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Chapitre 8
Ce retour de Marseille m’a chamboulé. A priori, ça n’avait pas été un problème pour lui de ne pas se laver mais en plus il semblait n’avoir aucune appréhension à baiser dehors, n’importe où. Finalement, en me remémorant notre rencontre dans le ter où il m’avait fait lécher ses pieds et cette baise extérieure, qu’il y ait du monde ou pas, il s’en moque. Comme si il était impossible d’avoir une prise sur lui. A chaque fois, je ne lui ai pas trouvé de point faible pour rétablir un semblant d’équilibre. Lui sur de lui et capable de tout et moi qui essayais de garder un minimum de contrôle, pour la dignité c’était trop tard.
Je suis rentré, je mouillais encore et cela tachait le pantalon. Je vais encore devoir faire un numéro de claquettes pour ne pas éveiller les soupçons de mon mec.
Le lendemain, je me dis non mais ça va trop loin. Je ne peux pas continuer comme ça. Je me connecte à l’appli et paf une photo de son pied. Il connaît mon point faible. Puis une autre arrive avec ma tête contre son pied. Instantanément, remonte le souvenir de la sensation, de son odeur. Comme s’il m’avait marqué!
« Demain c’est télétravail, ramène toi à la maison. »
Le lendemain je me retrouve chez lui. Il est bien installé pour son télétravail.
« Toute bonne journée, commence par un café. »
Il s’installe dans son fauteuil de boulot et d’un geste me désigne ma place: à ses pieds. Je me retrouve sur ses indications à 4 pattes tourné vers lui mais trop avancé pour lui lécher les pieds et pas assez pour une fellation. En fait, je suis un meuble. Un repose-pied. De la où je suis je peux voir dans l’entre bâillement du short une couille et sa bite. Je suis hypnotisé et n’ai qu’une envie, c’est de m’approcher, d’être en contact avec lui, sa peau, son odeur. Est ce que je suis accroc?
Il me laisse dans cette position pendant ce qui me semble être une éternité. Il bouge ses jambes, ses pieds. De temps en temps, il me donne ses orteils à sucer. Lui continue de travailler.
Quand il se lève et me dit de faire de même, je pense mon calvaire dans cette position terminé. Il me fait assoir par terre, penché en arrière la nuque contre le rebord de son siège et la tête sur l’assise. C’est plus confortable. Mais pendant que je m’installe lui revient complètement nu, une demi molle et un sourire sadique aux lèvres. Je le connais. Je sais que ça va être dur.
Effectivement, il s’installe pour s’assoir. Je vois arriver ses fesses, son sillon et son trou. Dans ma tête je n’ai qu’une seule idée: pourvu qu’il soit propre! Pourvu qu’il soit propre! Pourvu qu’il soit propre!
Il s’assoit lentement. Il sait l’impact que ça peut avoir sur le mental, la crainte de ce qui va arriver, inexorablement. Je ne peux m’y soustraire.
Je me retrouve ainsi le nez dans son sillon. Pas fraîchement lavé mais rien de suspect a l’horizon. J’ai énormément de mal à respirer.
« Si tu veux respirer, active ta langue ». Je me jette dans ma tâche pour pouvoir avoir de l’air. Pendant ce temps, il continue de travailler, répond à des appels comme si je n’étais pas là ou que j’étais moins que rien. J’apprends qu’il ne bosse que la demi journée.
« Lève toi et viens avec moi. » il m’emmène à la salle de bain. Une fois dans la douche il urine prenant soin de remonter tout mon corps. Une fois fini, il me met sous l’eau froide pour me rincer. Avec lui je suis vraiment moins que rien. Personne ne me traite de cette manière. Mais lui le fait sans probleme et a priori sans effort apparent. Je n’étais pas comme ça au début et en quelques séances voilà à quoi j’en suis réduit. Comment fait-il? J’arriverai jamais à m’en sortir, lui échapper et avoir la force de lui dire stop (stop pitié?).
La journée va me paraître longue…
C’est trempé et complètement démoli que nous revenons dans sa pièce de vie. J’ai l’impression d’être sans volonté, un vrai zombie. Il arrive à contre carrer toutes mes oppositions et quasiment impossible de lui tenir tête ou de lui dire non. Au mieux, c’est implorer sa pitié que je peux faire mais en général ca le fait plus sourire et ça l’excite de m’avoir tordu.
Je me retrouve attaché au pied de son bureau. Il finit tranquillement sa matinée. A l’écouter, je comprends qu’il est avec moi comme il est dans la vie. La négociation doit être difficile pour ses employés. Il se lève ensuite et disparaît de mon champs de vision. Je comprends qu’il fait à manger mais difficile pour moi d’être loin, seul et sans pouvoir le voir.
Finalement, il vient me chercher. Sur la table une seule assiette, un seul couvert.
« Tout le temps que je vais manger, tu restes à ta place, c’est à dire au pied. Je te donnerai à manger ensuite. »
Me voilà encore dans une situation inconfortable. Je vais finir par avoir mal partout à force d’être par terre dans des situations improbables mais ça a priori il n’en a rien à faire.
Son repas me paraît long. Je le soupçonne de le faire durer pour tester ma volonté et ma résistance.
« Tu as été une bonne larve. Je vais te donner à manger. Je t’ai préparé des œufs brouillés. Pour la crème, tu te doutes bien que j’ai utilisé mon sperme. Tellement meilleur »
Ça y est, il fait encore dans le food porn. M’obliger à manger des aliments avec ses fluides. La dernière fois c’était ses mollards. Je m’en sortirai jamais. Comment j’en suis arrivé là.
Il pose l’assiette par terre. Je vais quand même pas manger comme un chien! Je n’aime pas ces jeux de rôles.
« Allonge toi sur le dos! »
Je me mets en position et en le voyant faire je suis horrifié de ce qui m’arrive.
Il marche pied nu depuis ce matin. Et la, il attrape la nourriture avec son pied et ses orteils et me donne la becquée à manger et lécher. Impossible de savoir si le goût est lié à sa préparation, son sperme ou la manière de me donner à manger. Je suis étonné de la manière qu’il arrive à attraper la nourriture rien qu’en repliant ses orteils. A chaque fois je lui lèche bien tout pour ne rien perdre.
Une fois terminé. Je dois rester à ses pieds pendant qu’il débarrasse.
« Suis moi »
Il m’emmène dans la chambre.
« Reste debout. Si tu bouges, tu morfles
Prends une grande inspiration et laisse ta bouche bien ouverte».
J’obtempère. Et je le vois sortir un film alimentaire étirable. Avant que je réagisse, une pellicule du film est sur mon visage. Tout de suite avec son doigt, il fait un trou à la bouche et au nez pour que je puisse respirer. Il tourne ensuite autour de moi avec son film. Je suis la doublure de Touthankamon. Je suis complètement immobilisé et empaqueté.
Avec une force que je ne lui soupçonnais pas, il me place sur le lit. Je ne peux pas bouger. Il me positionne sur le dos, la tête dans le vide. Je sais ce qui va m’arriver, un facefucking en règle. Je n’y coupe pas. Il insère le gland. Le reste suit. Je voudrais le ralentir et l’empêcher d’aller bien au fond avec mes mains mais impossible de faire le moindre mouvement. Il sait qu’il a gagné cette partie et ne me ménage pas pour me montrer qui est le boss. Je tousse, je crache, je salive. Ça me coule sur tout le visage.
« Mmmh ta bouche de pute est un trou bien confortable. Et comme ça, elle est toute à moi. Voilà salive bien sur ma bite. Plus tu salives et plus je peux pousser au fond. Oui comme ça. Tu la sens qui va bientôt passer la glotte et s’insérer dans ta gorge
- mmmmhh
- Ça y est j’y suis »
Je suis transpercé. Il est en entier en moi. Même pas en bouche mais directement en fond de gorge.
« avec toute l’eau et le café que j’ai bu, il faudrait que j’aille pisser un coup. Et en même temps, je suis bien là. Au chaud dans ta gorge.
- mmmhh
- Je sais cruel dilemme. J’ai pas envie de sortir. Et toi? As tu envie que je sorte?
- Mmmh
- C’est bien ce qu’il me semblait. »
Je veux fuir, lui échapper. Mais momifié comme je suis impossible de bouger. Et ce qui devait arriver se produit. Il se soulage directement dans mon estomac.
« Putain que c’est agréable ma pute. Je suis là, bien calé au fond et suis en train de me soulager. Je pourrais pisser des litres. En même temps avec tout ce que j’ai bu, j’ai de quoi éliminer. Je vais te remplir comme une outre. Tu veux?
- mmmhh (que dire avec une bite en fond de gorge qui crache un liquide sans s’arrêter.
- T’es une bonne salope, tu sais. J’en ai pas fini avec toi. Je vais te transformer et te révéler à toi même. Une vraie pute de compétition. Quand j’en aurai fini avec toi, tu ne te reconnaîtras pas ».
Il a fini de me pisser de dedans et reprends sa baise de ma bouche. Avec le film sur les yeux, je ne peux que distinguer mais j’ai l’impression qu’il est avec son téléphone. Photo? film? Je sais pas. Finalement il ressort.
Il me retourne comme un fétu de paille et je me retrouve sur le ventre. Il me plie un peu pour faire ressortir mon cul. Et avec son doigt, il fait un trou au niveau de mon sillon.
« Une bonne pute doit toujours être ouverte. »
J’essaie de faire un peu la chenille pour me déplacer mais c’est peine perdue.
« Où veux-tu aller? Tu crois que tu peux m’échapper ? Déjà en temps normal c’est impossible. Une fois dans mes filets tu ne peux plus t’en dépêtrer mais là que tu es filmé comme un saucisson… »
Je capitule. De toutes façons, il a déjà ses mains sur mes hanches, deux crachats sur mon cul et il commence son insertion. S’il commence lentement, il y va a fond!! Je ne suis pas ménagé. Son corps tape sur le mien à chaque fois qu’il rentre. Il sort et rentre pour bien me défoncer la rondelle. Il s’immobilise. Bizarrement, j’ai pas eu l’impression qu’il avait joui.
« Tu vas rire. J’ai encore envie de pisser. J’ai vraiment trop bu. Mais je suis bien au chaud, en toi. Tu as vraiment un trou fait pour ma queue. Je vais quand même pas sortir.
- tu m’as déjà fait le coup tout à l’heure.
- Alors tu connais la suite. »
Instantanément, je sens son liquide chaud à l’intérieur.
« Après avoir rempli d’un côté, c’est bon de remplir de l’autre. Putain ça fait du bien.
Tu n’es vraiment qu’une grosse truie pleine de liquide. »
Il se penche sur mon oreille qu’il avait libérée dès le début. « Maintenant, tu es à moi. Complètement à moi. Je vais te rendre comme une larve. Tu seras tellement accroc que c’est toi qui reviendras. La queue entre les jambes. Tu retrouveras jamais cette intensité. En attendant, je vais faire de toi ma pute »
Et il repart dans un rodéo sur mon cul. Il est endurant. J’ai l’impression qu’il ne s’arrêtera jamais!
« C’est trop bon de te baiser dans ce liquide. Une vraie chatte humide! »
Je suis effondré. D’un seul coup, il sort pour ejaculer sur mon cul. Du liquide sort en même temps mais emprisonné dans le film plastique se propage sur moi sans salir le lit. Il m’aurait tué je pense!!
Il se pose à côté de moi. Je suis exténué et n’en revient pas de sa force, de sa vitalité et de son endurance. Un vrai sportif. Je ne peux toujours pas bouger. J’ai la tête pas loin de sa cuisse.
« J’avais prévu d’inviter quelques potes pour qu’ils se fassent plaisir avec moi
- pitié boss, je t’en supplie
- Non tu as été une bonne pute, je vais t’épargner… pour aujourd’hui seulement!
- Merci boss. Merci beaucoup.
- En attendant, tu vas bien me nettoyer »
Sans attendre de réaction de ma part, il me tire pour me mettre la bouche à la verticale de sa queue. L’odeur est horrible, un mélange de sexe, d’urine et d’odeur de cul. Je suis révulsé!
« non boss. Pitié. C’est horrible!! Non. Pit… »
J’ai pas le temps de finir ma phrase qu’il me lache sur sa queue. Je n’ai d’autre choix que de tout nettoyer. J’ai envie de vomir. J’essaie de battre des pieds. Mais il m’enlève de son entrejambe qu’une fois la tache accomplie.
Il me traîne ensuite jusque là douche, découpe le film. Je prends une bonne douche pour enlever les sécrétions, l’urine, la bave et surtout la transpiration. Il faisait chaud la dessous.
Je repars je sais pas où j’habite. Il m’a démonté physiquement c’est sûr et je ne lui soupçonnais pas cette vitalité et mentalement. Il a fait de moi sa chose toute la journée. A aucun moment il m’a donné l’impression d’être un humain. Et ce qui est terrible, c’est que j’en avais joui dans le film plastique. J’étais juste une chose pour son bon plaisir. Mais comment je vais pouvoir m’en sortir??
Passifcfantastik
passifcfantastik@hotmail.com
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