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Chapitre 7
J’ai mis des jours pour m’en remettre. J’ai du prétexter à mon mec d’être dérangé pour éviter toute question sur l’état de mon cul.
Lui a profité pour me montrer via l’appli les photos prises. Je ne sais plus quoi faire. Je suis complètement retourné et en même temps qu’est ce qu’il pourrait me faire de plus? C’était sans compter son imagination.
Je reçois un message. « Demain, je te ramène du boulot en voiture. Je profite de la chaleur pour ne pas prendre de douche. Demain, tu me décrasses 😈 ».
La journée passe et plus on approche de l’heure plus je suis dans tous mes états. Il me récupère dans Marseille. Toute vitre fermée, quand j’ouvre la porte je suis assailli par la chaleur et une odeur. Oh mon dieu je ne tiendrai jamais. Un mélange de transpiration qui ne date pas du jour, d’odeurs diverses. Je m’assois côté passager limite incommodé.
« Aller en route. Tu sens comme c’est bon. Mes collègues n’osaient rien me dire car je suis leur boss mais ils avaient du mal à rester à proximité. Il y en a un que j’ai pris en entretien il était rouge!
- tu m’étonnes!
- C’est un petit jeune tout frais et tout soumis. Je vais lui en faire baver un peu. Il ne saura plus où se mettre en ma présence! Par contre avant de partir, je vais me mettre à l’aise et enlever les chaussures »
Instantanément, une forte odeur monte dans la voiture. D’autant plus qu’il jette ses chaussures à me pieds. Aucun moyen d’échapper. Je sens mes neurones griller les uns après les autres.
Il profite des bouchons pour enlever son TShirt. Je suis toujours admiratif de ce corps musclé sec. Les bras en l’air je sens d’où je sens la transpiration de ses aisselles. L’odeur est forte, j’ai du mal.
«J’ai fait du sport hier et aujourd’hui mais avec cette chaleur, on transpire vite » le sourire sur ses lèvres en dit encore plus long.
Sur le trajet, il s’arrête. Petit parking, quelques voitures. Des gens qui promènent. Qu’est ce qu’on fait la?
Il me dit de descendre. Dans le coffre, il prend une serviette. Nous avançons et d’un coup il me fait bifurquer derrière des buissons et met la serviette par terre. Les gens sont à côté mais ne peuvent pas nous voir. Je suis en panique.
« Qu’est-ce qui te gêne? Tu as peur qu’on nous voit? C’est sûr il y a un risque. Et ils verront quoi? Une chienne qui s’occupe de son mâle. Ce sera l’occasion de te rabaisser un peu ma pute car j’ai été sympa avec toi. »
Instantanément je suis à ses pieds pour l’implorer. « On va pas faire ça là maintenant?
- oh si et tu vas donner tout ce que tu as car sinon tu vas morfler. Ce serait dommage d’ameuter les gens autour… ou que ce soit moi qui les ameute »
Un regard pervers et son sourire me convainquent qu’il est sérieux. Plus il fera de bruit et plus on a des chances d’avoir des visiteurs. Je suis coincé: bloqué avec lui, sans voiture pour partir et du monde autour.
Le temps que je percute, il est pied nu sur la serviette. Je sais ce que j’ai à faire. Il m’a bien conditionné car je me penche pour d’abord renifler chaque pied avant de passer ma langue dessus, puis entre chaque orteil. L’odeur est forte, il s’est bien dépensé au sport! Soulevant son pied, il me fait comprendre de m’occuper de sa plante de pied.
Il me fait mettre sur le dos et c’est son deuxième pied qui se pose sur mon torse et qui remonte pour me recouvrir le visage. On ne peut pas être plus dominé: moi allongé par terre et lui debout un pied sur mon visage. Il pointe en direction de ma bouche. Encore une fois, c’est instinctivement que j’ouvre la bouche. Il me baise littéralement la bouche avec son pied. Je suis élargi vu sa taille. J’ai de la salive qui remonte. Il en profite pour bien me cracher dessus. C’est une pluie de crachats et mollards qui tombe.
« Relève toi et mets toi à genou. Approche à 4 pattes et viens snifer mon paquet »
Je m’exécute mais crains d’avoir la même odeur. Elle est forte aussi. D’un coup il me pince le nez. J’ouvre la bouche pour respirer et il m’insère sa queue en fond de gorge. Je tousse je crache mais ne peux m’extraire, sa main me bloque bien solidement la nuque. S’en suit un ramonage de bouche en règle, alternant rythme rapide et plus lent et profond. Je ne suis plus qu’un trou. D’un coup j’imagine qu’on peut nous voir et essaie de pousser sur ses jambes mais rien a faire. Il me maintient dans cette position.
« A ta place je baverais bien sur cette queue car ce sera le seul lubrifiant que tu auras. »
Je commence à paniquer mais il me relâche de suite. Le temps que je tousse, crache bref que je m’en remette, il reprend mon visage entre ses mains et se relance dans un bon facefucking mais quelque chose a changé. La texture!! Il a mis une capote. Il doit voir à ma tête que je me pause la question.
« putain mais tu comprends vraiment rien des fois. Je t’ai dit que ta salive serait le seul lubrifiant » je percute et me mets à saliver au maximum. Je fais bien car d’un geste il me repousse. Je tombe les 4 fers en l’air. Facilement, il me lève les jambes avec les chevilles sur ses épaules et se place directement face à mon cul. Il commence à pousser
J’appuie sur ses épaules et mes mains, j’essaie de reculer, pour qu’il ne soit plus en mesure de s’insérer. Mais deux mains me rattrapent:
« Où crois tu pouvoir aller comme ça? Tu veux m’échapper?
- pitié ça fait mal, tu vas me tuer le cul
- Mais oui c’est ça qui est bon! Te voir grimacer et souffrir au fur et à mesure que je vais te démonter. Et si l’envie te prend de crier, il y a du monde autour qui verront la vraie pute que tu es.
- Oh mon dieu. Tu es un monstre, tu penses à tout »
Son sourire de satisfaction en dit long. Ses mains me ramènent vers son bassin et sa queue commence à rentrer. Ça a du mal à coulisser, ça tire. Je grimace. Je ne peux rien dire. D’un coup de bassin, il progresse dans mon conduit m’arrachant un petit cri qui fait venir un mec d’une cinquantaine d’années. Je suis effondré. Ça ne l’empêche pas de continuer à s’insérer en moi. Une fois bien à fond il commence son va et vient, toujours sous les yeux de notre visiteur qui a du mal à cacher son excitation.
« Il y a du monde ici mais c’est souvent des hommes en manque de cul. Ta réputation est en route ma salope ».
Fier de lui, il entame un va et vient où je sens son côté victorieux. Il me laboure littéralement le cul. J’essaie de faire le moins de bruit possible mais n’arrive pas à rester muet. C’est douloureux et j’y prends du plaisir. Lui le voit et ne boude pas son plaisir.
Ce serait une situation classique si de temps en temps, il ne m’envoyait pas quelques crachats. Tout en se décalant un peu, il continue son va et vient et m’insère son pied droit dans la bouche. Je ne suis plus qu’un trou pour son plaisir. Au bout d’un moment qui me semble long, il décharge dans la capote. Notre voyeur en fait de même par terre à quelques centimètres de moi.
« Bon tu vas me nettoyer tout ça. »
Sans attendre ma réponse, il insère sa bite dans ma bouche sans aucune résistance de ma part. Comme si j’étais dans un état second, comme si face à lui je n’avais pas mon libre arbitre et qu’il pouvait faire de moi ce qu’il voulait.
Mon état second se dissipe d’un coup quand je sens couler un liquide chaud au fond de ma gorge. Je tente de me dégager mais c’est sans compter sa main qui me maintient le nez dans ses poils pubiens.
« si tu veux respirer, je te conseille de bien tout avaler. Si je vois une goutte par terre je te mets une mandale magistrale ». La menace a peu d’effets car j’étais déjà en train de déglutir pour avaler.
Une fois sa queue nettoyée, nous repartons à la voiture.
« Tu sais que bientôt je te prendrai à cru. Tu auras intérêt à avoir le cul toujours propre car si moi ça me gênera pas pour te baiser quand tu nettoieras ce sera peut être plus compliqué pour toi. Moi, je m’en fous. J’ai une salope pour bien tout nettoyer. Et elle n’a pas le choix. Mais toi tu risques d’en avoir plein la bouche ».
Un frisson d’effroi me parcourt le dos. La vision est horrible.
Le reste du parcours se fait jusque ma gare non sans quelques remarques salaces et images me montrant bien qui est le patron et a priori, ce n’est pas moi!
Passifcfantastik
passifcfantastik@hotmail.com
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