Premier épisode
Chapitre 2
" Je pousse la porte de l'adresse que Jules m'avait envoyé par sms. Un petit resto calme, dans le nord de Paris. Il est là, me fixant de ses yeux bleus, un sourire aux lèvres.
On dine, on parle, on rigole, on passe une belle soirée.
Une fois fini, il paye et m'invite à nous rendre ailleurs pour terminer la soirée en beauté.
N'habitant pas loin du restaurant, je l'invite à aller chez moi. A peine la porte de mon appartement franchie, nos bouches se cherchent, nos langues se trouvent, nos mains explorent nos corps.
Sans que je m'en aperçoive, je me retrouve rapidement nu, et sa langue explore toute la surface de mon torse. Je gémis, les yeux fermé. Le contact chaud et humide de sa langue sur ma peau imberbe est délicieux. Voulant moi aussi goûter son corps, je me décide à lui ôter ses vêtement. Mais en prenant mon temps. Je souhaite découvrir petit à petit sa nudité.
Une fois débarrassé des vêtements, je fais glisser ma langue sur sa peau. Elle est lisse, chaude, légèrement salé, une légère odeur de sueur et de parfum, un parfum doux et enivrant. Je m'attarde sur ses tétons, que je fais durcir de la pointe de ma langue. Je le sens frémissant et, la bosse dans son boxer m'indique que je m'y prends plutôt bien.
En une fraction de seconde, je vois passer dans ses yeux une flamme que je n'avais jamais vu alors.
Il m’appuie sur les épaules, de sorte à me retrouver nez à nez avec son sexe qu'il libère de son boxer. Il saisit ma tête, et m'enfonce d'un coup son pieu chaud dans la bouche.
Je ne l'avais encore jamais connu aussi direct. Mais cette façon de faire me plaît, m'excite. J'ai envie de lui donner du plaisir, de le faire jouir. Je le suce comme si c’était la dernière fois, j'y met toute mon intensité : je lèche, j'aspire, je suçote, je salive. C'est lui qui donne le rythme, il se masturbe avec ma bouche, sur ma langue, dans ma salive. Son sexe est toujours aussi épais, j'ai parfois du mal à le prendre profondément, et certaines fois, j'ai la nausée, mais je m'applique à le sucer du mieux que je peux.
N'y tenant plus, il me relève, plante sa langue dans ma bouche et me malaxe les fesses.
Il me fais me retourner, me dévorant le cou de sa bouche large et humide, et il fais glisser ses doigts vers mon petit trou.
J'ai déjà eu quelques expériences, mais mon trou rose et imberbe reste très serré.
Il le caresse, tout en me léchant le cou et les oreilles.
Je le sens pénétrer mon intimité de ses doigts agiles. Je décolle, je gémis, je veux le sentir en moi.
Je tends mes fesses, de sorte que son sexe chaud se retrouve a l'entrée. Il enlève ses doigts, crache dans sa mains, étale sa salive chaude sur son sexe et dans mon sillon.
Son gland chaud se présente à l'entrée de mes fesses.
Il pousse.
Son gland, énorme, me pénètre. Ma respiration se bloque. J'ai mal et je me concentre pour pouvoir accueillir tout son pieu. Sans m'y attendre, il fait glisser l’entièreté de son membre en moi. Il râle de plaisir. J'ai le souffle court. Il commence ses va et viens, lentement, délicatement, je peux sentir chaque centimètre de son sexe en moi.
Je suis allongé sur le ventre, il est sur moi, sa bouche au creux de mon cou, ses mains dans mes mains, son sexe au plus profond de moi. Je gémis de bonheur. Il accélère la cadence. Il râle, il soupire. Son sexe va et viens de plus en plus rapidement, bruyamment, très vite recouvert par mes gémissements qui s'intensifient.
Nos corps sont chauds, son sexe me transperce, je n'en peux plus de plaisir. La tête dans l'oreiller, je hurle mon plaisir, et cela ne fait qu'encourager mon amant qui intensifie le mouvement de son bassin.
Il se retire de moi, nous nous embrassons passionnément, un baiser humide, duquel la salive s’échappe pour glisser sur nos mentons, et sa main va et viens sur son sexe.
N'en pouvant plus, il présente son sexe devant mon visage, et dans un gémissement interminable, il joui sur l’entièreté de mon visage. Son jus est abondant, chaud et épais, et mon visage en est recouvert.
Je plante mes yeux dans les siens pour lui dire «Tu avais tort. Tu m'avais dit que dans une semaine, je serai dans ton lit. Tu as perdu, c'est toi qui est dans le mien.»
On rigole, et on s'enlace en s'embrassent avec douceur.
Nous nous sommes revu de nombreuses fois, bien sur. A la fac, chez moi et parfois chez lui.
Notre première rencontre date d'une dizaine d'année, et il nous arrive encore de nous voir et de prendre du plaisir ensemble, toujours aussi intensément, et désormais avec plus de liberté;)
(Cette histoire est réelle, et je sais qu'en baisant sans capotes, nous n'avons pas pris la meilleure décision. Même si rien de nous est arrivé, ne faites pas comme nous, protégez vous!)"
Nuits Fauves
mesnuitsfauves0@gmail.com