Premier épisode | Semaine en trek
Chapitre 3
Je vous avais quitté l'année dernière au beau milieu d'une semaine en trek avec mon meilleur pote et un groupe de randonneurs.
Cette année, nous avons remis le couvert.
Enzo, ç'est mon meilleur pote. Comme mon frère. L'année dernière, il m'a offert au gardien d'un refuge. Il sait maintenant de quoi je suis capable.
On repart presqu'avec le même groupe. Enzo, qui guide. Les deux glousseuses sont toujours là 😡 Gaël, Diego, Eward et Yacine aussi. Pat et Steph n'ont pas pu venir. Mais Yacine est venue avec un pote. Elyas. Et Diego est venu avec son frère. Sam.
Départ pour l'Autriche cette année. 10 h de route. Je monte dans la camionnette en compagnie d'Edward, qui pilote. Gaël, qui copilote, et les deux glousseuses. Tout à l'arrière, Yacine et son pote. Et moi coincé entre les deux. D'avantage de place pour mes jambes, nickel.
Dès le départ, on commence à se raconter nos aventures de l'année écoulée. La route va être plutôt longue, on essaye de trouver une position relativement confortable.
Malgré la fin de la saison chaude, j'ai opté pour un short pour le départ. Ce qui me permet, au contact du frottement des jambes de mes voisins contre les miennes, de remarquer qu'ils ont tous les deux opté pour une tenue décontractée : jogging pour les deux. Un détail qui m'avait échappé jusqu'à présent.
Après une bonne heure de route, je sens déjà la fatigue qui me gagne. Décidément, la voiture, ça m'endore quasi instantanément maintenant. Dans mon demi sommeil, je sens toutefois les jambes de mes deux voisins faire pression sur les miennes et se frotter de manière languissante à moi au rythme du chaos de la camionnette. Je doute d'ailleurs d'une quelconque retenue de la part de mes voisins. Et moi, ça ne me dérange pas. Au contraire.
A un moment, je me réveille à moitié. Et je remarque que je me suis à moitié affalé sur mon voisin de droite. Le nouveau venu Elyas. Et merde. Je me redresse en me confondant en excuses. Mais j'ai l'impression de remarquer dans mon mouvement une bosse au niveau de l'entre jambes d'Elyas. Je le regarde. Il me sourit. Wawwww. Je tombe sous le charme de ce beau beur de 28 ans.
Elyas me fait savoir qu'il n'y a pas de problème pour lui si je dors contre lui. Il ouvre même le bras dans un geste d'invitation à poser ma tête contre lui pour être à l'aise.
J'avoue. J'avoue. Ce geste très amical de la part d'une personne encore inconnue aurait dû paraître étrange à mes yeux. Et pourtant, sans réfléchir, j'ai à nouveau posé ma tête contre lui pour tenter de redormir un peu. Et je me suis laissé aller. Doucement. Profondément. Enfin, vous qui avez déjà dormi dans une voiture, vous savez qu'on ne s'endort jamais profondément. Mais moi je me sentais bien. Rassuré. Appaisé. L'odeur qu'Elyas dégageait n'y était pas étrangère. Un parfum envoûtant. Ne me demandez pas de quel parfum il s'agissait, je n'y connait rien. C'est un parfum que j'aime bien.
On dirait que les kilomètres ont un peu défilé. Je me réveille en douceur. Tout va bien, j'ai toujours la tête posée contre Elyas. En témoigne cette odeur, ce parfum toujours présent qui m'a accompagné pendant mon sommeil.
Mon dieu. J'espère que j'ai pas parlé. Non...je crois pas. Tout continue à aller bien.
Heu...non. Non non non. Non, tout ne va pas bien ! Du tout là ! Ma main. Elle est où ma main ? Posée, là...sur sur... ç'est quoi cet objet tout dur ??
Oh putain. Oh putain de merde. Putain c'est bien ça! J'ai la main posée sur la bite d'Elyas. Oh la honte. Elle est extrêmement dure. Une vraie batte de base-ball.
Allez allez Max. Reprenon-nous. Restons calme. Sang froid et self control. On analyse la situation. Personne semble avoir remarqué que je suis réveillé. Gardons encore la position un instant en attendant de trouver un échappatoire. Je suis couché sur un mec que je connais pas. J'ai la main posée sur sa queue bien raide. D'ailleurs...je la sens plutôt bien cette queue dans ma main. Je dirais même...mais oui...il porte pas de sous vêtements le salop. Il n'y a que son jog entre sa queue toute dure et ma main.
Mais que va-t il penser de moi. Comment vais-je me justifier ?
Bon, d'un point de vue tout à fait personnel j'avoue que ça me dérange pas trop hein moi. D'ailleurs cette situation me fait même bander ! Je bande. Je bande...putain je bande ! Et bien dur encore. J'espère que personne va le remarquer. Pitié, faites que personne le remarque. Et surtout que cette main que je sens sur mon cul ne s'aventure pas par devant pour aller constater à quel point je bande !
Heu...attendez là. Une main sur mon cul. Comment ça ? Mais oui, carrément ! Y'a quelqu'un qui me carresse les fesses. Et qui en plus à incérer un doigt dans mon short et qui est directement en contact avec les dessus de mes fesses. Juste à l'entrée de ma raie !
Oh mon dieu, mais que ce passe-t il? Bon. Reconcentration. Va falloir se sortir de cette situation la tête haute. Je vais faire semblant de me réveiller en douceur. Non, plutôt en sursaut, comme si j'avais été effrayé par quelque chose. Et comme ça, d'un coup, je retire ma main et le mec qui a sa main sur mon cul aussi. Restera plus qu'à dissimuler mon érection. Oui, ça ç'est la bonne solution. Ok, j'y vais...
- Ah mais on dirait que notre dormeur est réveillé ! C'est la voix de Yacine avec son petit accent rebeu si particulier. J'ouvre un œil. Il est penché au dessus de moi. Un large sourire lui pourfend le visage.
- Bien dormi ? En forme ? Me dit-il en posant une main sur ma queue bien dure.
Je me réveille. Je me redresse. Et je lui dis " putain Yass, tu m'as foutu les boules mec, t'es con !"
Il se marre. Et Elyas à ma droite aussi. Heureusement, j'ai profité de l'occasion pour retirer ma main de la queue d'Elyas. Bien joué Max. T'as géré sur ce coup là.
Par contre, je sens toujours une main coincée sous mes fesses. Je constate que c'est celle d'Elyas, qui se trouve coincé et qui essaye de retirer sa main.
Je me soulèves un peu pour lui permettre de se dégager, mais au lieu de ça, Yass en profites pour attraper mon boxer et tirer dessus vers le haut. Il me le rentre dans le cul. J'ose pas protester de peur d'attirer l'attention de ceux devant. Et surtout pas celle des deux glousseuses.
Je me rassieds. Elyas a retiré sa main. Mais je suis gêné par mon boxer qui me rentre dans le cul.
Elyas se penche à mon oreille. Et tout en me sussurant "t'avais l'air d'apprécier ma bite. Je t'en prie, continues" il me prend la main et me la repose sur sa teub toujours aussi dure.
A peine ais je le temps de réagir que Yass se penche à mon autre oreille pour me dire "pas de jaloux à l'arrière" , prend ma main gauche et la pose sur sa bosse. Directement, je remarque que lui non plus ne porte rien sous son jog. Je sens très bien sa queue. Contrairement à celle d'Elyas, elle n'est pas encore dure. Mais je la sens bouger sous ma main. Et se meut lentement mais sûrement. Vers le haut. Devient plus longue que ma main posée dessus. Continue à grandir, se déployer, s'étendre. D'un mouvement de quelques doigts, je tente de la prendre. Ce qui lui permet de se dresser complètement dans le jog. Mais surtout, ce mouvement de mes doigts aura permi au gland de Yass de poindre en dehors du jog. Oui, un beau gland brun que j'ai maintenant carrément sous les yeux. A quelques centimètres de ma main. Quelques petits centimètres qui se réduisent progressivement...ma main se déplace. Comme une automate. Pour que mes doigts arrivent à toucher ce gland qui commence déjà à devenir humide.
Je ne réfléchis plus. Je me sens bien. Assis là entre mes deux rebeux. Excité à l'idée que je fasse ça au milieu des autres, pouvant être surpris à tout moment.
Je caresse des doigts le gland de Yass, et instinctivement, ma main droite s'engouffre dans le jog d'Elyas pour aller directement au contact de sa queue.
Les doigts de ma main gauche jouent avec la mouille qui perle du gland de Yass. Il mouille bien le salaud.
Elyas se penche à nouveau à mon oreille et me dit tout bas "lèches la mouille de Yass". Ce que je fais sans hésiter. Je ramasse une dernière lampée de mouille qui perle du gland de Yass avec mon pouce et mon index et le porte à ma bouche. Elyas me dit "sniffes ta main droite en même temps". Je sors ma main du jog d'Elyas et la porte à mon visage. C'est à ce moment que deux choses se produirent.
Tout d'abord, cette odeur qui imprègne ma main droite. L'odeur de la bite d'Elyas. Cette odeur qui m'accompagne depuis que j'ai posé ma tête sur lui pour dormir. Une odeur de mec. Une odeur puissante. Une odeur qui vous ennivre. Qu'on a envie de sentir, encore et encore. Cette odeur, couplée au goût de la mouille de Yass que j'ai en bouche me transporte à une vitesse bien plus rapide que le rythme de croisière de notre camionnette. Je suis loin. Ailleurs. Mon visage se tend d'extase. Je ferme les yeux. Je profite de ce moment. Mes mains sont retournées à la découverte de mes voisins. Sur le gland de Yass à ma gauche. Dans le jog d'Elyas à ma droite. Et lorsque mes mains sont à nouveau bien occupées, j'ouvre les yeux. Et je vois la deuxième chose qui se produit. Dans le rétroviseur. Je vois. Je vois Edward. Nos regards se croisent. Il me sourit. Il a tout compris.
"Pause détente prochaine sortie" annonce t'il à la voiturée!
... à suivre...si vous le voulez
Maxfly76
maxfly76@hotmail.com
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