
- On verra, lui répondit Maître Thibaud en éclatant de rire. On verra mais en tout cas, c’est de la bonne. Je te le garantis.
- Je n’en doute pas. Bon appétit à vous deux.
- Merci Monsieur, fis-je sur un ton des plus mielleux.
Le cadre était posé et la journée loin d’être finie. D’autres surprises m’attendaient.
Luc
luctulede@gmail.com