Cela fait maintenant des années que mes jouissances solitaires sont animées par la lecture des récits de ce site.
Il était temps de vous offrir les miens.
A l'époque de cette histoire, j'ai 18 ans. 1m77, 60kg, les cheveux châtains, mi long, les yeux verts. Je suis fin, pour ne pas dire mince, et imberbe de corps. Le minet par excellence.
J'étudie la littérature à l'université, en première année.
Un midi où je déjeune seul à la cafeteria, il s'installe en face de moi et me lance un «Salut!»
Je lève la tête, et reconnais un des mecs avec qui je partage plusieurs cours. On a jamais échangé un mot en amphi, je ne connais même pas son nom, je ne l'avais pas plus remarqué qu'un autre.
On commence à discuter, à faire connaissance. Il est marrant, le courant passe bien, et mon regard sur lui change peu à peu.
Il s'appelle Jules, il est un peu plus grand que moi, 1m80 environ, les cheveux bruns qui ondulent légèrement, et des yeux bleus qui feraient craquer n'importe qui. Je commence à le trouver charmant, presque sexy.
Après une heure de discussion, il me lance de nul part « t'es vraiment mignon. Toi, dans une semaine, t'es dans mon lit.»
Le culot du mec, il ne doute de rien.
Il se lève, et avant que j'ai pu répondre à cette phrase, il m'embrasse et se casse.
S'étant échangé nos numéros au fil de la discussion (au cas où, pour les cours..), je reçois un message de lui le soir même.
«Retrouve moi à la pause de demain midi devant le secrétariat»
Curieux et encore sous la surprise de ce baiser volé, je me rends donc le lendemain au rendez vous.
A peine l'ai je rejoins, qu'il me demande de le suivre, et je lui emboîte le pas dans un dedal de couloir dont j'ignorais totalement l'existence. Une fois arrivé dans un recoin lointain et désert de l'université, un couloir sans passage et silencieux, il passe sa main derrière ma nuque, et sa langue pousse mes lèvres. On s'embrasse longuement. Nos langues se cherchent et nos lèvres sont humides de la salive de l'autre.
Nos bassins ne restent pas inactifs, et nos sexes tendu à travers nos pantalons se frottent.
Mes mains glissent sous sont t-shirt, et j'explore son torse imberbe et finement musclé. Les abdos sont délicatement sculptés, et les pectoraux légèrement développés. Pendant que mes doigts s'aventure sur cette peau douce et chaude, ses mains empoignent mes fesses, les malaxent et nos sexes, encore plus durs, continuent de se frotter. Rien de plus, et nous nous séparons pour rejoindre nos cours respectifs.
Nous fixons un rendez vous le lendemain, même lieu, même horaire.
Cette fois ci, mes mains s'aventurent dans son jean, sous l’élastique de son boxer. Je devine un sexe de belle taille, une toison légère. Je caresse à l'aveugle ce membre chaud et doux, j'explore chaque centimètre carré de son sexe de mes doigts, à l'aveugle, sans jamais le libérer de sa prison de coton.
Nos rendez vous, plutôt sages, dureront quelques jours.
Un matin, n'y tenant plus, il libère son sexe, et me fixant de ses yeux bleus, me dit avec une voix ferme et implorante «Suce moi, je n'en peux plus»
Dans ce couloir, je m'agenouille, la tête face à son membre. Une odeur douce s'en dégage et vient m’enivrer. Il s'adosse au mur, tête légèrement en arrière, le bassin en avant, et moi, délicatement, je prends dans ma bouche le bout de son sexe. Je savoure son gland, je lèche, j'aspire, j'embrasse ce bouton de chaire rose. Il soupire de plaisir. Sa main se pose sur ma tête, caresse mes cheveux, et je fais alors glisser son membre cm par cm dans ma bouche. Il est large, d'une longueur moyenne, mais très épais. Je le savoure d'abord en douceur, je le fais coulisser sur ma langue , sa main dans mes cheveux, ses soupirs emplissant le couloir vide. Puis, son bassin vient donner des petits coups, il donne un rythme, que j'essaye de suivre. Il souhaite s'enfoncer de plus en plus dans ma gorge, je m’étouffe plusieurs fois, mais je garde son sexe en bouche. Je n'ai plus qu'une seule envie, le faire jouir. Je veux le voir prendre du plaisir. Son sexe glisse dans ma bouche, il soupire de plus en plus, ma langue s'active, mes mains sur ses fesses rondes et fermes. Il n'en peux plus, et me préviens qu'il veut jouir.
Je retire son sexe de ma bouche, et dans un soupir crispé, il verse sur le sol un jus abondant, blanc et laiteux. Une petite mare se forme au sol, il a les yeux clos, un sourire au lèvre, et moi, à genoux devant lui, je le regarde avec un sourire de satisfaction.
Je me relève, on se rhabille, on réalise alors ce qu'il vient de ce passer, dans ce lieu absurde, et on se marre comme deux bons potes.
Avant de se quitter et de nous rendre dans nos cours respectif, il me glisse à l'oreille : «Demain soir, je t'invite à dîner.»
Sans attendre ma réponse, il disparaît dans l'escalier, me laissant seul dans ce couloir vide, le goût de son sexe en bouche, et une invitation non déclinable pour le lendemain.
Nuits Fauves
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