Salut tout le monde !
Je suis un habitué de vos histoires qui me font bien kiffer, et je rêvais de vous en raconter une depuis longtemps... J'ai enfin de la matière... Sachant qu'en plus, ça m'est arrivé avant-hier, un bel après-midi ensoleillé de ce samedi qui restera gravé pour toujours dans ma mémoire.
Avant d'aller plus loin, petite description personnelle : 37 ans, ni trop grand, ni trop petit (1m68), quelques kilos en trop mais ça va encore (68 kg), brun, barbu teinte mi-brune mi-blanche, quelques traits hispaniques avec d'épais sourcils. Souvent en tenue décontractée quand je suis en week-end, jogging, sweat à capuche, baskets, casquette. Bien proportionné niveau sexe, ni trop gros, ni trop petit... La moyenne.
Un brin fétichiste, j'aime porter un cockring sans mettre de caleçon. Autant vous dire que ça peut se remarquer assez vite quand je marche. Ca a en plus parfois tendance à m'exciter quand je suis de sortie, et on peut parfois le remarquer au repos ou pire, quand je commence à bander. Autre fétichisme, j'aime porter des chaussettes sales, bien portées quelques semaines. Ca m'excite bien et c'est mon truc à moi. Que je n'ai jamais partagé avec qui que ce soit. Je fais souvent des cams publiques avec tous ces équipements car comme vous l'aurez deviné, je suis un peu exhib avec tout ça. mais paradoxalement, très très très timide...
Voilà pour le "décor".
Donc ce samedi dernier, plus rien dans le frigo. Ca me fait chier, faut aller faire quelques courses. Je fais donc vite fait une liste qui n'a absolument aucune gueule, puis je me dis "tiens, je vais mettre mon cockring, mes baskets et mes chaussettes pour bien m'exciter en rentrant". Bah oui, il fait chaud, les chaussettes ça marche encore mieux par ce temps là. Surtout que je porte toujours des blanches, donc visuellement ça me fait bien kiffer de ne plus les voir blanches au fur et à mesure.
J'enfile tout ça, et je me mets en route. J'arrive au supermarché, je me gare. Je prends un caddie, et je déambule dans la galerie marchande pour atteindre le magasin. Une envie de pisser me prend, c'est pas grave, les chiottes sont juste à côté. J'arrive aux chiottes en passant devant le PC sécurité. Un mec assez grand et masqué me dévisage... plutôt mature (je dirais 50-55 ans), barbe visiblement blanche. Pas plus de détails car vu ma timidité je n'ose pas regarder davantage. Je laisse mon caddie à l'entrée des toilettes et vais faire mon affaire. Puis, excité par la situation (comme ça me le fait souvent), je me branle un peu et doucement. Je reste bien 10 bonnes minutes à la pissotière avec quelques gars qui vont et qui viennent, mais ne remarquent rien car je reste bien bien discret. Je dois sortir et me calmer, alors j'arrête. Mais j'ai un peu de mal à débander totalement. Tant pis, ça fait trop longtemps que je suis aux chiottes. Je sors, et là improbable : plus de caddie. Le gars de la sécu lui était toujours là. Je vais alors le voir un peu gêné vu mon "état", que j'essaye de dissimuler maladroitement :
- Euh bonjour... Excusez-moi, vous ne savez pas où est passé mon caddie ?
- Bonjour. Non, désolé.
- Vous n'avez rien vu du tout ? Vous êtes juste à côté !
- Il n'y a pas que vous qui êtes occupé monsieur, mon travail ne consiste pas qu'à rester planté ici.
- Bon. Ok... merci quand même.
Je suis saoulé... Du coup chiant, il faut aller chercher un nouveau caddie... et j'ai plus de jeton en plus. Le mec me regarde de haut en bas, je m'en vais. Je sens que je bandouille encore un peu. Je me retourne et vois qu'il me regarde toujours. Je me dis que j'espère qu'il n'a rien grillé. Je regarde mon entre jambe et je vois une belle tache de mouille dessus. Je sens le chaud qui monte : merde, t'abuses, c'est grillé quand même. Je vais chercher un jeton à l'accueil du magasin et du coup un nouveau caddie...
Allez c'est parti, je déambule à nouveau, je fais mes emplettes le plus vite possible (car j'ai horreur de ça...). J'utilise une scannette pour vérifier le montant de mon panier. Gros coup de gêne, je croise un client dans les rayons (je suis commerçant) qui me salue et me parle un peu. Je me sens mal à l'aise, je rougis... Pile poil au moment ou je revois ce fameux gars de la sécu qui me croise et me dévisage sévère. Je pique un gros phare, je bégaye... Mon client me demande si ça va, je lui réponds que oui mais que je suis un peu pressé. On se souhaite la bonne journée.
J'arrive en caisse, je dépose ma scanette à l'hôtesse de caisse, qui me demande si ça a été et si je n'ai rien à déclarer. Oui oui, tout va bien. Et là : "Ah, il va y avoir une relecture monsieur!". Oh bordel ça me gonfle. Je déballe tous mes produits. Et à la toute fin, elle me fait :
- Ah, il y a deux erreurs... ça fait beaucoup sur un caddie à une 40aine d'euros...
- Deux erreurs ? Je ne comprends pas. Comment c'est possible ?
- Bah soit vous avez oublié de scanner, soit vous volez...
- Je ne suis pas un voleur, je ne l'ai jamais été. C'est quoi les articles ?
Là, elle me montre une boite de gel lubrifiant et une brosse à dents.
- Euh alors la brosse à dents oui c'est bien moi et je l'ai bien scannée, mais le gel là je sais pas ce qu'il vient faire ici, j'en n'ai pas besoin.
- Oui, bah moi je vais appeler la direction, comment voulez-vous que je vous croie ? (En me regardant de haut en bas...)
- Vous insinuez quoi là madame, que j'ai une tenue négligée qui laisse entendre que je suis un voleur ? Que je viens de la "cité" ? (les gens autour se retournent et nous regardent)
- Ne haussez pas le ton monsieur ou j'appelle mes responsables !
- Mais je ne hausse pas le ton ! Je vous dis que je ne suis pas un voleur et que je ne comprends pas !
Une voix venant de derrière se fait entendre :
- Y'a un problème ? (oh bon sang non pas la sécu, il va me gonfler)
- Ah bah ça oui ! Non seulement monsieur essaye de voler, proteste mais il me parle mal !
Il regarde les articles mis de coté, et me fait "Voler une brosse à dents c'est pas super courant..." et regarde l'autre article...
- Bon ok, suivez-moi. (oh bordel et voilà. Fait chier j'ai pas que ça à branler...)
- Non mais vraiment là ? Vous me pensez voleur pour ce type de trucs ? D'ailleurs je sais même pas ce que ça fait là ! J'hallucine !
- Suivez-moi monsieur. Si vous refusez d'obtempérer, c'est appel à la gendarmerie. Vous préférez quoi ?
- OK OK ! C'EST BON JE VOUS SUIS !
En partant, je vois mon client me regarder avec désolation, me faire un "ça va...?". Oui oui ne vous en faites pas, c'est une erreur rien de plus.
J'arrive au pupitre de sécurité. L'homme me fait :
- Bon, on a deux options. Je vais procéder à une fouille au corps. Si je n'ai rien trouvé, vous payez les articles, et au bon vouloir du directeur du magasin on vous laisse partir sans poursuites. Si je trouve autre chose sur vous, on considèrera que vous avez sciemment voulu nous voler auquel cas nous devrons appeler la gendarmerie.
- HEIN ? Me fouiller pour ça ? Non mais c'est n'importe quoi !
- Monsieur si vous refusez c'est que vous avez quelque chose à vous reprocher.
- Mais non mais quand même ! Vous ne pensez pas que ça va loin ?
- Aussi loin que d'essayer de nous voler... C'est une prodécure normale, pourquoi ça vous choque ? Vous avez autre chose sur vous ?
- Non mais...
- Bon, bah alors je vais juste vérifier que vous n'avez pas d'autres objets et après ça ira mieux. C'est l'affaire de 15 secondes ! N'en faites pas toute une histoire !
- Ok, ok... euh mais mon caddie là ?
- Ne vous en faites pas on va le mettre en sécurité... Suivez-moi.
On passe par une porte assez banale, un couloir, avec un bureau sur la gauche et ce qui semblerait être une salle de pause au fond. Dans le bureau se trouve un autre gars. Plus jeune.
- Ah ? Il y a eu un problème ?
- Oui. Ce monsieur s'est fait prendre en train de voler, du coup je dois procéder à une fouille au corps et faire la déclaration des tentatives de vol.
- MAIS J'AI PAS...
- Monsieur, on en a déjà parlé. 15 minutes... Julien, tu connais le protocole.
- Oui Fred. Je te remplace pendant la procédure. Si besoin je t'appelle.
- Merci.
Le fameux Julien s'en va, fermant la porte qui relie le pupitre au couloir. Celui qui m'agace depuis tout à l'heure, Fred visiblement, me regarde et me dit :
- Bon, c'est simple et rapide. Mettez vous face au mur, jambes écartées, mains contre le mur. Je vais fouiller d'abord le haut et ensuite le bas.
- Euh ok. (je m'active, j'en mène pas large, j'aime pas ça et je perds du temps).
Le mec se met derrière moi et commence à fouiller les poches de mon sweat à capuche, ma capuche, puis ses mains se posent sur mes épaules, redescend doucement le long de mon torse. Il palpe un peu, fait le tour du bassin pour voir si je n'ai pas quelque chose d'accroché en bas du dos.
- Bon ok ça a l'air réglo de ce côté. On va faire le bas.
Il commence à me faire les poches, et effleure mon sexe avec sa grosse main. Il effleure le cockring sans trop faire attention. Il me fouille ensuite l'autre poche sans rien trouver. J'en mène pas large, je suis super mal à l'aise. Il passe ses mains derrière, me touche les deux fesses de manière assez franche et me fait la seule poche arrière que j'ai. Il se baisse, et par derrière me palpe l'entrejambe pour vérifier. Et là, je sens qu'il touche clairement mes testicules et le cockring qui l'entoure.
- Qu'est-ce que vous avez, là ?
- Non non c'est rien monsieur. C'est personnel.
- Je vais devoir vérifier si ce n'est pas un objet volé
- Euh je peux vous garantir que ce n'est pas un objet volé et que ça m'appartient.
- Je dois vérifier.
- Non mais MONSIEUR ! A cet endroit comment voulez-vous que ce soit du VOL ? Soyons sérieux !
- Oui, soyons sérieux et vérifions.
Il me retourne, toujours accroupi. Je suis face à lui maintenant. Je tremble, je suis super mal à l'aise. La situation ne m'excite pas tellement je suis pris par la peur. Il saisit mon jogging et le baisse doucement. Il me le descend jusqu'aux chevilles.
- Tiens, monsieur n'a pas de boxer...
Je ne dis rien...
- Il a un anneau en plus... Ca c'est clair ça peut pas être volé...
- Oui voilà donc le contrôle est complet maintenant on peut y aller ?
- Non. Je n'ai pas fini. (Il se relève et me retourne à nouveau contre le mur). Enlevez votre sweat.
Je m'exécute sans dire un mot, je ne comprenais plus rien. Il remet une main sur mon épaule, redescend le long de mon torse et s'arrête au niveau de mon téton. Il commence à le caresser et le sent se durcir. Je me laisse faire, ma respiration s'accélère un peu. Son autre main passe de l'autre côté et saisit mon sexe qui commence à se durcir, et le branle doucement. Il s'arrête et me fait :
- Bien, on va contrôler aussi le reste.
- Vous avez tout contrôlé déjà, je suis mal à l'aise. Laissez moi partir.
- J'ai plutôt l'impression que ça vous fait du bien. Enlevez vos chaussures.
Et là bon sang l'angoisse. Mes chaussettes ! Je débande direct et je me dis que c'est la honte assurée.
- Non. Je ne vois pas ce que ça vient faire ici, comme tout ça d'ailleurs.
- Enlevez vos chaussures...
- Vraiment c'est pas utile.
A ce moment là, le mec enlève son masque. Je vois enfin sa tête entière et très autoritaire. Son ton a changé et est devenu assez grave : "Enlève les tout de suite". Ok c'est flippant. J'entends son talkie :
- Fred c'est moi. Je peux revenir ?
- Non pas de suite, et je vais prendre ma pause repas. Ca te va ?
- Ok pas de problème ! A toute.
Et merde. Même pas sauvé.. Je me baisse, je détache mes lacets doucement pour gagner du temps, sait-on jamais.
- Plus vite. Plus vite j'ai dit on n'a pas tout l'après-midi.
Je tremble à fond, je sais plus où me mettre. Je me relève une fois délacé, il se baisse à nouveau et commence à m'enlever la première. Une odeur caractéristique s'en dégage. Il a un geste de recul, regarde ma chaussette bien jaunie par les jours passés de transpiration...
- Dis donc, c'est qu'on s'éclate en plus ?
- Euh...
- Enlève l'autre. Putain mais t'es dingue toi. Tu portes ça depuis quand ?
- Euh. Quelques jours
- Tu déconnes ? Ca se compte en semaines ça ! T'as pas honte ?
Il se relève, me remet face au mur. Prend mon sexe en main, et joue avec l'autre téton. Je sens sa respiration contre mon oreille, et j'entends : "Tu devrais avoir honte...".
Là, mon sexe se durcit net. Je ne sais pas ce qu'il m'arrive. Je me fais branler par un agent, quasi à poil avec un cockring et des chaussettes sales. Absolument improbable.
Il arrête de jouer avec mon corps, et va chercher un objet. Je regarde discrètement, je tremble toujours... Tiens, le gel mystérieux de mon caddie...
Il s'en fout sur les doigts, et commence doucement à me doigter tout en me branlant. Je ressens son souffle sur mon oreille : "putain, tu sens fort mon salaud".
Il arrête tout, dégage son bureau et me dit :
- Viens t'installer sur le bureau sur le dos.
Je m'exécute. Pour le coup je n'ai plus aucune crainte. Je suis face à lui, les pattes relevées, avec mon cockring et mes chaussettes avancées.
Il reprend un peu de gel et me refout ses deux doigts doucement dans le cul. Je gémis un peu.
- Tu vois que ça fait du bien, cochon.
- Vous allez me faire jouir.
- C'est pas grave ça, c'est pour ton bien.
Il y va de plus en plus franco avec ses doigts, et me titille bien l'endroit. Je le distingue nettement maintenant et je vois son côté pervers et dominant. D'un coup, il me prend un pied et se le fout sur la figure. Il se met à sniffer assez fort et se remet à me branler tout en me doigtant et me sniffant.
- Putain t'es un putain de cochon toi. Tu sens le mâle.
- Oh putain je vais partir là.
- Ouais vas-y libère toi, tu les sens bien mes doigts là hein ? Je te baise bien là ?
- Arrêtez je vais partir ! Oh putaaaaaaaaain !
Et voilà que je m'en fous absolument partout, et l'éjaculation va jusqu'à sa barbe. Je transpire, j'ai chaud, je n'en peux plus. Lui me regarde avec un air profond et surtout très très sexuel. Il retire ses doigts, et va me chercher du sopalin.
- Essuie toi et rhabille toi. Je m'exécute.
- Bien, on a fini. Ca a un peu trainé mais il fallait vérifier...
Je pique un gros phare, et regarde par terre sans rien dire...
- Oui, tu devrais avoir honte. (il prend son talkie) Julien ? Ouais on a fini. C'est bon on le laisse partir je pense qu'il ne reviendra pas de sitôt. Je vais manger.
- Ok Fred j'en parle à la direction.
- Bon, ça te servira de leçon... Mais je suis pas sûr que ce soit dissuasif cette histoire. La prochaine fois je t'éclate le cul. Ton caddie de courses est dans la salle à côté. Prends-le et casse toi.
Je vais pour récupérer mon caddié et m'aperçois qu'il y a, dans la salle de pause, un autre caddie vide avec un jeton ressemblant étrangement au mien... Putain l'enculé...
Je ressors avec mon caddie. Il me regarde, l'air vicieux et satisfait.
Je n'ai qu'un seul regret, c'est de ne pas l'avoir eu en bouche pour être totalement dominé. Mais je reste heureux d'avoir pu vivre ça au moins une fois dans ma vie. Ce sera d'ailleurs certainement la seule...
J'espère que cela vous aura plu ;)
A bientôt (ou pas...).
Spx
spondyman1744@gmail.com