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Chapitre 9
Je me posais la question de comment m’en sortir. Et j’avoue, je ne sais comment faire. Je pense à lui régulièrement. Quand je vais sur Twitter, certaines images un peu hot, dévalorisantes, de domination, je les enregistre et les lui transmets. Il m’y encourage d’ailleurs. Je ne sais pas si c’est pour lui donner des idées ou pour voir ce qui me fait triper.
Finalement, son boulot limite nos échanges. Je suis moins dans tous mes états et ai l’impression de reprendre le contrôle.
Je trouve un dessin d’un mec qui se fait défoncer le cerveau et l’oreille par une bite. L’image lui plaît et il me dit « Tu veux pas que je te remplisse le cerveau de mon bon jus chaud et épais ».
L’image plus ça, c’est un point sensible chez moi: les oreilles et le fait de baiser le cerveau. Il s’en rend compte car à chaque fois qu’il m’a immobilisé et susurré des horreurs à mes oreilles il a vu mon excitation.
« Ce midi au studio »
J’arrive toujours avec cette pointe d’appréhension. Il y a de l’excitation mêlée à de la crainte. Quand je le retrouve il a ce côté sur de lui, sur de sa force, de son ascendant. Il me fait mettre nu, à genoux.
« Ouvre la bouche et t’avale uniquement quand je te le dis »
Je me plie à sa demande. Il en profite pour me mollarder sur le visage, dans la bouche.
« Maintenant que tu as la chatte bien humide je vais bien te baiser la gueule ».
Sans attendre de réaction, il insère sa queue bien en fond de gorge. Ça et la salive me font avoir un gag réflexe mais il s’en fout. Il a mis ses mains de chaque côté de mon visage et me besogne comme si j’étais juste une poupée, juste la pour son plaisir. Ça coule de partout entre ses mollards, ma salive et son va et vient! J’ai les larmes à l’œil. Et aucun moyen de l’arrêter. Son côté sportif lui assure une endurance et une force que même avec mon gabarit et de la volonté j’aurais du mal à rivaliser. Il m’a fait depuis le temps exploser les neurones et face à lui il est difficile, voire impossible, de lui dire stop ou non.
A un moment, il me fait mettre à 4 pattes.
« Écarte bien ton cul avec tes mains »
Sauf que pour pouvoir le faire, je me retrouve face contre terre le cul en l’air. D’un mouvement, il se place de manière à mettre son pied sur le haut de mon dos pour prendre appui et d’un coup lent mais sans arrêt s’insère en moi. Je hurle, même pas de préparation, même pas de gel. Pour me faire taire, il enlève son pied de mon dos pour me le mettre dans la bouche. Je suis écartelé des deux côtés.
« J’espère que tu etais propre du cul.
- mmmmhhh (toujours cette impossibilité de parler la bouche pleine)
- Je te l’avais dit il n’y a pas longtemps, je m’en fous de baiser un cul pas propre car ma salope dans tous les cas elle nettoie! »
Je touche le fond! Il n’a vraiment aucune considération pour moi. Il ne pense qu’à son plaisir. Le mien vient du sien.
En une seconde, mes trous sont libérés.
Je me remets à genou suite a sa demande. Il me tapote sur la joue en se penchant vers moi. Je ne peux regarder son entrejambe, j’ai sa tête en gros plan.
« C’est maintenant l’heure de vérité pour toi… »
Un énorme crachat s’abat sur mon visage et il se redresse d’un coup, faisant arriver à toute vitesse sa bite toujours tendue qui vient s’insérer comme par magie dans ma bouche. C’est la première fois qu’on passe ainsi de mon cul à ma bouche. C’est horrible. Il y a un goût de cul et de bite. Lui est fier comme pas possible et se moque bien de ma tête.
« Aller petite merde, ce n’est qu’un moment à passer. Je t’avais dit qu’avec moi il fallait toujours être prêt. ».
Il en profite pour à nouveau bien me limer la bouche. Finalement il en sort et me maintient contre le mur, le visage tourné. Je ne le vois pas faire mais j’entends juste des bruits mouillés. Il s’astique pour ensuite exploser et ejaculer sur moi, le premier jet dans les cheveux mais pour les suivants il pose son gland à côté de mon oreille qui s’en retrouve repeinte. La sensation est horrible mais terriblement excitante. J’ai l’impression qu’elle est recouverte de sperme et qu’en même temps cela s’insinue en moi, dans ma tête. Ce point sensible me fait juter sans me toucher.
« Lèche ton sperme. Je dois rendre l’appartement impeccable ».
Une fois ma tache terminée, il me fait me rhabiller en vitesse et me pousse vers la sortie sans passer par la salle de bain. Son sperme commence à se solidifier dans les cheveux et sur mon oreille. Je m’essuie comme je peux avec mon t shirt mais impossible de tout enlever. J’en ai partout, ça sèche, ça colle et lui me presse pour qu’on sorte de l’immeuble. Je me retrouve sur le trottoir, le t shirt et l’oreille pleins de sperme. Ce mec n’avait pas juté depuis plusieurs jours, c’est pas possible. C’est épais et consistant.
« Quand je vois ta tronche et ton t shirt, on dirait que tu fais le trottoir. Faudra peut être qu’on y réfléchisse, ça me rapporterait un peu
- non boss, vous pouvez pas…
- Tu es à moi, tu m’appartiens. Et tu sais que je n’hésiterai pas à te faire tourner. Dis le!
- Oui boss, je sais que tu n’hésiteras pas à me faire tourner, à m’exposer à certains pervers voyeuristes pendant que tu me dégrades.
- C’est beaucoup mieux. Et ça te plairait
- Non boss. Pas du tout. Mais tu me l’as fait enlever des limites écrites.
- C’est que ce n’est pas un problème majeur pour toi alors
- Si mais… mais… je n’avais pas le choix
- Pourquoi?
- Parce que c’est toi le maître et c’est toi qui décides.
- T’as tout compris petite pute. »
La dessus il m’abandonne sur le trottoir. Je file au boulot en passant par la salle d’eau me laver l’oreille collante et le t shirt et prétexter à mes collègues que je me suis renversé de l’eau dessus. J’en suis réduit à ça!
Passifcfantastik
passifcfantastik@hotmail.com
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